Coup De Chaud 4

Coup de chaud 4


Michel et ses copains Alban et Dimitri m'ont sacrément dézingué…
Passé le moment de baise ou chacun joue le rôle sexuel qu'il aime le plus, moi passif et eux en tant qu'actifs, chacun me respecte, à ma plus grande satisfaction. Dans ce genre de réunion, les passifs sont légion et les "actifs" très recherchés, je suis donc particulièrement content de cette soirée. C'est vrai qu'au début, Michel pensait inviter seulement son copain Alban.

Après avoir tous giclé, la salle de bains a servi de remise à niveau, de point d'équilibre. Dimitri, plus doux que Michel ne me l'avait dit, sans doute très satisfait, n'hésite à me palper sous la douche. Hors de la présence des deux autres, il s'autorise même à me faire un petit bisou dans le cou.

Je me détourne et un simple regard entre nous suffit pour démarrer une complicité. Passé la porte de la salle de bains, il reprend son air macho pour ne pas perdre la face devant les copains.
Chacun a repris son slip ou son caleçon. Cette façon de faire m'a semblé plus esprit vacances très très chaudes et décontractées entre hommes de caserne que partouze déjantée.

Le coup à boire sans précipitation avant que les pizzas ne soient livrées soude l'équipe de queutards que nous sommes, disons plutôt le baisé que je suis et mes trois niqueurs. Heureusement, de l'entrée, il n'était pas possible de nous voir. J'imagine la tête du livreur à nous voir tous presque à poils.
Aucun geste déplacé ni aucune parole désagréable à mon encontre le temps de cette pause bienvenue. Au contraire, j'ai trouvé ce repas extrêmement agréable. La faim se sentait et les pizzas par ailleurs excellentes sont appréciées. Dimitri, toujours lui, me propose de goûter à la sienne et, par politesse, je lui donne une part de la mienne. Alban se croit obligé de me proposer ses olives, ce qui a fait rire tout le monde.

D- " C'est pas tes olives qui l'intéresse, Alban.


L- " Non, c'est son fromage très coulant que j'aime bien.

Bref, le rire général, mais de façon très cordiale. Le repas est agrémenté d'une conversation légère et axée sur l'érotisme, la sexualité consentie hors du cadre habituel, non critique, ou chacun prend part, moi compris.
Pour ma première partouze surprise chez un particulier, je me sens bien.

Pas de complication pour le dessert, les fruits au sirop en conserves et le congélateur sont de belles inventions et Michel sait recevoir ses amis.
L'ambiance a déjà changé le café arrive. Les ventres sont remplis, les batteries rechargées. Les regards se font plus chauds, les mains plus baladeuses sur les corps exposés, les mots plus ou moins équivoques…
On ne va pas jouer les pudiques vu que chacun a vu la bite de l'autre en action et sait pourquoi il est là.
Les braises se raniment et les tissus se tendent dans les slips ou les caleçons. Ils me félicitent sur mon corps équilibré, mon sexe aussi beau que celui d'Alban, normal mais beau quand même et mon aptitude à encaisser leur virilité.

En hommes énergiques qu'ils sont, rien ne sert d'attendre. Dimitri se lève le premier et me demande de le suivre.

D - " Laurent, viens me sucer les boules et la queue avant que les deux autres ne bandent de trop.
M - " Il va l' avec sa grosse pine.
A - " Il a pas baisé depuis un moment, faut qu'il crache. T'as vu la paire de couilles qu'il a.

Je sais que Dimitri me désire plus que les autres même s'il veut le cacher. Devant ses copains, il ne laissera rien paraître mais c'est comme s'il voulait me transmettre un message.

D- " Hé, les mecs, pour une fois que je tombe sur un beau jeune homme qui m'offre son cul sans se plaindre de ma queue épaisse. Laissez moi profiter les mecs.
M- " Pas de problème Dimitri. A toi l'honneur de lui faire plaisir.
Puis, pour les exciter:
D- " Laurent, mon petit chéri, viens me sucer les boules.
Elles sont pour toi.

Les copains rient et se lâchent… et il leur tarde à eux aussi de participer à la reprise.

Comment ne pas faire plaisir à cet homme si puissant, si corpulent, qui pourrait s'il le voulait me casser en deux. Il s'installe comme un pacha sur le lit et m'invite à me blottir entre ses cuisses musclées et poilues pour venir goûter à ses fruits gorgés de saveurs exquises.
Je commence par sucer son gland aussi gros qu'un abricot et gorgé d'une sève qui perle. Puis je me dirige vers son sac de couilles car le mandrin qu'il a est trop imposant et risque de me créer quelques problèmes pour le prendre en bouche.
Dimitri comprend la situation et ne cherche pas à m'imposer une fellation ou aucun des deux n'y trouverait son plaisir. Pour compenser, je passe ma langue sur toute la longueur de son gourdin et, vu les grognements qu'il émet, je sais qu'il apprécie. Il est doté d'une paire de couilles énorme qui m'a presque surpris tant elle rempli ma main. C'est un régal de saliver et malaxer ce volume. Heureusement que j'en ai pas autant.

Pendant que Michel admire cette scène érotique, Alban, de son côté, ne reste pas inactif.
La bite bien relevée, raide à souhait, il s'installe derrière moi et brûle d'impatience de me forniquer. Michel lui passe du gel pour qu'il me lubrifie le conduit. Je suis pourtant bien ouvert mais c'est plus agréable pour se faire pénétrer. Avoir mal, c'est pas mon truc.
Dimitri me demande de venir lécher ses aisselles poilues, hummm, quel délice, puis de sucer ses tétons très appétissants. Allongé sur ce colosse pendant que ses bras puissants me serrent, que ses mains larges comme des battoirs caressent mes épaules, me voilà offert aux copains…

D- " Offre bien ton cul, Laurent, Alban va te baiser comme tu aimes.
A- " Oh, putain, je bande comme un cerf.
L- ( moi) " Heiiiiiiiiinnnnnnnnnnn
M- " Là, je crois que tu l'as bien enculé. Il l'a sentie rentrer.

A- " Tu rigoles, l'autre balèze, il lui a complètement explosé le cul. C'est rentré tout seul.
D- " T'as bien aimé quand c'est rentré, mon bébé…. C'est bon ?
L- " Ouiiii, c'est bon, comme avec toi.
D- " Merci, mon chéri. Détends toi, laisses toi aller.
A- " Ah, putain, il a un cul…. ça rentre trop bien.

Pendant qu' Alban me chevauche et me pistonne, Michel s'est approché et me propose son sexe à sucer, sous les yeux émerveillé de Dimitri qui me regarde passer de ses tétons durcis et turgescents à cette queue raide, luisante et encaisser en même temps les assauts de mon cavalier.

Dimitri m'encourage à déguster, à saliver le nœud de son copain, à relever ma croupe pour mieux me faire défoncer et semble en tirer un réel plaisir, rien qu'à me regarder, à m'entendre geindre.

Tous les sens en excitation, il roule une pelle à Alban qui ne se refuse pas à la proposition. Michel se joint au ballet des langues et vient m'enduire de bave érotique puis léchouille aussi les copains, revient à moi…C'est open sexe et câlins complets.

Ces bruits des couilles contre mon cul, ces grognements de satisfaction de tous ces mâles, cette odeur de sexe qui a envahie la chambre, nos gémissements érotiques…un moment d'une rare intensité. Dimitri invite ses copains à me niquer le cul et la gueule encore plus fort, à lâcher les vannes, à me fourrer de leur sperme.

D- " Putain, les gars, vous m'excitez trop. Moi aussi, j'ai envie de baiser.
A- " AAAAhhhh, je viens…., je vais lui gicler dans le cul.
M- " Vas y Alban…. Ah, putain, je le baiserais bien moi aussi toute la soirée.

Dimitri se dégage et me laisse subir la saillie qu'Alban m'administre jusqu'à ce qu'il jute en moi. Michel profite de ce moment pour se branler devant mon visage, m'invite à ouvrir la bouche. Il réussit à me gaver de son foutre, dans un grand râle de contentement.

D- " Hé les gars, c'est mon tour, moi aussi je vais lui en donner.


Il sait au fond de lui que, vu mon excitation, je ne vais pas refuser, que j'ai envie de lui et qu'il est superbement monté mais que je vais encaisser sa grosse queue prête à cracher.

A- " Tu peux y aller, Dimitri, je l'ai bien graissé, ça va passer.
M- " Bourre lui la chatte, mon pote. C'est toi le meilleur. Fais le couiner.
D- " Mon bébé, à nous maintenant. On va se faire plaisir. ( ce qui fait sourire les copains)

Sans attendre, Dimitri, en rut, s'allonge sur moi, m'écarte les jambes d'autorité, n'écoute plus les copains et ne pense qu'à son plaisir à venir. De tout son poids sur moi à me coincer, il se cale et je sens son énorme abricot glisser dans ma raie et venir m'ouvrir la rosette, se préparer à me fouiller les entrailles.

L- " HEEEiiiiiiiinnnnnnnnnnnn
D- " Détends toi, mon chéri, le plus dur est fait. Je t'ai ouvert.
L- " Heeeiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnnnnn
D- " Oh, putain, c'est trop bon.
L- " Heeeeeiiiiinnnnnn, vas doucement, Dimitri
D- " T'inquiètes, Laurent, je la sens bien dans ton petit cul. Oh, putain…HUMMMM…..
M- " Putain, le mec, il lui a logé son matos direct.
A - " Ca, c'est de l'enculage. Ca fait du bien quand ça rentre.
L- " Heeeiiiiinnnn
D- " C'est bon, mon bébé, offre moi ton petit cul.

Dimitri ne tient pas compte de leurs remarques et continue de me rentrer son mandrin de rêve. Il n'est pas doté d'un sexe trop long mais quelle épaisseur, quel gabarit…il faut se le prendre, le gourdin.
Les copains, émoustillés, satisfaits et les couilles vides s'écartent un moment pour aller se désaltérer, nous laissent continuer notre accouplement.

Il en profite pour me lécher le cou et le lobe de l'oreille pendant que nos corps s'ajustent.
Tout son corps massif sur moi, il me couvre sans m'écraser et se réjouit des baisers que je lui donne sur ses avant bras qui me serrent, sur ses mains qui me caressent. Il m'introduit deux de ses gros doigts dans la bouche et commence à coulisser son énorme manche de pioche dans mon cul.

Le plaisir est sublime, absolu et il souffle, respire comme une bête dans mes oreilles, grogne son bonheur, bave sur moi. Les mouvements sont amples, doux, étudiés pour le plaisir. Mon corps le veux, mon cul l'adore et je sais que mon merveilleux amant le ressent.
Il se régale de mes petits gémissements et du plaisir qu'il me donne, bave sa salive sur mes joues, cherche mes lèvres.

L- " Tu vas me faire jouir, Dimitri, c'est trop bon.
D- " Retiens toi encore un peu, Laurent. Laisses moi profiter.
L- " Dimitri, j'aime bien tout ce que tu fais, c'est trop bon.
D- " Merci Laurent. Moi aussi, j'aime bien. Retiens toi, mon bébé.

Nos langues se sont rejointes, mon corps est à lui. Sans forcer, il glisse en moi, sort et rentre son gourdin en m'ouvrant comme une fleur et ses couilles viennent buter contre mon trou béant. Sa pénétration qui caresse mon conduit m'arrache des gémissements érotiques, somptueux. Il transpire et me transmet sa chaleur, je me retiens mais je ne vais pas tenir très longtemps. J'ai trop rêvé d'un moment pareil avec un mâle puissant qui saurait m'enculer jusqu'à l'extase.

M- " Il va être bien sailli. T'as vu comment il apprécie, comment il se fait enculer.
A- " Je crois qu'il y en a un autre qui apprécie. Regarde les baiser et comment il le fait couiner.
M- " Il est bien dedans, il va pas tarder à lui envoyer la purée.
A- " C'est sûr, il va le remplir.

Dimitri et moi, nous savons que les copains sont présents à côté mais, en plein accouplement, nous allons aller jusqu'au bout, la jouissance est trop proche, irréversible.
En bon mâle alpha, en homme viril, devant les copains, il augmente la cadence, devient plus ferme, plus directif. Lorsqu'il me sent défaillir, il se déchaîne.

" Heeeeiiiiiinnnnn
" Arrête de couiner, salope. J'vais t'cracher dans l'cul. J'vais t'faire un petit, grosse pute.
" Heeeeiiiiiinnnnn

Il m'administre de sérieux coups de queue qui me défoncent le cul. Devant ses copains, il jubile de sa puissance, de sa virilité. Emporté par le plaisir, il gueule et hurle son hallali, je crie sans contrainte, sans limite tellement je me sens possédé et que son sexe est en moi. Il sait que je jouis et je le sens jouir en moi, me remplir de sa semence, me féconder au plus profond de mes boyaux.
Haletants, libérés, heureux, nous savourons tous les deux l'issue de nos ébats, sous les yeux ravis de ses copains qui nous félicitent du résultat. Nous rions, la tête l'un contre l'autre, le souffle chaud, en sueur, de ce bonheur indescriptible.

M- " J'ai bien fais de vous inviter les gars. Vous avez bien niqué.
D- " Oh, putain, j'avais trop envie de baiser. Merci Laurent et merci Michel.
A- " Tu lui as déboité le cul avec ton gros manche.
D- " Il était pas contre, il l'a bien pris………. (rire général) pendant que Dimitri me fait une énorme bise, me maintient dans ses bras et me donne un dernier coup de bite.

Dimitri décule et me laisse à moitié groggy, le cul en compote. Alban et Michel rient aux éclats lorsque je me passe la main au cul pour constater les dégâts: la rondelle explosée et du sperme qui s'en écoule.

L- " Michel, tu m'avais prévenu que tes copains allaient me doser mais je ne pensais pas prendre autant de plaisir. Merci à vous trois.
M- " Quand j'ai su que Dimitri allait venir avec Alban, j'ai su que tu allais t'en prendre plein le cul. J'ai pas voulu te faire peur. Je t'avais baisé avant et je savais que t'aurais aimé et que tu l'aurais bien prise.
D- " Je suis super content d'être venu.
A- " Moi aussi. Merci Michel.

Chacun me remercie à son tour. Dans un élan commun, nous nous caressons, nous nous embrassons sans la moindre pudeur. C'est un plaisir de les voir très câlins entre eux, avec des corps à corps et des gestes rarement publics. Ils échangent des baisers très appuyés, des caresses sincères, sans aucune gêne.

Nous nous retrouvons dans la petite salle de bains pour une douche bien nécessaire tellement nous sommes collants de sueur et de foutre. Alban et Michel prennent leur douche en premier. La promiscuité règne mais le plaisir a été si intense que, tous les quatre ainsi rapprochés, rien ne nous est désagréable. Dimitri, derrière moi, perd toute pudeur et me serre dans ses bras en attendant, en regardant les copains se laver. Comme moi, il mate le corps poilu de Michel, le galbe parfait d'Alban, leurs couilles pendantes, leurs verges magnifiques. Nous sommes entre hommes et toute cette nudité entre nous semble normale.
Ils ne trouvent rien à redire qu'il soit collé dans mon dos, qu'une de ses larges mains palpe mon trou gluant de son sperme et que l'autre me titille un téton. La confiance, l'amitié, la camaraderie, la solidarité qu'ils ont entre eux, qu'ils me transmettent, me donnent envie de rester avec eux.

Souvent, une fois le coup tiré, beaucoup d'hommes deviennent cons, distants, voire désagréables, ne pensent qu'à se tailler ou à t'expulser de chez eux.
Là, en pleine confiance, non honteux de nos ébats, nous nous sentons bien. Une harmonie certaine règne sans aucun jugement mal intentionné.

Dimitri me fait comprendre, de part son attitude, de lui savonner le corps sous la douche.
Quel plaisir, mon Dieu quel plaisir.



Caramel35
Je tire sur la cigarette… maintenant, je vapote.
Je tire un coup…. maintenant, je capote.

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