Suzanne 2

SUZANNE 2

Deuxième visite chez Suzanne. C’est 18h30, il fait déjà nuit. Comme prévu, je sonne à l’entrée du petit immeuble et je monte au dernier message après qu’elle m’ait ouvert la porte depuis chez elle.
Je connais la consigne, lire les consignes sur le petit papier sur le paillasson, et ensuite entrer. L’appart est ouvert.
Surprise, il y a bien la feuille de consignes, mais il n’y a qu’un dessin. Une sorte de pagne, comme sur les vieux dessins égyptiens.
Et sous le paillasson ? Ah, voilà, j’ai trouvé. Un pagne comme sur le dessin, en tissu très fin très léger, comme du papier essuie-tout.
Exécution, me voici à poil, avec juste ce cache-fesses en papier, et rien d’autre! Sur le palier, avec une ampoule qui s’allume au moindre mouvement. Pourvu que personne ne passe. Brrr, il fait froid.
J’ouvre rapidement. Personne. Tout est noir. « Entre, polisson. »
Je l’entrevois, devant la fenêtre.
« Viens ici, approche » Sans attendre, et sans câlins, elle att ma bite et tâte mes couilles. Comme on peut s’y attendre je suis loin de bander. Mais je sens que ça ne va pas durer.
- Hmmm tu as l’air en forme.
- Je ferai tout mon possible.
- Soif ?
- Oui, je veux bien. Et elle me tend une boisson sucrée, ainsi que des biscuits..
- Avale tout, tu en auras besoin. Aujourd’hui, tu vas te laisser faire. Tu auras droit à la table de massage.
- Hmmm.
- Ne te réjouis pas, elle est un peu spéciale. Monte sur la table.
Comme je suis sur le dos, elle ne peut s’empêcher de m’étirer la bite et de tirer sur les couilles.
- Tu aimes ça, cochon ?
- Hmmmm oui Madame.
- A plat ventre.. Exécution.
- Déjà ?
- Oui, ne perds pas de temps.
En quelques minutes, me voici disposé à sa guise. Je suis à plat ventre. Les jambes légèrement écartées. Les chevilles attachées aux pieds de la table avec des petites sangles à boucle.

Les avant-bras idem. Et une sangle en velcro à l’arrière du cou. Je suis bloqué sur cette table. A sa merci.
- Pour bien faire, je devrai te bâillonner. Je verrai ça plus tard
J’ai toujours mon pagne, mais je sens bien qu’il va bientôt finir à la corbeille. A moins qu’il ne serve de bâillon, elle en serait bien capable la salope !
Elle s’installe et me masse le dos, les épaules, le dos, les épaules, le bas du dos, la raie du cul … La cochonne ! De nouveau la raie du cul, et un pincement du périnée. Pour sûr ça va me faire bander, ce truc, et je suis là depuis moins d’un quart d’heure. Elle extrait d’une boite une sorte de suppositoire brillant, avec un petit fil qui dépasse, pour ressortir la chose j’imagine.. De l’acier, sans doute. Je comprends où elle veut en venir. C’est plus long qu’un suppo, 7 ou 8 cm; la tête comme une olive. Et à côté, une sorte de pilon.
- Non, pas ça, pas dans le cul, je veux pas.
- Suce-le avant, ça rentrera mieux.
Pas le temps de dire non. Je suis bien obligé d’obéir. En trente secondes, me voilà avec la chose dans l’anus. Et la voilà qui l’enfonce avec le pilon. Pour le coup, ça fait mal mais, vu l’endroit où ça va – tout près de la prostate – je me mets à bander comme un malheureux, la bite coincée entre mon ventre et la table.
- Massage de la prostate ; tu aimes ?
- Oui, mais j’ai mal
- Ce n’est pas fini, tu vas voir.
En fait je m’étais trompé sur le rôle du petit fil. Ce n’est pas du tout pour extraire l’objet de mon fondement ; c’est une sorte d’antenne. Avec une télécommande, elle met la chose en mouvement dans mon rectum. Ma prostate va exploser, j’en peux plus ; ma bite est toujours écrasée sous mon ventre et je ne peux pas bouger.
- Tu bandes ?
- Je voudrais bien.
- OK. Transformation.
Elle passe la main sous la table et s’empare d’une tirette qui laisse apparaître une sorte de trappe que j’évalue à 12 cm. Juste à hauteur du sexe. Et hop ! voilà que ma bite et mes couilles disparaissent là dedans.

- Table de traite, maintenant, dit-elle en riant. Tu te sens mieux ?
- Hmmm oui, un peu mieux.
Et le suppo qui continue à bouger, je sens qu’elle a mis plus fort la salope !
- Ton record, c’est combien ?
- Mon record ?
- Oui. Combien de fois ? Combien de temps ?
- J’ai pas noté. Je dirais quatre fois, et dix minutes à chaque fois, un peu plus pour le dernier coup. En additionnant tout, une heure.
- Et … d’un seul tenant, les éjaxc ? ou avec des pauses ?
- Avec des repos. Pas possible autrement.
- Ah, tu crois ça, eh bien on va rire un peu.
- Rire ?
- On verra. Au fait, je ne sais pas si je t’ai dit, je fais aussi de l’acupuncture. Regarde ! , me dit-elle en me montrant un coffret plein d’aiguilles.
Pas le temps de dire ouf, elle m’enfonce ses ustensiles dans les fesses. Je dois reconnaître que ça ne fait pas mal. Au contraire, ça chauffe un peu.
- N’en mets pas dans les couilles, je supporterais pas.
- Ne bouge pas
- Comme si je pouvais bouger ; impossible.
- Je vais t’en mettre une au périnée, c’est important. Mais je te préviens, j’ai beau m’appliquer, il arrive que ça fasse mal. Très mal. C’est beaucoup plus sensible que la peau de ton cul.
Je sens qu’elle vise, qu’elle s’applique, et … Hurlements de sauvage. Pour faire mal ça fait mal. Du coup j’ai droit au bâillon. Je m’en doutais, le pagne entre les dents, et un scotch large par-dessus. Quant à mon matos, c’est terrible. J’ai une olive en acier dans le cul, électrifiée, une longue aiguille dans le périnée, et sept ou huit autres, plus courtes, dans les fesses. Ma bite et mes couilles me semblent anesthésiées. Grave erreur ; je sens qu’elle passe ses mains, et sa bouche ; j’ai une érection XXXL.
Et c’est parti pour une séance de branlette. Elle y va avec la main, avec des gants de soie ; c’est génial. Elle y va aussi avec sa bouche et décalotte à fond ; j’adore. Et il lui arrive de me tripoter les couilles, ça c’est super, à condition de pas toucher la longue aiguille.

Je lui jouis dans la main. Hmmm
Alors, sans attendre, elle m’enduit la bite de sperme et me suce goulument, et m’empêche de débander. Incroyable, j’y arrive, et j’y mets une deuxième giclée au fond de la gorge.
Elle sait y faire la salope, elle a de l’expérience ; voilà qu’elle se met à me branler à nouveau comme une dingue et j’envoie la sauce une troisième fois. Mais, problème, ça commence à faire mal. Elle va s’arrêter ? Non, hélas, il faut que je tienne. Et l’olive dans le cul qui n’arrête pas son mouvement.
Quatre, J’en peux plus j’ai mal partout. Ouf, elle a pitié, je crois. Elle enlève les aiguilles des fesses, celle du périnée, l’olive anale, et le bâillon. Nu comme un ver. Elle me détache.
- Tu as tenu une heure, et quatre branlettes. Sans pause ; pas mal. Peut mieux faire …
- Mieux que quatre ? Mais vous allez m’assécher. Me tarir complètement.
- Bon, Ce sera quand même dans le livre d’or. A la douche maintenant, je viens avec toi. Tu me caresseras .
- Oui, chérie.
- Fais moi jouir, j’en meurs d’envie ; doigte moi, caresse bien mon clito, mets moi un doigt au cul. Mords moi les nénés, doucement.
- Hmmm
- Tu re-bandes, mon cochon ?
- Ben, heu, tu vois bien.
- Enfile moi ta bite. Je sui sûre que tu vas être bon, et longtemps.
Pour le coup, on a baisé vingt bonnes minutes. Elle s’est embrochée sur mon sexe debout sous la douche, et ça s’est terminé par terre, dans des draps de bain. Et elle a couiné comme jamais. Quant à moi, essoré. HS.
- Ce sera inscrit dans le livre d’or. Je vois déjà le titre : Quatre + Un ! OK ?
- OK.
- A vendredi prochain, même endroit même heure, il y aura une surprise. Surveille bien ta messagerie dans la semaine.
- OK. A la semaine prochaine, peut-être.

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