Collection Candaulisme. La Mariée Était Trop Bonne (1/1)

Samedi, plus beau jour de ma vie, je me marie avec Rodolphe garçon rencontré, il y a un an.
Huit jours plus tard, j’acceptais de finir la nuit dans sa chambre et à 21 ans, il me prenait mon pucelage.
D’entrée, il me fait monter au sommet du plaisir et plusieurs fois par nuit souvent dans des endroits insolites, il me prenait.
Il y avait moins de quinze jours que je le connaissais alors que nous revenions vers sa chambre et que nous longions un square, il m’a proposé d’entrer.
Il m’a fait agenouiller sur un banc, ce soir-là, pour la première fois, il m’a sodomisé.
Un peu mal au début et rapidement le plaisir est venu en moi, j’ai joui par tous mes organes génitaux lorsqu’il a placé ses doigts sur mon clitoris et qu’il l’a pincé fortement.
Ma jouissance se trouvant décuplée en sentant des personnes tourner autour de nous. Certainement des voyeurs qui profitaient du spectacle que nous leur proposition.
Tous les jours dans le tram, il m’imposait d’être nue sous ma jupe et lorsqu’il venait derrière moi, il glissait sa main dessous, me rentrant ses doigts me fouillant jusqu’à me faire jouir.
On peut voir que nous avons une grande confiance l’un dans l’autre pour jouer en prenant de tels risques.

Il y a trois mois, nous étions au restaurant lorsqu’au dessert, il s’est agenouillé et m’a offert ma bague de fiançailles.
Lorsque je l’ai mise à mon doigt en même temps, nous avons décidé de nous marier en juillet.
Ces trois mois se sont passés comme dans un rêve.
Mon corps vibrait au moindre de ses attouchements et nos débordements étaient sans limites.
Nous sortions le soir comme des loups sortent à la tombée de la nuit pour baiser dans des endroits de plus en plus insolites, voire étrange.
Les toilettes des super marchés s’ont l'un de nos terrains de jeu.
Nous venions presque à la fermeture limitant le nombre de clients présent à cette heure.
Le plus dangereux que nous avons fait, c’est dans sa voiture devant le commissariat de police de notre ville entourée par les voitures de gendarmerie qu’il m’a prises.


J’ai énormément éclaté lorsque deux d’entre eux sont sortis et sont venus prendre leur voiture sans nous voir.
Lorsque l’un d’eux est passé à dix centimètres de moi alors que j’étais empalé sur la bite de Rodolphe, j’ai cru qu’il allait entendre mon râle de plaisir.
Je dois dire que les vitres teintées de la voiture de mon copain nous protégeaient énormément.
Un soir au retour de boîte, nous avons décidé de nous arrêter au milieu d’une avenue bien éclairée.
Je conduisais étant la capitaine de soirée.
Pourtant, je suis venue sur lui sur le siège passager.
Non seulement nous pouvions être surpris, mais assises à l’arrière, je fixais Véronique que nous ramenions chez elle et que je savais être une petite fille très prude.
La voir essayée de fermer les yeux pour mieux les rouvrir l’instant d’après, semblant être fasciné par notre coït, augmentait mon plaisir.
Je travaille dans une société au centre-ville comme secrétaire.
Un soir au moment où j’allais partir, ma journée terminée, la porte de mon bureau s’est ouverte.
Rodolphe est entré, deux minutes après il était en moi me fourrant sur mon bureau alors que j’entendais mon chef de service parler au téléphone dans celui voisin.
J’ai pris mon pied deux fois plus fortement qu’à la maison, car la position extravagante, voire insolite me stimulait.
Rodolphe pouvait être heureux d’avoir trouvé la femme la plus salope de notre ville.
Il n’avait aucun motif de me tromper.

Tout a déraillé lorsque nos copains ont décidé que nous les filles, nous enterrerions ma vie de jeune fille alors que les hommes en feraient de même avec la vie de garçon de mon futur.
Préalablement, nous devions faire ces soirées le même samedi trois semaines avant notre mariage.
Au dernier moment, les garçons ont eu un problème avec l’un des deux organisateurs en chef. Ils ont décidé de reculer leur date de soirée de huit jours.
Le samedi fatidique, elles m’ont déguisé en femme fatale pour éviter de dire en pute.

Nous étions douze filles mais aucune de ma famille, car je suis seule au monde, ayant perdu mes parents il y a longtemps, alors qu’eux-mêmes étaient en famille.
C’est le cas de nombre d’entre eux nés dans des familles qui se sont liquéfiées.
Heureusement que Rodolphe ne m’a pas vu au moment où il me faisait promettre de ne pas le tromper pendant cette soirée car ce costume l’aurait persuadé qu’il était impossible que je finisse la nuit sans une bite bien placée.
Cela aurait pu se faire lorsque des garçons qu’elles avaient embauchés pour la nuit sont arrivés en dansant habillé pour finir avec un string cachant simplement la partie dilatée de leur anatomie.
Lorsque l’un d’eux est venu ce frotté sur ma figure alors que j’avais les mains attachées, j’ai failli craquer mais une promesse était une promesse et j’ai reculé ma bouche.
Mes copines sont restées stoïques, elles attendaient leur heure.
Rapidement je les voyais lorsqu’elles se sont fait prendre qui sur la table, qui sur le canapé sans oublier les chaises que certaines, semblaient privilégiés.
J’étais assise au centre d’une gigantesque partouze sans pouvoir faire quoi que ce soit.
Pour être au centre de la fête, j’y étais sans dire et faire quoi que ce soit !
C’est ainsi que je me suis endormie ne trouvant aucun intérêt à laisser mes yeux ouverts pour assister à toutes ces saillis.
Même Véronique s'est fait enfiler par un grand noir membré plus que de raison les seins posés sur la table où nous avions mangé.
J’ai eu l’impression que de me voir baiser sur le boulevard l’autre nuit a déclenché en elle une vague d’envie de se faire prendre elle aussi par tous les sexes passants à portée de l’un de ses trous.
Au matin, elles m’ont libéré mais j’étais contente de ne pas avoir trahi mon serment envers Rodolphe de rester à lui, seulement à lui.
Comme de juste dans la journée, il m’a posé la question et lorsqu’il a compris que j’étais sincère, il m’a fait l’amour tout simplement sur notre futur lit de couple.

Le samedi suivant, je le laisse partir lui ayant vidé le maximum de son sexe pour qu’il ait du mal à bander.
Il me fait la même promesse de ne pas me tromper.
Dès qu’ils sont partis, la jalousie me saisit et pendant une heure je fais de l'huile.
J’appelle Véronique qui met du temps à répondre mais finit par décrocher.Elle me rassure, mon homme est loin de profiter de la situation pour se faire d’autres femmes.
Derrière la voix de mon amie, le bruit d’une musique de fête me fait douter de la sincérité de celle avec qui je partage beaucoup de choses depuis notre petite jeunesse.
C’est lorsque je vois les clefs de la voiture de Rodolphe posées devant moi sur la table du salon alors que nous approchons minuit et que je regarde la télévision que l’idée folle de trouver où ils sont afin de voir s’il me reste fidèle me traverse.
Je me lève pour partir lorsque mon portable sonne.

- Mon cœur, tu me manques, nous nous amusons, mais une soirée sans toi, manque de sel.
Encore une chance que nous pouvons boire, excuse si demain je reviens même beaucoup bourré.
- Tu peux rentrer complètement saoul la seule chose que je te demande c’est de ne pas gerber sur notre moquette.
Véro est là ?

Le blanc qui suit emporte mes doutes, mes copines sont avec eux.
Pourquoi se sont-elles tues ?
Pourquoi aucune d’elles ne m’a proposé d’accompagner ma solitude ?
Je sais où habite Véro, je suis prête en cinq minutes.
La maison de ses parents est assez isolée.
Le doute s’amplifie, la semaine dernière elle m’a dit qu’ils partaient cette semaine pour chercher un logement au Portugal où ils souhaitent acheter pour leur retraite dans un an.
La maison est donc à sa disposition.
Je sais entrer par le sous-sol dans la buanderie donnant sur l’étendoir de linge d’été.
Je récupère la clef sous le célèbre pot de fleur première endroit qu’un cambrioleur va chercher quand il en voit un et je rentre.

Arrivée au rez-de-chaussée montant comme une petite souris, j’ouvre la porte de communication donnant dans la cuisine avec la vue sur une petite partie de la salle.

- Véronique, tu es bien plus salope que Jennifer, c’est toi que j’aurais dû demander en mariage.

Ce que je vois est très explicite, Véronique semble être la seule fille et je vois simplement deux gars grâce à une glace se masturbant en les regardant baiser.
Véro est à quatre pattes en levrette et la hauteur où Rodolphe lui entre sa bite, est plus que surement son anus.
Mon futur est sportif et ses muscles saillants lui permettent de la prendre dans cette position assez tendue.

- Oui, encule-moi bien à fond et dire que l’autre elle est restée sage la semaine dernière.
- Tais-toi et suce.

La verge de Julien copain de Rodolphe entre dans sa bouche et viens la remplir.
Georges, l’autre prend sa place quand mon salopard lui remplit le fion.
J’étais persuadée que je lui avais vidé les couilles.
À son âge on a des réserves insoupçonnables.

Inutile de me faire voir, ma vengeance sera à la hauteur de son mensonge, Véro je suis certaine qu’il y a longtemps que tous la baise malgré ses airs de sainte nitouche.

- Oui, je le veux.

C’est fait j’ai épousé celui qui m’avait offert ma bague et qui vient de me passer mon alliance.

- Véro, viens avec moi jusqu’à notre chambre nuptiale, tu vas m’aider à me déshabiller avant de disparaître et me laisser avec mon mari.

Les boîtes de conserve derrière la voiture de Rodolphe, nous arrivons dans l’auberge où nous avons réservé.

- Attachez-les sur ces chaises, monsieur après je suis à vous pour le restant de la nuit.

J’ai bien préparé mon coup, j'ai jonché le sol de pétales de roses.
Une bouteille de champagne est posée sur la table avec des petits fours.
J’en ai choisi six sur Internet, tous bien membrés.
Comme de bien entendu il y a un black, un indien et un motard car je les ai habillés avec les tenues de Village People les célèbre chanteur américain.

- Que fais-tu Jennifer, à quoi rime cette mise en scène ?
- Cette nuit, c’est la mienne comme la vôtre l’a été la semaine dernière.

L’avantage c’est que les six garçons sont de magnifiques mâles pas des lopettes comme ceux de Village People.

Au matin, ils partent, mon mari a bandé toute la nuit à me regarder me faire défoncer.
Je suis bonne patte, je les détache et après un ultime coït je m’effondre repu de sexe, de sperme et de cyprine.
Je prends gout au sexe d'autres que celui de mon mari qui adore me voir me faire enfiler par tout ce qui bouge.
Les femmes en font partie car Véronique est de tous nos débordements.
Souvent c’est elle qui ouvre le bal.

Le matin de mes noces, nous nous sommes promis une belle vie de luxure.

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