Les 1001 Perversions De Nathalie (22) - Mouillée

Il semble à Nathalie que cette réunion n'en finit pas ! Elle a chaud, elle mouille, sa culotte lui colle à la chatte, ses pensées sont obscènes, dans sa tête, les images de cette dernière nuit au Cercle : Juan la fouettant. Sa queue si grosse, si dure lorsqu'il l'enculait comme une chienne... Elle espère qu'après la réunion, Juan la fessera et la sodomisera… Il le fait de plus en plus souvent, lorsqu'il ne se fait pas sucer par Bianca...
Et puis il y a Paul - Paul, c'est le gros client, objet de cette conférence - Et Paul la regarde, non, il la déshabille, il la baise du regard... Et comme toujours, lorsque le regard d'un homme se pose sur elle de cette façon, c'est plus fort qu'elle, elle écarte les cuisses. Elle porte une robe très courte et il peut apercevoir sa petite culotte qui cache à peine son sexe.
Elle voit que Juan, assis à côté de Paul, la regarde aussi et son regard l'encourage, il apprécie, alors elle s'ouvre encore plus. Maintenant, il peut voir qu'elle est mouillée.
Pendant toute la durée de cette réunion qui n'en finit plus, Nathalie vit dans l’attente de sa fessée, désirant presque autant cette peine voluptueuse que le plaisir qui lui succède. Quand, dans un brouhaha, le meeting s'achève enfin, Juan invite Paul et Nathalie à passer dans son bureau.
- Nous avons encore un point important à régler...
Nathalie n'a aucun doute de quel "point" il s'agit...
Juan sert des boissons. Après quelques remarques et considérations sur la meilleure façon de conclure leur affaire, il fait reculer son fauteuil, prend Nathalie par les hanches et l'assied sur ses genoux, face à Paul.
Lorsqu'il lui ouvre son chemisier, elle se laisse faire comme si c'était la chose la plus naturelle du monde de se laisser dépoitrailler devant un client. Il abaisse les bonnets du soutien-gorge. Les seins jaillissent, avec leurs bouts qui pointent.
- Pas mal, ses nichons, hein ? Ils sont gros, tu aimes les gros nichons ?
Il passe la main dessus, dessous, les soulève, les pétrit.

Elle a le rouge aux joues, regarde Paul la regarder.
- Ça l’excite… Tu as vu comme les bouts sont durs ? 
Puis il la prend sous les genoux comme une gamine qu’on veut faire pisser et les écarte. 
- Tu vois sa culotte ? Vieux cochon, je sais que ça te fais bander, une culotte bien mouillée… Retrousse-toi, Nathalie… Retrousse-toi jusqu’en haut... Montre-toi bien... 
Elle remonte sa robe, puis écarte les cuisses le plus largement possible. 
- Elle te plaît, sa culotte ? Moi, je les collectionne...
Il lui caresse la chatte à travers le nylon, de bas en haut, pour la faire s’ouvrir. 
Il lui caresse le con à travers le slip, joue avec les petites lèvres, avec les grandes, enfonce l’empiècement entre elles, et Paul peut voir la mouille qui commence à sourdre à travers les mailles.
- Paul a envie de voir ton con. Montre-le-lui, tu aimes ça, non, montrer ton con ? Enlève ta culotte...
Elle rapproche les genoux et se déculotte. Et, très lentement, elle écarte les cuisses en remontant les genoux pour exhiber son vagin. Il voit sa mouille couler entre ses fesses. Elle outre l’obscénité de sa posture en creusant les reins et en remontant les genoux. Il se penche pour bien voir son vagin s’écarquiller.
Il introduit ses doigts dans sa fente, tire sur les lèvres pour les séparer. Du bout de l’index, il titille le clitoris qui se dresse. Il commence une lente masturbation des petites lèvres à laquelle elle réagit par de brusques saccades du bassin.
Juan lui soulève les jambes, les lui rabat derrière les accoudoirs du fauteuil, tout en la poussant sous les fesses pour l'ouvrir davantage. Quand il lui enfonce deux doigts dans le vagin, elle se cambre.
Paul se lève. Il se penche vers la corolle déployée du vagin. Puis lui flaire l’anus, et le touche du bout du doigt. Il fait tourner son doigt et d’une brusque saccade, elle avance le bassin à sa rencontre.
Il ouvre sa vulve et en explore les chairs. Il joue ainsi pendant une bonne minute.
Enfin, il lui visse un doigt dans le cul et se met à la lécher, de bas en haut, en partant de l’anus et en remontant dans la fente, jusqu’au bouton.
En levant les yeux, il voit son visage : écarlate, grimaçant. Elle halète.
Il mordille délicatement les petites lèvres, sa langue va et vient dans les replis, puis il suçote le clitoris, le tète, tout cela en même temps. Elle s'abandonne, lui pose les mains sur la nuque pour le guider, et bientôt, ils l'entendent vagir. Elle s'ouvre, lui pousse son con au visage, et elle jouit, elle jouit comme une folle dans sa bouche qui la boit.
- J’ai envie de l’enculer… Mais j’aimerais bien la voir toute nue, avant…
Encore engourdie par le plaisir, elle se laisse dépouiller de ses derniers vêtements. Juan lui demande de poser ses mains sur le bureau, et de creuser les reins pour offrir son anus.
Debout, elle se penche pour ouvrir ses fesses, et Paul lui enfile sa queue dans le vagin, par-derrière, pour la mouiller, puis la retire et la lui met dans le cul. Il doit forcer un peu. Mais une fois qu'il est dedans, il se recule et s'assied sur le fauteuil, entraînant Nathalie sur lui.
Juan s'agenouille entre ses cuisses pour s'occuper de sa chatte. Pendant que Paul lui pince le bout des seins en lui défonçant le cul, Juan fait tournicoter sa langue autour du clitoris, et ses doigts fouillent son vagin. Elle perd le compte de ses spasmes, elle jouit d’une façon quasi-continue, n’arrête pas de geindre, de vagir, de sangloter.
Enfin, son sperme gicle dans son cul et, tout étourdie, elle sent que Juan la remet sur pied.
Il la reprend sur lui, et promène ses mains sur elle, comme pour la remercier. Elle se reculotte, remet sa blouse, Juan sert encore des boissons. Finalement, Paul prend congé en lui faisant mille compliments, promettant de revenir… Nathalie l'entend à peine, car elle voit que Juan s'est muni du martinet… Enfin !
- Tourne-toi vers le mur, les mains derrière la nuque. Écarte les jambes !
Il lui ordonne de fermer les yeux.

Il est derrière elle, elle attend, elle tremble, non de peur, mais de désir, sa culotte qu’il a écartée la cisaille. Et tout à coup le claquement d’une lanière, un cri… Puis une autre, une autre encore... Elle se colle au mur, il la cingle, elle se tord, elle halète :
- Je vais jouir, ça ne fait pas vraiment mal, ça brûle...
Il s’arrête enfin et elle continue à frotter son ventre contre la cloison. Il la fait reculer, les pieds à un mètre de la plinthe, la joue plaquée contre le mur. Nathalie imagine le tableau obscène qu'elle représente dans cette posture : la blouse ouverte, les seins à l'air… On voit ses fesses, le sillon ouvert, les poils collés parce qu'elle mouille comme une folle, son anus.
- Tu es ruisselante, salope, mais si tu crois que je vais te laisser jouir...
Il la force à se retourner, lui fourre le martinet entre les cuisses, l'oblige à les refermer.
Il lui ordonne d’ouvrir les yeux.
Il tient une cravache à la main, longue et fine. Il la caresse juste avec la mèche, il taquine ses seins, tapote les tétons bandés... Devant elle, elle voit la bosse qui déforme son pantalon, son sexe bandé, dur. Alors, dans un spasme, les cuisses serrées sur le manche du martinet, elle jouit. Il la retient contre le mur, elle est à moitié inconsciente.
Elle glisse lentement à terre, elle gémit :
- Encore… Viens… Fais-moi tout…
- Suce !
Elle se met à genoux devant lui, haletante, lève les mains jusqu’à sa taille, déboucle sa ceinture.
Elle le regarde, les yeux mouillés, elle semble n'avoir qu’une envie : prendre sa queue dans sa bouche. Elle tient sa verge avec ses deux mains, bien dure, passe lentement sa langue sur le filet. Elle griffe dessous la peau velue, qui sent fort.
Il détache la barrette qui retient ses cheveux. Ils glissent sur son dos, il les att à pleines mains pour rythmer son va-et-vient. Enfin, il pousse un râle, adossé à la table. Elle étouffe, il enfonce sa queue jusqu’à sa gorge.
Il la retire au dernier moment, tirant sa tête en arrière, et il jouit sur sa figure, sur ses seins qu'elle tend vers lui.
Elle se retourne face contre terre, pendant que tétons et pubis raclent le tapis, le cul cambré, le ventre secoué par des spasmes, elle rentre ses doigts pour se finir. Voyant qu'elle jouit comme une chienne, barbouillée de sperme, Juan la gratifie encore de deux coups de fouet en plein postérieur.
Il la relève, elle se colle à lui, elle l'entend lui dire :
- Je veux faire de toi ma putain soumise…
Ses doigts glissent dans la fente gluante, empaument toute la chatte. Dès qu'ils approchent de son anus, une sorte de déclic se fait en elle, tellement elle veut de ce côté-là. Elle fléchit les genoux, se cambre et vient au-devant de la caresse : son cul aspire les doigts réunis en faisceau pour les aider à pénétrer jusqu’au fond. Elle se tortille sur ces doigts qui s’insinuent :
- Tu es une putain dans l’âme, qui aime le cul, la queue... C’est vrai, non ?
Elle pèse sur ses doigts, abandonnée. Sa mouille poisse sa main. Elle est femelle en rut, occupée à guetter la jouissance qui vient à nouveau. Il retarde son plaisir. Son autre main attaque ses tétons, pour les étirer, ça va la distraire un peu de son anus, où il s’immobilise.
Ses doigts recommencent à la fouiller. Elle halète. Il ramone, écarte, élargit son cul. Et il lui chuchote à l’oreille :
- Ton éducation est en bonne voie… Tu seras nue sous ta jupe. Tout le temps. Même au travail. À la merci d’un coup de vent, d’un mouvement un peu brusque. En permanence disponible. Une vraie salope, qu’on peut baiser quand on veut…
Ses gros seins bougent sans entrave, leurs bouts allongés, durs. Il a du mal à maintenir ses doigts en place, elle gigote, elle se pénètre, elle se cambre et se cabre. Son anus est totalement ouvert, elle met sa main dans sa fente qui dégouline. Elle râle longuement.
- Tu as déjà fait beaucoup de progrès, ma pute. Tu es docile et tu aimes baiser. Tu es constamment disposée à jouir et tu aimes tout ce qu’on te fait. Tu as sans doute toujours eu un tempérament de putain, mais maintenant, dans ta tête et dans ton corps, tu deviens une putain... Tu le sais ?
Les doigts travaillent toujours son cul, l’assouplissent et le dilatent. Son autre main s’affaire dans le sillon glissant de sa fente, il masse les deux babines grasses, étire la dentelure des petites lèvres, évase la corolle entrebâillée de la vulve qui attend la pénétration, et débusque le clitoris, pour le pincer, le frotter, le chahuter. Il la sent s’animer, et l'entend qui geint :
- Oui, force-moi ! Fais de moi ta putain, je suis une putain, je veux être une putain !
Elle coule sur sa main, se frotte et geint…
Alors elle se tourne, se penche et, cambrée, lui tend ses fesses, le guide vers son cul. Il s’y enfourne d’une seule poussée jusqu’aux couilles, glissant sans difficulté. Il agrippe les tétons allongés et raidis.
- Salope ! Tu as envie d’être bourrée ? Allez, en cadence, prends ça... Je te baise comme une pute, tu aimes ça…
Pour toute réponse, elle lui lance un coup de cul qui plaque ses fesses contre son ventre et ses couilles contre sa chatte, et elle jouit comme une folle. Puis elle s’effondre, vidée.
Étendue sur le tapis, elle regarde Juan se rebraguetter et elle le veut encore et encore… Nathalie n'imaginait pas qu'un jour elle ramperait devant un homme comme une chienne en chaleur, frottant son ventre et ses tétons sur le sol, le suppliant de faire d'elle sa chienne. Elle sait qu’elle fera tout ce que son mâle voudra, elle est sa femelle. Elle lui appartient…

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