Jenny La Bourgeoise Serait-Elle Une Salope ? La Nuit Magique De Son Mari Avec De Nadia (3/6)

Pendant que Jenny était aux bras de son futur amant Charly, Paul eut des difficultés à cacher son érection, vu la bosse qu’il avait au niveau de son entrejambe, lorsqu’il ouvrit la portière de sa berline allemande, à Nadia, la jeune Escort girl qu’il raccompagnait à 12 km de son domicile. Il savait qu’il faisait une erreur, il allait tromper sa femme qu’il aimait plus que tout, mais la tentation était trop forte, il n’avait plus bandé comme cela depuis bien longtemps.

La femme qui lui avait fait monter son désir depuis plus de deux heures et demi, était une de ces créatures de rêve qu’il admirait sur des vidéo XXX avant de faire l’amour à Jenny deux fois par mois, ce qui lui permettait de monter en excitation avant de forniquer avec sa femme. Il savait qu’il ne lui procurait plus de plaisir mais c’était probablement dû à son problème de prostate. Ce soir, Popol était au garde à vous et il avait bien l’intention de s’en servir.

D’autant plus que Nadia désirait entretenir la raideur du sexe de son futur partenaire, elle n’avait pas attendu, après 500 mètres sur la route sinueuse, sa main s’était déjà posée sur la cuisse de Paul qui ressentit des frissons sur tout son corps. Pendant plus d’un quart d’heure, les doigts experts de la jeune femme orientale frôlaient et excitaient le membre tendu du conducteur qui devait pourtant se concentrer sur la conduite de sa voiture aux quatre anneaux.

Nadia n’était pas une professionnelle, s’était une des secrétaires de Charly qui, pour des besoins financiers faisaient depuis peu de temps, des extras les week-end en prenant du plaisir, à la demande de son patron. Elle aimait le sexe et était amoureuse de « Romuald » le fils de Charly. Pour s’en approcher, elle couchait avec le père mais celui-ci n’avait pas de sentiment pour elle, il la considérait comme sa chose et ne la payait qu’au SMIC pour les vingt heures hebdomadaires. Autant dire qu’elle avait besoin d’argent et les 500 euros qu’elle perçut pour attirer ce vieil homme chez elle et l’éloigner de son épouse pendant deux heures lui permettait d’arrondir un peu plus ses fins de mois.



Nadia joua son rôle à la perfection, Paul ne pensait plus à Jenny, une fois installé confortablement dans le fauteuil du douillet petit appartement T2 de sa maitresse d’un soir, elle lui avait servi un thé à la menthe pour le requinquer et s’était agenouillée devant lui. Avec des gestes lents, elle avait libéré son sexe en le libérant de sa prison.

En effet, le pantalon et son caleçon qui comprimaient sa verge en pleine érection se trouvait désormais au niveau de ses chaussettes. Avec des gestes délicats de ses mains, de ses lèvres et de sa langue, Nadia s’activait dans une fellation douce et sensuelle, Paul était en plein rêve, il avait posé ses mains sur les joues de sa bienfaitrice et les yeux fermés lui disait des gentillesses :
— Tu es belle Nadia, tu es douce, que c’est bon d’avoir mon sexe dans la chaleur humide de ta bouche.

— Veux-tu que j’accélère ou préfères-tu attendre encore un peu ?
Lui demanda-t-elle en ressortant sa verge gonflée à bloc. N’ayant pas obtenu de réponse, Nadia poursuit avec un rythme lent, plein de tendresse et après quelques minutes de cette longue et magnifique fellation, Paul dit enfin :
— Oh…Tu es fabuleuse…Nadia ! Oui…Continue, c’est trop bon…

Nadia caressait en même temps les cuisses encore fermes et musclées de ce retraité, elle avait passé une main sur le coussin pour venir mettre un doigt sur son anus qu’elle effleurait et massait délicatement. Cette caresse intime le fit se contracter, il bandait de plus belle et tout son corps se crispa, il mit un coup de rein dans un mouvement de bassin.

Le vieil homme venait de décharger le contenu de ses bourses, dans la bouche avide de sa partenaire qui goulument avala l’ensemble de son sperme éjaculé par longs jets au fond de sa gorge :
— Tu es magique ma chérie… Que ce fut bon ! De toute ma vie, je n’ai jamais connu ça.
— Attends Paul, je vais te mettre à l’aise et il faut que tu te reposes maintenant.


Consciencieuse jusqu’au bout, la belle orientale le déshabilla et le fit s’allonger sur le canapé. Le champagne et la jouissance qu’il venait de vivre, l’avait épuisé. Il était déjà 18h30 lorsqu’il s’endormit profondément sous les caresses et les petits baisers que Nadia lui imposa. La sonnerie de la porte d’entrée le réveilla vers 19 heures 30, Nadia avait commandé une pizza que le livreur apportait.

Elle avait dressé la table, il enfila son caleçon et s’installa à la cuisine. Nadia avait quitté sa tenue de l’après-midi pour la remplacer par une nuisette qui ne cachait rien de son anatomie. Elle était tout simplement sublime et hyper sexy. Elle vint l’embrasser sur les lèvres en lui disant :

— Tu es mon papy adoré, Paul. Tu es si gentil avec moi. Tu restes avec moi, cette nuit ? J’ai vraiment envie de toi.
— Charly m’a dit que tu étais Escort, je me doute que…
— Oui Paul ! Je devais te séduire et Charly m’a payée pour ça. Mais l’heure est passé, mon travail est terminé. Je veux vraiment prendre du plaisir avec toi et t’en donner aussi si tu peux encore bander. Veux-tu une pilule bleue ?
— Mais ce qui veut dire que Charly voulait coucher avec Jenny ?
— Ça te gêne tant de faire une exception ? Tu l’as fait aussi cet après-midi.
— Viens, j’ai envie de t’embrasser avant de manger. Tu es si belle et si douce.

Elle se mit assise sur ses genoux et le prit par le cou, il avait posé ses bras autour de sa taille et ils s’embrassèrent. Ce baiser tendre et langoureux avait fait renaitre en lui un semblant d’érection, il sentait monter dans son ventre une nouvelle sensation de désir, une vigueur qu’il ne croyait pas être possible une heure après une jouissance pareille. Nadia en le caressant s’en était aperçue et en souriant elle lui dit :
— Tu vois mon papy adoré, ça remonte.
— Tu es une magicienne ma chérie, c’est pour ça.

Ils rirent tous les deux puis s’étaient installés autour de la table de la cuisine où ils mangèrent leur pizza.
Dans la discussion, elle lui avait avoué ce qu’elle faisait et pourquoi elle le faisait. Cette femme de vingt-six ans était orpheline, elle avait toujours vécu dans la misère, dans la banlieue nord de la ville où la vie n’était pas toujours facile. Elle n’était qu’Escort que depuis peu, sous la demande de Charly.
Elle avait son loyer à payer, elle voulait s’acheter une voiture, ses déplacements, ses quelques sorties au cinéma ou en discothèques revenaient chers et avec son mince salaire, cela ne suffisait pas. Elle avait trouvé en Paul, une personne à son écoute, c’était le seul homme qui s’intéressait vraiment à ce qu’elle ressentait, à sa vie et non pas à son cul ou ses nichons. Il ne la traitait pas comme une pute, il était si délicat, attentionné et plein d’affection qu’elle était très attirée par ce vieil homme et avait bien l’attention de le conserver tout au moins comme ami et elle était décidée de lui rendre la pareille en lui faisant quelques gâterie le jour où il le déciderait.

Lorsqu’il lui avait parlé de l’aider financièrement lorsqu’elle lui offrirait sa bouche, elle lui avait répondu :
— Non Paul ! Si je baise avec toi, c’est que j’en ai envie et je ferai tout pour que tu prennes le maximum de plaisir dans mes bras.
— Je t’aime déjà Nadia, même si j’adore Jenny, c’est ma femme… mais tu seras pour moi ma déesse de l’amour.
— Laisse Jenny où elle est mon papy adoré. Viens ! Allons dans la chambre. Tu prends un viagra ? J’en ai, ce sera peut-être utile…

Paul ne s’en serait jamais douté, il avait retrouvé dans les bras de Nadia une forme exceptionnelle. Après avoir envoyé un texto à Jenny lui disant qu’il passait la nuit chez sa sœur et ayant obtenu son approbation en réponse, il s’était plongé dans l’entrejambe épilé de la fabuleuse orientale. Elle ne simulait pas comme avec ses clients, elle ressentit se soir-là un vrai bonheur avec ce retraité plein d’amour à revendre. Elle jouit une première fois sous les coups de langue et les doigts délicats du papy qui devenait un amant exceptionnel.


Nadia s’offrait entièrement à lui, après une petite fellation comme elle en avait le secret, Paul était en état de marche, sa queue sans être celle d’un éléphant, bandait de nouveau. Elle lui enfila son préservatif avec sa bouche ce qui eut pour effet de l’exciter encore un peu plus. Avec de longs va et viens, il prenait possession de son vagin trempée de salive, de cyprine et de sa première jouissance. Oui ! Nadia jutait encore, elle aussi était excitée et son papy la labourait sans violence tout en douceur, il n’était pas un éjaculateur précoce, il maintenait la cadence, Nadia bougeait son bassin, comprimait le pénis de son amant avec ses muscles pubo-coccygien, elle se laissait aller et recommençait.

N’en pouvant plus, son désir était trop fort, tout son corps se contracta, elle eut un orgasme puissant, elle se retira de la verge qui la possédait quelques instants afin de laisser échapper les jets puissants de sa jouissance. Paul telle une machine avait remis la machine en marche, il continuait d’aller et de venir taper le fond de son utérus pendant que ses mains douces lui caressaient les tétons bandants prêts à éclater. Nadia comprit lorsque Paul commençait à accélérer et à gémir qu’il allait se lâcher, elle ne voulait pas qu’il éjacule dans la capote :
— Viens Paul, dans ma bouche, j’adore ton jus.

Il se retira, elle s’agenouilla devant lui sur le lit, retira vite fait le préservatif et tendit sa bouche ouverte, tirant la langue afin qu’il dépose son gland violacé sur celle-ci. Son sperme bien plus liquide que tout à l’heure s’étala sur le morceau de chair rouge et humide, par petits jets en faisant des soubresauts. Il râlait en se vidant les couilles, prenant le visage de Nadia entre ses mains et en lui déposant un petit baiser sur le front.


Épuisés tous les deux, ils s’allongèrent côte à côte et discutèrent longuement. Parlant de l’avenir de la jeune femme, Paul lui dit qu’elle ne pouvait pas continuer de vendre son corps, qu’elle méritait bien mieux que d’être à la merci de ces hommes qui la baisait come une chienne :
— Tu sais ma petite chérie, lundi je vais essayer de te faire embaucher dans mon entreprise à Pont à Mousson, il recherche une secrétaire à mi-temps.
— Mais Paul, je n’ai pas de moyen de locomotion.
— Je peux t’emmener le matin, je te ramène à midi, tu pourras travailler chez Charly. Nous avons même une chambre à la maison, tu pourrais t’y installer.
— Mais Paul, ta femme, tu te rends compte de ce que tu dis ?

Sans lui répondre, il se pencha et l’embrassa d’un petit bisou sur les lèvres. Nadia avait une nouvelle montée de désir mais même après quelques attouchements, elle ne parvint pas à redresser le sexe de son papy, il ne pouvait plus. Elle lui demanda un cunnilingus qu’il s’empressa de lui faire et avec l’aide de sextoys sortis de la table de nuits, elle jouit une troisième fois. Ce qui finit de la satisfaire, elle l’embrassa pour le remercier de sa gentillesse et s’endormirent enlacés jusqu’au dimanche-matin.

À son réveil, Paul sentit que les lèvres de Nadia emprisonnaient une nouvelle fois son sexe. À cette heure matinale, après une nuit de repos, il sentait son désir prendre forme. Après une savante petite pipe, il put refaire l’amour à Nadia qui prit, elle aussi son pied. Il avait fallu une soirée et une nuit pour que les deux amants deviennent complices.

Paul eut ce fameux coup de foudre, il était tombé amoureux de sa jeune princesse, il ne voulait plus la quitter et lui dit mais il n’en était pas de même pour Nadia :
— Non ! Paul, il ne faut pas, vous ne devez pas, je suis trop jeune et je suis déjà amoureuse d’un garçon de mon âge.
Paul se mit à pleurer, il avait posé son visage sur la poitrine de sa maitresse en sanglot. Les bras de Nadia l’enserraient pour le consoler :
— Que vais-je devenir sans toi ? Je trompe ma femme. Pourtant, je l’aime mais tu es mon soleil.
— Elle aussi vous aime Paul, j’en suis sûre. Il lui faut un peu de piment dans sa vie sexuelle. Laissez-lui en prendre et profitez de moi. Je pourrai de temps en temps venir vous donner du plaisir.
— Tu crois qu’ils ont baisé aussi eux ?
— J’en suis certaine Paul, le soir de son déménagement, il m’a confié qu’elle avait joui et l’avait masturbé. Cette nuit, elle est passée à la casserole, vous pouvez me faire confiance. Elle avait même enlevé sa petite culotte et son soutif sur sa demande.
— Elle n’avait plus de culotte ? Pour le soutien-gorge, c’est vrai, comme un con je croyais qu’elle avait trop chaud.
— Aucune femme ne lui résiste, elle va être radieuse ce matin votre épouse, elle a dû jouir comme une folle avec lui, il est monté comme un cheval et sait s’y prendre.
— Je t’aime Nadia. Viens habiter chez nous, tu as, comme notre couple, tout à y gagner dans ces cas-là.


Si comme Jenny vous voulez raconter vos histoires ou vos fantasmes, prenez contact avec moi par mail

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