Collection Lesbiennes. La Servante (3/5)

Quand j’ai pris mon service dans cette famille parisienne de haut rang, Véronique la fille de la maison a voulu jouer les pétasses.
J’ai commencé par la mâter avant d’en faire ma petite maîtresse.
J’avais appris de ma prof de français à devenir une gentille petite gouine et j’ai transmis mon savoir à cette jeune fille douée pour les jeux du sexe entre filles.
Un grain de sable vient gripper notre mécanique bien huilée, sa mère s'est mise en tête de la marier à un garçon qui se dit amoureux.
La trentaine, beau gosse au moins il lui fera de beaux s, mais con comme un manche à balai.
Elle veut le repousser, je la persuade que si elle suit mon plan, nous pourrons rester unis.
Il lui suffisait d’attendre que sa mère se dévoile dans ses intentions pour jouer notre carte.

- Corinne, c’est fait, vient dans mes bras, mère m’a parlé et je l’ai rembarré.
Elle n’a pas été contente, j’ai bien vu que de me savoir baronne était son but principal.
- Embrasse-moi, je sais comme les choses se sont passées, tu as été parfaite, tu pourrais être comédienne.
- Tu étais là ?
- Très prêt, c’est l’apanage d’une bonne servante, de tout voir et de tout entendre pour devancer les envies de ses patrons et vivre une vie tranquille et harmonieuse.
- Comment je fais pour passer à la deuxième phase de notre plan et que j’accepte ce mariage qui m’emmerde ?
- Laisse-moi faire, je vais précipiter les choses, mais je t’interdis de prononcer des mots orduriers dans ta jolie bouche.
Tu mérites une fessée.

Nous sommes nues dans ma chambre, c’est une phase de notre amour qui a démarré il y a peu, la fessée.
C’est par un jeu que ça a commencé, ce jeu ayant dégénéré et je la prends fréquemment sur mes genoux pour lui rougir les fesses.
Un bon 69 pour me faire pardonner les claques vigoureuses qui affermissent ses fesses.
C’est le lendemain que je passe à la phase permettant à Véronique de devenir baronne dans le respect de notre amour.



- Madame Olive, puis-je vous importunez.
- Oui Corinne, vous êtes si discrète tout le temps et vous êtes si précieuse pour ma fille.
Depuis que je vous ai engagé et que vous aidez ma fille dans ses études, elle est devenue une perle à un détail près.
- Je sais de quoi il s’agit, je me permets de vous le dire, même si cela doit me coûter mon travail.
Je suis toujours très franche madame.
- Alors que me voulez-vous ?
- J’ai entendu votre conversation avec votre fille et le refus de repousser ce brave garçon qui pourtant serait un très beau parti pour elle.
- Je vous pardonne d’avoir écouté, mais il est vrai que je serais enchantée que ma fille devienne baronne.
- Je vais vous aider à la faire changer d’avis.
Ce soir, nous devons travailler ses mathématiques pour son bac blanc.
Demain ressayez, si j’arrive à lui faire entendre l’intérêt qu’elle aurait à épouser son baron, vous aurez atteint votre but.
- Merci Corinne, si vous y arrivez je vous en serais éternellement reconnaissante.

Je quitte Olive, j’ai envie de courir dans la chambre de Véronique pour lui dire que tout est prêt.
De toute façon elle le sait déjà.

- Alors, suis-je aussi bonne comédienne que toi, tu as vu comment ta mère a été contente que je l’aide ?
- Mon cœur, tu avais cent pour cent raison pour le titre de baronne.
« Je serais enchantée que ma fille devienne baronne. »
Avec sa bouche en cul-de-poule, elle était pathétique, derrière la porte du salon laissée judicieusement ouverte, j’ai failli éclater de rire.
Demain, c’est moi qui jouerais l’acte III de notre plan.

Comme prévu, c’est dimanche, père est parti faire son golf hebdomadaire, mais plus sûrement parti couché avec son amant, mère me parle devant ma tasse de café que j’ai réussi à imposer pour mon petit déjeuner.

- Ma fille avez-vous réfléchi à ce dont je vous ai parlé concernant une union avec Philibert de Montblanc !
- Mère, oui j’ai réfléchi et je ne savais pas comment vous dire que ma décision a changé.

- Je vous sens raisonnable, ma fille, vous acceptez cette union ?
- Oui, mère, mais à mes conditions.
- Croyez-vous qu’en amour dans notre milieu, on pose ses conditions ?
- En amour surement pas, mais dans notre milieu oui.
N’avez-vous pas posé les vôtres lorsque vous avez accepté d’épouser père ?
- C’était une autre époque et c’était d’autres mœurs.
- D’autres mœurs, alors si je vous disais que j’aime Corinne notre servante, ce seraient des mœurs de notre époque.
- Ne dites pas de bêtises ma fille, tout en vous respire la fille saine qui est faite pour er.
Parlez-moi de vos conditions ?
- Je veux que Philibert accepte que nous fassions chambre à part comme vous le faite avec père.
- Ça c’est facile, j’en parlerais à Édith la mère de Philibert.
C’est tout ?
- Il faudra que mon mari s’il veut m’honorer pour que je lui donne un héritier me le demande lors de nos repas et que j’accepte d’aller dans sa couche.
- C’est plus difficile, tu sais avec ton père quand il a envie de moi ou moi de lui, je le rejoins, il me rejoint, inutile d’aller plus loin, à ton âge tu dois savoir ce qu’un couple fait pour être heureux.
Mais là encore, je vais voir ce que je peux faire.
- J’ai une dernière exigence mère.

Une fois cette exigence donnée, je quitte mère pour retourner dans ma chambre, je sais qu’elle aussi va sortir soi-disant pour aller à la messe.
Depuis peu et grâce à Corinne, je sais qu’elle rejoint son amant dans sa garçonnière pour se faire sauter.
C’était mon plan B si elle avait refusé ce dernier point.

- Chérie, embrasse-moi et fiste-moi, ma chatte dégouline de plaisir à t’avoir entendu donner tes exigences à ta mère.

Elle me fist et je la fist nous faisant hurler de plaisir.
Quand ils rentrent à 13 heures après leur parti de trou du cul surtout pour monsieur Paul.
Quoi qu’Olive ma patronne se fait peut-être aussi enculer, je leur sers le repas du dimanche.

L’après-midi je suis libre, je vais au cinéma où Véronique m’a rejoint, ma main tenant sa main.

- Corinne, avez-vous cinq minutes ?
- J’ai encore du travail, mais pour vous oui.
- Je voulais vous remercier pour avoir réussi à faire changer ma fille d’opinion sur le baron Philibert et leur union.
Elle m’a formulé des conditions que j'aille voir avec la maman du fiancé.
Mais ça ne vous regarde pas.
Par compte, elle m’a formulé une dernière exigence qui vous touche donc je veux votre avis.
- Je vous écoute !
- Elle souhaiterait que vous soyez à son service dans sa nouvelle vie.
Je m’explique mal, ce poste rémunéré par son mari bien sûr serait un poste de dame de compagnie.
Entre parenthèses, un magnifique hôtel particulier dans le 16ème fraîchement construit.
Je l’ai visité vous y aurez tout un étage avec votre propre indépendance.
Cent fois mieux que la mansarde que vous habitez actuellement.
- Vous permettez que je prenne deux jours de réflexion, je dois demander à mon fiancé s’il est d’accord que je change de travail et que je m’éloigne de lui ?
- Vous êtes fiancé, je l’ignorais que fait-il ?
- Il est pizzaïolo dans un restaurant près de la gare de Lyon.
- Vous vous voyez peu ?
- Les dimanches après-midi seulement dans son studio, nous économisons et dans cinq ans nous comptons nous marier.
Il veut reprendre un restaurant près d’Orléans tenu par un cuisinier qui veut prendre sa retraite.
- Je vois que vous avez programmé votre vie.
Mais réfléchissez cette place de dame de compagnie vous rapportera deux fois plus que ce que je vous paye.

Je quitte Olive, en moi-même j’adore donner le nom de cette pétasse qui a la chance d’avoir mis au monde mon petit bouchon.

- Salope, viens là que je t’écharpe pour me tromper avec un pizzaïolo les dimanches après-midi.
- Dans un cinéma avec toi mon amour.


Nos chattes ruissellent de jouissance quand nos corps roulent sur mon lit qui par chance est un double places bien qu’une suffirait tellement nous sommes serrées l’une dans l’autre.
Si les draps de mes patrons sont secs de toute trace d’amour et surtout de sexe, les miens sont gorgés de la cyprine qui coule de nos corps toute la nuit.
Mariage, oui, mariage, que je vais préparer avec Véronique soyez-en sur…

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