Collection Homme Femme. Violoncelliste. Saison I (1/5)

J’avais dix ans quand maman violoniste de nombreuses années dans l’orchestre symphonique de Paris m’a inscrite au conservatoire.
J’ai appris le solfège, obligatoire pour jouer de tout instrument.
Rapidement j’ai essayé de jouer du violon comme maman mais avoir les bras levés me posait un problème.
C’est ainsi qu’avec l’aide des professeurs, conscients du bien-être que nous devons ressentir, j’ai voulu m’orienter vers le violoncelle.
À cet âge, votre sexualité même si elle existe nous est inconnue.
À quinze ans les sensations ont commencé à évoluer.
Mes parties génitales ont commencé à prendre les formes devant changer ma fantine en mont de Vénus bien rebondi et des lèvres assez proéminentes que je peux appeler grandes lèvres.
Mes premiers poils sont apparus et tous les jours ayant récupéré une petite glace, je les comptais.
Rapidement je me suis arrêtée de compter, dépassée par le nombre, pour arriver à la belle toison brune qui orne ma chatte aujourd’hui.
Dans le même temps mes seins ont commencé à se développer et ce sont eux qui les premiers m’ont posé un léger problème.

Je venais de fêter mon dix-septième anniversaire, le jour du concours annuel de validation des acquis.
C’était l’avant-dernière année que tout a commencé.
J’étais seul face au public autorisé à être présent.
Hélas j’aurais aimé la présence de mère mais elle était partie aux États-Unis pour un concert.
De son côté mon père l’ayant quitté pour une flûtiste qui a su jouer de son instrument avec ses lèvres alors qu’il jouait des percussions lui aussi m’avait laissé seule.
Mes parents se croisent de temps en temps au gré des concerts qu’ils donnent l’un l’autre.
Leur absence a pu donner libre cours aux sensations ressenties pour la première fois.
J’étais habituée aux vibrations que l’instrument faisait passer dans mon corps. Mais là les jambes écartées face au public, j’ai ressenti une autre forme de plaisir.


Est-ce que mon intimité cachée par la grande robe longue que j’avais mise pour cette occasion sans sous-vêtement afin d’éviter les traces disgracieuses que je m'ouvre à ma vie de femme ?
Est-ce le bois précieux de la caisse de résonance qui touchait la partie intérieure de mes cuisses sans pour autant toucher mon sexe, qui a entraîné ces sensations nouvelles et fugaces en moi ?
Est-ce le haut de mon corps et particulièrement mes seins où reposait l’instrument ?
Ce qui est sûr c’est qu’en montant mes gammes comme la partition que je devais suivre me l’imposait, de la chaleur s’est fait sentir partant de mes seins pour redescendre vers ma chatte.
Pour la première fois je sentais ma petite culotte se mouiller.
J’ai attaqué le morceau le plus difficile sans savoir si la boule qui montait en moi allait me permettre d’aller jusqu’au bout sans défaillir.
Je me concentrais sur les lignes de notes afin d’éviter de regarder le public qui était certainement la cause de mon trouble naissant.
Aurais-je eu les mêmes sensations si l’un de mes parents avait été présent, je l’ignore ?
M’exposer pour la première fois devant un public avait une saveur toute particulière.
Savoir que j’étais à la limite de ma première grande jouissance sans que personne à ce moment en ait la moindre idée étaient deux fois plus jouissives que les petites masturbations qu’une jeune pucelle de mon âge se faisait la nuit dans son lit.
Le moment où j’ai attaqué le morceau libre, c’est dévasté que je l’ai terminé.
À la note finale pour la première fois la boule a éclaté, entraînant un orgasme du moins j’en étais persuadée.
Dans le flou de mes yeux, j’ai vu le jury se concerter.

- Très bien, mademoiselle Isabelle, vous êtes admise en deuxième année. Vous avez les félicitations spéciales du jury qui souhaite que vous continuiez à jouer avec toujours autant d’intensité vos partitions.
Tous ont ressenti la ferveur qui passe entre vous et nous par l’intermédiaire de votre instrument.

On sent que tout est en osmose chez vous, le cerveau l’archet, le violoncelle et votre corps.
Encore félicitations.

Dès le début de ma deuxième année quand je répète, j’ai interdit à ma mère de venir dans ma chambre lorsqu’elle est là.
Je leur ai fait croire que c’étaient mes profs qui me l’avaient suggéré afin de garder mon jeu pour les grandes représentations auxquelles j’allais être immanquablement obligé un jour prochain de donner en public.
La cause était tout autre, à partir de mes entraînements d’été, j’ai pris l’habitude de jouer nue, mes jambes étant plus ouvertes que nécessaire rapprochant le bois précieux de l’instrument de mon propre instrument.
Chaque fois ces séances se sont terminées par une jouissance au point d’être obligé de mettre un linge sous mes fesses pour éviter de tacher mon siège.
Je mettais à laver cette serviette-éponge discrètement afin d’éviter les questions embarrassantes.
Lors de la reprise des cours, juste après avoir joué mon morceau en solo, mon professeur bel homme d’une quarantaine d’années me fait venir dans son bureau.
Il est assis sur sa chaise de travail son violoncelle posé à son côté.

- Jouis-tu toujours quand l’on te regarde jouer ?
J’ai bien vu ton corps se tendre à la fin de ton morceau libre lors du concours de fin d’année, c’est bon de jouir en public.
- Monsieur de quoi parlez-vous ?
Jamais je ne me permettrai cela en public.
- Arrête de me prendre pour un imbécile, si tu savais le nombre de fois où j’ai éjaculé dans mon pantalon en fixant l’une des jolies femmes du premier rang.
Certaines immanquablement écartaient leurs cuisses lorsqu’elles voyaient qu’elles étaient mon centre d’intérêt.
Avec le temps j’ai appris à me contrôler, mais je peux te dire que dès que je sors de scène, je cherche à coincer la dame ou la demoiselle et que la queue que je lui enfile la fait partir vers le septième ciel.

Je vais te le prouver, nous allons jouer tous les deux face à face cette partition sachant que je t’avais convoquée.
Assieds-toi.

Je m’installe et je constate rapidement que le morceau qu’il a choisi était l’un de ceux par les sonorités que mon archet produisait donnaient les plus belles vibrations à tous mon corps.
Nous jouons en osmose et quand la dernière note sort, il écarte son instrument me montrant la belle bosse dans son pantalon.
Je suis chaude bouillante, je me lève écartant moi aussi mon instrument, je m’avance hypnotisée par la longue verge fine, qu’il a sortie de son pantalon.
Je me baisse et sans savoir ce que je fais, instinctivement je la prends dans ma main.

- Suce petite salope.

Ma main la tient bien droite afin qu’elle plonge le plus loin possible dans ma gorge après cet ordre.
Je la fais passer le long de ma glotte, je me surprends à ce que mes lèvres lui touchent les couilles.

- Merci Isabelle mais donne-moi ta chatte, je vais vérifier que ma théorie est la bonne pour toi aussi.

Je me relève et je le laisse passer sa main dans mon pantalon que je porte pendant mes cours.
Ses doigts sur ma chatte trouvent une grotte sans protection, car depuis le concours de fin d’année jouée avec pour point d’orgue mon orgasme, je veux me sentir libre de toute entrave.
Ma nounou qui s’occupe de la maison en l’absence répétée de ma mère pour ses concerts s’est étonnée.
J’avais deux solutions, soit en mettre au linge à laver sans les enfiler ou lui dire pourquoi je les avais enlevés.
J’ai choisi la deuxième solution.
Mon prof est surpris mais il se reprend.
Ayant baissé puis enlever ce pantalon le gênant, il me fait l’enjamber afin que sa queue soit dans l’axe de ma fente vierge.
Je crie un petit coup lui montrant ma première fois.

- Excuse-moi Isabelle, j’étais persuadé que tu avais déjà connu le loup.

Merci de m’avoir offert ta virginité.

Il prend pour la première fois ma bouche et c’est nos sexes soudés et en feu que je le sens se déverser en moi.
Je suis accrochée à son cou lorsqu’un orgasme monte et qu’il le reçoit sur mes lèvres.
Quand je reprends pied sur terre, j’ai envie de le reprendre en bouche, mais reculant je m’aperçois que macule sa verge.
Même si ces beaux cela m’impressionne.
Nous nous séparons, il veut que je quitte son bureau car rester plus longtemps pourrait paraître suspect.

Bizarrement deux choses ont changé après mon dépucelage.
La première, le bureau de mon professeur s'orne d’un canapé.
Il a donné comme motif à la directrice qu’il avait besoin de s’étendre après les nombreuses heures qu’il passe à s’occuper de nous.
La deuxième, il me fait jouer la dernière certainement pour que mon sexe soit bien chaud avant que nous le rejoignions.
Il m’apprend tout ce qu’une bonne maîtresse doit savoir-faire à un homme pour qu’ils prennent le maximum de plaisir.

C’est le début du deuxième trimestre, il trouve une nouvelle méthode pour que nos rapports soient plus longs.
Souhaitant me perfectionner, il apporte un magnétophone, je suis la seule élève à qui il donne des cours particuliers.
Je viens avec mon violoncelle, nous nous mettons nues et nous jouons jusqu’au moment où je joue seule.
Il démarre le magnétophone et les morceaux enregistrés prennent le relais.
Nous donnons le change pour les personnes passant dans le couloir.
Il a tout prévu comme dans les hôtels, un panneau « Ne pas déranger » pend à la poignée de la porte.
Nos excitations provoquées par le bois et ces notes qui passent en nous nous permettent des moments de pure folie.
Dès que je suis bien échauffée et sa verge bien bander nos baises deviennent dantesques.
Ce sont mes seins sur le dossier du canapé où il me place à quatre pattes qu’il me sodomise.
Dès qu’il a répandu son sperme dans mon anus il me remercie.

- Isabelle ma femme m’a toujours refusé ce plaisir.

Mon plaisir se trouve décuplé par mes entraînements nues dans ma chambre ou ici.
C’est bien volontiers que j’accepte que régulièrement il me mette deux doigts dans la rosette pour lui faciliter le chemin par cette voie.
J’adore qu’il me sodomise et il adore me sodomiser, nous sommes donc en phase tous les deux.

L’année se passe sans encombre jusqu’au concours qui va me permettre de valider mes années d’études, avant d’entrée dans la vie active.

Ma jouissance face à mon public est identique en deux fois plus fort que le souvenir que j’ai de l’année passée.
La présence de ma mère à Paris au deuxième rang aurait pu changer quelque chose mais le résultat est le même à la seule différence que ma chatte est nue.
Celui qui a toute mon attention c’est le frère d’un élève de première année de violon qu’il est venu le soutenir et qui est assis à ses côtés.
Remarquant son regard sur moi, d’un coup c’est pour lui que je me mets à jouer…

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