Une Panne Salutaire

Cette aventure m'est arrivée, il y a maintenant plus de deux ans mais c'est comme si elle m'était arrivée hier.

J'avais quitté Paris, tôt le matin, par l’autoroute de l'ouest, pour un rendez-vous professionnel en province. Après environ deux cents kilomètre, sortie d'autoroute, crevaison à l'entrée d’une petite ville. Satanées voitures modernes…
Changer une roue relève de l’exploit. Au bout de 10 minutes d'effort et d'énervement, j’étais couvert de transpiration, mes mains , ma chemise blanche, mon visage, étaient couverts de saletés ... et mon téléphone portable, tombé entre temps, hors d'usage !

Il me fallait donc pouvoir téléphoner pour demander du secours.

Ce n'est qu'à la troisième maison, à l’entrée du village, que j'obtins une réponse.

La porte s'ouvrit sur une blonde d'une quarantaine d'années, en peignoir de bain, les cheveux enroulés dans une serviette.

Emu par une telle vision, je bredouillais et demandais si je pouvais téléphoner pour appeler de l'aide.

La gente dame ne se fit pas prier, m'invita chaleureusement à entrer chez elle.

Elle me mena directement à la salle de bains afin que je puisse, avant tout, me laver les mains et le visage.

Un bain mousseux attendait mon hôtesse dans une superbe baignoire ronde.

Vu mon état, elle m’invita, avec un sourire qui en disait long, à m'y plonger, pendant qu'elle nettoierait ma chemise blanche souillée.

Je ne me fis point prier et me plongeais avec volupté dans ce bain plein de parfum.

Au bout de quelques minutes, alors que je me relaxais, les yeux fermés, la porte de la salle de bains s'ouvrit et mon hôtesse apporta une immense serviette de bain.

Je remarquais que son peignoir s’était entrouvert, laissant voir deux lourds seins aux auréoles ovales et aux tétons proéminents, un joli petit nombril agrémenté d'un piercing en anneau.

Il me tardait de découvrir son mont de venus, son pubis, sa fente, qui devaient être encore bien tentants.



Je lui fis remarquer qu'un frottement de mon dos me ferait le plus grand bien, après tant d'efforts sur la route.

Mon hôtesse ne se fit pas prier et vint coller son corps, ses seins en chaleur, contre mon dos.

J'en profitais pour ôter la ceinture de son peignoir, ouvrir ce dernier et me régaler du spectacle. Un triangle blond (c’était donc une vraie blonde), bien soigné, surplombait une superbe fente qu'encadraient deux voluptueuses lèvres entre ouvertes, qui laissaient voir une intimité toute rose foncée.

Je ne pus m'empêcher d'y glisser la main droite, d'abord un doigt, puis deux, à la recherche du clitoris.

L'excitation aidant, ce dernier devint très vite un petit sexe bien tentant

Le peignoir ne tarda pas à tomber devant la baignoire et mon hôtesse m'y rejoignit sans se faire prier

Le secret professionnel m'interdit de vous raconter la suite

Je vous laisse l'imaginer

Sachez que, ce jour-là, je ne suis jamais arrivé à mon rendez- vous ....

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