Trixie - Une Virée De Débauche Totale

J'étais en train de lire, Victor vaquait à des tâches ménagères.
- Ne trouvez-vous pas que l'on s'ennuie ferme cet après-midi, nous dit de but en blanc Alfred. Je serai bien partant pour une petite virée en ville... Une virée sexuelle... Mais cela dépend de Trixie... serais-tu d'accord ma chérie... pour en être la pièce maîtresse ?
Alfred me payait une fortune pour être sa secrétaire, secrétaire à tout faire... et j'avais pris goût à ses petits jeux plus qu'érotiques... Il pratiquait le candaulisme. il souhaitait exhiber aux autres sa jolie compagne, on pouvait traduire cela par un sentiment de possessivité exacerbé. Voir les autres envier sa amie lui procurait un sentiment de puissance, de nature à stimuler son désir sexuel. Le vieux Victor et son énorme bite tout comme les autres, pouvait me baiser, mais il fallait l'accord d'Alfred !
- Pourquoi pas ! Il est vrai que cela nous mettra un peu d'animation... Es-tu partant Victor.
- Bien, dit Alfred... Trixie peux-tu mettre ta robe bustier blanche, tu sais la longue en satin qui est ouverte sur le coté jusqu'en haut de ta cuisse. Tu mets un porte-jarretelles blanc et des bas de la même couleur... Bien sûr le port du string est prohibé... Il est quatre heures... nous pourrions aller au cinéma... les salles obscures peuvent permettre bien des choses... Je vais commander un taxi...
Une demi-heure plus tard le taxi était la, je m'installais à l'arrière Victor à ma droite, Alfred sur ma gauche.
La voiture n'avait pas franchi le portail du jardin qu'Alfred m'attira vers lui et m'embrassa.
- Victor, vous pouvez vous aussi embrasser Trixie..
Je me penchais vers le vieux majordome et lui tendis mes lèvres. La main d'Alfred se faufila entre mes cuisses, Il écarta le pan de robe, dévoila ma cuisse et l'attache du porte-jarretelles. Le chauffeur, un jeune homme, intrigué par notre manège avait positionné son rétroviseur, pour nous observer. Alfred s'en était rendu compte, en souriant il écarta plus largement ma robe et découvrit ma chatte rasée.

Victor tout en continuant à me fouiller la bouche de sa langue avait dénudé mon sein droit et le caressait, le malaxait, tirait sur mon téton pour le faire ériger.
Alfred m'avait largement ouvert les jambes, deux de ses doigts écartaient mes grandes lèvres pour offrir l'intérieur rose de ma chatte au regard du chauffeur. Il avait dénudé sa queue et chercha ma main pour la poser dessus.
J'avais sortis la bite monstrueuse de Victor et me penchait pour engloutir son gland dans ma bouche,
Alfred avait saisi ma jambe gauche et l'avais posée sur son épaule, Il avait remonté ma robe plus haut que la ceinture de mon porte-jarretelles. Sa bite s'était glissée sous mon bas et il la frottait contre la peau de ma cuisse. Nous étions arrêté à un feu rouge, dans le rétroviseur, je fixais les yeux du chauffeur enfonçais mon majeur et mon index dans ma chatte, le retirais poisseux de mon foutre et les léchais langoureusement.
Pendant que la voiture était immobile, je réussi à mettre mon genou droit sur la banquette et l'autre sur le plancher, présentant ma chatte à Alfred qui s 'empressa de la remplir avec sa queue.
Le chauffeur de taxi regardait plus son rétroviseur que la route, il donnait de petits coups de freins et de légers coups d'accélérateurs, cela me faisait osciller sur la queue d'Alfred...
- Trixie regarde la queue de Victor elle est immense je crois que tu devrais t'en occuper...
Jambes grandes ouvertes, je me hissais sur les cuisses du vieux domestique, il guida sa colossale bite de presque trente centimètres vers mon anus, puis passa ses main sous mes cuisses, me souleva. Je m'empalais sur le membre turgescent en regardant le chauffeur, il avait sorti sa queue et se branlait d'une main, il roulait au pas.
- Je crois que je vais rouler encore pendant pas mal de temps, dit-il..
- Oui, oui mon ami... vous aurez droit a un gros pourboire, répondit Alfred...
Il se branlait et me caressait la peau nue au-dessus de mes bas.
Victor dans mon anus accélérait la cadence de ses pénétrations, il se raidit, me saisit les seins, les serra fortement et je sentis sa vieille semence gicler au fond de mes entrailles.
- Vous avez joui Victor....
- Oui... oui Monsieur !
- Bien... chauffeur garez-vous là, cela me paraît assez discret... Victor allez prendre sa place au volant, et vous mon ami venez prendre votre pourboire...
Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois, il bondit littéralement hors de la voiture, Victor était à peine descendu qu'il était déjà à sa place...
- Trixie veux-tu bien récompenser ce Monsieur...
Je m’installais à califourchon sur ses genoux, sa bite somme toute assez conséquente entra sans à-coup dans ma chatte bien lubrifiée. Ses mains se plaquèrent sur mes fesses en accompagnèrent les mouvements de mon bassin. J'attrapais la bite d'Alfred, et tout en l'embrassant je le masturbais rapidement. Au bout de cinq minutes de coït effréné le chauffeur bredouilla.
- Je... je vais jouir... je vais éjaculer... je... je peux le faire en vous !
- Vous pouvez mon ami, répondit Alfred avec un grand sourire, Trixie adore cela !
Il reprit sa place en bredouillant des remerciements, puis il nous déposa presque devant le cinéma. Alfred voulut régler la course, le chauffeur refusa.
- Tout va bien . S'enquit Alfred, Trixie, ça va, tu as aimé .
- Oui Alfred... un peu de rouge à lèvres.
- Et vous Victor... prêt à nouveau...
- Vous savez Monsieur, Mademoiselle Trixie est tellement belle, et elle m'excite tellement que je peux éjaculer au moins trois fois...
- Bon il va falloir choisir... pas le film, mais notre nouveau partenaire... Le chauffeur m'a un peu déçu, vraiment rapide son éjaculation dit Alfred en riant. Tu sais Trixie qu'au plus ils sont laids, plus ils sont gros, au plus je me régale de les voir te baiser... Car vois-tu, ceux qui ne sont pas gâtés par dame nature... mettent trois fois plus d'ardeur à satisfaire leur partenaire, surtout si elle est belle.
..
- Je sais Alfred, je sais... mais tu as oublié un truc...
- Ah ! Lequel ?
- En plus de leur laideur, tu adores lorsque dame nature les a doté d'une grosse bite... c'est pour cela que tu as embauché Victor non, pour le voir m'enfiler son énorme queue... devant toi !
On entra dans le Hall, il y avait trois files d'attente. Il n'y avait pas le spécimen recherché, gros et laid...
- Tant pis, celui-la fera l'affaire, mets-toi derrière lui.
Le gars entre deux âges attendait les mains dans le dos. Je me plaçais derrière lui, nous étions le derniers. Je sentis les mains d'Alfred qui écartaient le pan de ma robe. Ma cuisse se découvrit, il l'écarta encore découvrant ma chatte lisse et rasée, elle était encore humide du sperme du chauffeur de taxi..
- Avance, avance jusqu'à ce que ta chatte touche ses mains... me chuchota Alfred dans l'oreille.
J'avançais doucement, ce fut l'attache de mon porte jarretelle qui frôla en premier ses mains, puis j'avançais mon bassin. Il sursauta, puis ses doigts inquisiteurs, se promenèrent sur mes jambes, tâtant les attaches puis les lanières de mon porte-jarretelles. Je su qu'il avait compris ce qu'il touchait, ses doigts remontèrent encore et palpèrent ma chatte, frôlant mes lèvres. Alfred laissa retomber ma robe.
Le gars se retourna, me souriant.
- Elle est vraiment très douce...
On prit notre billet, il ne nous quittait pas d'une semelle.
- Mettons-nous de ce côté dit Alfred, il n'y personne c'est désert ! Trixie mets toi à coté de Victor... je me met un peu lus loin !
La salle était presque déserte, avec Victor je m'installais sur la première rangée de sièges. Le gars s'assit juste derrière nous. La lumière baissa, la projection commença. Victor posa sa main sur mon genou et lentement écarta et fit remonter ma robe de satin blanc, je m'étirais. Il découvrit largement ma chatte encadrée du porte-jarretelles blanc. J'écartais largement les jambes. Notre voisin ne perdait de vue aucun de nos gestes.
Victor passa devant moi, il se mit à genoux entre mes cuisses, les caressa longuement, jouant avec les lanières du porte-jarretelles, sa tête se pencha et sa langue se mit à parcourir mon mont de Vénus. Je lui dirigeais la bouche vers ma fente énormément mouillée,
du sperme suintait légèrement. Je sentis son appendice buccal s'insinuer entre mes grandes lèvres, un soupir de contentement s'échappa de ma bouche. Mon bassin se tortillait lascivement.
- Ouuiiii, ouuuiii c'est bon, c'est bon murmurais-je assez fort pour celui qui était assis juste derrière moi l'entende.
Juste à ce moment, je sentis sa main se poser sur mon épaule nue, je tournais la tête le regardais d'un œil surpris. Elle descendit lentement dans ma robe et sortit mon sein. Il se mit à me le caresser, le malaxer, me triturer le téton. Victor aspirait ma chatte, suçait mon clitoris, enfilé trois doigts, les ressortait, je gémissais... Mon voisin sortit mes deux seins, les pétrissant de plus en plus fort, il se mit à me lécher le cou avec de petits coups langue baveuse, me mordilla le lobe de l'oreille. Mon bassin ondulait de plus en fort sous les caresses buccales de Victor.Celui-ci se leva, s'assit sur un fauteuil son énorme sexe dressé vers le plafond.
- Viens me sucer... me susurra Victor
Je me mis à genoux devant lui, le gars frustré de ne plus pouvoir me pétrir les seins se leva et vint derrière moi. Il me releva la robe jusqu'à ma taille. Alfred était venu s'asseoir à coté de nous.
- Écarte les jambes salope...
- Mais... minaudais-je
- Trixie obéis au monsieur, me dit Victor....
Le gars passa sa main gauche sous la ceinture de mon porte-jarretelles et de la droite guida sa bite vers ma chatte baveuse et grande ouverte. Il l'enfonça lentement sans arrêt jusqu'à ce que ses couilles viennent battre mes cuisses.
- Putain ce que tu es bonne... ma bite glisse toute seule... tu la sens, bien au fond...
Je continuais ma fellation avec Victor tandis qu'il me martelait rythmiquement le vagin, il allait de plus en plus vite...
- Dites, lui dit Alfred, pourquoi n'essayez-vous son petit trou du cul ? Elle adore se faire prendre ainsi... pas vrai ma Chérie !
- C'est vrai Salope ce que dit le vieux monsieur !
Et sans attendre sa bite força mes sphincters, il n'y avait pas longtemps que Victor m'avait sodomisé
cela facilita grandement cette insertion...
Il me pilonna pendant cinq minutes, puis il enfonça la totalité de son pieu dans mes entrailles, lâchant mes hanches, ses mains saisirent mes seins et les broyèrent. Il éjacula avec de longs spasmes.
- Tien salope, tiens... au putain qu c'est bon... tiens il y en a encore...
Il se retira, Victor se tétanisa et déversa son sperme dans ma gorge... Le gars se réajusta et sans un mot quitta la salle de cinéma.
- Pas mal dit Alfred... Trixie tu es divine... Victor est en forme c'est la seconde fois qu'il jouit. Moi je me régale de vous voir prendre votre pied ! Mais je commence à avoir faim... si nous allions manger un morceau ! Peut-être trouverais-je pitance à mon goût... dit-il en me regardant d'un air malicieux.
- Oui, je connais un resto, Marcel le patron est un ami, la bouffe est bonne et il m'aime bien ! je vais lui téléphoner...
- Demande-lui, si parmi ses clients il n'en a pas un laid et gros...
- Attends... oui, il en a un qui correspond... en plus il est assez vieux... Veux-tu que je lui dise de l'installer dans le salon à l'écart...
- Oui, ça pourrait être le pied !
Un quart d'heure plus tard nous débarquâmes tous les trois dans le restaurant.
- Bonjour Trixie;
- Toujours aussi belle et aussi sexy...
Je lui fis un clin d’œil et j'écartais rapidement ma robe pour lui laisser entrcevoir ma chatte, glabre.
- Oui, j'avais compris... je vous l'ai mis dans le petit salon... vous serez tranquille !
En effet le monsieur était assis seul à une table, il était comme le désirait Alfred, gros, pas très beau, des lunettes, chauve et assez vieux.
On s'installa à la table à côté, je n'en étais séparée que par 80 centimètres, Alfred s'était assis à ma
gauche. Marcel nous servit les apéritifs.
- On va pouvoir commercer les hostilités, me murmura Alfred !!!!.
- A votre santé, dit le vieil homme en levant son verre.
- A la votre, dis-je pivotant sur mon derrière et me tournant vers lui.
Le regardant en souriant, j'écartais lentement les jambes, ma robe s'ouvrait sous son regard ébahi, elle découvrit d'abord l'attache de mon porte-jarretelles, la peau nue au dessus de mes bas blanc, puis elle remonta tirée par ma droite et dévoila petit à petit ma chatte imberbe et lisse.
Je le fixais dans les yeux, lui faisant des yeux de velours, passant doucement ma langue sur mes lèvres. Ma robe était grande ouverte, offrant ma nudité à son regard abasourdi. Ma main gauche, caressa mon mont de vénus, puis avec mon majeur et mon index j'écartais mes grandes lèvres pour lui laisser apercevoir la profondeur rose de mon conduit vaginal, luisant du sperme qu'il avait recueilli, lors de la séance de cinéma.
Ma main droite partit malaxer mes seins au travers de ma robe. Il me bougeait plus, le verre figé en l'air, fouillant du regard mon sexe, que ce petit jeu commençait à faire mouiller.
Alfred m'entoura les épaules, il m'attira vers lui, me faisant presque coucher sur son corps. Il me caressa les seins à travers le tissus de ma robe, et sa main gauche se dirigea vers ma chatte. Son majeur frotta doucement ma fente, puis s'insinua entièrement, me tirant un gémissement de plaisir.
Puis de ses deux mains me sortit les seins de la robe, les malaxant doucement, tirant sur mes tétons.
Notre voisin respirait de plus en plus vite, rouge écarlate, il commençait à tressauter sur sa chaise.
- Sors ma queue et branle moi, dit Alfred.
Tandis que je lui obéissais, il me fit lever, me poussa vers le vieil homme.
- Embrasse le... c'est comment votre nom monsieur ?
- Jeannot... réussit-il à bredouiller
Ma bouche se plaqua sur celle du vieux, ma langue força ses lèvres... il se mit à me caresser les seins d'une main tandis que l'autre partait explorer ma chatte, son majeur se glissa dans mon conduit vaginal.
- Sors lui la bite, branle le... et penche toi un peu que Marcel puisse t'enfiler sa queue...
En effet ce coquin de vieux Marcel, c'était approché sans bruit... espérant participer comme la dernière fois à la fête.
- Oh oui dit Marcel, joignant le geste à la parole, il y a vraiment longtemps que je n'ai pas baisé mademoiselle Trixie !
Je masturbais avec vigueur le vieux, sa bite de vingt centimètres de long était très large, il était couché sur le dossier de sa chaise et haletait de plus en plus fort. Marcel éjacula en moi je frôlais l'orgasme mais ne prit pas mon plaisir.
- Maintenant, si tu veux bien, tu vas faire une fellation à Jeannot... dit Alfred... il faut que tu le fasses éjaculer... regarde les grosses couilles qu'il a !
- Et moi ? Depuis le temps que je me fais baiser, je n'ai pas encore joui...
- Victor, Trixie désire connaître un orgasme...
- Ses désirs sont des ordres monsieur.
L'immense mandrin du majordome pénétra à nouveau mon sexe béant et ruisselant. Ma bouche s'activait sur le gros sexe de Jeannot, je le branlais ardemment, ma langue léchait ses couilles velues, il geignait de béatitude, le visage congestionné, grognait en se tortillant mais n'éjaculait pas. Victor était en train de faire naître un tourbillon de plaisir dans mes entrailles.
- Je crois que votre pipe, si bonne soit-elle n'arrivera pas à me faire jouir, mademoiselle Trixie, je n'ai qu'un désir c'est de rentrer ma bite dans votre chatte, j'en meurs d'envie... s'il vous plaît... geignit Jeannot !
- Eh bien Trixie, dit Alfred qui ne perdait rien du spectacle, je crois qu'il va falloir le satisfaire !
Victor cessa ses pénétrations, je me mis à califourchon sur les jambes ridées de vieux monsieur, et m'empalais lentement sur son rouleau, qui malgré son âge était dur comme du bois. Victor avait attisé mon désir, je montais et descendais le long de la bite de Jeannot, l'embrassant, frottant mes mamelons contre son torse graisseux et poilu, le plaisir montait, mon ventre s'embrasait, un cri sortit de la gorge de Jeannot, il se raidit et son sperme gicla dans ma chatte au moment ou l'orgasme me
transperça le corps et le cerveau, mes muscles vaginaux se crispèrent autour de la vieille bite, ce qui procura un dernier spasme de jouissance au vieillard. Alfred debout à coté de moi, me présenta sa queue.
- C'est extra, ouvre vite la bouche, avale mon sperme...
- Çà y est, dit Marcel, en riant je vais pouvoir servir.
Jeannot nous invita, le repas fut excellent et surtout bien arrosé... On se quitta, pas ivre, mais très éméchés. Il était vraiment tard. Sur le chemin du retour, nous avions décidés de marcher pour évacuer les vapeurs d'alcool, Alfred était intenable, Il bousculait les poubelles, s'essayait à chanter des chansons paillardes... On croisa une patrouille de police, il se moqua d'eux. Tant et si bien que les représentant de l 'ordre nous arrêtèrent tous le trois pour finir la nuit en cellule de dégrisement.
Au commissariat, il y avait deux cachots puissamment éclairés, séparés par des barreaux. Dans chaque cellule un espèce de lit trônait au centre, l'un deux était occupé par une sorte de clochard trapu, assez gros, moustachu le cheveux longs, il avait l'air de dormir
Alfred discuta longuement à voix basse avec notre geôlier, Il me sembla que des billets changeaient de main.
- Bon vous deux, les deux mecs entrez ici, vous mademoiselle dans celle-ci.
Il me poussa presque dans celle ou dormait le clochard, ferma la porte à clef, et quitta la pièce.
- Pourquoi, m'a-t-il séparée de vous ?
- Tu ne t'en doutes pas un peu, me répondit Alfred... en souriant.
Je fis la moue, en regardant l'homme qui dormait, il n'était pas ragoûtant. Je venais de comprendre le scénario d'Alfred. Un frisson me parcouru la colonne vertébrale faisant pointer mes tétons à travers le tissu de ma robe. Je m'assis sur le lit, ce qui le réveilla.
- Putain, c'est quoi ce bordel... Qui êtes-vous ?
Puis réalisant qu'il se trouvait en présence d'une jeune fille super sexy, il s'assit tout contre moi.
- Alors jeune demoiselle, on s'est fait mettre en prison, quel dommage ! C'est vos amis à côté ? Vous avez froid, on devine vos mamelons sous votre robe...
- Oui, vous pouvez vous en assurer dit Alfred.
- Je n'ai pas besoin de votre permission !
Il se rapprocha encore plus, je sentais son haleine fétide dans mon cou. Il descendit lentement le bord ma robe, jusqu'au ras de mes aréoles, puis il me prit la tête et m'embrassa, puisque Alfred m'avait bradée cette fois sans mon avis, je ne résistais pas et lui rendis fougueusement son baiser. Sa main droite descendit le long de ma gorge, s'insinua dans mon décolleté et sortit mes deux seins. Il les saisit à deux mains et se mit à les malaxer, les presser, les frotter l'un contre l'autre, tirant, pinçant griffant mes petits cônes bruns, qui s'étiraient de plus en plus montrant qu'ils appréciaient ce traitement. Il me fit lever et tira lentement ma robe vers le bas, dénudant mon bas ventre...
- Oooooohhhhh putain Salope, tu ne portes pas de culotte, et tu as des bas et un porte-jarretelles... putain c'est noël avant l'heure... en plus ta chatte est rasée... tu es super...
IL quitta entièrement ma robe, sa main droite se plaqua sur mon pubis, son majeur et son index se faufilèrent dans mon conduit vaginal, il fit quelques allers et retours.
- Putain, mais tu mouilles... je te fais de l'effet ! Mets toi à quatre pattes sur le lit, écarte les jambes, voilà... je vais te lécher ta jolie chatte si douce...
Sa tête se coula entre mes jambes, sa langue commença à lécher ma fente, pénétrant mon intimité ruisselante, ses lèvres aspiraient mon clitoris, ses mains continuaient leurs douces caresses sur mes deux seins. Je gémissais sans discontinuer, je commençais à onduler du bassin, essayant de faciliter l'insertion de son appendice buccal au plus profond de mon vagin, sa caresse dura une éternité...
Il me fit coucher sur le lit, la tête posée sur le montant, et me présenta sa queue, elle était énorme aussi grosse et aussi longue que celle de Victor, ses couilles volumineuses. J'ouvris la bouche, il la tenait de sa main droite, et la guidait entre mes lèvres, sa main gauche caressait mon sein gauche, le pressant étirant mon téton. Il entrait et ressortait son membre de ma cavité buccale essayant chaque fois de le faire entrer plus profondément. Je le pris à deux mains, ma bouche s'enroula autour de la colonne de chair, mes lèvres remontèrent doucement la hampe tendue et la majeure partie disparue dans ma gorge, je renouvelais plusieurs fois l'opération avant de lui sucer et téter le gland, ce qui lui
tira des grognements de satisfaction.Il me tira au bord du lit, m'écarta les jambes, me posa le pied gauche sur son épaule, sa bite s'enfonça dans ma chatte trempée, il me besognait lentement, me caressant les seins, passant sa main sous les lanières du porte-jarretelles, pinçant la peau de ma cuisse, j'écartais grandement mes jambes pour lui permettre d'enfoncer son phallus le plus loin possible. Il fixait Alfred et Victor avec un sourire amusé. Son pouce massait mon clitoris me tirant des geignements d'extase. Mes deux compères, les pantalons sur les chevilles, se masturbaient avec vigueur dans la cellule d'à côté. Le clochard les regarda, il me fit lever, me fit prendre appui sur les barreaux de la grille, face à eux. Il m'écarta les jambes et enfila brusquement son énorme rouleau, la brutalité de l'assaut plaqua mes seins sur les barres d'acier. Il mit sa main entre mes omoplates, et me força à rester ainsi. Mais c'était indéniable, cette étreinte sauvage, tirait du plaisir de mon corps, je haletais, poussant de petits cris de plaisir. Mon bassin allait à l'encontre de la bote qui me pourfendait.- Petite salope, me dit Alfred en me caressant les seins à travers les barreaux, tu vois que tu prends du plaisir ! J'en étais sûr, tu l'aimes sa bite, dis-moi que tu l'aimes...- Ouiiiiiii, ouuuuiiii... murmurais-je... je suis une salope...
- Alors les vieux, ça vous plaît de me voir la baiser... Il y avait longtemps que je n'avais pas forniqué ainsi... putain, sa chatte est vraiment bonne à prendre, je peux y enfiler entièrement ma bite.
Cela m m'excitait encore plus de voir la jalousie poindre dans les yeux du vieux Victor, de voir qu'Alfred était au bord du nirvana... Je sentais que je n'allais pas tarder à jouir, lorsque le trimard cessa ses pénétrations. Je le regardais surprise, mais il tourna le lit perpendiculairement à la grille de séparation des deux geôles.
Il me coucha sur la paillasse, le cul tourné vers Alfred et Victor.
- Regardez bien, et appréciez la sodomie, je suis sûr que cette salope va adorer...
Tenant sa bite monstrueuse d'un main, il dirigea la gland vers mon petit trou intime.
- Oh putain, mais elle entre toute seule... Salope tu dois avoir l'habitude de te faire enculer !
Il me besogna encore et encore, me tirant sans discontinuer des roucoulements, des cris de plaisirs,
Mon plaisir montait rapidement, le sien aussi car il accélérait sa cadence.
Rapidement, il retira sa bite de mon cul, et l'enfila dans ma chatte, de longs jets de sperme chaud giclèrent en moi, se frayant un chemin entre les contractions de mon vagin que mon orgasme avait, me semblait-il, déconnecté du reste de mon corps.

A suivre...

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