Le Trophée

Le lendemain de ma visite au Pool House, nous étions invités chez un client et ami d’Hubert. Producteur de champagnes, vivant dans un grand manoir, grosse fortune, ainsi qu’une trentaine de personnes, dont un grand nombre semblait être des habituées de ce genre d’invitation récurrente. Officiellement, Hubert voulait me montrer la piscine, mais je compris à ses recommandations qu’il s’agissait bien d’autre chose. Et puis ma collecte de pourcentage devait continuer, jusqu’à ce que j’atteigne le prix acceptable. Je me préparais, revêtant des dessous Lise Charmel, de la collection « Fête Précieuse » flambant neuf, avec une association luxueuse de broderies et de dentelle Leavers avec un graphisme original et sophistiqué, l’ensemble dans des tons camaïeux de bleus argentés sur fond noir. Composé d’un soutien-gorge coque parfait pour sublimer mon 95C d’un tanga et d'un merveilleux serre taille retenant des bas noirs qui me donnait un look très 50th. J’avais acheté la robe sur Paris quelques jours auparavant, chez Roberto Cavalli un couturier italien, qui avait cherché à reproduire un tableau de José Pedro Godoy « Paradise Found » en illustration de cette robe. En satin à coupe fourreau moulante et col montant, dotée de manches longues et tombant jusqu’au genou, la coupe très SLIM mettait en valeur mes formes plantureuses de bourgeoise mature.
Hubert passa me prendre à mon hôtel vers 16H, le domaine se situant à une centaine de kilomètres de Troyes, près de Chalon en Champagne. Pendant le trajet, Hubert me fit la conversation, m’expliquant les origines de la famille, ainsi qu’une description de leur domaine et la fortune associé. Le propriétaire, un homme de soixante ans, était bien connus dans la région, pas simplement pour son champagne, mais également pour ses pratiques et habitudes d’épicurien.
- Bon, je suppose que ce n’est pas seulement pour visiter le domaine que tu m’emmènes là-bas ?
- Grosse curieuse, tu aimerais bien savoir ce qui nous attends ?
- Je commence par te connaître, donc je me doute que je vais encore avoir une belle surprise …
- En parlant de belle surprise, prends le paquet sur la banquette arrière, et ouvre-le, cela fait partie du cérémonial…
Je prenais le paquet, et l‘ouvrit, découvrant une boite d’emballage de la marque "LeGastronomeSexy", contenant … Une Ceinture de chasteté pour femme avec godemiché amovible.

Il s’agissait d’une ceinture haut de gamme donnant une possibilité de pénétration constante grâce au plug en métal à boules qui se trouvait verrouillé sur la ceinture et un gode anal en option, le tout sécurisé grâce à un cadenas. Ayant ouvert le paquet, j’étudiais l’instrument qui offrait un tour de taille réglable pour adapter la ceinture à toutes les morphologies.
- La légende veut que la ceinture de chasteté soit une invention du IXe siècle, destiné aux femmes, afin d’empêcher d'avoir des relations sexuelles ni de se masturber voir de rester vierges avant le jour de leur mariage. Quant aux femmes mariées, cet accessoire leur évitait de batifoler avec d'autres hommes que leurs époux. Dans ton cas, tu vas devoir porter cet instrument lors de notre soirée, et en fonction d’un petit concours organisé par notre hôte, je donnerai la clé aux différents vainqueurs qui remporteront le trophée, en l’occurrence toi …. Je t’avais prévenu que cela devrait te plaire…
- Je vois que tu es toujours plein d’imagination, et en quoi consiste le concours.
- Très simple, chacun des femmes verra sa culotte accrochée à un mur, et celui qui trouvera sa propriétaire, gagnera la clé de la ceinture…
- Et je suppose le droit de jouer avec son trophée comme bon lui semble…
- Exactement, je vois que madame est toujours aussi pleine de discernement… En attendant, je vais me garer dans un endroit tranquille, pour que tu puisses enfiler ton nouveau jouet, et me donner ta belle culotte…
Il continua encore quelques kilomètres avant de s’arrêter sur une aire de l’A26, exclusivement fréquentée par des routiers à cette heure, et prenant soin de garer sa voiture à l’abri des voitures et camions.
- Passons derrière ma belle, on sera plus à l’aise.
Installés tous les deux à l’arrière du véhicule, le relevais ma robe, offrant mes bas porte jarretelles et mon nouvel ensemble à son regard gourmand, et lubrique. Il m’enleva mon tanga, sous le prétexte fallacieux de vouloir m’aider, et m’aida à installer son appareil de pour BDSM.

Hubert se montrait enfin sous son vrai visage… Je me doutais qu’il était amateur de bondage et d'autres pratiques BDSM, aimant exercer son pouvoir sur sa soumise et avoir toute autorité sur moi. Le port de cette ceinture de chasteté lui donnait le cadre d'un supplice, du plaisir et de l'excitation supplémentaire. Cet accessoire permettait non seulement d’assouvir les fantasmes de Hubert, mais augmentait aussi le désir charnel entre nous, nous obligeant à résister à la tentation de se jeter l'un sur l'autre.
Il fixa le gode anal sur la ceinture et m’enfila ensuite l’ensemble me pénétrant avec les deux instruments vaginal et anal. Chacun d'entre eux mesurait 3 cm de long, et s'avérait une fois en place plus qu’efficace, me faisant d’emblée ressentir un plaisir intense de masturbation. Une fois la ceinture bien en place, il referma le tout avec son petit cadenas, me montrant la clé qu’il plaça dans la poche de sa veste. Sa main alors se plaqua entre mes cuisses, appuyant sur mes deux jouets afin de les enfoncer encore en moi. Je ressentais déjà une excitation profonde, et ma main se mit à caresser ma poitrine qui se soulevait au rythme de ma respiration profonde.
- Tu es magnifique ma belle, tellement chic, et bandante en même temps. Baisse ta robe, je te veux en bourgeoise bien mise et affamée ; Viens me montrer comme tu es gourmande…
Me prenant par les cheveux, il profita de notre proximité dans l’espace exiguë de son véhicule pour utiliser ma bouche… Sortant son sexe bien raide, il me poussa le visage entre ses cuisses en s’enfonça dans ma bouche entièrement…
- Vas-y ma belle pute bourgeoise. J’aime quand tu es habillée comme ça en femme mure BCBG, avec ta bouche de gourmande… Vas-y pompe moi salope, butine-moi le dard… Ohhhhh cette bouche… Quelle bouffeuse de bite…
Je m’appliquais à le sucer sur cette aire d’autoroute alors que de ma main droite, je continuais à me caresser les seins, excitée par les godes en moi, sa bite qui s’empalait dans ma bouche, et le contact du satin de ma robe, dont je trouvais le contact terriblement érotique.
Un premier camion klaxonna en quittant l’aire d’autoroute alors qu’il passait à notre proximité. Un second fit de même ce qui calma les ardeurs d’Hubert… Il reprit le volant, me laissant à l’arrière du véhicule avec pour consigne de continuer à me caresser mes gros seins en écartant les jambes, tout en le regardant dans le rétroviseur…
Après 20 minutes de voiture et la traversait de vignes aux paysages somptueux. Nous arrivâmes enfin dans la propriété. Un vieux château du XV siècle entouré d’une enceinte flanquée de deux tours rondes avec accès par un pont qui avait dû être un pont-levis à l’époque.
Tout le monde était déjà la et sur les trente personnes seulement une dizaine de femme. Hubert me présenta à notre hôte et ses convives et alla discrètement déposer dans une corbeille ma culotte. Notre hôte fit alors un signe à un majordome, qui prit la corbeille et alla accrocher chacune des culottes de manière aléatoire sur un grand mur.
- Je vous présente Patricia, une future cliente et très bonne amie à moi.
- Enchantez, Patricia, vous êtes tout à fait ravissante, quelle tenue et port magistral. J’ai honte de vous poser cette question, mais au risque de paraître pour un goujat, quel âge avez-vous ?
- En effet, cette question est vraiment très indiscrète, mais je prends cela pour un compliment…
- Merci, loin de moi l’idée de vous mettre mal à l’aise. Vous habitez la région ?
- Non, je suis juste de passage, j’habite dans l’est de la France.
- Tiens donc, mais on doit avoir des connaissances en commun, je suis très ami avec le Marquis Dampierre, le connaissez-vous, il est propriétaire d’un cercle hippique, dans votre région ?
- Ohhh, oui en effet, je connais le marquis, quel hasard !
- Avec une ligne aussi parfaite, je suis sûr que vous devez être une cavalière émérite de son club ? Il était ici la semaine dernière d’ailleurs, pour une de mes soirées.
Gênais, et surement rouge écarlate, je ne répondais pas à cette question, très inquiète d’être tombé dans un traquenard organisé par Hubert, le marquis et notre hôte du jour… Homme subtil et raffiné, il perçut ma gène, et continua la conversation….

- Mais assez de ces banalités, vous passerez le bonjour au Marquis de ma part. Hubert mon ami, je suppose que vous avez donné tous les détails à votre délicieuse amie ?
- Dans les grandes lignes, Patricia, a d’ailleurs appréciée votre premier cadeau, n’est-ce pas ma chérie. Je pense que tu ne seras pas contre un peu plus d’explication de la part de Henri?
- En effet, je pense qu’une petite explication de texte n’est pas inutile.
- Parfait, donc c’est très simple. Vous pouvez-voir sur ce mur une superbe collection de culotte, qui appartient à chacune d’entre vous. A chaque culotte est associé un numéro, et à chaque numéro un trophée. Nous allons passer à table, et pendant le repas, s’il quelqu’un associe le bon numéro, à la bonne personne alors le gagnant se voit remettre la clé permettant d’enlever votre ceinture et donner l’accès libre à tous vos secrets, pouvant bénéficier de 15 minutes de chacune de vous. C’est simple le trophée, c’est vous !!! Seulement 2 chances par culotte, après, c’est définitivement perdu pour le joueur. Le jeu s’arrête avant le dessert… Pas de taboo, et interdiction de faire preuve de violence ou d’agressivité, sinon, c’est l’exclusion immédiate… Encore un détail, voici un petit bracelet en tissu jaune, qui en tant que nouvelle et débutante, vous donne une immunité…
- Quel type d’immunité ?
- C’est une surprise ma chère, maintenant si vous le voulez bien, passons à table…
Nous prîmes place à table, j’avais en face de moi ce grand mur avec ces 10 culottes fixées. Beaucoup de string, quelques tangas, un shorty, et 2 culottes classiques. A notre table un homme en face de moi m’observait. Il scrutait mes formes, afin de deviner mes mensurations et passa la tête en dessous de la table pour voir la couleur de mes bas. C’était terriblement gênant. Je me sentais comme une jument dans une vente aux enchères, en train de se faire étudier par ses futurs acheteurs… Il se leva contourna la table pour se placer entre moi et Hubert, et nous glissa à l’oreille …
- Tu dois faire un bon 42 la bourgeoise, et comme tu es sûrement une femme de goût, tes bas doivent être assortis à ta culotte, donc elle doit être noire ou grise…
Il reparti vers le mur, ou je pouvais l’observais en train d’étudier les différentes culottes. Eliminant les petites tailles et les couleurs trop vives, il s’attardait sur deux, hésitant finalement entre un string et mon tanga. Pendant ce temps, deux hommes avaient déjà trouvé un bon numéro, et récupéré leurs clés pour profiter de leur trophée respectif, alors que je surprenais Hubert scrutant une petite blonde, sèche comme une trique mais avec un petit cul super bandant, pour laquelle il semblait être très en appétit.
Chacun des deux, ne voulant pas perdre de temps, déverrouilla avec avidité les ceintures, l’un basculant son trophée en levrette sur la table, l’autre l’entrainant sur une petite méridienne… Cette scène était d’un érotisme torride. Tout le monde continuait à discuter ne prêtant pas attention aux couples qui se formaient et ses femmes qui se faisaient prendre sous les yeux de l’ensemble des convives. Plus qu’une partouze, c’était une complète débauche… Une véritable orgie, dont je ne connaissais même pas le prénom des autres femmes et des invités…… J’étais hypnotisé par cette femme qui se faisait prendre par-derrière par un inconnu. Je me mordillais les lèvres de désir tant ce début de luxure m’excitait, ne me rendant pas compte que l’homme était revenu vers nous, pour glisser discrètement dans l’oreille d’Hubert le numéro de ma culotte. Hubert sourit, et tendit la clé à cet homme dont j’ignorais le nom.
- Ma Chère, je crois que Monsieur a trouvé ce qu’il cherchait et gagné son trophée…
- Lève-toi et soulève moi cette robe moulante que je te libère. Humm, quel corps, tu dois être bonne ma belle. Et habillée comme ça une vraie bourgeoise lubrique qui aime se donner en public. Tu ne dois pas avoir assez avec ton mari, ou alors il en a une toute petite, allez viens avec moi….
- Attention à son immunité…
- Oui, oui, t’inquiètes, Henri aura ce qu’il veut…
Je ne comprenais pas en quoi consistais cette immunité, mais me laissais entraîner par cet homme rustre et lubrique, vers un petit canapé. Il était surexcité et avide de mes formes. Il m’aida pour relever ma robe, et ouvrit la ceinture avec la clé… Une fois libéré de ma ceinture, il me poussa sur le canapé ouvrit mes jambes et me prit en position de missionnaire. Il me pénétra d’un coup, sans préambule ni préparation, tel un animal en rut. Pris par le temps, il savait n’avoir pas de temps pour les préliminaires, et voulait juste me baiser
- Quel dommage, que je n’ai que 15 minutes grosse pute, je ne vais pas pouvoir te baiser par tous les côtés… Ohhhhhhh, Hummmmm !!! Oui, tu es bonne sous l’homme ma bourgeoise, vas-y bouge moi ta croupe de jument….
Une de ses mains me tenait par les fesses, les palpant comme un gros tas de viande, alors que l’autre me palpait ma grosse poitrine, au travers ma robe chic en satin, qui allait se voir définitivement salie par cette soirée lubrique… Il accéléra, les mouvements, me pilonnant comme un marteau-piqueur alors que derrière lui, je pouvais observer un autre homme qui après avoir parlementé avec Hubert, se dirigeait vers nous, attendant que mon premier violeur et terminé son affaire… Il gicla en moi, m’envahissant le vagin de son sperme chaud, tout en me roulant une pelle gourmande, comme pour me remercier de cette jouissance ultime… Sans répit, le second homme qui apparemment avait aussi trouvé mon numéro, me prit par le bras et m’entraîna vers la table. Il me poussa en levrette, face à Hubert et Henri toujours attablé, posant ma ceinture de chasteté sur la table devant eux. Ma robe toujours relevée, il m’appliqua une grande claque sur le cul !!!
- Hummm, quel magnifique cul. Bravo Hubert, quel morceau de choix… Elle a l’air en plus très gourmande…
- N’oublie pas son bracelet jaune, interdiction de lui prendre l’anus, il est réservé…
- Oui, oui, je sais t’inquiète ta jument à d’autres attributs dont je vais pouvoir r, hein ma belle ….. <clac, clac, clac!!!!>
- Heee doucement avec son beau gros cul elle va être toute rouge sinon….
Son sexe s’enfonça en moi, alors que ses mains se maintenaient à mon serre taille porte jarretelles, comme un cavalier à sa jument. Il me martelait le cul sous les yeux d’Hubert qui parlait à Henri, commentant ma performance…
- Au fait, lui as-tu expliqué la signification du bracelet jaune…
- Oups pas encore, désolé… Ma chérie ton petit trou est un espace protégé dont seul notre hôte ici présent peut en user… Si toutefois, il trouve le bon numéro…
Je regardais et écoutais ces deux hommes me parlaient, ou parlant de moi comme un objet de performance ou de désir, alors que le troisième se défoulait sur ma croupe ravagée par ses mouvements de bassins. Mon visage exprimait de multiples orgasmes, dû à la pression de sa bitte sur mon clitoris en feu, et la contraction musculaire de mon vagin. Mes yeux se révulsaient, donnant un sentiment d’évanouissement, principalement dû à ma situation et position. L’homme loin d’être amant exceptionnel, n’était juste qu’un outil qui contribuait à mon état orgasmique, amplifié par le dialogue des deux voyeurs qui me regardaient en jouant de moi…
- Elle a l’air affamé ton amie Hubert… C’est quand même dommage de ne pas profiter de ce repas fabuleux, qu’en penses-tu ?
- Oui, c’est normalement une grosse gourmande, même si d’habitude elle aime les choses un peu dures dans sa bouche… Tiens ma chérie ouvre ta belle bouche…
Il me forçait à manger, alors que je me faisais baiser devant eux. J’ouvrais la bouche docilement, avalant tout ce qui se présenter : tomate cerise, morceau de poulet, pomme de terre dorée… Un autre homme s’approcha d’Hubert pour lui glisser à l’oreille « Numéro 4 » !!!!
- Mais quel succès, ma chérie… Henri, il n’y aura bientôt plus de place et de temps pour toi. En plus, tu n’as toujours pas deviné le bon numéro.
- Hummm, Je n’ai pas son numéro, mais cependant j’ai celui de Katia, on a un deal ?
Les numéros furent échangés, et Hubert me roula une pelle gourmande, se répandant de salive dans ma bouche, jouant avec sa langue comme un serpent.
- Ne t’inquiète pas pour elle Hubert, je m’en occupe… et toi Edmond colle lui ta bitte dans la bouche, son cul est pour moi…
Je me retrouvais, donc avec mon premier compagnon hystérique se défoulant sur ma croupe, alors que ma bouche était progressivement envahie par cet Edmond que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam, et qui s’empressait, a genou sur la table, de me violer la bouche, tout en tenant par les cheveux. Ils s’acharnèrent sur mon corps pendant quelques minutes. Une orgie intense et dégradante, ruinant ma robe Roberto Cavalli qui m’avait coûtée plus de 1500€, alors que Hubert continuait à me mater me laissant me faire utiliser par ses deux amis. Il était le vrai maître des lieux, et chacun lui était redevable de cette luxure gratuite, lui obéissant aveuglement…
- Ne jouissais pas sur elle Messieurs, j’ai une autre idée…
Il tendit une coupe de champagne à Edmond, comme réceptacle à son sperme, dans laquelle il se libéra, par de grands jets, alors que l’autre continuait à me baiser, tout en réduisant la cadence afin de respecter les consignes d’Henri… Une fois Edmond vidé, se fut à son tour de se vider… Je regardais la coupe avec ses auréoles de sperme flottant et coulant au fond du verre totalement défaite de cette débauche de sexe abondant et décadent.
- Toi ma belle, tu dois avoir soif un peu de champagne pour faire passer le goût…
Je buvais la coupe dans son intégralité, avalant le sperme de me deux violeurs sous le regard d’un Henri hilare, qui se délectait de mon humiliation… Il me releva de ma position de levrette, et m’entraîna, toujours fesse à l’air avec ma robe relevé et détruite, vers Hubert qui culbutait la petite blonde.
- Regarde ton mec, en train de sautait cette petite pétasse, je vais t’enculer sous ses yeux…
Hubert était debout au centre de la pièce. Il avait soulevé et retourné, Katia, la tête en bas, pour qu’elle le suce alors que sa langue était plongée entre ses cuisses. Henri poussa ma tête entre les cuisses de Katia, offrant ma bouche à Hubert, mais aussi m’obligeant à plonger ma langue dans l’anus de cette petite blonde en rut. Nous étions tous les 4 debout, serrés les uns contre les autres, les femmes au milieu et les hommes à chaque extrémité et Katia en position de poirier. Henri me souleva la jambe droite, me tenant par la cuisse afin de m’offrir ouverte, accessible et disponible.
- Suce cette petite salope, pendant que je t’encule ma belle bourgeoise. Je vais te sodomiser devant tout le monde, debout comme la pire des putes… Tu vas aimer cela… Dis-moi que tu veux ma bite dans le cul, dis-le-moi, je veux t’entendre couiner comme une grosse cochonne…
- Ohhhh, oui prenez moi par-derrière, prenez-moi le cul, doucement, ne me faites pas mal…
- Ouiiii, tu es bonne, je sais que tu aimes l’anal, prends ma grosse bite grosse pute…
Il enfonça son sexe dans mon anus, plongea jusqu’à la garde, et m’enculant comme un sauvage… Un animal, un de plus, tous ces hommes n’étaient plus que des bêtes en rut, ne respectant plus de limite si ce n’est que leur propre plaisir. Hubert continuait à se faire sucer par Katia, mais profiter aussi de ma bouche en se serrant au maximum afin de me rouler une pelle. La situation était incroyable. Nous formions tous les 4 une chaine, scellés par nos membres et nos sexes, dans une débauche et libertinage sans égal… Une véritable orgie de luxure et de dépravation. Hubert retourna Katia pour qu’elle me fasse face, tout en la maintenant en position de poirier, et la tenant par les cheveux, comme pour lui écarter la tête et libérer un passage entre lui et moi, tout en lui donnant des instructions claires.
- Prends ma bitte, et colle lui dans la chatte.
J’allais être donc être prise en sandwich par mes deux amants, avec entre nous le corps d’une petite blonde dont Hubert et moi dévorions la chatte. Elle dirigea le sexe d’Hubert vers mon vagin, qui me pénétra après un coup de rein de Hubert ; cette situation était non seulement acrobatique mais terriblement excitante. Les autres couples nous regardaient prenant des photos au vu de notre attelage insolite. Ils me labouraient tous les deux, me faisant gémir et crier de plus en plus fort, alors que la bitte de Hubert faisait régulièrement un détour par la bouche de cette petite blonde de Katia. Au bout de quelques minutes, notre étrange groupement se sépara, et Henri me poussa sur le sofa à quatre pattes pour finir de me sodomiser avec toujours autant de force et de détermination. Je replongeais dans un état orgasmique, me perdant peu à peu, ne ressentant plus rien autour de moi si ce n’est les mouvements du membre d’Henri me lubrifiant et me ramonant l’anus. J’allais sûrement m’évanouir à ce rythme, mais comme pour me maintenir éveiller, Henri me plaquait de grandes claques sur les fesses à intervalles réguliers.
- Je suis sûr que tu es une excellente cavalière ma grosse pute, il a du t’en mettre plein le cul le marquis dans son club… Maintenant que je sais qui tu es, je vais rendre visite à mon ami plus souvent que prévu. Allez bouge ton gros cul pétase, je vais te finir… Hummmmm, je sens que ca vient….. Oui, prends-moi tout !!!!!!!
Il jouit sur mes fesses, se répandant aussi sur ma superbe robe en satin qui était bonne pour un nettoyage complet car recouvert de sperme de ma soirée animée. Il me laissa reprendre mes esprits sur le sofa, seule. Je pris plusieurs minutes avant de pouvoir me relever, réajuster mes vêtements, et regagner la table ou Hubert m’attendait pour prendre le dessert. La soirée se termina rapidement, et Hubert me ramena à mon hôtel, ou je pus passer une nuit tranquille et reposante. Je retrouvais le lendemain matin Hubert à ses bureaux pour signer le bon de commande, pour lequel il m’avait accordé 25% de ristourne. Bien au-delà de mes espérances… Je regardais Hubert tendrement et lui dit…
- Tu sais que je dois rentrer chez moi maintenant. Je tiens à te remercier pour tous ces moments exceptionnels, mais il nous faut passer à autre chose maintenant….
Compréhensif, mais triste également, il m’embrassa, avant de me laisser partir. Surement pas un baiser d’adieu, mais la fin d’une belle aventure…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!