Collection Cocu. Le Poulain. Début De La Saison I (1/4)

Cette histoire fera quelques 7 ou 8 chapitres.
Pour éviter la lassitude et avoir le temps de l’écrire, il y aura deux saisons.
Voici la I…

J’ai beau pleurer toutes les larmes de mon corps, je l’ai fait.
Du moins je l’ai accepté.
C’est mon beau-père qui m’a demandé d’amener ce matin son petit-fils dans notre haras.
Louis mon mari est parti en Italie pour gérer le crack de notre élevage.
C’est le cheval qui nous permet de faire entrer un maximum d’argent sans être obligé de trop vendre nos poulains.

- Marie amène nous Louis, j’ai un cadeau à lui faire.
Tu sais qu’Isabelle sa grand-mère se languit de le voir.

C’est le coup de fil qu’il me passe.
Nous habitons à douze kilomètres dans une petite ferme normande qui s’est libérée quand nous cherchions à nous installer après notre mariage.
C’est dans une Kermesse patronale où j’avais reçu une invitation par l’organisatrice de celle qui devait devenir ma belle-mère.
J’avais 22 ans quand elle m’a fait rencontrer Louis son fils et qu’il a voulu faire de moi sa femme.
23 ans, mariage, 24 Jules mon fils vient au monde.
Jules prénom qui était loin d'être celui que j'aurais choisi mais qui étant le nom de l’arrière-grand-père ayant créé l’élevage que Duc mon beau-père gère avec son fils depuis qu’il a fini ses études.
Jules a 5 ans, j’en ai donc 29 la porte de la trentaine mais malgré ça je suis la femme la plus heureuse du monde.

Pardon, j’étais la femme la plus heureuse du monde.
C’est trop tôt pour dire pourquoi je pleure toutes les larmes de mon corps et ce que j’ai accepté de faire.
Là encore que j’aie accepté que l’on me fasse.

Les problèmes ont commencé il y a trois mois quand mon mari m’a présenté Ludo leur nouveau palefrenier.
J’ai 29 ans, il en a 25, il travaillait dans un élevage voisin et était considéré comme le meilleur préparateur de chevaux à son âge.


Il a un défaut surtout pour moi qui me sent délaissé par Louis se levant tôt, se couchant tôt et étant souvent parti pour chapeauter les courses de nos cracks du moment, il est beau comme un dieu.
Je dois reconnaître que pour la première fois depuis la première danse avant notre mariage, mon ventre, non, mon bas-ventre est chamboulé sans qu’il ne m’ait touché.

À la demande de Duc, c’est comme ça que je dois l’appeler, j’arrive dans ma Mini Cooper à l’élevage.

- Mamy.

Dès que j’ai débloqué mon siège pour qu’il descende, Jules se détachant seul depuis quelques jours, saute à terre et va dans les bras de sa mamy Isabelle la femme de Duc.
Je pourrais être la fille de cette femme, grande élancée, un port de tête altier.
Tête blonde comme la mienne.
Au dire de certains Louis comme de nombreux fils était amoureux de sa mère et a voulu la reproduire dans sa femme.

- Je suis contente de vous avoir pour une fois, vous rester pour déjeuner.

Je dois reconnaître que mon temps est accaparé par mon fils, j’ai de quoi vivre sans travailler.

- Germaine, ma cuisinière nous a fait un gigot avec des flageolets, comme pour Pâques.
Une fois de plus les uns et les autres sont partis à l’autre bout de l’Europe.
Nous allons considérer que c’est aujourd’hui que Louis et sa sœur sont sur une course.

Quand ma belle-mère dit quelque chose, qui moufte, on s’exécute surtout quand elle ajoute.

- Mon poussin, je sais que tu as horreur des flageolets, c’est normal à ton âge, Germaine va te faire des frites.

Voilà mon fils ici est pourri et ce n’est qu’un début.
Je suis entrée déposer mon sac et mes lunettes de soleil dans ces premiers jours de beaux temps après un hiver très rude, quand Duc arrive.

- Il est là, la merveille de mes yeux, vient dans mes bras.

Si je ressemble à Isabelle, surtout par ma minceur et ma blondeur, Jules est le portait tout craché de son père mais surtout son grand-père.

Ils ont bien choisi son nom, les photos aux murs montrant l’élevage à ses débuts, présentent cet homme au milieu de ses chevaux avec des sourcils très noirs et très fournis.
Jules lui aussi est très noir de cheveux et a des sourcils très épais.

- Je vous ai fait venir car j’ai un cadeau à faire à Jules, hier il a eu 5 ans et je m’étais juré de faire de lui le plus jeune propriétaire d’un crack.
Hier notre élevage s’est agrandi d’un nouveau poulain, sa mère et son père sont un des meilleurs croisements que nous avons pu faire avec Louis.
Il a des chances d’être le meilleur de sa génération.
Marie, conduit Jules dans les écuries dans le box 3, il est là, tu vas pouvoir le serrer dans tes bras.
Il faudra que tu lui trouves un nom commençant par J, c’est la lettre de l’année.
Je viendrais bien avec vous, mais j’attends un coup de fil de Louis et Sonia qui doivent m’appeler pour me donner des nouvelles de Fandango, il était bizarre hier à leur arrivée, le vétérinaire doit intervenir.
- Il s’appelle Jupiter Papy.
- Duc, Jupiter c’est le nom du héros du dessin animé sur les Dieux romains qu’il regarde en ce moment.
- Jupiter, très bonne idée, il sera au-dessus de tous les autres.

Je m’aperçois qu’à travers mes larmes, j’ai oublié de parler de Sonia, la sœur de Louis, gougnotte patentée sur le secteur où notre élevage se trouve.
Il m’étonnerait qu’elle nous présente un beau brun comme Ludo qui lui fera des s.

Jules part en courant, je le suis du mieux que je le peux avec mes talons hauts et la jupe de mon tailleur.
Si j’avais su être obligée de venir dans cet endroit, j’aurais mis mon jean et mes bottes, marcher dans le crottin avec mes escarpins, ça ressemble au parcours du combattant.

- Bonjours Jules, entre, voici ton poulain, vient le prendre dans tes bras, tu n’as rien à craindre, il est doux comme un agneau, j’ai isolé sa mère pour qu’elle se repose après l’avoir allaité.


Jules fait ce que Ludo lui demande et prend le poulain dans ses bras.
J’ai sorti mon portable et appuyé sur la barrière en bois qui isole le box où se trouve le poulain, je fais des photos que je pourrais montrer à Louis à son retour.
Jules est un peu plus petit que le petit cheval mais arrive à le prendre par son cou et poser sa tête sur son encolure.
Comme on dit, c’est mimi.

C’est à ce moment que je sens que l’on me sert le long de la barrière, c’est Ludo qui est venu derrière moi et me passe la main sous ma jupe.

C’est pourquoi depuis le début de mon histoire je suis en larmes car au lieu de le remettre en place, je me laisse faire.
Après coup je me donne bonne conscience en pensant que si j’ai laissé faire ce garçon même si je mouillais chaque fois que je le voyais c'était pour éviter de déranger Jules dans son premier contact avec son nouveau jouet.

Je dois reconnaître que j’accepte ce que Ludo est en train de me faire.
Il a passé sa main et je reconnais qu’il est en terrain conquis.
Il soulève ma jupe et me pince les fesses comme le fait Jules sur la croupe de Jupiter par mimétisme comme son père et son grand-père quand ils évaluent un cheval.
Jules à son poulain, je deviens la pouliche de Ludo.
J’ai la chatte en feu.
Heureusement la barrière est en bois plein, mon fils ne peut rien voir de ce que je fais dans cette écurie.
J’ai déjà vu des saillis d’étalon ici, tous les poulains sont nés sans insémination artificielle.
À un détail près, j'ignore les boutentrains pour que le sexe du palefrenier entre en moi tellement je dégouline.
Comment puis-je le laisser faire, comment puis-je sentir en moi ce sexe long et dur commencer à me faire tressauter à trois mètres de mon fils ?
Si quelqu’un arrive et voit la scène, une mère ayant perdu toute pudeur, se faisant défoncer avec envie, car le plaisir monte en moi.
Sa main libre passe devant moi et vient me prendre le sein.

Encore, encore, encore, plonge ta bite dans mes entrailles, oui caresse mon sein, il brûle de se faire caresser, oui, décharge ton sperme.

Bien sûr ces derniers mots je les penses sans les prononcer mais je me souviens qu’au moment où l’orgasme m’a foudroyé mon cerveau les imprégnais.
Combien de temps ai-je mis avant de lâcher la barrière de bois, m’apercevoir que mon suborneur était parti me laissant seule ma jupe continuant à montrer mes fesses.
Ludo a eu facile à trouver ma grotte intime, depuis quelques mois, Louis m’a changé mes culottes en dentelles par des strings.
Il me trouve plus sexy, il doit être un peu fétichiste.

Vous comprenez pourquoi quand ma jupe rajustée j’entre dans le box et que je prends Jules dans mes bras, je suis en pleurs à repenser comment je venais de briser contre ma volonté mon serment de fidélité.

- Vous êtes seuls, où est Ludo, Marie ?

Duc, mon beau-père, à quelques minutes prêtes nous surprenait.

- Je suis là patron au-dessus de vous, je fais tomber du foin pour donner à la jument pour qu’elle se remette de son travail.

Je lève la tête, il est là dans le grenier, bien rajusté lui aussi, il me regarde et me fait un clin d’œil.
Quel toupet, il m’a à moitié violé et se permet de fanfaronner.
Sentant le vent du boulet qui était passé tout près de moi.
À part le sperme délivré en grande quantité et coulant sur mes bas, je me tais comme si je m’étais occupée de mon fils ayant reçu son poulain qu’il semble beaucoup aimer.

- Je viens d’avoir Louis et Sonia au téléphone, Fandango va pouvoir courir, ce matin il pète le feu.

Mon mari de retour, je me donne à lui pensant effacer les traces de ma tromperie.
Il semble apprécier la fougue que j’y mets et ça me permet d’oublier que j’ai été infidèle.

Deux jours plus tard mon portable sonne.

- Allo Marie, c’est Ludo.
- Comment avez-vous eu mon numéro ?
- Le Duc est parti avec ton mari livrer un cheval, il m’a demandé avant de partir de classer des factures dans son bureau.
Louis, 06 12…
Isabelle, sa femme 06 15…, je l’aurais bien appelée elle reste bandante malgré son âge, mais c’est après les regards que tu me portais que je t’ai choisi.
Durand, son notaire 06 58…, je te vois venir, prends-moi pour un PD.
À Marie, 06 69 69 69 69, tu vois ça été facile, 69 quatre fois, aucun problème.
Je me vois déjà dans une heure à la lisière de la forêt, la grange où nous avons quelques réserves de foins, ne soit pas en retard, je dois sortir Fandango pour le remettre de son voyage en Italie.

La grange à la sortie de la forêt, certainement une coïncidence, Ludo n’était pas encore parmi nous quand Louis m’a dépucelé dans ce tas de foin avant de m’épouser.

Mes larmes redoublent, je sais qu’il peut toujours attendre pour que je le rejoigne…

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