Collection Cocu. Le Poulain. Fin De La Saison I (4/4)

Je me suis fait une raison, Louis mon mari me délaisse mais je compense avec Ludo le palefrenier de Duc mon beau-père propriétaire du haras où j’ai appris à monter à cheval en même temps que mon fils.
Jules a reçu un poney de Sonia sa marraine et sœur de Louis mon mari.
Pour le 15 août qui est de plus ma fête, Isabelle ma belle-mère organise une grande fête commençant par la messe du matin.
Cette famille même si ces éléments sont très disparates, est restée vieille France alors pour leur faire honneur je vais chez ma coiffeuse.
Celle-ci étant légèrement indisposée, mon rendez-vous se trouvant reporté de 24 heures.
N’ayant rien d’autre à faire, je rentre dans notre cottage normand pensant y trouver Lucrecia notre femme de service et nurse de notre fils.
Le pick-up de mon mari est là, j’entre mais sans le trouver dans les pièces où nous résidons.
J’entends du bruit à l’étage, j’y monte, la porte de la chambre de la jeune femme est entrouverte et ce que je découvre me stupéfait.

Loin le fait que Louis sodomise Lucrecia, Ludo mon amant en fait de même avec moi.
Mais c’est que s’il sodomise celle que je pensais être une jeune fille vu les attributs poitrines qu’elle nous présentait mais son anus est le seul trou où il puisse entrer.
Lucrecia, comment dire, est un transsexuel et sous son ventre pend une magnifique verge bien plus grande que celle de mon mari.
Abasourdie au début, j’ai le réflexe de sortir mon portable et de faire des photos de ce couple improbable.
La situation évolue, Lucrecia se laisse tomber sur son lit et Louis lui met sa verge dans sa bouche pendant qu’il en fait de même avec la sienne.
Ludo m’a appris à nous aimer dans la position dite en 69.
C’est ce qu’il fond aussi mais la présence de deux verges m’indispose.
Je comprends mieux pourquoi Louis me délaisse.

Notre maison est proche de la nationale menant aux écuries de beau-papa, j’entends bien le bruit d’une voiture sans y prêter attention.


La découverte que je fais me tétanise.
Depuis quand mon mari me trompe-t-il avec ce mi-mâle, mi-femelle ?
Je sais c’est incorrect de tenir de tels propos, mais mettez-vous à ma place, tout à l’heure vous quittez votre chez-vous avec une servante et vous vous retrouver avec une servante à voile et a vapeur.
C’est ma belle-mère avec l’aide de mon mari qui a choisi celle que je prenais pour une simple jeune femme.
Isabelle connaissait-elle les penchants homosexuels de son fils et Lucrecia était-elle déjà sa maîtresse ?
C’est à ce moment qu’un bras enserre ma poitrine et qu’une main m’empêche de crier.
Les bras sont virils et me portent carrément jusqu’au rez-de-chaussée.
Nous sortons de la maison et à son souffle, je reconnais mon beau-père.

- Monte dans ma voiture, j’ai à te parler.
Je t’emmène manger des fruits de mer à Dieppe.
Ce que tu viens de voir fait partie de ce que je dois te dire.
Mais j’ai toujours appris de me concentrer sur la conduite, nous verrons là-bas.

Les kilomètres défilent, je fais même un petit somme malgré l’angoisse de ce que je viens de découvrir de ma belle-famille.

- Bonjour monsieur Duc, votre plateau de fruits de mer est prêt à votre table avec vue sur la mer.
Mademoiselle est très jolie.
- Aucune méprise Agnès, cette jeune femme est ma belle-fille, c’est mon invitée.
Marie, tu dois te demander comment ceci est possible, nous avons fait un direct de chez-toi à ici.
Installe-toi, je vais tout t’expliquer.
J’avais besoin de certitude te concernant.
Je voulais savoir jusqu’à où ton amant t’avais corrompu.
- Mon amant ?
- Inutile de nier, le Duc il sait tout, il sait toujours tout et je peux te dire que ton Ludo, c’est loin d’être un joli coco.
Mange, ces Marennes - Oléron ce sont des merveilles, tient un petit coup d'entre deux mers, tu verras c’est du vrai velours.
Mais parlons de choses sérieuses.

C’est moi qui ai fait capoter ton rendez-vous chez ta coiffeuse.
Je voulais voir ta réaction si tu allais courir voir ce fumier de Ludo.
- Comment sais-tu qu’il est mon amant ?
- L'autre jour, je suis arrivé dans mon écurie un peu avant que je me montre.
Je t’ai vu quand il t’a pris à côté de mon petit-fils.
- C’était loin d’être prémédité, il m’a eu par surprise.
- Qu’importe ce qui est fait est fait, mais je dois te dire que je suis en fin de vie.
- En fin de vie !
- Oui, les métastase ont atteint mon cerveau, il me reste 2 à 3 mois à vivre.
- Oh, mon dieu.
- Laisse-le où il est celui-là, ça suffit de ta belle-mère.
D’ailleurs elle est loin d’être étrangère à cette affaire.
Avant toi, Ludo ce gigolo s’en est pris à elle.
Elle a des circonstances d’avoir craqué pour sa belle gueule.
À part pour lui faire deux s, j’ai été loin de lui présenter mon costume trois-pièces.
Attention on nous avait mariés comme nous avons réussi à le faire avec Louis pour toi, mais sa bigoterie a fait que j’avais plus de plaisir à baiser ailleurs que chez moi.
Quand mes s sont nés j’ai rapidement compris les travers qu’ils présentaient.
Il faut dire qu’Isabelle ma femme est ma cousine germaine.
Ses parents avaient des biens et dans notre milieu pour les conserver il est fréquent de se marier entre cousins.
On en a vu le résultat.
Un suceur de bite et une suceuse de chatte alors, j’ai imposé à ma femme qu’elle trouve à son fils une jeune femme qui pourrait me donner un petit-fils ayant les pieds sur terre.
- C’est pour cela que j’ai reçu une invitation à la fête.
- Oui.
- Et si je vous avais fait faux bons ?
- Vous étiez 12 rosières invitées.
J’avais découvert comme tu viens de le faire, les penchants de mon fils pour ce jeune hybride.
Il devait choisir sinon, je faisais renvoyer cette progéniture, j’en avais les moyens.
C’est toi qui as remporté le fils du Duc avec tout ce qui te donne ta vie oisive que tu avais avant ma maladie.

J’espère que je suis assez claire, tout ça c’est une tranche de vie et j’ai peu de temps pour tout te rapporter.
Tu nous as donné ce magnifique petit-fils qui est l’avenir de notre haras.
J’étais sûr de ce que nous avions fait jusqu’aux deux grains de sable survenu.
Ludo et ma maladie.
Ludo tant qu’il s’occupait du cul de ta belle-mère je pensais maîtriser mais comme tu le sais je le fais travailler dans mon bureau.
J’ai un tiroir où des dossiers étaient rangés, il l'avait maladroitement.
Il a su pour le stade de ma maladie et les dispositions que je prenais avec mon notaire.
C’était le brouillon mais presque finalisé.
C’est là qu’il a changé d’âne en faisant de toi sa maîtresse.
Dans ces papiers je parle que je vais te nommer tutrice des biens que je donne à mon petit-fils.
Il savait que mon fils était homo et je parlais de ce qu’il va se passer après ma mort.
J’ai assez manger, viens allons faire une promenade sur la plage l’air du large va me faire du bien.

Nous nous levons, nous remontons la plage et il reprend son histoire.

- En faisant de toi sa maîtresse il se rapprochait trop de son but, maîtriser notre haras.
Voilà ce que je vais annoncer demain à ma famille.
Ludo, son cas est réglé.
J’ai fait enquêter, il avait déjà tenté avec sa belle gueule une opération dans sa place précédente pour une fois sans que je le sache.
Il part pour l’Arabie Saoudite s’occuper des chevaux d’un émir.
C’était ça ou la tôle, il a vite choisi.
Mon fils son envie depuis des années s’était de partir faire un tour du monde.
J’ai vendu le plus grand de mes craques.
- Jupiter ?
- Non, c’est le cheval de Jules.
Avec l’argent je viens de lui acquérir un voilier de 20 mètres qui est basé au Havre et avec ils partiront Lucrécia et lui faire le tour du monde.
- Ma femme, elle gardera son aile de notre manoir ou nos serviteurs s’occuperont d’elle.

Elle aura largement de quoi vivre.
- Sonia récupérera votre demeure où elle vit déjà avec elle aussi de quoi vivre.
- Quant à mon petit-fils et toi, vous allez rejoindre l’aile où j’habite et où je travaille.

Je sens qu’il fatigue, je le prends par le bras.

- Dès qu’ils seront tous au courant, je commencerais à te faire voir toute la marche de notre société que tu dirigeras étant la plus capable.
- Tu me flattes Duc.
- Surement pas, mais rentrons au restaurant nous parlerons des détails demain.

Arrivé au restaurant, je vois qu’il a besoin de repos.

- Il nous reste une seule chambre !
- Nous la prenons.

Nous nous retrouvons seuls près d’un lit deux places.

- Tu sais que je serais en meilleure forme et surtout ma belle-fille, tu prendrais des risques à être avec moi dans une chambre.
- Allonge-toi, enlève ton costume.


- Viens dans mon bras en tout bien tout honneur.

J’enlève ma robe lui montrant mon corps recouvert de mon string et de mon soutien-gorge.
Je m’allonge, je pose ma tête dans son épaule et ma main sur sa verge au repos.
Je m’aperçois que cette main a d’incongru, je la relève.

- Laisse là, elle me tient chaud.
Depuis des mois elle est au repos alors qu’elle a beaucoup servi pour le plaisir de celle qu’elle honorait.

Nous éclatons de rire.
Je glisse ma main dans son boxer, elle est grosse mais hélas inerte.

- Oh ! Marie merci…


Voilà, la saison I se termine.
Le temps de finir la suite et HDS publiera la saison II.
Merci de me lire, cher lecteur.

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