Les Motards 2

Les motards 2

Il téléphone et dit seulement
" Tu peux venir
Il me regarde, sourit
" Mon copain arrive, il va te baiser.

Etourdi par le plaisir que je viens de récolter, je reste sans voix, stupéfait et ravi de ce que je viens d'entendre.
Avant que je ne réagisse, son malabar de copain, habillé de cuir, le casque à la main, pénètre dans la chambre.
Je suis nu, sur le dos, en travers du lit, exposé comme un objet sexuel, les jambes écartées et le cul offert, devant mon superbe mâle alpha poilu comme un bouc qui bave d'excitation de me reloger son énorme braquemart dans mon cul, de me saillir, me féconder jusqu'à ce que ses couilles se tarissent.

" Putain, le beau petit mec. Tu as bien profité…j'ai eu le temps de boire deux bières tranquille.
" Il a un petit cul délicieux.
" J'ai trop envie de le baiser, moi aussi. Vas y, bourre lui encore le cul.

Sans la moindre gêne, le grand poilu m'attire sur le bord du lit, me lève les jambes, et me ré encule. Mes gémissements ne le contrarient pas (il faut quand même se la reprendre dans le cul, sa bite majestueuse). Son copain, les yeux pétillants, s'approche et constate, émerveillé, l'ouverture de mon cul à ce phallus de rêve. Il regarde ce magnifique piston coulisser et effec sa mission, à la recherche de l'orgasme, s'apprêtant à un moment ou un autre à lubrifier l'intérieur de mon corps.
Je suis ouvert, offert, sans la moindre pudeur. Tout est possible, je le veux en moi. Cette queue m'envoie au nirvana à chaque passage de ma rosette, lorsqu'elle glisse, lorsqu'elle bute en moi, me donnant l'impression qu'il me fouille le ventre.

" Il la prend bien dans sa petite chatte de mec. Regarde comme il aime ça.
" Oui, elle rentre bien. Je le baiserais bien pendant des heures.
" Vas y, profites.

Le balèze, la main à se caresser la braguette de son jean, la bouche ouverte et bavant de désir, commence à se déshabiller.

Mon enculeur me laisse admirer ce stip tease viril et se régale de l'effet de son copain sur moi.
Naturellement, comme je l'avais remarqué, c'est " un beau bestiau" et je crains le pire. Tout est costaud chez lui, la carrure, les bras, le ventre, les cuisses, le tout bien proportionné. Lui aussi est velu à souhait mais un poil ras, noir, assez dense, agrémenté de nombreux tatouages.
Lorsqu'il enlève son boxer, je découvre une queue magnifique, grosse, épaisse mais moins longue de plusieurs centimètres, un solide manche de pioche pour manuel confirmé. Il fini de la décalotter et découvre le gland, un superbe abricot d'une beauté divine. Son bambou va très bien au bonhomme, surtout qu'il a lui aussi une splendide paire de couilles, un beau sac gonflé de sève tel que je rêverai d'avoir entre les cuisses. Je suis rassuré, ravi, ébloui.
Qu'ils sont beaux, ces deux hommes…des mâles dans toute leur splendeur. J'ai hâte que ce "beau bestiau" profite de mon corps et me besogne sans limite.

" Il te fait envie, ma petite salope" me dit alors le poilu.
" Oui, toi aussi, t'es très beau.
" T'aimes bien ma queue?
" Oui, elle est trop bonne. Tu fais ça trop bien.
" Merci mon bébé. Profites et fais toi plaisir.

Il saisit ma main et la dirige vers ses tétons perdus dans sa toison dense et reprends à me coulisser toujours avec douceur. C'est un véritable bonheur que je souhaite à tous ceux qui aiment l'amour entre hommes. Son excitation est montée au moins de deux crans devant son copain.
Je le veux, je le désire, mon mâle, mon étalon. Mon corps vibre, se prête à ses ondulations et répond à sa fougue lorsqu'il vient chercher un baiser ou cracher sa salive entre mes lèvres. Son crin, son poitrail velu m'électrisent et il ne faudrait plus grand chose pour que je jouisse mais je le sais, je veux profiter de son copain qui attend, la main sur le manche et ne cesse de répéter, excité:

" Oh, Putain, oh, putain…

Il me fait changer de position juste à temps, avant de j'éjacule, m'allonge sur le lit, le cul à l'air bien sûr, les jambes au sol.
La position est parfaite. Il m'a déjà enculé comme ça. Je sens trop bien son phallus me démonter le cul, m'ouvrir la rosette.
Chaque enculage est un ravissement, avec douceur, bien profond. Il se réjouit de m'entendre geindre de plaisir sous ses étreintes viriles. Il se couche pratiquement sur moi tout en me perforant de son énorme braquemart sans le moindre ménagement, m'arrachant des plaintes d'enculé de première classe. Je ne contrôle plus rien. Je sens mon sexe se vider de sperme, d'urine, va savoir, à chaque introduction virile qui masse ma prostate. Les larmes aux yeux, j'exulte, je crie, j'atteints des sommets, je découvre l'amour, le bonheur, le paradis…

" Tu prends ton pied, ma p'tite salope
" OUUUUiiiiiiiiiiiiiiiiii

" Putain, tu vas lui défoncer le cul, mon salaud.
" Il en veux, il aime bien ça. Humm, je le baiserais bien pendant des heures.
" Je voie ça. Tu n'as pas de mal à loger ta grosse pine.

Il continue de me combler de son ardeur pendant un bon moment, ronronne de plaisir. La chaleur de son corps contre moi, ses bras musclés et poilus qui me serrent…je bande encore, comme un miracle, un cadeau de la nature….le feu est en moi.
Puis il se retire…et me laisse avec son copain, le balèze.
Celui ci est derrière moi, passe un doigt dans mon cul sans doute affreusement dilaté, se penche à mon oreille pour me dire:

" Allez, viens jouer avec moi, maintenant.

Puis il m'entraine et nous nous retrouvons allongés sur le matelas au sol.

De façon surprenante, avec sa carrure imposante ( il doit bien peser 110 ou 120kg) il commence par me rouler une pelle. Il bave sur moi, me fouille la bouche, impose sa force. Il est collé contre moi, parcourant mon corps de ses mains larges et épaisses, me léchant sans tabou. Rien n'est laissé à l'abandon, tout en moi lui plait. Puis, soudain, sans que je ne m'y attende, il m'entraine vers sa bite pour que je le suce.

L'instant est magique pour moi. J'aime ça, j'adore. De bonne grâce, je lui salive et honore son gland et lui fait don de mes meilleurs talents de suceur, même s'ils sont récents. Sa bite est belle, épaisse, d'un goût exquis. Elle sent le mâle, comme tout son corps. Moins longue mais tout de même épaisse, j'avais mal évalué le matos. Il est superbement équipé. J'arrive à la prendre en bouche, c'est déjà mieux que pour son copain, même si je ne prends pas toute la longueur. La base, elle, est sacrément épaisse.
Il ronronne de plaisir.

" Oh, Nom de Dieu, tu suces bien!

Tout en m'appuyant sur la tête pour essayer de me la loger jusqu'aux couilles.
Je résiste à la pression puis me décide, au moment ou il a abandonné l'idée, à lui faire une gorge profonde. D'un mouvement volontaire, je me lance et arrive à toucher de mes lèvres son sac de couilles. Sa main immédiatement me maintient, force encore, j'ai le nez dans ses poils, son gland qui me racle le fond de gorge…j'ai réussi. Je me dégage, bavant, haletant, sur le point de vomir, mais vainqueur. Il me laisse faire une autre tentative, réussie elle aussi.
Il me saisit la tête et vient me rouler une pelle…il a bien aimé. Pour me récompenser, sans doute, il se met sur le côté et m'invite à sucer ses tétons. Il a sucé les miens il y a quelques instants et les a fortement titillés au point qu'ils sont maintenant rouges, gonflés, ultra sensibles.
Je m'applique à lui rendre la politesse. Les siens sont démesurés, beaux, gros. Je les prends bien en bouche, les mordille, les suce, les lèche, le tête comme un petit veau. Il se tord de plaisir tellement il apprécie et me complimente, me caresse, me presse contre lui.
Pris dans une grosse excitation, je me mets à lui sucer et lécher tout le corps, sans comprendre ce qui m'arrive. Ce mec ne corresponds pourtant pas le plus à ce que j'aime. Je n'essaies pas de comprendre, je me lâche. Tout y passe, même les aisselles. Il se prête au jeu, se met sur le ventre et propose son cul, que je salive lui aussi.


" Oh, Putain, c'est bon…continue…HUMMMM

Il a compris mon excitation, en profite puis il me met sur le ventre, att un coussin épais pour me relever le cul et s'installe sur moi, sans s'inquiéter de son poids, tel un gros phoque en rut. Je sens qu'il va m'enculer.
Il est sur moi, sa grosse bite épaisse et baveuse en mode tête chercheuse. Je ne suis pas inquiet. Avec ce que je me suis pris dans le cul par son copain poilu, je suis maintenant bien ouvert et disposé à le recevoir.

Il prend sa bite en main, la positionne et m'encule dans la foulée. Mon gémissement lui prouve que je viens de me prendre dans le cul les 16 ou 17cm de sa bite épaisse.
Elle est bien passée…grosse, vigoureuse, bonne, excellente, il me l'a enfournée avec plaisir, avec délectation.

Son copain poilu, qui a assisté à l'enculage, se régale de la situation

" Mon salaud, tu l'as bien emboîté.
" Nom de Dieu, tu l'as bien ouvert, il est chaud.
" Je vais le re baiser après, il me fait bander. Vas y, fait le couiner.
" Compte sur moi.

Puis le plaisir continue. Le balèze me tringle avec sa bite épaisse. Avec sa force et sa carrure, il me retient par les épaules pour m'empêcher de glisser sous lui quand il m'envoie de sérieux coups de reins, me pistonne bien profond. Autant avec son copain, je savourais ses délicieux va-et-vient, là, je gémis, je prends encore plus de plaisir et lui le montre, presque plus intense. Je sens et j'entends son sexe rentrer en moi, sans problème. J'accompagne ses coups de bite en essayant de soulever mon cul, offrant ma croupe, ce qui le rempli de joie.

" Nom de Dieu, il prends bien la bite. Il est chaud.
" Hummm,
" Nom de Dieu, il va finir par me faire juter.
Son copain:
" Repasse le moi. Je vais le graisser, je peux plus tenir en te voyant baiser.


Le costaud se retire sans rechigner…. la bite raide, splendide, pas loin de dégorger.
Le grand, la bite toujours aussi majestueuse, longue et épaisse, s'allonge sur moi et, toujours aussi prévenant, m'encule avec douceur.
Je gémis, sentant tout son gourdin rentrer en moi, et finit par l'avoir complètement. Le balèze hallucine devant ma performance ou celle de son copain.
S'ensuit une bonne tournée de coups de bite plus rapprochés, plus intenses, agrémentés de mes miaulements de petits chats tellement c'est bon.
Il est crispé sur moi et monte en cadence. Soudain, au niveau de la crête, il se retire, gicle son premier jet de sperme sur mon trou et me ré encule d'un coup de reins énergique. Il est à fond et se déleste de toute sa semence à grands renforts de cris de victoire, de soulagement, haletant comme une bête.
Il reste un moment ainsi, le temps de bien se vider les couilles et de me féconder bien profond.
Il se retire, la bite luisante, toujours énorme, une goutte de sperme blanc qui lui sort du méat.

" Tu as un petit cul délicieux, mon bébé, j'ai adoré.
" Merci, c'est trop bon.

Son copain est déjà sur moi et me loge son gros bambou à son tour. Il bave sur mon cou, me caresse, harponne mon cul.

" Moi aussi, je vais te baiser, je vais te graisser le cul." me dit il à l'oreille.

Il me sort un tas de vulgarité tout en prenant soin de moi. Salope, p'tite pute, pédé et bien d'autres…je m'en fout. Au contraire, cela m'excite et me fait comme entrer en transe, en état de jouissance et me libère de tout.

Ses mains cherchent mes tétons pendant qu'il m'encule sans répit. Il me propose ou plutôt m'impose de changer de position et m'honore comme un roi en m'embrassant.
Il ne contrôle plus rien, il donne libre court à ses pulsions. Sa queue a pris les commandes et seule une explosion, une décharge de sperme peut le libérer…
Sur le dos, écrasé sous lui, il m'explose le cul. Ses grosses couilles se collent sur moi avec le sperme de son copain qui a du s'écouler. D'une force virile hors du commun, il me soulève le cul pour me pénétrer au maximum. Mes mains saisissent son cou de taureau, mes lèvres sont à lui. Mon désir est aussi intense que le sien et il l'a bien compris.

Pendant que sa langue épaisse me laboure le palais et que son pieu me fouille les entrailles, je jouis, crie, pleure de bonheur, mon sperme jaillit et se répand entre nous, sous son ventre qui m'écrase. Il sent ma queue se libérer, exploser, gicler mon sperme chaud, me soulager une seconde fois. Il sourit, ivre de sa réussite et de son effet…et me gratifie d'un magistral coup de reins puis soudain se tend, se bloque au fond de moi pour m'honorer…

" Nom de Dieu, tu me fais juter, mon chéri
AHHHHHHHH……PUTAIIIINNNN……AHHHHHHH

Haletant, en sueur, il reste en moi le temps nécessaire à cette jouissance extraordinaire, à savourer la réussite de son introduction et continue à me couvrir de ses baisers baveux.
Lorsqu'il se retire, il regarde son copain:

" Je crois qu'il a eu une bonne saillie, le petit. Il a bien aimé, il a craché lui aussi.
Puis, s'adressant à moi:
" Alors, mon bébé, t'as bien aimé?
" Oui, c'était trop bon.
" Ah, putain, ça fait du bien. Tu m'as bien vidé les couilles, à moi aussi.

Je suis là, encore allongé sur le matelas, complètement étourdi par les coups de bite de ces deux mâles. Ils m'aident à me relever. La tête me tourne un peu. Le sperme coule de mon cul dilaté. Le balèze me réconforte, me fait asseoir sur le bord du lit. Le grand va chercher un verre d'eau pendant que son copain en profite pour me faire des bisous très savoureux. Il ne faudrait pas le prier beaucoup pour qu'il m'en redonne une autre tournée….

Peu à peu, je reprends mes esprits.
C'était peut être beaucoup pour moi de me faire baiser par ces deux mâles puissants à la queue hors norme.

" Ton petit cul était délicieux. J'ai bien aimé te baiser. Je te remercie." me dit le poilu.

Le balèze intervient, satisfait lui aussi:

" J'aime bien baiser des petits jeunes comme toi. Merci d'avoir accepté. Souvent, les petits mecs ne veulent pas se faire baiser par des mecs comme moi ou mon copain. Merci mon petit, j'ai bien juté avec toi. C'est quand tu veux pour recommencer.

Nous allons à la salle de bains. Ils s'occupent de me laver chacun leur tour puis ils se lavent, se frottent. Je les regarde laver leur ventre, leurs cuisses, passer le savon sur leur sexe, leur couilles, sécher et essuyer le tout. Je ne perds rien de ces instants, de ces sexes merveilleux exposés devant moi, qui ont accompli leur mission. Des sexes extraordinaires, des hommes respectueux, des enculages de rêve.
Je n'ai même pas mal au cul, je sens simplement qu'il ne se ferme pas, qu'il est distendu, explosé.

Ils m'offrent une boisson et des gâteaux, que j'accepte. J'apprécie qu'ils ne me virent pas brutalement, après avoir tiré leur coup. Je dirais même que j'apprécie énormément leur façon de se comporter.
Je les ai remercié en leur expliquant mon appréhension au début et mon immense plaisir par la suite. Il m'a fallu tout ce temps pour enfin exprimer mon ressenti.
Ils ont ri….on a ri en toute décontraction de cet agréable moment…

Je les ai quittés avec plein de désirs dans leurs yeux et des envies de rejouer ensemble…

Une fois dans la rue, je suis allé m'asseoir sur un banc, ivre d'avoir pris autant de coups de bites par d'aussi beaux mâles. Je ne savais plus trop ou j'étais garé. Je voulais respirer l'air iodé, la vie, le bonheur, laisser mon corps se remettre de toutes ces performances.

Ce jour là, je me suis fait baiser tel que beaucoup de passifs en rêve….HUMMMM
J'adore les motards.

caramel
Vous êtes de grands garçons…protégez vous.











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