Collection Homme Femme. Violoncelliste. Début De La Saison Iii (9/12)

À la fin de la saison II, avec Nat et Aline, nous avons réussi à piéger le beau-père de Claire qui d’elle depuis des années.
Au début de la saison III, je réussi à ce qu’il avoue sa forfaiture.

- Oui, Oui, Oui.
On l’a eu, on l’a eu.

On pourrait faire la farandole, nous la ferions si nous avions plus d’espace mais nous sautons simplement de joie.
Pendant qu’Aline me détachait, Nat tenait notre notaire la queue bien basse gesticulant dans tous les sens ses pieds dans le vide.
Nat le soulevant sans la moindre difficulté avant de l’attacher par les menottes à ma place.

- Regarde pourri ce que nous avons filmé et enregistré.

« Je voulais attendre qu’elle ait seize ans mais j’ai craqué deux mois avant. »

- Tu vois ce que ça veut dire, tu viens de signer ton arrêt de mort.
Ou tout du moins quelques années de prison.
Mais avant il nous reste une chose à faire.
Nat bloque lui la bouche avec cette boule qu’Aline a achetée avec un autre objet du même genre que celui dont il se sert avec Claire.
- Au secours des folles, les, es, e.

La boule l’empêche de parler.
Aline a apporté tous ses objets dans un sac anonyme pour se balader dans les rues de leur quartier de Paris.

- Tu reconnais ce genre de fouet.
Un chat à neuf queues.
Fait oui de la tête chaque fois que nous te posons une question.
Alors j’attends, tu connais ?

Sa tête dit oui, ses yeux la peur de ce que l’on allait lui faire subir.

- Nat à toi, frappe sans le ménager, quand j’ai vu les seins et les fesses de la petite il a dû appuyer ses coups.

Les coups pleuvent, je vois la peur remplacée par le mal que doivent faire les boules de buis sur son épiderme.

- C’est bon, il a son compte, je pense que maintenant tu sauras l’effet de ces fouets sur d'autres que toi.
Tu as bien pris les photos ?
- Oui c’est dans la boîte.



Oui, il dit oui.

- Et tu crois que tu vas t’en tirer à si bon compte ?
Aline met le harnais avec le gode à Nat !
- Je voudrais bien mais les sangles risquent d’être trop petites.
- Dite que j’ai un gros cul.
- Gros non, mais conséquent oui ma biche.
- Arrête de m’appeler ta biche, une biche à un cul fin, c’est vrai le mien il est gros.

Aline sort un gode bien noir comme celui dont ce fumier s’est servi pour enculer la petite lui cassant le cul.
Non, non, non de la tête avec des grognements de réprobation.
Ce salopard a compris ce que l’on va lui faire

- Claire tu la sodomisais à sec, nous sommes loin d’être des sadiques, on va te lubrifier l’anus avant de te défoncer.

C’est moi qui m’y colle.
Un tube de Vaseline, ils en vendent dans les sexes shop.

- Vas-y il est près.

Il se tortille dans tous les sens refusant certainement de devenir PD en se faisant enculer même par un gode.
Aline s’approche.
On m’aurait dit qu’un cul ça se pénètre aussi facilement j’aurais eu du mal à le croire.
Aline entre et sort et chaque fois le notaire ferme les yeux semblant finir par aimer car ses cris étouffés s’arrêtent remplacés par des petits grognements.
Elle détache les sangles lui laissant le gode bien enfoncer dans son rectum.

- Souris notaire c’est pour la photo.
Tu vois, je vais te demander quelque chose, si tu refuses mais je suis sûr que tu diras oui.
Quel effet ça ferait sur ton étude si ta ville était envahie demain matin de toutes tes photos te faisant fouetter puis sodomiser par un gode black de surcroit.
Une étude comme la tienne, avec toutes les saloperies que tu as dû faire envers certains de tes clients, tu dois être propriétaire de nombreux biens.
Dis oui où non.
C’est très bien oui, tu as du bien alors voilà ce que je te propose.
Tu pleures, non, la bite en silicone te fait du mal ou du bien ?
Pense à ta belle-fille le mal qu’elle a chaque fois que tu vas chez elle.

Car c’est bien chez elle ?
Oui, c’est la seule chose de bien que tu aies faite.
J’enlève la boule, regardes-tu bave comme le porc que tu aies.
Dis oui.

Il me fait signe et je lui libère sa bouche.

- Enlevez-moi se gode dans le cul.

Je le détache de ses menottes.
Il s’effondre sur place enfonçant la bite noire encore plus profondément dans son fondement.
J’ai le temps de prendre une photo, il bande.
Il retire le gode restant affalé sur le sol au pied de sa croix de supplicié.

- Alors voilà ce que tu vas faire dès demain quand nous t’aurons libéré.
Tu retournes chez toi, tu dis à la maman de Claire que tu divorces car tu en aimes une autre.
C’est un exemple, pourrit comme tu l’es, tu trouveras quelque chose de plausible.

Il me fait oui de la tête.

- Tu peux parler pour éviter toute ambiguïté.
- Oui.
- Tu joindras ton avocat lui disant que tu prends tous les frais à ta charge.
Tu as bien un avocat.
Les fumiers ont toujours un avocat pour les sortir de la merde dans leurs forfaitures.
- Oui.
- C’est très bien, tu proposeras à Linda un million d’euros sous couvert de dédommagement.
- J’ai compris je le ferais.
- Ça c’est pour la maman.
Pour sa petite fille tu sais celle que tu as avoué avoir baisé avant ses 18 ans.
Elle a déjà le garage.
Pour l’entretenir, tu lui donneras aussi un million et chaque mois tu lui verseras 5 000 €.
- Mais !
- Nat montre lui les photos qu’il sache où est sa porte de sortie.
- Inutile, c’est d’accord je ferais comme vous avez dit.
1 million à Linda, 1 million à Claire et 5 000 € chaque mois pour elle.
Les 5 000, jusqu’à quand.
- Ta retraite tu verseras jusqu’à ton dernier jour.
Libérez-le, rappelle-toi, Amiens, des photocopies plein les rues, sur chaque arbre ou poteaux télégraphiste.
Une dernière chose, tu appelleras Claire pour t’excuser et lui dire qu’entre vous aussi c’est fini.


Jean-Marc se relève remonte son pantalon et sort.
Il semble avoir du mal à marcher.

Voilà c’est fait, j’avais promis que je m’occuperais du pourri avant notre départ.
Quand je rejoins Claire, elle dort du sommeil du juste.
Je me désape et je me couche le long d’elle.
Elle se retourne me prend dans ses bras.
Au matin, je suis seule.
L’appareil photo est dans mon sac.
Je me cale dans les oreillers et je regarde la lopette s’aplatir comme une vieille baudruche.
Je démarre le Replay.
Aucune image, la mémoire est vide.
J’éclate de rire espérant seulement que le beau-père de celle qui m’amène mon petit déjeuner au lit intégralement nue ignorera que nous n’avons aucun moyen de pression contre lui.

- Je te fais rire ma chérie.
- Non, c’est autre chose mais on m’a juré de taire ce qui me fait rire.
- Même sous la dans ta salle sadomasochiste, je serais une tombe.

Cette salle, il va falloir que nous en parlions mais cela attendra bien notre retour.
Demain c’est le départ pour Le Touquet plage où la grande vedette Cécilia démarrera sa tournée des plages d’été.

Comment cela va-t-il se passer, Aline et Nat sauront-elles rester à leur place et réussirais-je à faire oublier à Claire celui qui lui pourrissait la vie depuis qu’elle était devenue femme.
J’ai lu que certaines d’entre elles contraintes par leur bourreau étaient en manque dès que la rupture avec eux se concrétisait.
Il est sûr que j’ai un mois pour éviter que la rupture soit trop franche si son maquereau tient parole…

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