Les 1001 Perversions De Nathalie (19) Une Petite Sale

Nathalie se réveille tard dans la matinée, encore pleine des images de la veille…
Sa main glisse entre ses cuisses. Ses doigts s’égarent dans sa toison, écartent les lèvres humides et son index frôle son clitoris.
Avec deux doigts, elle écarte les petites lèvres de sa chatte trempée et humecte son index, tourne doucement autour de son clitoris. Elle accélère le rythme. Son plaisir s’intensifie. Des spasmes soulèvent son bas-ventre. Sa main libre remonte jusqu’à sa poitrine. Elle masse et malaxe ses seins, pinçant les tétons durs.
Elle se retourne et se met en levrette. Elle att un gode et l’introduit dans son vagin ruisselant, elle se redresse. Empalée sur son jouet qu’elle maintient coincé entre ses deux chevilles, ses fesses ondulent au rythme du plaisir qui monte. La tête renversée en arrière, les yeux clos, elle laisse échapper quelques râles de plaisir. Jusqu’à l’explosion finale. Haletante, elle se laisse retomber.
"Mais ce n'est pas tout, ça", se dit-elle, cinq minutes plus tard, sous la douche... "Je ne suis pas ici uniquement pour baiser…".
En effet, Germain a ordre de la conduire au siège de la société, où Juan l'attend pour la mettre au courant de ses nouvelles fonctions de directrice-adjointe.
Germain a à peine démarré, qu'il porte la main à sa braguette. Nathalie voit qu'il bande comme un cerf. Et comme c'est toujours le cas, dès qu'elle sait ou voit qu'un homme bande pour elle, Nathalie se sent mouiller.
Elle pose la main sur la bosse qui déforme le pantalon. Germain a un grognement :
- Sors ma bite...
Elle l'extrait, déjà très grosse, très dure, veineuse. Elle l’astique, fait tourner son pouce sur le gland tuméfié. Ça lui fait venir l’eau à la bouche, et pas uniquement à la bouche… Il grogne :
- Suce !
Elle doit se contorsionner pour pouvoir à la fois le sucer et se caresser, mais elle y parvient. Du majeur, elle se frotte à travers sa culotte, elle mouille comme une folle.

Elle ne peut pas toucher sa bite, pas dans la position où elle se trouve maintenant.
Alors elle la pompe à pleine bouche, elle aspire le gland, elle lèche d’une langue avide. Il soupire, gémit, pousse des petits grognements rauques quand elle touche un point vraiment trop sensible. Ils sont presque arrivés, mais ils n’ont pas terminé...
Il se met à faire des tours de quartier, comme s'il cherchait une place. Elle trouve ça excitant. Elle sent leur plaisir monter à l’unisson. Elle a sa queue entièrement dans sa bouche, elle la remplit jusqu’à la gorge et elle l’aspire. Elle fait des mouvements de succion, elle l’enrobe de sa langue.
Elle a la chatte en feu. Elle se frotte aussi fort qu'elle peut. Elle ouvre les cuisses au plus large. Ils jouissent presque ensemble. Il gicle dans sa bouche en lui tirant fort les cheveux et en l'enfonçant encore plus sur sa queue. Il pousse des grognements rauques, tandis que sa bite se vide dans sa gorge en saccades.
Elle avale tout. Elle se frotte avec furie, elle explose à son tour. Elle ne peut plus rien faire que crier et sentir le plaisir la secouer de spasmes, une main plaquée entre ses cuisses.
Après qu'elle aie fini de prendre son pied, elle nettoie avec soin sa queue, qui continue à tressauter en lui offrant les dernières gouttes, et puis elle remet un peu d’ordre dans ses vêtements et ses cheveux.
Il fait un dernier tour de quartier et, cette fois, il se gare pour de bon. Avant de pénétrer dans l'immeuble, elle suce un bonbon à la menthe...
Dans le hall d’accueil, l’hôtesse la salue d'un souriant «bonjour Nathalie». Ici, on tutoie même sa nouvelle patronne, semble-t-il…
Le bureau de Juan et le sien sont au dernier étage, une discrète plaque de cuivre lui indique celui de Juan. L'accueil est vide… La porte du bureau de Juan est entre-baillée…
Elle la pousse. Et, presque par hasard, face à elle, elle voit un cul saillir sous le bureau. Et Juan affalé dans son fauteuil.
Les mouvements du fessier ne laissent aucun doute sur la nature des activités en cours.
- Continue… oui, continue comme ça… Suces !
Sa tête est rejetée en arrière et il empoigne la chevelure de la suceuse, dont le chignon est défait.
- Ce matin, j’ai envie que tu me boives ! Et que tu me lèches la bite et les couilles ! Nettoie-moi bien avec ta petite langue de salope !
Il prend sa tignasse à pleines mains pour faire coulisser plus vite ses lèvres sur sa verge. Et puis il se cambre sur son siège en poussant un râle. Nathalie réalise qu’il inonde sa gorge.
Elle ne cesse pas pour autant de l’avoir en bouche, et on entend même distinctement un léger clapotis. Elle tète sa bite pour le boire tout entier. 
Nathalie a juste le temps de se retirer et de prendre place dans un fauteuil, lorsque la secrétaire fait son apparition, une pile de dossiers sous le bras.
- Juan sera là dans trois minutes…
Nathalie la détaille, installée derrière sa table. La fille est très jeune. Très potelée. Noiraude. Sa blouse semble sur le point de craquer sous la pression de ses seins et de ses fesses. Elle suce le bout de son stylo, en parcourant d’un regard attentif les documents posés devant elle.
Nathalie se dit que cette petite femelle a vraiment une bouche faite pour sucer des queues... et aussi lécher des chattes. Quelque chose se dégage d’elle qui l'attire et lui inspire des pensées salaces.
Sous la table, les genoux se sont écartés, Nathalie aperçoit ses cuisses blanches. La fille lui lance un rapide coup d’œil, puis se replonge dans ses papiers. Avec sa bouche veule et ses yeux sournois, elle lui fait l’effet d’une parfaite petite salope.
Au moment où Nathalie commence à mouiller sa culotte, la porte du bureau s’ouvre sur Juan.
- Nathalie, je te présente Bianca, ma secrétaire… Elle sera à ton service aujourd'hui, si tu es d'accord…
Bien sûr, qu'elle est d'accord. Déjà, cette fille la trouble...
- Allons dans mon bureau, nous avons encore des tas de choses à régler.
..
Elle écoute à peine les exposés de Juan. Elle revoit sa queue dans la bouche de la fille, cette queue qui, la veille elle avait dans son cul et qui la besognait si bien. Elle att chaud et se sent mouiller…
- C'est une vraie petite chienne, pas vrai ?
Prise au dépourvu, Nathalie sursaute :
- Pardon ?
- Bianca... Je t'ai vu nous regarder, tout-à-l'heure, quand elle me suçait… Et je suis sûr que maintenant, tu mouilles...
Juan se lève, contourne son bureau. Il se campe devant elle, ouvre sa braguette et sort sa queue...
- Lève-toi… Tourne toi !
Elle obéit. Il se colle derrière elle. Il lui tire juste sa culotte à mi-cuisses et l'encule d'un coup, à sec. Nathalie crie. Debout, les jambes tendues, écartées, sur la pointe des pieds. Son corps entier tendu comme un arc. Cambrée, la tête relevée. Agrippée au rebord du bureau comme si elle avait peur d’être projetée en avant.
Derrière elle, Juan heurte sa croupe avec toute l’énergie possible, et le claquement régulier de son bassin sur ses fesses provoque un claquement sourd.
Lorsqu'il jette une main en avant et lui triture le clito, tout en la pilonnant, elle ne peut retenir ni ses cris, ni l'orgasme qui la submerge. Elle s'écroule à plat-ventre sur le bureau au moment où Juan se vide dans son cul.
Elle reste un instant ainsi, dégoulinante de sperme, la culotte à mi-cuisses, obscène.
Comme si c'était la chose la plus naturelle du monde de se faire sucer et de baiser entre deux séances de travail, Juan reprend ses exposés.
Une demi-heure plus tard, en revenant dans l'accueil, Nathalie croise le regard de Bianca… un regard de petite fille vicieuse.
- Nathalie, je te laisse avec Bianca, j'ai encore quelques rendez-vous… Elle va te montrer ton bureau et te mettre au courant du nécessaire…
Alors qu’elle l’accompagne, Bianca marche deux pas devant elle et Nathalie ne peut s’empêcher de mater son cul, rond et charnu.
L'accueil, comme dans le bureau de Juan, est splendide.
Vaste, lumineux. La décoration est un savant mélange de moderne et d’ancien. Une table basse qui supporte les magazines est un modèle milanais de verre et fer forgé. Deux imposants fauteuils et un sofa Chesterfield en cuir.
Nathalie prend place sur le sofa.
Alors, qu’assise derrière le bureau Bianca la renseigne sur l’entreprise, lui donne quelques conseils, elle remarque qu'elle vient d’écarter les genoux. Sa gorge se serre. Sous la table, les genoux s’écartent encore plus, et une main descend gratter une cuisse.
Une bouffée de chaleur prend naissance dans son ventre. Entre les cuisses écartées, la culotte, très lâche, bâille sur un côté. Le temps d’un éclair, elle voit le con. Entre les poils noirs et bouclés, la fente rose s’entrebâille. Nathalie se sent devenir très humide.
Bianca, la bouche entrouverte, les pommettes enflammées, regarde Nathalie "par en dessous*. Elle se lève et s'approche du sofa.
- Je peux m'asseoir ?
Sans attendre sa réponse, elle prend place sur l’étroit divan, se glisse contre son flanc et sa hanche. Les yeux rivés à ceux de la fille, Nathalie sent entre ses jambes l’empiècement trempé de sa culotte. Elle pose la main entre ses cuisses, lesquelles aussitôt s'écartent.
Elle la toise, elle baisse les yeux en écartant davantage les jambes. Elle lui passe la main sous la jupe. La fille a les cuisses plus charnues encore que ce qu'elle a supposé, des cuisses larges et lisses, promptes aux frissons.
Ses doigts, à l’aveugle, écartent la culotte, effleurent la fente. La proéminence de la chatte. Elle lui murmure à l’oreille :
- Tu es toute gonflée, là... hein ?
En réponse, Bianca ferme les yeux, avance le bassin au-devant de ses doigts. Elle introduit un doigt dans les poils courts, et rencontre les lèvres mouillées. Bianca se cabre sur le sofa.
Elle remonte au clitoris, elle le sent tout dur. Bianca, la tête en arrière, la bouche ouverte, a le souffle court. Et elle a un orgasme sur-le-champ, pousse des petits cris étouffés.
- Oh, c'est bon... c’est trop...
Nathalie n’en revient pas. La facilité avec laquelle elle a fait jouir la fille la déconcerte. Elle continue, lui explore le vagin, de deux doigts qu'elle fait tourner. Bianca jouit une fois de plus, en tremblant des genoux au bassin.
Nathalie n'en peut plus.
- Occupe-toi de moi ! Vite !
Elle remonte sa robe sous ses fesses, en ouvrant les cuisses. Elle arrache sa culotte. La fille s’agenouille devant sa grosse chatte trempée, approche sa bouche des lèvres béantes. Elle a un sourire vicieux :
- Ça sent fort... Ça sent la queue de Juan et la mouille...
Nathalie n’en peut plus d’impatience.
- Vas-y ! Lèche !!
Quand la langue s’enfonce dans l’épaisseur de ses poils, Nathalie pousse un râle. À deux mains, elle plaques la tête de la fille contre son bas-ventre.
Bianca lèche tout son con avec application, comme pour étancher la mouille qui coule en abondance de sa chatte.
- Oui, bois-moi... et remonte... sur mon bouton...
Bianca lui tète le clito, Nathalie bégaie :
- Mets-moi... un doigt... dedans...
Elle introduit l’index dans le vagin ruisselant. Après quelques mouvements appuyés, de la langue et du doigt, Nathalie se cambre, le corps agité de spasmes.
Au dernier moment, et c’est ce qui la fait crier et déclenche son orgasme, Bianca lui donne des coups de langue sur le trou du cul.
- Tu me lèches... le cul... petite sale ! Tu es bonne...

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