Le Trio

Cette fois-ci, je tenais à satisfaire mon voyeurisme et je m’assurai qu’il y ait suffisamment de lumière dans la chambre et le salon. J’avais enfilé un jeans et un t-shirt sans même prendre le temps de mettre de sous-vêtements. Pour sa part, Marianna avait uniquement enfilé une légère robe très moulante et extensible, offrant une multitude de possibilités impudiques. Je lui servis un verre de vin blanc et elle m’avoua se sentir excitée à l’idée de recevoir deux inconnus, juste après en avoir baisé un autre.

« Tu te rends compte ? Trois dans la même journée. Pas mal pour un début », me glissa-t-elle.

« Oui, mais tu peux faire beaucoup mieux », dis-je.

« Ah oui ? Tu crois », lança-t-elle, amusée ?

« Oui, je crois. »

La sonnette retentit. Je fis entrer les deux jeunes hommes, les saluai et les conduisis au salon. Là, ma belle attendait assise sur le canapé, souriante, les jambes croisées, une coupe de vin à la main.

« Bonsoir, messieurs. Heureuse de vous rencontrer enfin. Mettez-vous à l’aise pendant que mon chéri vous sert à boire. »

« Merci, dit l’un d’eux. Mais nous n’avons malheureusement pas beaucoup de temps. Nous prenons le train dans une heure. »

Je réalisai que nous ne nous étions pas présentés, et au moment où je tendais la main vers le plus grand des deux, il sortit sa bite de son pantalon et dis : « Il faut t’y mettre tout de suite, beauté. Nous avons l’intention de jouir plusieurs fois. »

Féline, elle déposa son verre, s’approcha à quatre pattes en ondulant des fesses, prit la bite en main et approcha sa bouche du gland offert. Elle le goba et commença à le sucer. Rapidement, le membre gonfla et le mec se mit à caresser les cheveux de ma belle avant d’empoigner sa tête et de commencer à lui baiser la bouche. L’autre type était déjà nu et s’allongea sur le dos pour se glisser entre les jambes de ma copine. Il retroussa sa robe dévoilant d’un coup toute sa croupe et se mit à lui dévorer sa chatte infidèle, fraichement souillée par Kevin.

Les coups de reins du plus grand se faisaient plus violents et c’était désormais la gorge qu’il lui baisait. Des filaments épais de bave coulaient depuis la commissure des lèvres de ma belle et des larmes lui striaient les joues.

Le type au sol se releva, enfila une capote et pénétra d’un geste assumé ma copine. Je restais debout, comme un con, à observer la scène. J’allai m’assoir et me servis un verre que j’engloutis d’un trait. Elle tendait son fessier pour faciliter l’intromission de ce nouveau membre tout en continuant à encaisser la gorge profonde prodiguée avec force par l’autre gigolo.

En quelques minutes, c’était réglé. L’homme dans la bouche de ma belle éjacula une bonne dose de foutre épais que Marianna recracha au creux de sa main. Elle prit alors soin de se tartiner les seins et le clitoris de ce nectar visqueux tandis que l’homme qui la pénétrait se retira et éjacula sur sa chatte et la peau nacrée de ses magnifiques fesses.

Aucun des deux queutards ne débandaient. Le mec qui venait d’honorer la bouche de ma copine enfila un préservatif et vint se présenter devant sa croupe. Il l’enfila d’un trait arrachant un cri de plaisir à Marianna, qui visiblement prenait son pied. L’autre type s’approcha du visage de ma douce et lui présenta son gland encore gonflé d’où perlait une grosse goutte de sperme. Elle l’emboucha avidement, dirigea son regard vers moi et me fit un clin d’œil.

Ce coup-ci, la scène dura plus longtemps, mais les types n’étaient pas venus pour profiter du moment. Ils étaient uniquement là pour se vider et ils embrochèrent Marianna avec force jusqu’à ce qu’enfin, ils se vident à nouveau. La capote du mec qui – je l’ignorais alors – enculait ma belle finit sur le plancher et son sperme sur ses trous béants. L’autre éjacula en grognant dans la bouche de ma salope qui souriait. Elle garda son sperme en bouche un bon moment pendant que les deux types se rhabillaient.

Puis, comme la première fois, elle recracha le sperme au creux de sa main et l’appliqua avec soin à l’entrée de son con distendu.
Les mecs partirent comme des voleurs après nous avoir salué rapidement et remercièrent Marianna.

« On se texte », lança l’un d’eux.

Marianna se retourna vers moi après avoir verrouillé la porte et me défia du regard.

« Alors, ça t’a plu, coquin ? Tu voudrais qu’il y en ait plein d’autres comme ça, toute la journée, toutes nos soirées ? »

« C’était très chaud, lui dis-je. Toi, tu as aimé ? »

« Énormément. Maintenant, viens me prendre, mon chéri. Mes trous sont bien dilatés et gluants, tu dois en mourir d’envie. »

Je l’attrapai par la main et la conduisis à la chambre avant de la propulser sur le lit. Sur le dos, jambes écartées, elle continuait de se montrer taquine. Je ne pus résister à l’envie de plonger ma langue dans ses orifices ouverts, mais ce fut de courte durée. Ma bite tendue comme un arc réclamait son dû. En quelques secondes, je fus en elle, aussi profondément que mon anatomie me le permettait. Sa chatte n’offrait aucune résistance. Je pris soin de lécher ses seins souillés et l’embrassa profondément. Sa bouche sentait le sexe et goutait le sperme. C’était divin. Je ne croyais pas un jour devenir accro à ces saveurs lubriques. Et pourtant…

Après l’avoir pilonnée avec force pendant quelques minutes, je la retournai et vins poser mon gland à l’entrée de sa rosette défoncée. À peine plus serré que son vagin, son rectum m’accueillit chaleureusement et quelques coups de bassin plus tard, je m’épanchais au fond de sa grotte avec force.

« Que c’est bon de te prendre ainsi souillée et fraichement baisée », lui glissais-je à l’oreille avant de l’embrasser tendrement.

« C’est dingue ce qu’on fait », lança-t-elle, comme si elle venait d’émerger d’un rêve. « Le pire, c’est que j’adore ça. Ça m’inquiète par moments. »

« Pourquoi ? On est complices, on s’aime, ça nous plait à tous les deux, je ne vois pas où est le problème », dis-je.

« Alors tu veux continuer », s’enquit-elle ?

« Du moment que tu ne tombes pas amoureuse d’un autre, j’aimerais bien, oui.
Tu m’as parlé de ton patron. Ce serait excitant que tu te fasses baiser au travail. Y’a-t-il des collègues qui te plaisent également ? »

« Oui, ça m’exciterait aussi. Je ne risque pas gros, je ne ferai jamais carrière comme réceptionniste. Mon patron est assez froid, mystérieux, dominant, intriguant… Je me suis déjà masturbée en pensant qu’il me prenait avec force. Qu’il me penchait sur son bureau, retroussait ma jupe et me prenait à sec. Remarque, ça ne risque pas d’arriver, je mouille rien que de t’en parler », plaisanta-t-elle.

« Wow! J’adore », dis-je en chuchotant.

« Des collègues ? peut-être, continua-t-elle sur sa lancée. Pourquoi pas ? Mais c’est plus difficile de rester discrets. Les commérages... Tandis que le patron, lui, n’a aucun intérêt à le crier sur les balcons. »

« Donc, tu vas te faire ton patron demain ? »

« Je ne sais pas, on verra, mon coquin. En attendant, Kevin veut revenir nous voir demain soir et j’ai déjà un autre prétendant en fin de journée. On va être occupés, mon amour », dit-elle, avant de glisser dans les bras de Morphée, toute lovée contre moi.

À suivre…

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