Une Panne

Une Panne

Nous étions tout un groupe d'amis qui avions l'habitude de partir en vacances, ensemble, le groupe fluctuait selon les années, certains le quittaient, d'autres s'y joignaient, mais un noyau, dont je faisais partie, restait fidèle au poste, et c'est avec plaisir, que nous nous retrouvions, d'années en années.
Nous étions tombés d'accord, cette année là, pour un séjour, en juillet, dans le sud de l'Espagne, dans un village, La Chucha, près de Motril. Nous y avions trouvé plusieurs locations, sympas et pas chères : Impeccable !
J'y partais cette année là, avec ma copine du moment, Daphné, une jolie coquine, avec laquelle je ne m'ennuyais pas.

Nous prîmes l'avion jusqu'à Madrid, et de là, avions loué un minibus avec chauffeur pour rejoindre la côte Sud.
Nous voilà donc partis vers Motril, en prenant les routes secondaires, plus pittoresques, le chauffeur était sympa, l'ambiance décontractée et joyeuse.
J'avais eu une petite altercation avec un des occasionnels du groupe qui était accompagné par une femme d'une beauté stupéfiante, Claudia. Ce Max, puisqu'il s'appelait ainsi, avait proposé à quelques uns, et surtout quelques unes, de la MDMA , un cocktail perso détonnant, qui vous faisait « baiser comme des bêtes » selon ses termes. Je lui avais dit de ranger sa bibine et de nous foutre la paix avec ça... Il n'avait pas aimé.
Alors que nous traversions l'Andalousie, écrasée de chaleur, nous avions dépassé depuis un moment, un de ces petits villages, aux maison blanchies à la chaux, serrées les unes contre les autres, au milieu de bosquets de figuiers de Barbarie, et étions au beau milieu d'un véritable désert, quand le minibus eut la bonne idée de tomber en panne.
Tout le monde descend, et se cherche un abri contre le soleil, pendant que le chauffeur lève le capot, et sort la trousse à outils.
Heureusement nous étions près d'un groupe de maisons abandonnées, à moitié en ruines, qui pouvaient nous procurer une ombre providentielle et nous protéger du soleil implacable.

Tout notre petit groupe s'y réfugia. Au bout d'une heure, le chauffeur nous annonça qu'une pièce importante était cassée et qu'il devait repartir en ville pour trouver la même. Les villes les plus proches étaient Jaen ou Grenade... minimum quatre heures aller retour et en faisant du stop...un peu plus, surtout sur ces petites routes ! Le chauffeur partit vers le village après nous avoir fait ses recommandations et donné ses conseils. Il fallait s'organiser et passer le temps jusqu'à son retour.
Une certaine morosité s'était déjà emparé de certains, et l'ambiance dans le groupe, n'était pas tout à fait la même qu'au départ...

Deux heures passèrent...

J'avais remarqué que Claudia et Max s'étaient mis en retrait du groupe, je les cherchai, et les aperçus derrière une maison, à l'abri d'un contrefort. Claudia avait passé ses bras autour du cou de Max, qui la tenait par la taille et l'embrassait passionnément... Je souris en pensant que la belle Claudia avait bien besoin de se changer les idées, elle venait d'apprendre qu'elle s'était fait coller à l'agrég', et m'apprêtais à tourner les talons, quand j'entendis sa voix.
— Ooh, prends moi, chéri... J'ai envie que tu m'encules !
Pour tenir un tel discours, elle était sous influence, c'était certain !...Max avait dû lui faire boire sa saloperie de mixture... Je le voyais sourire, dominateur, sûr de son pouvoir.
— Oui ! ...Oui, petite chienne , je vais te prendre le cul, je vais te le défoncer, salope !
Il la retourna brutalement, et relevant sa légère robe sur ses reins, arracha son string qu'il jeta à terre, dévoilant le cul somptueux de la belle petite bourgeoise.
Sans prévenir, d'un doigt, il força son anneau, le tourna, entra en elle et le ressortit pour mieux s'y enfoncer encore, accentuant ses coups.
Claudia gémit sous la douleur, mais supplia :
—Oh ! Oui...Encore... !
— Tu es vraiment une petite pute... Tu aimes ça, hein, salope ? Dis que tu aimes ça !
— Ooh.
.. ! Oui ! Oui ! J'aime... Encore !
Elle était sa chienne, soumise. Sa voix tremblait d'excitation.
— Oh ! Chéri, j'aime que tu enfonces ton doigt dans mon cul, encore, s'il te plaît..
— Supplie moi !
— S'il te plaît, enfonce moi ton doigt !
— Mieux que ça, petite pute !
— Encule moi fort, remets moi ton doigt, baise moi le cul, je t'en supplie!
Et ce furent trois doigts, que Max enfonça sans ménagement, dans l'antre de la belle, qui poussa un long râle de douleur et de plaisir.
Fasciné par le spectacle que m'offraient la belle suppliciée et son bourreau, je bandais à en avoir mal.

Il me sembla, à ce moment, entendre Daphné m'appeler...aussi, sur la pointe des pieds, et à regret, je dois dire, je laissai les deux amants, à ce qui ne devaient être que de brûlants préliminaires.
Je contournai le muret et la trouvai l'air soucieux, assise sur les marches d'un seuil. Je caressai ses cheveux.
— Ah ! Tu es là... !
Elle se laissa aller, posant sa jolie tête contre ma jambe. Marie- Pierre et Françoise, qui se faisaient la tête, se regardaient en chien de faïence.
En chuchotant, je fis part à Daphné de la scène torride, à laquelle je venais d'assister. Elle se montra très intéressée. Et avec un sourire coquin :
— Oh, oh ! J'ai très envie de jouer la voyeuse...!

Je la pris par la main et la guidai. Nous nous installâmes derrière un muret de pierre sèches. Ma jolie Daphné, souriait, une lueur lubrique dans ses beaux yeux.
Il me paraissait impossible qu'ils ne nous aient pas vus, le sentiment de notre présence, ajoutant peut-être, un piment érotique supplémentaire à leurs ébats. Quoiqu'il en soit, ils ne firent aucun cas de nous.
Claudia était appuyée des deux mains au mur, cambrée, les reins creusés , jambes écartées, Max s'était accroupi derrière elle, et écartant des deux mains, les magnifiques lobes fessiers de la belle, fouaillait son anneau, de sa langue. Claudia gémissait, le suppliant de ne pas s'arrêter.

Après un long moment,Max se redressa , débouclant son ceinturon, il déboutonna son jeans et le baissa , produisant son vit en érection. Il en frappa les jolies fesses de Claudia.
— Retourne toi, petite salope...suce moi !

Il avait empoigné son chibre et le tendait en avant. La belle Claudia se retourna, et enfourna le gland violacé dans sa bouche avide, le suçant avec des bruits de gorge suggestifs. Max s'était emparé du nœud de son catogan et forçait avec des gestes brutaux, la jolie bouche sur son dard dressé. Elle le branlait à gestes lents, avec douceur et force, enserrant la hampe fermement, la serrant plus fortement en remontant. Je la voyais téter le gland, qui distendait ses lèvres. Elle commença ensuite de lents et doux mouvements de succion, Max soufflait et ahanait, la tension d'un plaisir grandissant s'emparant de lui. Il avait enserré le beau visage de ses mains, et le serrait de plus en plus fort, de manière convulsive. Les balancements qu'il imprimait à son bassin, se faisaient plus violents et plus désordonnés. Il se tendait, il montait, montait encore, se raidissait. Ses ahanements se faisaient plus furieux.
Il eut un long râle et éjacula, libérant sa semence, en emplissant la bouche ravie, de la belle Claudia, qui gémissait de lubricité
Daphné, excitée par le spectacle, me caressait le sexe à travers mon jeans. Elle me murmura :
— Eh, bien, mon salaud ! Il n'y a pas qu'à moi que ça fait de l'effet !
Elle se pencha vers moi et nous nous embrassâmes ...
— Touche moi...je suis trempée !
Je passai ma main sous la robe légère et écartai le string arachnéen, et posai mes doigts sur son joli petit con qui ruisselait de mouille.
— Mmm ! Je t'adore... tu es délicieuse, ma chérie !
— Reste... Oh ! Caresse moi … ! Caresse, moi encore … ! pendant que...
— C'était bien mon intention , ma belle !

Pendant ce temps Max s'adressait à Claudia.
— Aah... ! Salope ! Que tu me suces bien ! …J'aime te jouir dans la bouche, chienne ! Toi aussi, tu aimes ça.
.. Hein ? Dis le ! Dis le ! Salope !
— Oui, chéri ! Oh ! Oui !, j'aime ça…
— Suce moi, encore, chienne ! Continue ! Refais moi bander... Je vais te prendre le cul, maintenant.
Et la belle Claudia, se remit à sucer le vit de son amant, s'appliquant à lui redonner une nouvelle vigueur. Alors qu'elle geignait de plaisir lubrique tout en suçant et branlant Max, celui-ci avait repris ardeur et sortant brutalement sa queue de la jolie bouche, il retourna sa maîtresse et la fit se pencher et se cambrer et retroussant sa robe, il écarta ses fesses d'ivoire, restant un instant en contemplation devant la perfection mauve de son trou du cul. Il s'approcha de sa rosette offerte, écarta encore ses fesses, et y plongea sa bouche. Il l'embrassait furieusement, enfonçant sa langue dans son antre, l'y dardant à plusieurs reprises, il y déposa sa salive puis se redressa. Claudia feulait et gémissait de plaisir.
Daphné que je caressais et dont je masturbais doucement le petit bourgeon turgide, était totalement prise par l'érotisme de cette scène et son souffle court et haché, ses gémissements me disaient à quel point elle était excitée. Elle prit ma main et la posa sur ses fesses. Je l'entendis me chuchoter quelques mots, que je ne compris pas... Ç'aurait été dommage ! Elle m'ordonna, à nouveau:
— Fourre moi tes doigts dans le cul !
— Princesse, tes désirs sont des ordres et tu ne pouvais m'en donner de plus doux...
J'introduisis mon médius et mon annulaire joints, dans sa douce chatte, baignée de cyprine, puis les ressortis, tout aussi doucement, je les présentai à la tendre petite armille sur laquelle je poussai légèrement, en éprouvant la délicate souplesse, et les enfonçai lentement. Daphné, gémissante, attentive à son plaisir, me chuchota un « Ooh ! » plein de douce langueur et me supplia :
— Continue.. Je t'en supplie, encore... ! Encore... ! Dans ma chatte aussi... !
Obéissant à la douce injonction, je m'exécutai et alternant douceur et délicatesse, me mis à caresser, doigter, branler les plus beaux trésors qu'un homme puisse espérer posséder. Le baiser de sa bouche tendre et suppliante ne faisant qu'ajouter à mon émoi...

Pendant ce temps, Max qui s'était redressé, s'approcha de sa belle qui cambrait son magnifique fessier vers le mandrin dressé et, la tenant par la taille d'une main, il aboucha son gland turgescent à son anneau délicat. Nous pouvions entendre ses ahanements de contentement, pendant ces préparatifs.
Il lui saisit la taille des deux mains, et dans un râle, enfonça d'un coup, son chibre, jusqu'aux couilles. Cette pénétration violente, et soudaine, fit exploser en elle, un orgasme soudain, et intense. Elle restait empalée sur son mandrin, tétanisée et tremblante de jouissance. Il resta enfoncé dans son ventre . Claudia gémissait, tordue de volupté. La bouche ouverte, sur un souffle qu'elle cherchait, les yeux révulsés derrière ses paupières closes, elle râlait, et gémissait son plaisir.
— Oui, ma chérie! Oui...prends la bien dans ton joli cul, salope ! ...Oui, petite chienne … !
Il ressortit son chibre, et l'empoignant par les hanches, il l'y attira, à nouveau, pendant qu'il poussait, de toutes ses forces, sur celui-ci. Sa queue enfonça la mignonne rosette, la dilatant à l'extrême. La belle Claudia haletait sa douleur, et son plaisir, quand Max ressortit son mandrin, lentement, pour s'enfoncer à nouveau, plus fort encore, dans son étroit fourreau, puis, à nouveau, encore, et encore.
Tout en continuant à jouir de la scène qui s'offrait à nos yeux, je n'en continuai pas moins à m'occuper des doux trésors de ma belle la faisant gémir et râler d'une jouissance que je sentais monter...
— Oh... ! Encore... Continue... ! Oh... ! Je vais jouir... !

De son côté, Claudia, submergée par des vagues de jouissance qui la faisaient geindre de plaisir lubrique, se tendait, cambrée,vers le gourdin qui la fouaillait. Max éructait des mots crus, des insultes, dents serrées sur sa jouissance.
— Tiens, petite salope ! Prends-la, ma grosse queue. Ah ! T'aimes ça, hein ! T'aimes que je t'encule à fond, chienne ! Tiens, petite pute...! Tiens... !
— Ooh ! Oui … Chéri ...Vas y … ! Encule moi ! Oui... !
Elle accompagnait, maintenant, les mouvements du bassin de son amant, et enfonçait son fondement sur son chibre, allant au-devant des assauts qu'il lui infligeait. Les ondes de jouissance se succédaient, éclatant dans son ventre, la submergeant de volupté lascive et endiablée.
Claudia était affolé de plaisir lubrique, qu'elle manifestait par des râles, de plus en plus violents. Alors, il y eut un changement chez son amant, il eut un raidissement de tout son corps, les pénétrations se faisaient lentes, crispées, accompagnées de feulements rauques, de plus en plus prolongés.
A ce moment, il se retira presque entièrement, puis dans une étreinte brutale, il attira sa belle maîtresse à lui, l'enfonçant jusqu'aux couilles sur son mandrin avec un long râle . Il éjaculait, secoué de spasmes, déchargeant à longs jets, tout son sperme en elle.
Chaque jet de sperme, de son amant, provoquaient des ondes de jouissance chez la belle, qui la manifestait, par de longs et profonds gémissements.
Max qui finissait de jouir, retourna la belle Claudia et appuyant sur sa nuque, lui fit prendre en bouche, sa mentule, trempée de leur plaisir . La belle, avec un feulement lubrique, engloutit le mandrin, encore turgide, et se mit à le sucer avec avidité.

Ma jolie Daphné était toute excitée, mais sentait que la fin de la récréation allait bientôt être sifflée, j' abandonnai, bien malgré moi, ses adorables trésors, et discrètement, nous nous retirâmes, laissant les deux amants achever leurs ébats. Alors que nous tournions le coin de la construction, elle m'embrassa sauvagement. Ajoutant, après coup, avec son beau sourire coquin :
— Toi, tu n'es pas près d'être tranquille, ce soir !
J'éclatai de rire.
— En voilà une nouvelle, qu'elle est bonne !

A leur retour dans le groupe, Claudia m'adressa un long regard et un de ses beaux sourires...Je lui souris en retour, et lui envoyai un baiser.

Le chauffeur arriva, applaudi par les voyageurs. Nous reprîmes la route.

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