Le Train

Dans le cadre de mon boulot je devais me déplacer en province. Une grève aérienne m’obligea à prendre un train en soirée. Je m’installais dans un compartiment. Il y avait déjà une gamine qui devait avoir une vingtaine d’année et une femme mûre. Le train démarra avec un peu de retard. En hiver la nuit tombe vite et la pénombre envahissait le compartiment. La femme lisait une revue féminine, la gamine écoutait son walkman. Je fermais les yeux pour me détendre. Lorsque je les rouvris, je fus surpris par l’attitude de la femme. Elle avait posée son magazine sur ses genoux pour dissimuler l’action de sa main sous sa jupe. La jeune fille médusée, regardée aussi. Nous arrivions en gare et l’haut parleur annonçait dix minutes d’arrêt. La femme poussa un léger gémissement. Elle se rajusta sans gène, se leva et partit.



La jeune fille me sourit et je lui dit ma surprise d’avoir vu cette femme se donnait du plaisir devant nous. Nous avons ri de la situation. Le train redémarra et je refermais les yeux. La jeune fille voulait visiblement parler. Rien de mieux que de parler musique. Après avoir échangé nos goûts, pas si différents d’ailleurs, elle me proposa d’écouter ce qu’elle avait dans son walkman. Au lieu de me passer l’appareil, elle vint s’asseoir à côté de moi et me donna un écouteur.

De la sentir collé à moi me troublais. Le spectacle précédent n’y était certainement pas pour rien. J’allais tenter une approche lorsque le contrôleur débarqua dans le compartiment. Je lui tendis mon billet tandis que la jeune fille, ôta ses chaussures pour grimper sur le siège et atteindre son sac dans le filet à bagages. Ce n’était pas fait pour me calmer car ainsi, elle dévoilait ses cuisses sous sa jupe en jean. Avant de redescendre elle jeta un œil vers moi sentant que je la mâtais. Elle me sourit et donna son billet au contrôleur. Il composta les deux billets et partit sans fermer la porte. La jeune fille remit ses chaussures, ferma la porte et revint près de moi.



« Ca vous a plut ? »

« Tu as de très jolies jambes «

« Merci »

« Désolé mais je ne pouvais pas ne pas regarder »

« Mais quand on montre, il ne faut pas se gêner »

Elle m’avait ouvert une porte pour attaquer.

Je posai ma main sur son visage et je m’approchai pour lui poser un baiser sur les lèvres. Elle accueillit le baiser en ouvrant la bouche et nous avons mêlé nos langues. Ma main se posa alors sur sa poitrine démunie de soutien gorge. Elle ne protesta pas alors je passais ma main sous son pull. Sa poitrine était ferme et sa peau si douce. Elle se laissait peloter et je pinçais ses tétons qui durcissaient. Je soulevais son pull pour poser ma bouche sur cette poitrine de gamine. Pas farouche, elle me caresser les cheveux et gémissait discrètement. Ma main se posa alors sur sa jambe. Je la caressais en remontant vers le haut de sa jupe. Elle écarta ses jambes pour me frayer un passage. Ma main passa sous sa jupe et mes doigts caressaient sa peau autour de sa culotte. Elle écarta plus largement ses jambes pour me faire comprendre qu’il était temps d’aller plus loin. Alors je posa ma main sur sa culotte et la caressa. Je sentais à travers le tissu son minou s’ouvrir et la culotte se mouiller. Sa respiration était saccadée et les gémissements se faisaient plus francs. Soudain, elle se leva, alla tirer les rideaux et fermer le loquet du compartiment.

Elle se retourna, retira sa culotte et s’allongea sur l’autre banquette. Elle me regarda et me dit « Viens, prend moi »

Comment résister à une telle offrande.

J’enfouis ma tête entre ses jambes et entreprit un cunnilingus. Mes doigts se mêlaient à ma langue. Je la sentis se contracter. Elle venait d’avoir un orgasme. Je retroussais sa jupe autour de sa taille. Ma main passa sous ses fesses et titillait son œillet. Elle souleva ses fesses. Visiblement rien ne l’arrêtait. Mon doigt pénétra cet orifice. Je le faisais coulisser sans problème.
Maintenant c’était des « oh oui, c’est bon » » qui sortaient de sa bouche. Je me leva, dégrafa mon pantalon et baissa mon caleçon. Elle se redressa et prit mon sexe en bouche. Elle me suça quelques instants avant de me lancer « Baise moi ».

J’enfilais un préservatif et m’installa entre ses jambes pour la prendre.

« Oh c’est bon, continus, plus vite »

« Hum, on m’a jamais fait ça »

Il faut dire que je m’appliquais particulièrement. Je faisais sortir mon membre, je la faisais languir en titillant son antre de mon gland avant de m’enfonçait profondément, tout en m’occupant de ses seins.

Puis je lui glissa à l’oreille : « J’ai envi de ton cul »

Sans répondre, elle se dégagea et se mit à genou sur la banquette. Je posai ma langue sur son œillet, mouiller mes doigts de sa jouissance pour lubrifier l’entrée de son anus. J’y enfonçais deux doigts. Je pénétrais de nouveau son vagin avant de présenter mon gland à l’entrée de son orifice serré. Elle eut un mouvement de recul qui eut pour effet de faire pénétrer mon sexe entièrement dans son cul. Elle poussa un petit cri qui fut vite remplacé par des râles de plaisir.

« Hum, j’aime qu’on me prenne le cul, je vais venir »

Je m’activer frénétiquement dans son cul. J’avais attrapé ses hanches et j’allais et venais dans son trou serré. C’était merveilleux. J’éjaculais en râlant et elle jouit à nouveau. Je resta quelques instants en elle pour reprendre mon souffle. Elle se redressa, enleva ma capote et me nettoya en léchant mon membre luisant.

Nous nous sommes rhabillé. Nous échangeâmes nos prénoms alors que nous arrivions à destination. En descendant du train, elle me fit un clin d’œil et alla embrasser son petit copain qui l’attendait à la gare.

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