Collection Homme Femme. Violoncelliste. Début De La Saison V (17/21)

Au temps des rois, des soirées coquines étaient organisées par les grandes cocottes qui les entouraient.
Ces musiciens étaient aveugles pour éviter qu’ils aillent cancaner sur ces orgies.
Maman et moi, nues sur cette petite scène, j’apprends très rapidement ce que partouze veut dire.
Ce qui m’étonne le plus c’est le mélange des genres.
Grand, grande, boulotte, asperge, jeune mais plus de 18 ans et vieux, j’apprends très vite que ce qui intéresse ces participants c’est de trouver des trous à boucher.
Quel âge à cette femme qui se fait entreprendre par deux beaux éphèbes à qui je dirais bien deux mots ?
Maman aussi semble intéressée par leur anatomie.
Nul doute que si l’argent que David a déposé dans notre chambre, elle aurait aidé mémé à éviter la crise cardiaque à son âge.
Nous finissons un morceau sous les applaudissements de ceux qui sont encore attentifs pour le faire.

- Tu as vu, Marie, c’est la maman d’Émilie, elle a 70 ans.

Nous attaquons un nouveau morceau, Vivaldi, les quatre saisons.
Ma nudité un peu gênante dans les premières mesures devant ces personnes même si nos morceaux doivent leur arriver en bruit de fond surtout pour ceux qui sont entre les cuisses de partenaires à sucer chattes ou bites, les cuisses des différents partouzeurs servant de boules Quies.

À voir tous ces gens copuler en plein air, voir dans la maison des couples en tout genre entrent par les portes-fenêtres ou en sortent leur plaisir réalisé.
La vision que j’ai doublée des vibrations de mon violoncelle, j’atteins un niveau d’excitation jamais atteinte.
Sur la chaise, il y a un coussin rouge pour adoucir le bois.
Je sens ma cyprine dégouliner jusqu’à ce que je fasse une fausse note au moment où un orgasme me traverse.
Maman me regarde, je pense qu’elle va me fustiger, c’est un large sourire qu’elle me présente.
Sur ma droite, j’ai la vision de la piscine, un beau mec un peu basané faisant certainement du culturisme sert de près une jolie blonde dont je vois la poitrine à faire damner tous les seins de la terre.


La main de la fille est sous l’eau branlant certainement le beau gosse.
Pour preuve, ils s’embrassent passionnément jusqu’à ce que la fille se dirige vers les marches et sort.
Le garçon prend une bouteille de champagne placée sur le bord de la piscine et bois une grande goulée avant de la reposer et sembler me regarder.
Il est trop beau pour moi surtout quand la fille sortant de la piscine me présente une plastique irréprochable vue de dos.
Tournant le coin pour revenir vers moi une chose impensable se produit.
Un jour en classe de bio avant de prendre la route du violoncelle, un prof nous a expliqué que la nature jouait des tours à la naissance d’.
Qui est cette fille, parfaite hermaphrodite me présentant une magnifique verge, certainement la plus belle bite de toutes celles présente dans cette villa.
J’ai du mal à définir comment l’appeler ignorant son nom.
Mais quand il croise une petite brune un peu boulote qu’il prend par la taille, je dis « il » car entrant dans la maison ce sera certainement sa partie mâle qui sera à contribution.

Une petite pause et nous avons le droit à une petite collation derrière la tenture derrière la petite scène.
David est là assis sur une chaise de la piscine.
Il y en a deux, par politesse je la laisse pour maman.

- Isabelle prend la chaise, attention évite de la mouiller.

David éclate de rire, il doit avoir entendu ma fausse note et remarqué ma mouille sur la chaise.
Incroyable, maman vient vers lui et lui caresse la queue sans aucune pudeur étant devant sa fille.
Elle s’agenouille pendant que David me sert un verre de jus d’orange pressé glacé.
Je prends le verre dans ma main quand la bouche maternelle vient l’enserrer et la faire descendre au plus profond qu’elle le peut.
J’ai l’impression d’être à l’école familiale ma mère m’apprenant comment pomper une verge tout en la masturbant.
Je vois la verge au bord de l’explosion les grosses veines qui la parcourent grossissant de plus en plus.

Maman relâche le pieu et sans aucune pudeur pour sa fille présente, elle s’empale sur la verge.
J’arrête là ce que maman fait ayant fini mon orangeade, j’en ai assez vu, je me lève et je rejoins mon violoncelle.
Si en me levant, j’ai perdu la vision de ma mère se faisant baiser par le maître de maison, j’entends parfaitement quand le couple jouit, maman étant comme tous ce qu’elle fait loin d’être discrète.

- Une orangeade Hilary, tu es toujours une belle salope même en prenant de l’âge.
J’espère que ta fille sera aussi salope que toi.
- Je crois que cette tourner lui servira à se blinder dans l'avenir, mais je te connais mon vieux salop, tu as envie de te la faire.
- Tu sais, depuis le temps que l’on se connaît, ma bite est loin d’avoir la vigueur d’antan et tu viens de me vider les couilles d’une très belle façon.
Je deviens un fusil à un coup même si ta fille à un joli petit cul.
Après votre tournée, nous pourrions organiser un petit week-end ensemble.
Émilie elle aussi j’en suis certaine, aura envie de s’occuper de sa chatte pendant que je m’occuperais de ton cul.
- Dommage que tu sois devenu un pistolet à un coup, après le concert, j’aurais bien aimé que tu m’en mettes un petit coup.
- Émilie est toujours ravie de se gouiner avec toi.
Nous avons vu qu’en ce moment tu semblais être en couple avec la fille jouant de la batterie.
Quand nous sommes arrivés, elle était déjà là et parlait avec un des régisseurs qui l’aidait à placer ses instruments au millimètre prêt.
Ils ont parlé de toi, tu es la prunelle des yeux de cette fille.
- Si on se revoit avec Isabelle, tu verras que cette fille sera aux oubliettes pour moi.
Tu m’as vu m’attacher à quelqu’un durablement.
- Oui à moi.
- Tu crois que tu peux t’attacher à moi.
Il est loin d’être né celui qui me dominera.
Bon assez déconné, je vais pisser et nous reprenons la dernière partie de notre concert.


Toujours discrète la daronne, elle aurait pu dire « tu permets que je m’isole avant la dernière partie du concert. »
Mais je la vois partir pisser.
La fin de la soirée se termine comme elle avait commencé avant que les couples disparaissent dans l’attente d’une nouvelle partouze.
Je venais de goûter au monde des libertins.
Émilie vient chercher maman et il se dirige vers notre chambre.
Avant de ranger Valentin, la piscine me tant les bras.
Les lumières ont remplacé la lumière du jour.
J’approche de la piscine quand je vois le beau gosse, plusieurs fois après que je l’ai vu se faire palucher il semblait avoir quitté le champ de jeux.
Seule la bouteille de champagne était restée à sa place.
Il est de retour mais quand j’avance pensant sauter dans l’eau pour me réfrigérer la chaleur étant toujours étouffante malgré la nuit, je glisse et c’est la tête la première que je tombe dans l’eau.

- Mademoiselle, ouvrez vos yeux, votre tête a tapé le fond de notre piscine vous avez failli vous noyer.

Je crache de l’eau, la javel c’est moins bon que le champagne qui doit se trouver dans la bouteille que je vois derrière les pectoraux qui me soutiennent.
Si le transsexuel est sorti sur ses deux jambes, c’est dans ses bras que je me trouve déposée sur l’un des transats qui a vu les couples se relayer pour baiser.

- Daniel je suis le fils de David et Émilie ma maman.
Tu as une grosse bosse, mais sans graviter.
Je sais que tu t’appelles Isabelle, c’est moi qui me suis occupé de vos enveloppes.
- Merci de m’avoir sauvé la vie.

Incroyable, il se penche vers moi et pose ses lèvres sur les miennes.
Daniel peut-il s’intéresser à moi petite violoncelliste faisant une tournée pour une jeune vedette qui dans 6 mois aura disparu de la planète médiatique, même si je voudrais qu’elle réussisse.
Je sais l’avoir tenue dans mes bras, hélas peu de temps avant qu’Annie prenne de la place dans son cœur.


- Peux-tu te relever ?
- Si tu m’aides.

Là c’est pernicieux, même si j’ai une bosse sur mon front, je me sens très bien.
Surtout qu’étant sur mes jambes, je tombe dans ses bras, ma poitrine même si la sienne est sensiblement aussi développée que la mienne vient en contact de la sienne.

- Je rentre chez moi à Bordeaux, m’accompagnes-tu ?...

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