Jenny La Bourgeoise Serait-Elle Une Salope ? : Rencontre Avec Son Voisin Charly (1/6)

Cadre administratif de 55 ans, Jeanne était une femme que son entourage trouvait sympa, un peu bavarde peut-être mais se liait facilement. Elle était détendue, féminine et sensuelle. Physiquement ses mensurations étaient : 1m64 pour 60 kg. Sa poitrine, de femme mure, était dense et encore suffisamment ferme, 95C ou 90 D selon la marque du soutien-gorge. Sa coupe de cheveux, d’un châtain très clair à la limite du blond, était courte et soyeuse.

Elle aimait porter des robes ou des jupes courtes et sexy dévoilant ses jambes recouvertes de bas retenus par des porte-jarretelles. En haut, elle avait souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté, elle était fière de choisir des sous-vêtements coquins. Depuis quelques temps, elle avait décidé d’écrire ses aventures sexuelles. Elle avait pris contact avec Perruche, auteur sur le site HDS pour finaliser ces récits qu’elle va vous raconter.

J’habitais en banlieue de Nancy, dans une belle maison, entourée d'un grand terrain sur une route principale à la sortie de la ville, à proximité d'une belle forêt où j'aimais me promener. Mon mari était un homme tout à fait ordinaire, bedonnant ayant des cheveux et des poils tout blancs. Malgré ses 65 ans, il travaillait encore beaucoup, étant souvent absent, me laissant ainsi trop seule dans ma grande demeure, je m’ennuyais. La routine et la lassitude étaient mon quotidien. Je cherchais désespérément à connaître une diversité pour pimenter ma vie sexuelle.

Je pensais l’avoir trouvé avec mon voisin, Charly Mercier, 48 ans, mesurant 1,85 m. Étant un sportif et ayant un métier lui permettant d’entretenir son corps magnifique, il était tout en muscle. En effet, il était entrepreneur de maçonnerie et avait son dépôt et ses bureaux en face de chez moi.

Il était réputé dans le quartier comme un homme à femmes qui baisait souvent avec ses clientes. Ce n’était que des rumeurs, mais les faits étaient que, son ex-femme avait demandé le divorce qu’elle venait d’obtenir.

Ayant repéré une maison proche de ses locaux, il acquit la maison voisine à la mienne, ce qui lui facilitait la vie, n’ayant que la rue à traverser pour se rendre dans ses locaux.

Oui ! Cet homme, je l’avais déjà remarqué depuis bien longtemps, il était tellement beau et fort, avec des poils noirs sur les bras, les épaules, le torse, c’était l’homme viril par excellence, l’homme dont j’avais toujours dans mes pensées les plus érotiques. Je devais avouer que je fantasmais sur lui et sur son corps. J’avais ce désir au plus profond de moi, d’être un jour ou une nuit entière dans son lit.

Le week-end de son déménagement, le dimanche soir, il fêtait, avec deux amis, son installation dans sa nouvelle maison à côté de la nôtre.
Ils faisaient du bruit et étaient tous les trois un peu ivres. De notre séjour nous les voyions dans leur salon. Paul, mon mari, devant partir très tôt le lendemain matin pour toute la journée, nous nous étions couchés tôt.

Comme il partait avant que je ne me lève le lendemain, m’ayant délaissée pendant tout le week-end, pris par son jardinage qu’il affectionnait avant tout, j'avais une envie folle de faire l’amour, avant de m'endormir. Dès que nous nous sommes allongés, je me suis mise entre ses jambes pour lui sucer le sexe qui grossissait entre mes lèvres. Étant à quatre pattes devant lui, il n'hésitait pas à me malaxer mes mamelles qui pendaient.

Il savait bien ce que j'attendais, il m'allongea sur le dos et m’avait pénétré dans sa position favorite du missionnaire, sa verge était rentrée facilement dans mon vagin trempé d’excitation mais en quelques minutes, sans me faire jouir, il se vida en éjaculant dans mon sexe. Du vite fait ! Comme d'habitude, j’étais restée sur ma faim bien entendu, comme trop souvent. Je désespérais, je ne jouissais plus depuis fort longtemps, Paul ne s’occupait plus que de sa libido sans penser à la mienne.

Pourtant épuisé par son activité sexuelle courte mais intense, Paul n’arrivait pas à s’endormir, la musique du voisin l’en empêchait.
N’osant pas le faire lui-même, il me demanda d’aller sonner à sa porte, afin que ce Monsieur fasse un peu moins de bruit. Quelques instants plus tard, restée en peignoir, j’étais prête à appuyer sur le bouton, j’avais mon cœur qui battait à cent à l’heure, je n’étais pas coiffée, je pensais encore sentir le sperme et la cyprine. J’appréhendais tellement qu’il me rejette que je reculai et remontai chez moi, renonçant à me plaindre de ces dérangements.

A mon retour, Paul s’était enfin endormi, malgré le bruit de la musique qui parvenait jusqu’à chez-moi. Il était 22h55, j’étais allée à la salle de bain, je pris une douche, m’arrangeai un peu et retournai sonner à la porte de la maison voisine, toujours en peignoir éponge fermé par une fine ceinture du même tissu.

En ouvrant, ce beau mâle en bermuda fluo et teeshirt blanc moulant son torse puissant, me dévisagea de la tête aux pieds, sans la moindre gêne. Il était saoul, il sentait l’alcool, il titubait un peu, ayant des difficultés à se maintenir seul debout, il avait sa main qui s’appuyait sur le chambranle de la porte. Il parvint tout de même à me demander :
—  C’est pourquoi charmante dame ? Hic…

J’aimais sa voix rauque et son allure sportive, j’étais un peu intimidée et je lui répondis en essayant de ne pas le brusquer :
—  Je m’excuse Monsieur, mais le bruit de la musique empêche mon mari de dormir. Il doit se lever tôt demain matin. Pourriez-vous baisser votre chaine hifi ?
—  OK M’dame, mais seulement, si tu entres boire un coup avec moi. J’aime la compagnie féminine.

Par chance, ses deux amis quittaient justement la maison, eux aussi me dévisagèrent, se demandant ce que pouvait bien faire une femme en peignoir devant la porte de son voisin :
—  Rentrez bien les gars faites attention sur la route.
Leur dit-il en poursuivant sa conversation avec moi. Bon tu viens ou pas, boire ce petit verre ? Hic… Comment t’appelles-tu ?

Timidement, je lui répondis en espérant qu’il oublie l’invitation et qu’il baisse enfin le son de sa musique :
—  Jeanne ! Mais vous pouvez m’appeler Jenny, nous sommes voisins maintenant.

Ayant été un peu vulgaire auprès de sa voisine, il venait de reprendre un peu ses esprits et s’aperçut qu’il avait fait une sottise.
Avec difficulté, il essaya de corriger le tir.
—  D’accord, je m’excuse de ma grossièreté Jenny… Je vais me coucher et je vous promets que demain… Je serai suffisamment sobre pour vous inviter à l’apéritif, vous et votre mari… Moi c’est Charly pour mes amis.
—  Je vous remercie, j’essayerai de venir demain soir.
— Pas de problème M’dame, je vais me coucher, je travaille aussi demain… Bonne nuit Jenny…À demain pour 19h30…

Toute la journée, en faisant du shopping, je n’avais pensé qu’à cette soirée. Lorsque j’étais rentrée vers 17 heures, je m’étais préparée afin d’être la plus belle et la plus sexy possible, je ne voulais surtout pas donner une mauvaise impression à mon charmant voisin.

J’avais enfilé des bas auto-fixant, ma petite jupe courte écossaise noire avec des tons rouges, gris et blancs, un haut rouge vif moulant, en coton, avec de très courtes manches ne recouvrant que mes épaules et un large décolleté laissant entrevoir ma forte poitrine. Je m’étais parée d’un collier de perle tour de cou, mes plus belles bagues et mes boucles d’oreilles en or. J’étais enfin prête, l’horloge murale indiquait 19 h15. Je me posais encore les questions :

« J’y vais ou pas ? » « Ne serait-ce pas trop incongru de venir seule chez son voisin célibataire ? » Je pris donc la décision, de ne pas m’y rendre, j’enfilai mon tablier, me servis un verre de vin blanc liquoreux d’Alsace et me préparai un petit diner. Paul ne rentrerait que tard dans la soirée et il prenait son repas à l'extérieur avant de rentrer à la maison.

Je me trouvais assise dans mon fauteuil, je regardais les informations à télévision, lorsque soudain la sonnette retentit. Je m’étais levée et je m’étais rendue à la porte d’entrée. C’était Charly qui, surpris de ne pas me voir, s’était décidé de se déplacer pour en connaitre la raison.
Il attendait, debout dans des mocassins en cuir retourné, un pantalon beige dont les plis étaient impeccables, une chemisette jaune pâle qui contrastait avec son bronzage dont les trois boutons ouverts laissaient voir les poils de son torse puissant et une petite chaîne en or avec un petit médaillon :

—  Bonsoir Madame ! Jenny ! je peux vous appeler ainsi ?
—  Bien entendu…Charly.
—  Vous êtes tout simplement éblouissante, ce soir Jenny…
—  Je vous remercie du compliment, vous aussi vous savez…
—  Je vous attendais, je n’avais pas oublié. J’étais un peu ivre hier soir, veuillez m’en excuser. Voulez-vous accepter mon invitation ? Elle tient toujours.
—  Le problème Charly, je suis seule et je ne voulais pas…Heu… disons que c’est peut-être contraire aux usages, une femme seule venant chez un célibataire…
— Ne vous en souciez pas, nous sommes voisins, il faut
que l’on fasse connaissance et franchement, je suis ravi d’avoir une voisine aussi belle que vous.

Tous les compliments qu’il me faisait, m’avaient émoustillée, je ne pouvais plus refuser, je l’avais suivi et je m’étais retrouvée installée dans son salon. Il fut très gentil et très galant, c’était un homme merveilleux sans vulgarité. Je n’avais pas vu l’heure passer, Paul ne tarderais plus, mais j’étais tellement bien en compagnie de Charly que j’étais encore restée un peu. Je n’aurais pas dû, car j’avais succombé à son charme lorsqu’il s’était levé et s’était mis debout derrière moi en posant ses mains calleuses sur mes épaules qu’il massa délicatement.

J’étais pétrifiée ne sachant que faire, il me faisait tant de bien, il descendit un peu plus bas, en m’écartant le décolleté de mon petit haut, laissant jaillir ma lourde poitrine qu’il caressait, il sortit mes seins de leur balconnet :
—  J’adore tes seins ! Jenny, ils sont magnifiques.

Il baissa sa tête cherchant mes lèvres, je tournai légèrement mon visage lui offrant ma bouche dont il s’empara dans un baiser tendre et langoureux. Mais très vite je repensais à Paul, je devais me sauver, sinon j’étais dans le lit de Charly dans les cinq minutes qui suivaient et je ne saurais dire à quelle heure je rentrerais.

Je m’étais levée et vint vers lui, j’étais attirée à lui comme une épingle vers un aimant puissant, ma bouche contre la sienne, mes seins contre ses abdominaux et ma cuisse droite contre son sexe que je sentais à travers le tissu fin de son pantalon :
— Je dois partir Charly, j’aurais tellement aimé rester.
— Attends encore un peu, laisse-moi encore t’admirer, te toucher, t’embrasser.

De ses bras musclés, il me souleva et me déposa délicatement sur le canapé. Je sais qu’à cet endroit, Paul pourrait tout voir s’il rentrait avant moi. Mais je ne m’en occupais plus, je n’avais qu’une envie, c’était de me laisser embrasser, sentir sur moi ses mains caresser mes seins afin qu’il découvre mes formes. Il triturait mes tétons sensibles érigés par l’excitation, il malaxait mes seins denses, un peu lourds, il déposait quelques baisers sur les auréoles grandes et brunes.

Je mouillais fortement, lorsque ses doigts s’étaient aventurés sous le tissu de ma petite culotte, pendant ce temps, ma main massait et branlait délicatement le sexe de Charly qui était en pleine érection, tout en passant un doigt sur le méat de son gland violacé, faisant des petits cercles du bout de mon index. Après de longues minutes de ce jeu d’attouchements sexuels, j’obtins un orgasme que Paul n’était pas parvenu à me donner depuis bien longtemps, alors que Charly éjaculait lui aussi sur mon ventre.

Nous nous sommes embrassés, Charly m’invita dans sa chambre, il voulait poursuivre :
— Soyez patient Charly, je serai à vous mais pas ce soir, s’il vous plait, laissez-moi partir. Dis-je, en lui déposant un dernier baiser sur ses lèvres. Il pourrait nous voir à travers la fenêtre.

Quelques minutes plus tard, Paul ouvrit la porte d’entrée et vint vers moi en me demandant :
— Tu es encore debout ma chérie ?
— Oui ! Je t’attendais.
Pendant que mon mari se préparait pour la nuit, je m’étais approchée de lui et mine de rien, lui dit :

— Au fait Paul, Je viens de rentrer, j’étais avec Martine, j’ai fait la connaissance de notre nouveau voisin, il nous avait invité à prendre l’apéritif en tout bien tout honneur. Que dirais-tu si nous l’invitions vendredi soir à diner ? Ce serait la moindre des politesses.

Si comme Jenny vous voulez raconter vos histoires ou vos fantasmes, prenez contact avec moi par mail

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