Les 1001 Perversions De Nathalie (25) - Pute

- Tu as l’air d’une pute, tu es parfaite !
Juan lui a fait mettre une jupe en cuir très courte, un débardeur en lycra qui moule ses mamelons. Elle ne porte ni culotte ni soutien-gorge.
Il l'emmène dans un ciné porno, assez sordide, fréquenté par divers voyeurs et branleurs. La caissière leur indique d’un signe de tête la direction à prendre pour le film qu'il a choisi.
La séance a déjà commencé. Sur l’écran, un phallus géant s’active entre les cuisses d’une blonde qui gémit. Dans la salle, quelques hommes isolés dans leur coin, pas une seule femme. Il règne une odeur de transpiration et de sperme.
Tous les regards se tournent vers elle. Juan la fait asseoir à côté d’un gros type d‘âge mûr. L‘homme fixe ses cuisses nues, puis se replonge dans le film.
La blonde est à quatre pattes, un homme lui cravache les fesses. Elle pousse des râles pendant que son cul se couvre de zébrures rouges.
Juan met sa main sur la cuisse de Nathalie, la caresse.
- Il bande, branle-le…
Du coin de l’œil, l'homme observe le manège. Il a une grosse bosse au niveau de la braguette.
Nathalie pose sa main sur sa cuisse, remonte vers son bas-ventre. Elle le masse à travers son pantalon jusqu’à sentir rouler sous ses doigts l’énorme pieu qu'elle fait enfler.
Il renverse la tête en arrière en respirant plus fort pendant qu'elle pétrit sa queue jusqu’à ce qu’elle troue presque son pantalon. Juan l’encourage en lui soufflant des cochonneries à l’oreille. Il plonge un doigt dans sa chatte, puis le lui fait sucer.
Elle fait sauter les boutons de la braguette du type, glisse la main dans son pantalon. Mais elle ne touche pas encore sa peau. Elle va le faire languir. Elle le frotte à travers son slip. Elle sent sa bite battre. Elle pétrit ses couilles, tire dessus, lui masse la raie du cul à travers le tissu. Il ondule du bas-ventre pour accélérer le mouvement. Le salaud est drôlement excité.
Toujours à travers son slip, elle presse le bout de son gland, l’humidité pénètre l’étoffe.

Il n’en peut plus de juter, son slip est bientôt aussi trempé que s’il s’était pissé parmi.
Sur l’écran, une fille habillée en écolière, jupette à carreaux remontée sur le ventre, offre son con rasé à la langue de son partenaire. L’image est tellement nette que l’on voit les sécrétions de la fille perler autour de la chatte, couler dans la raie.
Nathalie en est toute retournée, elle plonge la main dans le slip du type qui pousse un soupir. Sa queue est trempée. Elle ne le branle pas franchement. Elle l’agace en faisant tourner son ongle autour de son gland, sur son méat.
Enfin, elle se penche pour le sucer. Juan enfonce trois doigts dans sa chatte. Elle se met à pomper furieusement l‘homme. En même temps, elle force l’entrée de son rectum, lui fourre un doigt dans le cul. Il crache dans sa bouche quatre longues giclées de sperme qu'elle avale goulûment.
Elle en garde une petite noix dans la bouche, elle lui roule une pelle pour lui faire sentir le goût de son foutre.
Juan l’empoigne, la sort de son fauteuil. Ils se dirigent vers les toilettes. Elle entend des pas sur ses talons.
Ils arrivent dans une pissotière, éclairée d’une lumière verdâtre. Plusieurs hommes font irruption dans les toilettes. Ils s’arrêtent, interdits, observent. Ils la violent du regard, brûlent de leurs yeux avides ses seins et son sexe. Certains ouvrent leur braguette.
Juan s’adresse à eux :
- Je veux que vous la baisiez comme une chienne, elle est à vous, usez d’elle comme bon vous semble.
Ils bondissent sur elle et la collent ventre contre le mur. On relève sa jupe, on l’oblige à se cambrer, puis elle sent des mains écarter ses fesses, des doigts fouiller son con avant d’y plonger entièrement. Un homme lui fait sucer ses doigts.
Nathalie lèche ses doigts, les trempe de salive, puis elle sent la main glisser dans sa raie, lui lubrifier l’anus. Elle s’ouvre comme une fleur quand l’homme introduit un doigt. Puis il le lui fourre dans la bouche et l’y laisse.
Elle sent sa queue chercher l’entrée de son cul. Il s’enfonce d’un coup et se met à la limer. Son pubis heurte son cul à chaque ruade qu’il pousse. Elle suce son doigt pendant qu’il s’active.
Les autres quittent leur poste d’observation et entreprennent de la palper. De tous côtés, son corps est pincé, tiré, malaxé. On l’insulte copieusement. Quand l’homme se retire, elle sent son sperme éclabousser ses fesses. Il jouit en la traitant de sale putain, étale son foutre sur son cul et frotte sa main souillée sur sa figure.
Puis on la plaque dos sur le sol, on écarte ses cuisses, et un autre vient prendre sa part du gâteau. Il s’agenouille entres ses jambes, soulève son cul et lui donne des coups sur la chatte avec sa verge tendue, fait gonfler son clitoris.
Nathalie commence à couler. L‘homme hurle à ses acolytes :
- Cette salope est en train de mouiller !
Celui-ci a l’air moins pressé que son prédécesseur. Il enfonce d’abord le bout de sa queue molle, à peine un ou deux centimètres. Il imprime un léger va-et-vient qui lui devient vite insupportable, tant elle désire sa bite en elle.
- Tu la veux, salope, hein ? Tu la veux tout au fond !
- Oui, oh oui !
Nathalie le supplie comme la dernière des chiennes. Mais ce cochon prend un malin plaisir à la faire languir. Il se retire, puis lui remet le bout de son gland, la rendant folle. Elle l’insulte. Mais il continue à titiller sa moule baveuse, s’échappant chaque fois qu’elle voudrait l’engloutir entre ses lèvres gonflées.
Comme pour accroître sa , les autres lui caressent le corps avec leur queue, effleurent ses nichons, se branlent un instant entre eux, puis lui chatouillent le visage de leur queue. Nathalie se tord le cou, étire sa langue pour tenter de happer les pines tendues qui tournent autour d'elle.
On se moque. Elle est humiliée, mais peu lui importe, elle n’aura de cesse avant d’avoir sucé tous ces membres jusqu’à en extraire la dernière goutte.
- Demande-la-moi, salope ! Supplie-moi, si tu la veux !
- Oui, oui, par pitié, donne-la-moi ! Mets-la-moi au fond ! Bourre-moi !
Il crache sur ses seins, puis l’embroche d’un seul coup de reins.
Nathalie jouit immédiatement avec une force qui lui arrache des cris et des spasmes. On lui tient les bras et les jambes pendant qu’il la baise.
- Je vais te pisser dedans, grosse pute ! Je vais t’inonder le ventre !
- Oui ! Oui ! Continue ! Continue ! Ne t’arrête pas !
Elle n'est pas la seule à avoir le cul en feu. Tous les autres autour commencent à en avoir assez de lui passer leur bite sous le nez. L’un s’agenouille devant sa tête et elle peut enfin sucer sa queue qui en a visiblement besoin.
Un autre s’assoit à califourchon sur son ventre. Il se masturbe entre ses seins, les pressant autour de sa bite à lui faire mal. Les deux derniers, faute de mieux pour l’instant, la forcent à branler leur manche entre ses doigts.
Elle ne tarde pas à faire jouir le premier dans sa bouche. Elle continue à la lui mastiquer jusqu’à ce qu’il demande grâce. Elle n’a pas le temps de souffler. Un autre vient prendre sa place.
Nathalie jouit une deuxième fois quand elle sent le liquide chaud, brûlant même tellement elle est à vif, se répandre dans son con, inonder ses entrailles. Le type a dû se retenir de pisser pendant des jours. Il finit par s’arrêter alors qu'elle n’y croyait plus.
- Ecoute-moi, putain ! Je vais me retirer et tu vas serrer ton vagin pour garder ma pisse en toi, tu m’entends ?
Oui, elle l’entend, elle fait ce qu’il dit. Elle se contracte au maximum quand il se retire pour éjaculer sur son ventre. Il se relève satisfait.
Elle s’ouvre complètement, recrachant la pisse qu'elle ne peut plus contenir. Elle la sent couler entre ses cuisses, se répandre sous ses fesses, son dos.
Juan donne sa ceinture à un des hommes.
Les hommes se passent tour à tour le ceinturon. Ils la cinglent avec délectation. Peut-être n’ont-ils jamais eu l’occasion de faire ça, ces branleurs des salles obscures, alors, ils en profitent.
Ils s’interrompent de temps en temps, pas pour la laisser souffler, non, pour permettre à l’un d’eux de la bourrer par le trou de son choix.
A tour de rôle, ils l’enculent, la baisent, lui pissent dans le cul, dans la vulve, en la traitant de trou à bites, de sac à foutre.
L’un se plaint du fait qu'elle est tellement remplie de sperme et de pisse qu’il a l’impression d’avoir la queue dans un pot de crème fraîche.
- On baigne là-dedans comme dans de l’huile ! Cette salope est tellement trempée que je ne sens plus rien !
On la fouette à tour de bras, puis on la baise à nouveau.
Bâillonnée, Nathalie ne peut plus crier sa douleur et son plaisir. Elle ne compte plus les fois où elle jouit, autant par les coups que par les membres qui la bourrent, autant par les insultes que par la pisse dont on la couvre.
Elle n'est plus qu’un pantin collé au carrelage visqueux. Allongée sur le dos, elle les regarde lui pisser dessus un à un. L‘urine lui brûle les yeux, la peau, la gorge, pourtant, elle ne peut s’empêcher de jouir à nouveau. Elle s’évanouit lentement, ivre de plaisir et de douleur.
Ses cheveux collés sur la figure par la pisse font un rideau, à travers lequel elle entrevoit Juan occupé à distribuer des billets à ses violeurs.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!