Le Motard

Voici une aventure qui m’est arrivée il y a quelques années. Je chattais sur Internet à la recherche d’une aventure homosexuelle quand j’ai été abordé par un homme dont le pseudo était Biker.

Nous discutons un peu, moi passif, la vingtaine , lui la quarantaine, actif, à la recherche d’un plan sans lendemain avec un mec docile, soumis, un peu salope. Je lui avoue que je n’ai pas beaucoup d’expérience en la matière, pas grave.

- Je viens chez toi, je te baise à fond et je me casse.
- Parfait ça me va bien.

Nous nous donnons rendez-vous pour le soir même dans un petit bar, de là je l’emmène chez moi.

A peine la porte fermée, il pose son casque et ses gants, m’attire contre lui et m’enfile sa langue dans la bouche. Moi qui ne voulais pas embrasser, je me surprends à apprécier et surtout à bander, hmmm… bon début. Je commence à caresser son entre-jambe, pas de doute je lui plais aussi d’après la grosse bosse qui déforme son jeans. Je masse son sexe comprimé avec ma main tout en me frottant contre sa cuisse. Soudain il m’att par les cheveux, me tire la tête en arrière et me regardant droit dans les yeux me dit :

- Mets-toi à genoux et suce-moi !

Sans me faire prier d’avantage, je m’exécute. Je défais sa ceinture, ouvre sa braguette et découvre avec envie son sexe déjà bien dur, sans être énorme il est tout de même de belle taille, je sens que je vais me régaler ! Croyant lui faire plaisir je commence par donner des petits coups de langue sur son gland et sa bite tout en le regardant dans les yeux. Il me rappelle bien vite à l’ordre :

- Je ne t’ai pas dit de me lécher mais de me sucer ! Pompe-moi, et que je ne sente pas tes dents surtout !

Je le prends en bouche puis commence à le sucer avidement. D’une main je le branle doucement et de l’autre lui masse les couilles. Il a l’air d’apprécier mon traitement car je l’entends grogner de contentement.

La situation m’excite, je me retrouve à genoux dans mon hall d’entrée à sucer cet inconnu sans autres préliminaires. Moi qui avais peur de ne pas savoir quoi faire, je n’ai qu’à lui obéir et ça me plaît terriblement. Ä lui aussi visiblement, je le pompe tellement bien qu’il est tout proche de l’orgasme.

- Je vais te blanchir la langue et tu vas tout avaler salope !

Il me maintient la tête à deux mains et m’envoie de longues giclées de sperme chaud au fonde de la gorge, sur ma langue puis il ressort et se fini sur mes lèvres en me regardant. J’avale tout et passe vicieusement ma langue autour de mes lèvres pour récupérer les dernières gouttes. Il est visiblement satisfait par cette entrée en matière.

- C’est bien… tu es un bon vide-couilles.

Soudain il m’att par le menton et me dit :

- Tu as un endroit plus confortable ?

Il me suit vers le canapé et la table basse où j’ai disposé bien en évidence un tube de gel et des préservatifs qui ne laisse planer aucun doute de mon envie de me faire baiser. Il s’installe bien confortablement, je reste debout face à lui, à le regarder sans trop savoir quoi faire. Son ordre claque :

- Fous-toi à poil !

Bien vite je me retrouve nu comme un ver face à lui. Il m’attire en m’attrapant par le sexe, caresse mes couilles et se met à me branler doucement. Les mains dans le dos je ferme les yeux et me laisse faire. Ma bite durcit un peu à peu mais il s’arrête après quelques va-et-vient.

- À genoux sur le canapé… penche-toi en avant et écarte bien les genoux.

J’obéis. Il m’enfile son doigt dans l’anus sans ménagement, heureusement que je m’étais lubrifié mon petit trou avant d’aller au rendez-vous. Il doit être surpris du manque de résistance.

- Dis donc, tu as la rondelle bien ouverte… on dirait que tu attendais que ça !
- …
- Tu mouilles du cul ! Réponds, c’est l’idée de te faire prendre qui te met dans un état pareil ?
- Hmmm oui…
- Salope ! Attend, je vais te mettre un deuxième doigt.


Joignant l’acte à la parole se sont maintenant deux doigts joints qui me pénètrent pour bien assouplir mon conduit. Je les sens tourner et s’écarter, hmm… j’adore, je me mets à tortiller des fesses et à gémir de plaisir. Encouragé par mon comportement, je sens bientôt un troisième doigt qui vient forcer ma rondelle !

- Trois doigts ! Regarde-moi ça, ça rentre tout seul…
- Hmmm…
- Ça te plait on dirait…
- Oui, j’aime ça.

Mon motard me branle maintenant le cul sans ménagement avec ses doigts joints stimulant ma prostate, m’emmenant plusieurs fois à la jouissance anale, je suis presque en transe. Après quelques minutes de ce traitement, il me dit :

- Putain, tu es chaude du cul toi… on va bien s’amuser tous les deux.

L’entendre parler de moi au féminin me rempli d’humiliation, mais m’excite terriblement. Puis il se lève et se déshabille complètement.

- Bon assez joué, à genoux et suce-moi encore comme une bonne salope !

Docilement je m’agenouille, son sexe est à nouveau en érection, je le reprends en bouche et le pompe de mon mieux pour le satisfaire. Puis me tenant la tête il se met à faire des mouvements entre mes lèvres comme pour me baiser la bouche. Parfois il la ressort, passe son gland sur mes lèvres ou me frappe les joues en me regardant dans les yeux.

- Tu veux ma bite ?
- Oui…
- Tu la veux où ?

Je le regarde vicieusement et lui dis :

- Dans mon cul… je la veux dans mon cul…
- J’en étais sûr… mets toi à quatre pattes par terre comme une bonne petite chienne et écarte bien les fesses.

Excité par ce mâle viril qui me domine et fait de moi ce qui lui plait, je me place bien vite dans la position demandée. Hmmm, j’ai trop envie de me sentir rempli, envie de me faire enfiler par une queue bien dure, envie de me faire baiser à quatre pattes dans mon salon par un type que je ne connais pas, envie de me faire défoncer le cul par ce motard à qui je suis totalement soumis.


A genoux, lui tournant le dos, les épaules touchant le sol, je saisis mes fesses et les écarte pour lui faciliter l’entrée. Il saisit le tube de lubrifiant posé sur la table basse et m’enduit l’anus d’une copieuse noisette de gel. Hmmm… je ressens une sensation de fraîcheur et mon petit trou se met à palpiter. Il doit le remarquer car tout en mettant son préservatif il me dit :

- Attends… je vais t’enfiler comme tu le mérites.

Joignant l’acte à la parole il se place derrière moi, pointant son gland contre mon petit trou qui ne demande qu’à l’accueillir, et là d’une seule poussée il m’enfile sa bite jusqu’à la garde en grognant.

- Tiens prends ça dans ton cul salope !

J’ai beau la désirer, je ressens une vive douleur lorsque son gland se fraie un passage au plus profond de mes entrailles et je pousse un petit cri.

- Vas-y doucement, tu me fais mal.

Pour toute réponse, mon motard m’agrippe solidement les hanches, il ressort doucement de mon cul et me l’a remet une nouvelle fois bien à fond.

- T’inquiète pas, tu vas t’habi.

Il passe outre mes timides gémissements de douleur, et continue imperturbable à me limer en douceur, ressortant sa queue et me la remettant toujours bien à fond. Peu à peu la douleur disparaît, et mes plaintes se transforment en gémissements de plaisir. Me sentant dans de meilleures dispositions mon motard m’att par les épaules, m’attirant à lui et me travaille en profondeur avec de rapides petits coups de bite au fond de mon boyau en grognant. Mes fesses contre son ventre je masse sa bite avec de légères contractions de mon anus.

- Tu vois que tu aimes ça!
- Ho oui… tu me fais du bien avec ta bite…
- Tiens, régale toi salope !

Et il se met à augmenter la cadence et l’amplitude de son enculade, je suis aux anges ! Son membre glisse dans mon fourreau me procurant des sensations incroyables. J’ai l’impression de n’être plus qu’un trou.


- Debout ! Tourne-toi contre le mur !

Je me lève écarte les jambes et cambre bien les reins. J’en profite pour glisser deux doigts entre mes fesses, ils rentrent dans mon trou sans rencontrer la moindre résistance ! Bientôt je sens son souffle sur ma nuque, j’att sa belle queue toujours bien dure, la guide vers mon anus dilaté et là il m’embroche d’un coup jusqu’aux couilles. Me tenant par les hanches il se remet à me limer le cul de plus belle. Je gémis de nouveau et m’enhardit

- Hmmm… bourre-moi bien avec ta grosse queue…
- Oui je vais te défoncer le fion enculé !

Ses coups de boutoir sont de plus en plus puissants, il me soulève presque du sol. Entre deux râles de plaisir il m’humilie verbalement.

- C’est ce que tu es non ? Un enculé ?
- Oui
- Alors dis-le !
- Oui je suis un enculé… et j’aime me faire défoncer le fion !
- Je vais t’exhausser… je vais tellement te bourrer le cul que tu pourras plus t’asseoir pendant plusieurs jours… ton trou m’aspire la bite… quelle salope tu fais !

Le salaud m’excite tellement que j’ai envie de me branler, je prends ma bite en main et commence à me caresser, il s’arrête net.

- Putain, je ne t’ai pas dit de te branler ! Tu devrais déjà t’estimer heureux de jouir du cul sale pute !

Me plaquant contre le mur, il m’att les mains derrière le dos et m’encule de plus belle. Il fait de moi ce qu’il veut, je suis sa chose, son objet sexuel, sa salope, sa putain.

- Mets-toi à quatre pattes sale chienne ! Monte sur la table !

En bon toutou j’obéis et rampe jusqu’à la petite table. Docile et totalement soumis, je cambre bien les reins et lui offre ma croupe, prêt à me faire défoncer encore par ce motard infatigable.

- C’est pour t’être branlé sans permission…

Et là, surprise, je reçois une volée de claques sur les fesses. Lorsqu’il estime qu’elles sont suffisamment rouges à son goût, il se saisit du tube de gel et en remet une bonne dose directement dans mon petit trou accueillant.

- J’espère que tu en veux encore parce que je vais encore te défoncer le cul !
- Oui ! mets-la-moi encore… baise-moi comme une salope…

Il vient à nouveau se placer derrière moi, son gland contre anus, m’att les hanches et se remet à m’enculer furieusement.

- Quelle chienne ! Je pourrai te bourrer toute la nuit et tu me supplierais de te la remettre encore !
- Oh oui… encore… j’aime sentir mon cul rempli par une grosse bite…
- Quelle salope ! La prochaine fois je viendrai avec un ami et on te baisera à deux !
- Hmmm… je vous sucerai et vous m’enculerez à tour de rôle…
- Tu seras notre vide-couilles !
- Oui tout ce que tu veux…mais baise moi à fond…
- Quelle pute ! Je vais te déchirer le fion !

Il monte à son tour sur la table basse et s’appuyant sur mon dos, se remet à me défoncer le cul. Se coups de reins sont puissants et rapides, je me fais littéralement saillir par mon motard. Je suis sa chienne et il me baise comme telle. Il m’insulte et me traite de tous les noms. Je suis en plein délire, excité comme jamais, au comble du plaisir, je ne suis plus qu’un trou qu’il rempli de sa bite, la jouissance me submerge, je râle, je jouis du cul, encore et encore.

Et lui, au bord de l’orgasme, m’agrippe fermement par les épaules et crie sa jouissance en remplissant sa capote

- haaaa... la bonne salope !

Je m’affale haletant sur la table basse et lui sur moi, on reste un moment sans bouger. Je ne sais plus combien de fois il m’a fait jouir du cul, mon motard est un champion d’endurance.

- Putain, j’ai bien baisé.

Il se relève et retire son préservatif qu’il lâche sur mon dos. Il se rhabille en silence, puis sort, me laissant affalé sur la table basse, l’anus béant. Je ne l’ai jamais revu.

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