Coup De Chaud 5

Coup de chaud 5

Dimitri m'invite, d'un geste, à lui savonner le corps sous la douche.
Quel plaisir, quel agréable plaisir.

Il ne pouvait pas m'offrir plus beau cadeau: un corps massif comme j'aime. Je lui frotte son ventre confortable, ses larges pectoraux, son dos comme une armoire à glace puis il se tourne, prends ma main et m'invite à masser ses testicules, son sexe moins imposant. Il se laisse faire et se réjouit autant que moi du plaisir que je prends. Il profite de l'absence de ses collègues pour goûter ma bouche et me rouler une pelle d'une intensité au-delà de mes espérances. Son regard me fouille les yeux: il veut me faire passer un message. Ses gestes sont doux, attentionnés. Les copains sont sortis de la salle de bains. On pourrait nous surprendre mais son regard complice, le soin qu'il porte à m'essuyer et sa superbe bite déjà raffermie en disent long sur son désir.

Maintenant tous au salon, habillés, nous sommes revenus à la vie civile. Michel offre des bières qui sont les bienvenues. La décontraction est de mise, chacun se réjoui de s'être libéré de ses envies, du moment agréable que nous venons de passer.


Alban doit malheureusement partir, par obligation. Dimitri étant venu en voiture avec lui, Michel propose de le ramener plus tard. Alban nous quitte à la fois déçu de ne pouvoir rester et tout de même content d'avoir juté. Il remercie Michel pour son invitation qui lui a fait particulièrement plaisir et nous fait savoir qu'il fera le maximum pour se rendre dispo pour une autre "réunion".

Michel, soucieux de ne pas laisser l'atmosphère se refroidir, offre une seconde bière dans son canapé ou la promiscuité est plus favorable à des attouchements. La conversation est malgré tout plus apaisée même si elle reste agréable. Les boissons se succèdent au choix: café, alcools forts… Puis, après réflexion et par sécurité, sans doute en rapport avec son métier, il propose aussi à Dimitri de dormir sur place et nous annonce qu'il est un peu claqué vu qu'il avait peu dormi la nuit d'avant.



L- " Michel, ne t'inquiètes pas. La semaine prochaine, je serai encore sur le secteur pour mon travail et on pourra en profiter. Tu es vraiment sympa et j'ai adoré ta soirée.
M- " Merci Laurent. J'ai confiance en toi. Moi aussi, j'ai adoré.
L- " Pour que tu te reposes vraiment, je vais dormir avec Dimitri. Je ne pense pas qu'il va refuser.

Comme un ressort, Dimitri se penche immédiatement vers moi, m'écrase, m'embrasse, me caresse, sans aucune pudeur, les yeux brillants de désir. Libéré de tout, un sourire à décrocher la lune, il att ma main et viens la passer sur sa braguette ou je sais qu'il y a là tous le matos nécessaire pour une bonne baise.

D- " Je ne sais pas si on va dormir. Bien sûr que je suis d'accord. Je vais te bourrer le cul, mon cochon.
M- " Mon salaud, Laurent veut dormir avec toi, tout ça parce que t'en as une plus grosse que moi ….( et Michel rit, nullement vexé)

Puis, s'adressant à moi:
" Tu as raison, Laurent, Dimitri est un vrai pote, il n'y a pas de problème. Demain matin, je vous rejoins de votre lit…
D- " Ca va être chaud….

Nous voilà levés au quart de tour, une envie de pisser avec tout ce que l'on a bu et la promesse d'un bonheur à venir à des moments différents.

Quelques minutes plus tard, c'est dans les bras de Dimitri, sous la couette, que nos corps se retrouvent.
Nous ne sommes plus que nous deux à profiter sans témoin d'un moment que nous avons désiré, souhaité sans le dire au cours de cette soirée.

Dimitri se rince l'œil en me regardant nu et le sexe tendu le rejoindre, éteint la lumière et se rapproche, les bras ouverts pour m'envelopper contre son corps chaud de mâle plein de désirs, plaçant son sexe lourd et raide entre mes cuisses pour me prouver toute l'énergie qu'il va bientôt m'envoyer.
D'une voix basse et profonde, à la limite du chuchotement, il me dit:

" Merci Laurent de venir passer la nuit avec moi.

" Moi aussi, j'avais envie de toi, Dimitri.
" Mon Laurent, je vais bien m'occuper de toi.
" Laisse moi profiter de toi un peu.

Ses lèvres trouvent les miennes. Je m'attend à une pelle virile mais il me fait le plus doux des baisers, onctueux, savoureux et me laisse caresser son visage, l'embrasser à ma guise. Il s'offre à moi, libre, heureux du moment.

Il saisit mes mains et m'invite à parcourir son corps de super lourd, sa poitrine puissante et velue, sa nuque de taureau, ses bras musclés et forts, son ventre confortable et bedonnant sans être obèse. Son souffle trahit son plaisir, ses bras me serrent pour maintenir le contact de nos corps, ses mains larges se promènent sur ma peau de façon douce, aimante.
Il pousse la couette pour que j'ai accès à son sexe qui m'attend, à ses cuisses qui s'ouvrent. La taille de son mandrin me parait encore plus impressionnante dans l'obscurité, sans doute par la raideur de l'engin. Son sac de couilles est toujours aussi chaud, volumineux, agréable au toucher.
Cette odeur de mâle qu'il dégage, ce goût exquis et fort qu'il a sur son gland, je me retiens tellement l'excitation me gagne. Je me surprend à prendre en bouche presque la moitié de son énorme sexe…il me laisse faire sans me forcer et m'encourage par ses murmures, ses caresses. Je reviens à ses tétons absolument délicieux qu'il me laisse téter comme un petit veau.

Ils sont devenus durs, sensibles….de ses bras puissants, il me bascule, assouvit sa soif d'amour et me remercie par un baiser passionné ou j'ai l'impression que toute sa salive me pénètre la bouche.

Il se penche sur moi et entreprend de caresser mon corps, de sucer mes tétons. Il répand sur moi sa salive, me lèche partout, prend à pleine main mes couilles et joue avec mon prépuce, me branle légèrement. Je sens soudain sa bouche chaude, ses lèvres humides se refermer sur ma tige et descendre jusqu'à mes couilles comme pour déguster à son tour ce fruit défendu.
Je n'aurais pas imaginé qu'il pouvait le faire. C'est tellement bon, surréaliste que j'ai peur de jouir. Une légère pression de ma main sur ses joues et il comprend qu'il ne faut pas insister si on veut tous les deux profiter plus longtemps. Il continue son exploration sur mes cuisses, revient goûter mes boules, va masser mes pieds, suçote mes orteils . S'abandonner à cet homme me procure les plus belles des sensations.

Il dirige sa main vers mon cul. D'un doigt assuré, il le glisse et l'introduit complètement, ce qui me fait soulever mon bassin pour qu'il profite davantage. Il n'hésite pas à passer aussitôt à deux doigts et sa bouche vient chercher mes lèvres en même temps.
Mes mains s'accrochent à sa nuque pendant que mon corps se livre à lui en signe de soumission, en signe de bonheur, en signe de promesse de plaisir.
Nous naviguons ainsi au gré de nos sensations, telle la marée, entre le flux et le reflux. Puis, tel un signal, je me positionne sur le ventre et Dimitri vient naturellement me couvrir de sa chaleur. Plein d'envies de lui, j'ondule et me cambre pour lui faciliter la tâche. Il récupère un carré de gel posé sous l'oreiller et m'enduit l'œillet, s'astique le mandrin et finit en s'essuyant les doigts sur mes fesses.
Il a déjà la moitié de son gourdin en moi lorsqu'il me chuchote au creux de l'oreille:

" C'est bon, Laurent ?
" C'est trop bon avec toi, Dimitri.

Le lit grince et vibre sous l'assaut de mon colosse lorsqu'il me pénètre complètement, d'un coup de reins viril. Tel qu'il m'avait pris en soirée, il réitère sa merveilleuse façon de m'enculer, tantôt des coups amples, tantôt des petits coups. Mon corps lui appartient. Sa queue est en moi, chez elle. Il se régale de m'empaler, de m'emboîter d'un trait, de me faire miauler et faire subir sa virilité hors du commun.

" Tu aimes, mon chéri?
" OUUUUiiiiiiii, continue…Hummmm, fais toi plaisir Dimitri.
" Tu as un corps magnifique, Laurent.

" Il est pour toi. Baise moi comme tu aimes, Dimitri.

Nos corps sont à l'unissons et il savoure ce moment en prenant soin de moi pour faire durer, alliant sexe, caresses, câlins, baisers . Nous sommes bien, en harmonie, nous profitons de ce bonheur intime.

Il décide de se mettre sur le dos et, même dans l'obscurité la plus totale, j'arrive à me mettre a califourchon sur lui, à prendre son membre vigoureux et m'empaler dessus.
Il me laisse activer à ma façon, me caresse les cuisses, tout le corps en signe de reconnaissance puis m'attire à lui pour que nos bouches se bécotent, que nos salivent se mêlent. Ce n'est pas des plus pratique vu sa corpulence mais l'envie est là et, une fois nos langues rassasiées, je me ré emboite sur lui jusqu'à sentir ses couilles toucher mes fesses.
Nous n'avons pas besoin de parler, nous nous comprenons dans le même désir de plaisir.
Maintes fois il a senti que j'allais déborder et maintes fois j'ai senti qu'il allait exploser mais nous voulons continuer à jouer à ce jeu si agréable.
Cette fois ci, il se fait plus directif et me remet sur le ventre. Je sais qu'il va envoyer et je ne veux pas le décevoir. Il est déjà en moi et me tiens fermement d'une main et va chercher ma bite de l'autre.

" J'arrive, Laurent, je peux plus tenir. Laisses toi aller.
" Moi aussi, Dimitri. Donnes moi tout.

Il me baise alors plus fort, me coulisse une douzaine de fois avant de s'immobiliser, haletant, le temps que son mandrin m'envoie dans les boyaux tout son foutre.
J'ai la sensation qu'une onde de chaleur envahit mon corps et que sa queue qui dégorge vibre en moi. Le plaisir me submerge et, dans un grand gémissement étouffé, moi aussi, je décharge plusieurs jets dans le creux de la main de Dimitri.
Il me bascule alors sur le côté et nous restons plusieurs minutes ainsi, heureux, enlacés, repus de sexe, à reprendre notre souffle. Il approche sa main gluante de sperme et me fait lécher ce qu'il a recueilli pendant qu'il me suçote le cou, se frotte le nez dans mon oreille.
Je suis bien dans ses bras, heureux de m'être fait enquiller par cet homme excellent baiseur et respectueux, tendre, aimant. De plus, doté d'un manche plus qu'honorable, disons même bien au dessus de la moyenne, pas spécialement long mais putain, quelle épaisseur.
Ramolli, sa mission accomplie, son sexe finit par glisser hors de moi. J'en profite pour me retourner et lui masser la nuque, l'embrasser.

" Merci Dimitri.
" Tu sais, Laurent, j'ai eu autant de plaisir que toi.

Sa voix profonde, grave, vibre jusqu'à l'intérieur de moi et m'empêche de réagir. Comme ceux qui ont tout donné, il nous reste quelques caresses à distribuer, quelques petits bisous. Je ne propose même pas d'aller nettoyer nos corps de peur de rompre le charme du moment.

" Essaie de dormir un peu, Laurent, reste dans mes bras.

Je ne répond pas…je l'entend respirer différemment, déjà endormi. Il a cette capacité qu'ont les militaires et d'autres professions à s'endormir presque à la demande. Je suis émerveillé de cette prouesse, bien incapable d'en faire autant, la tête embrouillée par tout ce qui vient de m'arriver en quelques heures. Je ne sens plus mon cul, explosé par tant de sexes qui m'ont défoncé. Je sens seulement qu'il suinte le foutre de mon dernier amant mais comment lui reprocher de m'avoir si bien honoré, si bien fécondé, alors que son corps chaud respire contre moi et qu'il m'a prouvé toute sa tendresse.

…..
J'ai dû finir par m'endormir mais, tôt ce matin, avec tout ce qu'on a picolé hier soir, ma vessie sonne le réveil. J'ai la tête dans le pâté et le cul douloureux avec tout ce que je me suis pris hier soir.
J'en profite pour prendre une douche vraiment matinale et finalement très efficace. J'utilise les produits laissés à disposition par Michel et, lorsque je ressort, les diverses vidanges ont été faites, je suis frais et je sens bon. Je me suis massé le petit trou endolori par autant d'activité la veille et il est maintenant assoupli, remis au propre.

Je me glisse doucement sous la couette sans faire de bruit mais…Dimitri, habitué aux sommeils hachés, aguerri aux levers matinaux, se rapproche, m'attire à lui, me colle contre lui.

" Tu sens bon, mon chéri.

Il sent le mâle, il sent le fauve mais je m'en fout. Nos lèvres se retrouvent. Il saisit ma tête, me dévore la bouche, m'impose sa langue, sa salive. Je le sens affamé de tendresse et de sexe. Son corps est chaud, son gros gland baveux vient buter contre mon ventre, il bande comme un âne.

On entend Michel faire du bruit et aller occuper la salle de bains. Dimitri n'en a cure et me retourne sur le ventre pour venir me chevaucher. Il a déjà récupéré un carré de gel et me barbouille le trou avec. Puis, comme si les choses ne pouvaient attendre, il plante son énorme pieu entre mes fesses et force mon trou, comme un propriétaire qui rentre chez lui.
La tête dans l'oreiller, le cul cambré, je gémis devant cet enculage matinal, comme un devoir conjugal nécessaire.
Nul besoin d' mes cris, mes plaintes de jeune homme, ils savent tous les deux, Michel et Dimitri, que j'adore me faire enculer. D'ailleurs, cela servirait à quoi ?

Dimitri est raide, la bite affreusement raide et chaud comme la braise. D'un royal coup de queue, il m'a ouvert et compte bien me loger toute la longueur de son énorme bambou. Je tente de me débattre pour échapper à cette virilité triomphante, me tortille pour contenir son énorme piston qui me fore l'intimité. Son poids sur moi, il assume son rôle de mâle et s'enfonce jusqu'à la garde. Ce n'est qu'une fois bien introduit qu'il me laisse quelques instants accepter la situation avant de me coulisser selon son envie.

Michel est là, à côté du lit, et a laissé la lumière de la salle de bains éclairer nos ébats. Il est nu, tout son corps poilu encore mouillé, la bite majestueuse tendue vers le ciel tel un arc près à tirer. Il nous regarde et se réjouit de la saillie que je me prend par Dimitri.
Mes gémissements ont dû l'attirer et l'envie d'en faire autant est la plus forte. Ce témoin soudain n'affole pas Dimitri qui besogne en moi comme si de rien n'était et m'arrache des cris de plaisir au point que Michel se branle devant nous.
Tel une bête, il émet un cri bestial lorsqu'il évacue sa semence en moi, signe du devoir accompli. Il se retire, se lève aussitôt, la bite luisante, vainqueur, souriant:

D- " J'ai une envie de pisser, je t'explique pas. Tu peux y aller, mon pote.

Sans un mot, Michel me rejoint dans le lit. Il est radieux, heureux de me retrouver. Je me tourne sur le côté et ouvre les bras pour l'accueillir. Dans sa fougue il m'embrasse, me serre et me met sur le dos. La vue et le contact de son corps poilu me rend fou. Ses poils raides comme du crin m'électrisent. Il sait que son corps me plait.
J'ouvre mes cuisses et les soulève pour lui offrir mon œillet, ma chatte d'homme, pour qu'il profite sans tarder. Il comprend le message et vient s'emboiter en moi par la porte laissée ouverte par son copain et glisse sans problème.
Il m'astique aussitôt, allant et venant en moi tel le vérin d'un automate. Nos langues se croisent, nos salives se mélangent, attendant l'explosion. Sans prévenir, je le sens juter en moi. Mes couilles se contractent, plusieurs saccades traversent ma queue tendue à l'excès et je gicle, je jouis, sous le regard émerveillé de Michel qui sent le sperme chaud jaillir entre nos ventres et lui coller les poils.

D- " Bravo les mecs, c'est pas sérieux, ça.

Nous rions tous, libérés d'une pression évacuée, soulagés. Dimitri nous attend et, après un passage tous les trois par la salle de bains ou les plaisanteries grasses fusent , nous prenons notre petit déjeuner ensemble.

Michel, qui ne perd pas le nord, s'inquiète de savoir si je vais revenir ce soir:

" Bien sûr Michel, avec la bonne baise que tu m'as offerte depuis hier soir, je reviens ce soir te faire un câlin.
" Merci Laurent. Je vais donner le meilleur de moi pour te faire plaisir.
" Je n'ai aucun doute là-dessus…. ajoute Dimitri, très en forme.



Caramel35
Le jus qui gicle dans le cul, c'est trop bon. S'il rempli la capote, c'est encore mieux.

Vous pouvez m'écrire ou laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir. Merci.







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