Souvenirs D'Une Productrice De Films X (2)

Georges me fait le signal pour débuter mon speech. Je fais de mon mieux pour m’appliquer, n’allant pas trop vite. Au bout de quelques minutes, on me demande d’écarter un peu les cuisses afin que l’on aperçoive ma petite culotte blanche (la caméra vient faire un premier tour sous la table). Je distingue bientôt quelques attouchements discrets dans la salle : les garçons attaquent les premiers l’entrejambe de leurs voisines, lesquelles en font bientôt de même à leur endroit. Cela commence à m’émoustiller et, tout en restant concentrée sur mes lignes, j’écarte un peu plus les cuisses machinalement.
Arrivée à la page 5, je perçois plusieurs petites culottes tombées aux chevilles et quelques sexes en érection sortis de leurs braguettes. Profitant du trouble, un jeune vient s’asseoir sur l’estrade au pied de ma table. Il s’en prend bientôt à mes jambes, qu’il caresse doucement jusqu’aux genoux, redescend et ainsi de suite. Puis il fait de même avec mes cuisses, m’invitant à les écarter plus encore. Lorsqu’il atteint mon entrejambe, un spasme m’envahit et me fait un peu dérailler.
Pendant qu’il presse mon sexe au travers de l’étoffe déjà moite, toutes les filles ont sorti les membres de leurs voisins et les branlent frénétiquement. Le type sous la table m’invite à me soulever afin de faire tomber ma petite culotte sous l’œil expert du caméscope. Je sens par ailleurs des mains derrière moi se poser sur mes hanches et chercher à ouvrir ma jupe, ce qu’elles réussissent à faire rapidement. Je continue donc à professer presque l’air de rien, la chatte à l’air. Des doigts puis bientôt une bouche et une langue me fouillent, m’écartent le sexe pendant que l’on déboutonne ma chemise en me pressant les seins. J’ondule de la croupe mais essaie toujours de garder le contrôle. Une jeune fille du premier rang lâche les deux sexes qu’elle a en main pour venir prendre le relais du gars sous la table, lequel place les poufs à côté de moi en gradins ; la langue de la fille est beaucoup plus douce et il me faut vraiment faire attention pour ne pas m’abandonner à elle.


Ma diction commence à s’en ressentir nettement et je n’en suis qu’à la page 8. Les deux jeunes délaissés du premier rang, vêtus d’un simple slip, montent alors sur les poufs jusqu’à ma hauteur. Je sens la protubérance et l’odeur de leur slip se rapprocher pendant que l’on retire ma chemise. À la page 9 de mon docte discours, me voici juste en soutif, une fille me léchant l’entrejambe, deux mains me palpant les seins, deux bosses de tissu me frôlant le visage, le tout avec une vue imprenable sur des dizaines de queues à la verticale en train de se faire astiquer ! Les deux gars à mes côtés me prennent chacun une main pour la guider jusqu’aux bosses en question et se caresser avec. Ils me laissent faire ensuite toute seule, ce qui perturbe encore plus ma lecture, l’estimation en aveugle (ou presque) de leurs dimensions me troublant réellement. À la page 10, n’y tenant plus, j’abaisse leurs slips l’un après l’autre : leurs sexes bandés jaillissent, tapant mes épaules au passage.
Contrairement aux idées reçues, les Japonais ont des sexes tout à fait comparables à la moyenne des Français ; ils sont juste un peu plus épais, à peine moins longs et surtout très peu épilés. Je m’applique à les masturber lentement jusqu’au moment où je décide de frotter l’ensemble contre mes joues et d’enrouler ma langue autour de leurs glands, furtivement pour ne pas trop couper le « discours ». C’est alors que les mains qui me malaxaient les seins dégrafent mon soutif, enlèvent ma pince à cheveux puis descendent à hauteur de mes fesses. Je sens qu’elles m’invitent à me lever de ma chaise, laquelle est tout de suite retirée. Les mêmes mains me malaxent et m’écartent maintenant les fesses, tout en me forçant à me pencher un peu vers l’avant. Un sexe chaud se présente à l’entrée de mon vagin et me pénètre sans ménagement. Les premières secousses me font lâcher quelques mots en criant mais je me concentre de nouveau sur mon texte. Au comble de l’excitation, je prends le sexe de gauche profondément en bouche puis passe à l’autre et ainsi de suite.
Cela se traduit par des « hummmm….mmmm ! » coupant les phrases et provoquant l’hilarité générale. Mes seins se balancent de plus en plus fortement sous les coups de reins de mon partenaire, ce qui saccade totalement ma diction.
Un des deux gars reprend son sexe en main pour se branler et m’envoie une première giclée de sperme au fond de la gorge et deux ou trois autres épaisses sur le visage. Il m’invite à le reprendre en bouche et, une fois tout propre, retourne dans l’assistance. L’autre décharge à son tour plusieurs jets gluants sur mon front et mes cheveux, lesquels dégoulinent sur mon nez et mes joues. Deux autres gars arrivent, se masturbent et éjaculent encore l’un après l’autre sur mes cheveux, le long desquels ils s’appliquent à bien briquer leur engin. Les deux suivants me forcent à avaler tout leur foutre. Obligée ainsi d’avaler chaque fois une bonne quantité de semence visqueuse, je ne reprends mon discours qu’après un petit moment de récupération. Mes feuilles sont totalement maculées et je dois presque improviser certains mots rendus illisibles. Mon partenaire de derrière se retire et jouit à son tour sur mes fesses et mon dos. Il est aussitôt remplacé par un autre qui me pénètre à son tour.
À la page 25, j’ai reçu sur le visage ou avalé le sperme d’au moins seize types, trois ou quatre ayant également joui en moi. Il en reste encore à peu près autant dans la salle en train de se faire branler. Changement de programme : ils arrivent maintenant par deux, je vais être arrosée en stéréo ! Mon partenaire de derrière, retiré, me force à me baisser encore un peu. Je sens son sexe cogner à mon anus : je vais être enculée. Son va-et-vient en moi atteint rapidement une vitesse de croisière, glissant délicieusement jusqu’au fond de ma cavité. Aussi ai-je le plus grand mal à lire mes feuilles, d’autant que je ne puis retenir ma jouissance en plusieurs occasions. Je reçois ensuite le même traitement de la part de cinq ou six Japonais, sans compter ceux qui jutent sur mon visage.
Finalement, les deux derniers rangs de l’assistance me réservent l’apothéose : ils déchargent sur moi par quatre, deux me crachant leur foutre dans la bouche et deux autres sur le front et les cheveux : cela dure comme ça plus d’une demi-heure à essayer d’ingurgiter ce que je peux, mes feuilles étant totalement détrempées et une flaque de sperme gisant à mes pieds.

Inoubliable et pire que crade : inimaginable…

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