Suzanne 4


Combien de temps vont-elles me laisser là ? Couché par terre, dans cette sorte de grand panier, les chevilles liées entre elles, et les poignets de même, à poil, et avec ce piercing au scrotum qui me fait un peu mal malgré tous les trucs qu’elles ont mis pour cicatriser rapidement et m’anesthésier.

Elles sont encore en train de se faire des trucs, en 6 9 à l’évidence. Et, comme j’ai pu m’en apercevoir elles sont « fontaines » toutes les deux. Et c’est quand elles ont un doigt dans le cul que ça gicle le mieux. Elles sont insatiables, de vraies mythos. Jamais je n’aurais cru ça de ces deux femmes mûres. Bien mûres, même.

Ah, voilà que ça bouge. La Suzanne semble vouloir s’occuper de moi.
- Mon pauvre chéri, voyons ce piercing. Hmmm il est bien ouvert. Je vais te mettre mon anneau comme prévu. Tu cicatriseras plus tard.
Ce faisant, je la vois fouiller dans une sorte d’écrin. Elle en ressort un objet bizarre.
- Mais ce n’est pas un anneau comme prévu.
- Non, c’est bien mieux. Une boucle à couilles. Un « huit », en inox, regarde bien.
Je vois, en effet, un truc en métal poli en forme de huit. Je crains de comprendre. La première boucle du huit est ouverte ; c’est sûr, c’est là qu’elle va m’accrocher. Pas le temps d’y réfléchir longtemps ; le bidule est fixé à mes bourses ; enfin, dessous, au scrotum comme disent les livres d’anatomie, juste avant le périnée.
- Ginette, tiens lui bien la bite ; je vais sertir tout ça.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, l’anneau est fermé et serti. Un travail d’orfèvre..
- Te voilà équipé, maintenant.
- Pour longtemps, je le crains.
- Pour longtemps ? Non, pour toujours ! Impossible de l’enlever.
- Je sens que vous allez m’humilier souvent
- , la Suzanne a pris soin de défaire les deux boutons. Sauf celui du haut.
- Tu es venu pour ça, rappelle toi. Mais il y aura les jours S et les jours M.

On verra. C’est le sort qui décidera, mais parfois il arrivera que j’aide le sort à décider. Pour aujourd’hui ce n’est pas encore décidé. Mais la soirée n’est pas finie.
- Oui, je sais, mais ça me fait mal ce truc, que tu as pendu à ma queue.
- Nous on s’en fout. Tu t’y feras.
- Et j’ai faim.
- On n’a pas mangé nous non plus. Ginette, mets la table.

Les entrées sont vite expédiées. J’ai oublié de dire, Ginette a un mini tablier de bonniche, c’est tout ; autant dire qu’elle est à poil. Suzanne a un très porte jarretelle sexy gainant (c’est elle qui le dit) et des bas résille, ce qui ne cache pas grand chose ; au contraire. Et moi, un simple shorty en satin noir qu’on m’a passé au dernier moment, sans doute un bas de pyjama, dont la Suzanne a pris soin de défaire les deux boutons. Sauf celui du haut. Heureusement que le chauffage est à fond.

En tout cas, ma bite est cachée. Enfin, pas vraiment cachée car avec les deux nanas presque nues qui se baladent et se tripotent sans arrêt, je commence à bander.

Ginette fait le service.

- Arrête de regarder ses nichons, petit polisson. Ce sera pour tout à l’heure ; si je veux. Regarde plutôt les miens, dit-elle en se tripotant les tétins, la cochonne.

Ce faisant, et comme elle est juste en face de moi, je sens son pied s’approcher de ma bite, sous la table. Elle sait y faire, la salope, et comme elle a des bas résille c’est tout à fait irrésistible.
Voilà qu’elle y va avec les deux pieds à présent. J’ai une érection terrible, que ça m’en fait mal. Elle fait tomber un couvert, et l’autre se précipite sous la nappe.

- Super, je n’avais jamais vu comme ça.
- Regarde bien, on va la faire juter cette belle saucisse.
- Oh oui, oui, oui … Continuez Suzanne, c’est magnifique !
- On a le temps, on a le temps, dégrafe le bouton du haut.
- Oh oui, oui, oui.
- Descends le short, mets le à poil. Je le décalotte, suce-le un peu.
Et caresse-moi les pieds, tu sais que j’aime ça..
- Oh oui, Madame Suzanne, c’est si doux tout ça.
- Prends bien le gland entre tes dents.
- Je peux mordre ?
- Oui, mais pas trop fort. Vas-y, j’aime voir ses grimaces.
Je sens qu’il va jouir. Serre lui les couilles, tire sur l’anneau.
- Oh oui, je vais lui faire mal, c’est super, je vais jouir moi aussi.
- Non, c’est moi qui te ferai jouir. Tripote-le. Il est prêt ?
- Oui Suzanne, il est prêt.
- Finis le, jusqu’à la dernière goutte. Il faut qu’il s’en souvienne.
-
Vidé, elle m’a complètement vidé, essoré, léché. Pour sûr je m’en souviendrai. Surtout qu’après on a fini le repas toujours en petite tenue. Salade, glaces et champagne.

Avant de dormir j’ai encore eu droit à une scène de théâtre vivant. Elles n’ont même pas pris la peine de s’habiller ou de se déshabiller. Suzanne en bas résille et porte-jarretelle, Ginette en mini tablier de bonniche, et un gode télécommandé à double nœud que j’ai eu l’honneur et l’avantage de disposer et de piloter moi-même, dans la chatte de Ginette et l’autre bout dans le cul de Suzanne. Elles en ont mis partout, les cochonnes.

Et ensuite … Bonne nuit les petits ; il nous reste un dimanche à passer ensemble.

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