Souvenirs De Jeunesse (Partie 2)

Célia était, si ce n’est a été, la meilleure amie de Virginie. Les deux filles se connaissaient depuis le lycée et avait fait toute leur scolarité ensemble. Le jour des résultats du bac, c’était une fête. Virginie était en liesse. Célia aussi mais un peu moins.

On ne connaissait de Célia durant tout ce temps-là, aucun homme, aucun garçon dans sa vie qui aurait pu lui tourner la tête. Virginie ne savait rien d’elle a ce sujet et jamais Célia ne montra une quelconque attirance pour aucun homme pas même pour Bob qui pourtant ce jour venait de se faire sucer par la coquine copine de sa chérie.

Sur le lit, Célia, Bob et Virginie formait un trio. On aurait pu croire que Bob allait se farcir les deux filles en même temps, pénétrant l’une, puis l’autre. Il n’en fut rien pourtant. Célia se refusa de se faire pénétrer par Bob. Les deux belles princesses étaient l’une en face de l’autre et suçait la queue de l’heureux élu et c’est tout.

Soudain, Virginie prit les choses en main et devant le manque d’entrain de Célia se décida de bien faire jouir Bob dans sa bouche. Elle demanda à Célia si cela la gênait ce que la belle aux cheveux d’or répondit par la négative. La belle regardait ma chérie faire ; moi, je n’avais pas mon mot à dire : je laissais faire, en regardant Célia de temps en temps en lui disant du regard : « Hé ! c’est elle qui décide ! » en lui parlant de Virginie.


Virginie s’appliqua à me sucer tout en regardant la télé. Nous étions encore tous les trois sur le lit de sa mère, dans cette chambre où ma chérie se fera partouzer quelque mois plus tard. Célia regarda Virginie faire en se mordant les lèvres comme une envie soudaine de la rejoindre. La belle rejoignit effectivement ma chérie et s’appliqua à me sucer. Les deux belles prirent mon chibre en bouche l’une après l’autre. Célia le donna à Virginie et inversement, l’une après l’autre. J’étais aux anges devant ce spectacle merveilleux.

J’eus l’impression que cela eut duré une éternité mais en vrai cela dura moins de temps que le film que nous étions en train de voir. Finalement, j’eus joui dans la bouche de ma dulcinée qui déglutina tendrement avant de venir m’embrasser sur la bouche comme pour me remercier de ma gentillesse. Tu parles ! c’est moi qui aurais dû la remercier !

Célia regarda Virginie faire, un peu triste. Il y avait dans les yeux de Célia un mélange d’excitation et de désarroi. La belle était difficile à comprendre mais je sus pourquoi très vite après : Célia n’a jamais eu d’homme dans sa vie. Pire, j’étais le premier à qui elle offrit cette caresse. Plus tard, elle me dit qu’elle ne le fit pas pour moi mais pour Virginie. Virginie était la seule vraie grande amie de Célia. La belle aurait tout fait pour elle. Bref, Célia aimait Virginie et Virginie le savait.

On pourrait se demander comment les deux filles ont fait pour tenir jusque-là cette relation secrète inavouée de la part de Célia jusqu’à ce jour. Célia avait le don de la résilience : sa copine préférait naturellement les hommes ; elle avait choisi Bob ; c’était ainsi. La belle se consolait en se disant qu’après tout, qu’elle était la meilleure amie de Virginie et cela était vrai, avant même que Virginie ne fit la connaissance de Bob et après aussi.

J’ai plusieurs fois revu Célia. Elle vit aujourd’hui près de chez nous, dans une petite maison seule avec ses animaux. Virginie et elle se rencontrent de temps à autre mais jamais il n’a été question de nouvelles aventures entres elles et moi tous les trois, ensemble. Un jour peut-être, qui sait. Toujours est-il, Célia est une femme formidable, qui suce plutôt pas mal, même si je trouve que ma chérie est davantage experte. Célia, si tu me lis je te salue gracieusement. A bientôt.

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