Collection Lesbiennes. La Servante (5/5)

- Bonjour Philibert quelle nuit tu as fait passer à ton épouse.
Elle vient de se retirer dans sa chambre.
Ta mère m’avait donné les consignes pour que je prépare ton petit déjeuner.
Elle m’a dit que tu le prenais au lit tous les matins.
Cacao, tartine beurrée et jus d’orange.
Lève-toi que je change les draps avant de déjeuner !
- Pourquoi voulez-vous changer mes draps ?
- À cause laissé par ta femme et du sperme qui s’est échappé de ton sexe et du sexe de ta femme.
Si je peux te donner mon sentiment, tu l’as prise plusieurs fois sauvagement, j’ai entendu ses cris de plaisir trois fois à intervalles réguliers.
Je suis venue la dernière fois, j’ai été obligé de la soutenir pour la conduire prendre un bain et dormir pour récupérer dans son lit.
En ce moment elle se repose.
J’ai de l’expérience avec mon fiancé, tu es un sacré coup, ta femme a de la chance de t’avoir épousé.
- Je ne me souviens de rien ?
- Tu avais un peu bu à la réception, j’ai connu un gars qui comme toi, lorsqu’il baisait avait son cerveau qui dysfonctionnait.
Une fois, il est resté lucide il a été dans l’impossibilité de bander.
- C’est pour ça que mon sexe me fait mal, dommage de ne pas m’en souvenir mais si ma femme a été satisfaite et que je lui ai peut-être fait un bébé je suis content.
Je vais le dire à maman elle m’a promis de passer en fin de matinée.
- Tu sais Philibert, tu es marié maintenant coupe le cordon avec ta maman.
Inutile de lui donner tous les détails.
C’est à Véronique de lui dire quel mâle tu es et qu’elle espère attendre un de toi.

Je suis contente, il m’aide sans le vouloir car son sexe que j’ai pompé lui fait mal.
La vie va pouvoir s’engager en parfaite harmonie.

Ça fait bientôt six mois que Philibert a épousé Véronique.
Notre couple n’a jamais aussi bien marché, nous sommes deux lesbiennes qui se cachent mais qui sont heureuses.


Je pimente nos jeux avec des sextoys, des plugs que je l’oblige à mettre dans son cul surtout quand elle va chez belle-maman.
Nous aimons nous fister, prenant chaque fois un très grand plaisir.
Les godes sont cachés dans ma chambre, jamais ils ne descendent à l’étage inférieur.
Agathe la bonne a pris Philibert en sympathie, il semble qu’il soit aussi simplet qu’un fils qu’elle a perdu.
Mais comme elle nettoie la chambre de madame Véronique comme elle l’appelle, inutile qu’elle se pose des questions sur, par exemple, notre gode ceinture.
Nous en avons un gros de couleur noire, nous l’aimons énormément surtout quand nous le mettons dans le harnais pour en faire lui aussi une ceinture.

La banque de beau-papa nous fournissant une vie rêvée.
Un seul point noir, pas de naissance en vue.
On comprend pourquoi !
Le seul sexe mâle entré en elle comme en moi et qui nous envoie du lait chaud, c’est le gode à pompe intégré que nous venons de choisir ensemble.

Pourtant de temps en temps Véronique réclame le sexe de son mari que je pompe avec mon vagin artificiel.
Tous les jours je leur sers leur tisane, ou dans sa tasse je mets ce qu’il faut pour qu’il passe une nuit paisible.
J’augmente la dose chaque fois qu’il veut la baiser et quand il se réveil comme lors de sa nuit de noces.
Il n’a jamais parlé de ce soi-disant phénomène à Germaine sa mère car elle le couve de moins en moins.
Il se réveille sans aucun souvenir mais sa queue lui faisant mal, tout est parfait dans le meilleur des mondes.
Je n’oublie pas de tapisser son lit de sperme allant même jusqu’à en badigeonner sur la chatte de mon amante.
Après l’usage des godes, j’ai un moment pensé à ce que ma maîtresse baise normalement avec lui, mais j’ai un petit défaut, je suis jalouse presque maladivement.

Comme je l’ai dit ça fait six mois que nous faisons ce petit jeu, du chat et de la souris avec Philibert et sa mère.

Passons à la phase II.

- Véronique, prends rendez-vous chez ton gynéco pour qu’il t’examine.
- Je vais bien Corinne, la vie est parfaite pour nous.
- Oui, mais Germaine risque de trouver bizarre que tu ne sois pas encore enceinte, voilà ce que nous allons faire.

Je suis avec elle chez sa gynécologue.
Elle me présente comme sa dame de compagnie à qui elle ne cache rien.
C’est comme ça que lorsqu’elle a les jambes dans les étriers je suis à deux doigts d’aller lui brouter la chatte.
Il faut que j’achète une table de ce genre pour mettre dans ma chambre, son sexe est ouvert dès qu’elle y met l’écarteur.
Ma main connaissait ce que je vois pour la première fois au point que j’en mouille ma petite culotte.

- Madame, de votre côté tout va bien, vous êtes faite pour er.
- C’est très bien docteur, pouvez-vous faire un certificat à mon amie, comme vous le voyez elle est mariée à un garçon de bonne famille et sa belle-mère pourrait croire malgré tous ses efforts que c’est elle qui a un problème.
- Je vous comprends, si vous faites l’amour régulièrement sans la moindre précaution, c’est peut-être lui qui a un problème avec ses spermatozoïdes.
Il faudrait qu’il consulte.

Quand nous sortons nous prenons un taxi, j’ai dans mes mains le précieux sésame qui va me servir rapidement.
Ce qui est sur quand la doctoresse a parlé des spermatozoïdes de Philibert, il serait difficile que le lait que j’injecte à Véronique avec notre olisbos l’engrosse.
Je suis tellement heureuse que je m’approche d’elle et que ma main s’égare sous sa jupe.
De retour, je demande un rendez-vous à Germaine qui me reçoit.

- Madame, excusez le dérangement mais il y a un problème dans le couple de votre fils.
- Je m’en rends compte, je n’aurais jamais dû accepter qu’elle choisisse les moments où il peut lui faire l’amour.
- Je vous comprends, mais là n’est pas le problème.

Votre fils est une force de la nature côté sexuel.
Il m’arrive d’entendre leurs ébats et il ne ménage pas leur peine l’un et l’autre.
Votre belle-fille s’inquiétant de son non-ement a été voire une spécialiste.
Voilà le certificat de son côté tout va bien, voyez !
- Inutile, je me suis inquiétée moi aussi, je viens de recevoir les résultats des examens de Philibert.
Rien n’empêche mon fils de me donner des petits s.
- Il reste une solution madame.
- Je le conçois et j’allais en parler à ma belle-fille après qu’on lui eut fait des examens.
- La PMA.
- Oui, elle est ouverte aux couples mariés ayant un problème.
- Si Véronique ma belle-fille est d’accord, je peux leur donner un spécialiste de cette technique qui sera enchanté de leur apporter toute sa technique.

De la façon que belle-maman a de parler du docteur Georges que le couple va consulter dans les jours suivants, je suppute qu’il doit de temps en temps visiter la partie inférieure de son corps faisant par là même, cocu le mari et l’amant.
Je suis tellement sereine les choses s’emboîtant mieux que je ne le pensais l’ement de Véronique, je me paye le luxe d’entrer chez Fauchon me payer des gâteaux au chocolat dont je raffole.
Bien sûr de retour chez nous, c’est dans ma chambre que je monte avec Véronique.
Philibert est à la banque.
Je la couvre de chocolat elle aussi.
Comme pour le sperme et le sang du premier soir, je dois nettoyer mes draps mais je sais faire, je ne suis pas bonne pour rien.

- Madame, c’est un fils.
- Madame c’est une fille.

Ces deux phrases sont prononcées à intervalles d’une semaine dans la même clinique, la meilleure de Paris.
La première par Véronique, je suis là un peu dans l’ombre avec Germaine qui est angoissée.
Nous lui avons caché le sexe de l’, un mâle dans toute sa splendeur.
Je le sais à la deuxième échographie que nous avons passée ensemble.

Huit jours d’écart car j’ai pompé Philibert un soir avec l’accord de Véronique et le lendemain nous nous présentions en Belgique où nous avions pris un rendez-vous avec la fiole du donneur anonyme.
Dès la première fois pour elle et aussi pour moi, l’envie d’ que j’avais nos turpitudes avec Philibert m’a permis d’avoir du sperme à moindre frais.

Un garçon pour lui et sa mère la rendant gaga.
Une fille pour moi nous rendant gagas Véronique et moi.
Nous sommes conscientes que dans quelques années nous serons obligés de dévoiler à nos s que le sexe de l’autre n’est pas un terrain de jeu afin d’éviter que le frère n’engrosse sa sœur.
Pour Germaine et Philibert, le père de ma fille est le pizzaïolo qui apprenant mon état ma lâchement quitté pour aller à Toulon sur le port faire cuire des pizzas.

Nous attendons la dernière phase de notre histoire peut longtemps.

- Véronique, ne demande plus à ton mari de partie de jambes en l’air.
- Pourquoi ?
- Je sais qu’il a pris une maîtresse.
- Qui ?
- Sa secrétaire, j’avais des doutes vu l’heure de plus en plus tard où il rentrait sous couvert de beaucoup de travail avec son père à la banque.
C’est toujours le même processus chez ces nantis, Philibert n’échappe pas à la règle.
Je l’ai vu entrer avec elle dans l’hôtel voisin.
Tu verras que dans quelque temps il l’installera dans ses meubles.
- Ce qui est marrant, c’est qu’elle il doit la baiser en se souvenant de ce qu’il fait.
- Doublement que j’ai arrêté les calmants dans sa tisane.

Voilà, nous pouvons vivre heureuses avec nos s respectifs.
Surtout que dans quelques jours Véronique va devenir baronne.
Nous venons d’apprendre que belle-maman a un gros problème devenu irréversible aux seins.
C’est le médecin qui nous a fait sa PMA qui a découvert des ganglions.
Inutile de chercher comment il les a sentis, il devait bien caresser les seins de belle-maman.
Il me reste un rêve secret, mais je ne ferais rien pour l’atteindre.
Philibert nous quitte, attention les deux pieds devant et j’épouse Véronique afin de vivre une vie harmonieuse ensemble.

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