Coup De Main

Quand ma meilleure amie Stéphanie m'a demandé de l'aide pour quelque chose de particulier, j'ai immédiatement accepté:
"À quoi servent les amis?" Bien que je sois ravi de lui rendre service, ce que je ne savais pas, c'était de quelle aide elle avait besoin? Stéphanie m'avait prévenu par texto sans préciser de quoi il s'agissait. Je connais Stéphanie depuis l'école primaire et j'ai vu grandir et se développer cette belle jeune femme blonde qu'elle est devenue. Malheureusement pour moi, elle préfère la compagnie des femmes.
Ce soir-là, quand je suis arrivé, elle m'a accueilli normalement. Nous nous sommes assis et avons pris une bière en discutant. Après un petit moment, ma curiosité m'a fait demander:
"Alors, qu'y-a-t-il de si urgent que j'ai dû me précipiter ici ce soir? Tu n'as pas déjà rompu avec ta nouvelle copine, n'est-ce pas?"
Le sourire cruel qui crispait sa bouche aurait dû m'alerter, mais comment me douter de ce qui m'attendait ensuite?
"Non, elle et moi sommes toujours ensemble, bien que nous ayons rencontré un petit problème récemment. Je ne vais pas entrer dans les détails, mais je voulais te demander de m'aider à y faire face? J'ai en tête quelque chose de particulier et je pense que tu es l'homme parfait pour ce boulot, de plus j'ai totalement confiance en toi, alors je ne me vois pas demander à quelqu'un d'autre que toi."
La façon dont elle a dit "homme pour le boulot" m'a paru un peu étrange et au fond de moi, une idée plutôt vicelarde a surgi. Stéphanie était-elle sur le point de me proposer un trio? Logiquement, je savais que cela n’avait pas de sens, mais je suis un mec, et j’ai été immédiatement excité par cette idée.
En riant, j'ai proposé: "Bien sûr, Stéphanie, on va faire un plan à trois, je pensais que tu ne le demanderais jamais!"
Tout d'un coup, je n'ai pas reconnu Stéphanie; la douce et innocente jeune fille que j'avais toujours connue était remplacée par une femme déterminée, avec dans son regard une lueur méchante.

Elle se leva en m'annonçant:
"J'aime ton humour André, et tu as presque deviné. Mais nous ne ferons pas de plan à trois!"
Elle quitta la pièce, me laissant confus et troublé. Devais-je me lever et la suivre? Que voulait dire "presque deviné"?
Assis là, perplexe, je me posais bien trop de questions.
Stéphanie revint, traînant derrière elle une magnifique jeune femme rousse. Elle se déplaçait à quatre pattes comme une chienne, Stéphanie la tenait en laisse, attachée par un gros collier en cuir autour du cou. Pour compléter sa tenue, une boule d'angoisse dans la bouche et une superbe queue de renard fixée sur un plug anal. Pour le reste, elle était entièrement nue. Stéphanie promena son animal de compagnie autour de la pièce avant de s'arrêter devant moi. Aussitôt, la fille s'assit à ses pieds comme une chienne bien dressée, faisant ainsi pénétrer le plug anal plus profondément.
"Je te présente Claire la salope, c'est mon jouet sexuel. C'est ma chienne, je la dresse pour qu'elle soit soumise à tous mes caprices!"
Bien sûr, j'avais déjà vu des trucs bizarres sur internet, mais c'était la première fois que j'en voyais une en vrai. Choqué, je restais bouche bée, ne sachant quel comportement adopter.
"Voilà Claire, je te présente André, il va m'aider pour ta punition de ce soir. C'est ce qui arrive aux petites salopes lesbiennes qui n'obéissent pas!" expliqua-t-elle en la regardant.
Tout aussi confus que je l'étais, mon sexe réagissait normalement, il devenait de plus en plus dur pendant que la partie tordue de mon cerveau évaluait ce qui se passait. Devant moi, Stéphanie tenait sa chienne en laisse. Claire était assise au pied de sa maîtresse, complètement nue, une boule dans la bouche, un collier autour du cou, une queue de renard plantée dans le cul. De mon angle, je regardais cette fantaisie d'adolescentes se dérouler devant moi, sans comprendre quel était mon rôle dans cette histoire.
J'avais besoin de réponses: "Stéphanie, c'est quoi ce bordel? Pourquoi tu traites ta copine ainsi? Pourquoi accepte-elle de s'humilier ainsi devant moi? Et qu'est-ce je fous là?"
Stéphanie promenait une cravache sur le corps de Claire.
Sous le menton, pour lui faire lever la tête. Puis descendant sur sa poitrine, caressant les seins, tapotant les tétons garnis de piercing qui se sont immédiatement érigés au contact du cuir. Ensuite le ventre, le nombril, lui aussi percé, et enfin entre les cuisses que Claire a immédiatement écartées. Stéphanie frappa deux petits coups secs sur la chatte de Claire, provoquant un gémissement dans le bâillon de la fille soumise.
Je regardais la jeune fille nue assise comme un chien, qui se tortillait pour pousser le plug anal plus profondément dans son cul. Lâchant la laisse, Stéphanie vint s'assoir à côté de moi, se pencha pour me murmurer à l'oreille:
"André, je suis une lesbienne dominatrice. Cela fait des années que j'y pensais, mais cette fille m'a révélée. Maintenant j'ai besoin de ton aide. Claire n'a jamais baisé avec un homme, mais elle m'a avoué qu'elle y pense. Récemment, je l'ai surprise en train de draguer des gars en ligne et j'ai décidé de faire coup double, de la punir en réalisant son fantasme d'être baisée par un homme Je sais que c’est brutal comme déclaration, mais je ne savais pas comment te poser la question ou expliquer la situation: si tu es mal à l’aise, je comprendrais tout à fait, mais si j'en crois la bosse que fais ton pantalon, je pense que tu sembles intéressé pour m'aider ... Qu'en penses-tu? "
Je ne pouvais pas nier que mon niveau d'excitation était à son comble, et ma bite serrée dans mes vêtements devenait douloureuse.
J'étais excité à la pensée de réaliser l'un de mes fantasmes, mais aussi par le regard effrayé de Claire qui nous regardait chuchoter tous les deux sans savoir ce qu'on lui préparait. Je ne pouvais absolument pas laisser passer une si belle occasion!
D'une voix assez forte j'ai demandé: "Qu'est-ce que tu veux que je fasse de cette salope, Stéphanie?"
Stéphanie comprit que j'acceptais d'entrer dans son jeu et elle a élevé sa voix aussi:
"Tout ce que tu voudras, puisque Claire veut de la bite, alors elle va en avoir! Tu peux lui baiser la bouche ou la chatte, mais laisse son cul tranquille.
C'est ma propriété privée!"
Stéphanie se leva, se dirigea vers Claire et l'attrapant par sa laisse, tira dessus d'un coup sec pour lui faire lever le menton:
"Voilà ce qui arrive aux petites salopes qui trompent leur maîtresse en allant flirter sur internet! Maintenant, va servir ton Maître."
Elle a tiré sur la laisse en lui donnant un bon coup de cravache sur la fesse pour que sa chienne se dresse à quatre pattes et, tandis qu'elle l'entraînait vers moi, elle recommença plusieurs fois à lui administrer des coups de cravache pour accélérer le mouvement.
Chacun des coups de cravache de Stéphanie était accompagné d'un cri aigu qui sortait du bâillon de sa chienne, et quand elle fut suffisamment proche de moi, elle me tendis la laisse en disant:
"Tiens, elle est à toi!" Ensuite elle quitta la pièce, me laissant seul avec Claire.
Tandis que la petite rousse soumise rampait vers moi, je pouvais voir des larmes de crainte couler sur son visage. Je ne pense pas être un homme sadique, mais son attitude soumise et son regard de bête acculée m'excitaient encore plus. Sans réfléchir, j'ai reproduit le geste de Stéphanie en tirant sur la laisse pour approcher son visage de ma bite. Lorsqu'elle fut suffisamment proche, je l'ai saisie par sa chevelure rousse manifestement teinte pour lever son visage vers moi. C'est à ce moment précis que je l'ai reconnue!
Mais oui, bon sang, Claire, la petite blonde dont j'étais secrètement amoureux au collège! Sa douceur, sa féminité, ses grands yeux candides, j'étais amoureux fou d'elle et j'en rêvais la nuit! Dans cet accoutrement, ainsi humiliée, je ne l'avais pas reconnue! Sans lâcher sa chevelure, je l'ai attirée au plus près puis, saisissant son collier, j'ai levé son visage vers moi pour la regarder dans les yeux:
"Je ne pense pas que tu te souviennes de moi, n'est-ce pas Claire? Nous étions au collège ensemble, et pour être honnête avec toi, ça fait longtemps que je rêve de te baiser … J'en ai dépensé des litres de sperme en me branlant la nuit en rêvant à toi!"
J'ai dû la lâcher pour défaire ma ceinture et dégrafer mon pantalon, libérant ma queue de sa prison et la pointer directement sur le visage de cette salope de Claire.
Je lui ôtais son bâillon et reprenait sa chevelure flamboyante pour attirer sa bouche sur ma bite.
"Allez, au boulot, salope!"
À ma grande satisfaction, Claire n’a pas hésité, elle a posé ses mains sur moi, saisissant la base de ma bite et mes bourses, et s'est jetée bouche grande ouverte sur mon sexe. Il était évident qu'elle n'avait jamais sucé de bite avant, car elle suçotait gentiment le gland, l'engloutissant péniblement sans pouvoir gober la tige, se contentant de bisouiller et de léchouiller. Je l'ai laissée faire comme ça pendant un moment pour qu'elle s'habitue un peu, avant de prendre les choses en main.
J'ai saisi l'arrière de sa tête, agrippant sa tignasse, pour la pousser plus profondément. Elle avait gobé la plus grande partie de ma viande avant de commencer à suffoquer et à essayer de se relever.
"Oh non, ma petite pute, tu dois surmonter ce réflexe de bâillon! Tire la langue et déglutit lorsque le gland attaque ta gorge. Tu verras, ça va passer. C'est pour ça que les filles n'ont pas de pomme d’Adam proéminente comme les gars, c'est pour gober des kilomètres de bites et avaler des litres de sperme! De toute façon, si tu ne le fais pas correctement et si tu ne me rends pas heureux, je ferai en sorte que Stéphanie le sache, et tu vas morfler!"
Cette menace était clairement suffisante pour maintenir sa servilité, alors Claire arrêta d'essayer de se dégager et je pouvais sentir ma queue glisser dans sa bouche. Elle faisait de son mieux pour garder ses suffocations sous contrôle. Finalement, j'ai relâché sa tête, lui permettant de continuer à sucer à son rythme. Chaque fois qu'elle plongeait, elle poussait aussi profond que possible, léchant et suçant chaque centimètre de chair qu'elle pouvait atteindre. Pour une première tentative, j'ai été très impressionné!
Stéphanie revint dans la pièce, complètement transformée. Elle était vêtue d'une guêpière en maille noire qui laissait ses seins presque entièrement à l'air libre. Autour du cou, un collier de satin noir. Autour de la taille, un corset noir l'affinait. Des bas noirs accrochés à ses jarretelles noires, et pour compléter, des talons aiguilles noirs aux pieds. Entièrement vêtue de noir, qui contrastait sur son teint clair de blonde. La chatte soigneusement épilée, le clitoris et les tétons équipés de piercing en forme d'anneau. Elle a défilé devant moi, tournoyant sur elle-même, faisant plusieurs aller-retour, avant de demander:
"Alors? Ça fait son effet? Je te préviens, je ne fais pas partie du contrat! Tu baises ma chienne, pas moi!"
Stéphanie s'est agenouillée derrière Claire, qui continuait à me pomper religieusement. Elle passa ses doigts dans la fente de la chatte de son jouet sexuel, en s'exclamant: "Vous vous amusez bien, tous les deux! Je n'avais jamais vue Claire aussi trempée sans être travaillée par des doigts, une langue ou un gode. Ça te plaît de sucer, salope!"
En entendant cela, Claire ronronna de bonheur, sans cesser de me sucer.
Stéphanie sortit un gros gode violet d'un tiroir et commença à caresser la chatte de Claire. Puis Stéphanie cracha dessus avant de planter la bite violette dans la chatte de sa soumise, sans ménagement. Je vis les yeux de Claire s'agrandir, elle cessa de me sucer un instant puis, encouragée par une bonne claque de sa maîtresse sur la fesse, elle reprit son ouvrage. Clairement, elle avait eu mal, mais a commencé à sucer encore plus fort en gémissant sur ma bite.
Nous avons passé quelques minutes comme ça, la chienne empalée des deux côtés, tout en faisant des commentaires salaces sur ses performances et en discutant de la meilleure façon de l'utiliser.
Finalement, Stéphanie vint s'assoir à côté de moi, se caressant la chatte, admirant cette salope de Claire travailler sur ma bite. De nouveau, elle se pencha vers moi en demandant:
"On change de place? Tu la prends en levrette pendant qu'elle me bouffe la chatte? C'est mon jouet, mais je te la prête! Juste tu dois mettre un préservatif et tu pourras la baiser aussi fort que tu voudras. Son plaisir n'a pas d'importance!"
Ses mots combiné à la regarder se frotter la chatte juste à côté de moi m'ont presque fait venir:
"Putain ouais! Elle va accepter, tu penses?"
"C'est mon jouet, je te dis! Elle est à moi, elle fait ce que je veux! Son avis n'a pas d'importance!"
Pas besoin de me le dire deux fois!
J'ai rapidement sortit ma queue de la bouche de Claire, me suis levé, et j'ai fouillé dans mon sac pour en sortir un préservatif. En le positionnant, je regardais le tableau que formait ces deux magnifiques jeunes femmes. Stéphanie avait glissé ses fesses au bord du siège, écarté ses cuisses en repliant ses jambes, et tenait la tête de Claire entre ses cuisses. La bouche de Claire dévorait la chatte de Stéphanie et les deux amantes ronronnaient de plaisir.
Accroupi derrière Claire, je l'ai attrapé par les hanches et pénétrée d'une seule poussée en la faisant gémir. J'aurais aimé l'ouvrir en deux, mais elle était tellement excitée qu'elle avait la chatte trempée, et c'est rentré facilement. Je regardais ma meilleure amie se faire bouffer la chatte par sa pute, pute que je baisais en même temps! En la bourrant à grands coups de rein, je profitais de la sensation de sa chatte agrippant ma viande. Les yeux de Stéphanie rencontrèrent les miens, et je pouvais y voir la luxure tandis qu'elle s'approchait de son propre orgasme.
En maintenant fermement ses hanches, je brutalisais la chatte de Claire, plongeant violemment au fond de sa vulve. Je voulais qu'elle ressente et se souvienne de la douleur pour toujours, comme moi je me souvenais de ma douleur d'adolescent devant cette fille inaccessible. À chaque poussée, son corps se balançait en avant, écrasant ses lèvres et son nez sur la chatte de Stéphanie.
Chacun de son côté, nous avons utilisé le jouet de Stéphanie comme bon nous semblait, moi maltraitant son vagin aussi brutalement que possible tandis que Stéphanie offrait sa chatte à manger. Je pouvais sentir mes couilles se serrer, prêt à éjaculer, alors je regardais Stéphanie dans les yeux: "Je vais jouir dans ton jouet, Stéphanie!"
Mes mots exacerbèrent ses sens à leur paroxysme, et saisissant fermement la tignasse de Claire, elle jouit contre sa bouche en criant son plaisir. Regardant ma meilleure amie jouir, je plantais ma queue au fond de sa vulve, poussant aussi profond que je le pouvais et éjaculais la première charge de la soirée.
C'était il y a quelques mois, apparemment Claire et Stéphanie avaient passé un bon moment. Depuis, j'ai été invité plusieurs fois, et chaque fois Claire m'attend derrière la porte dans la même tenue. Souvent, Stéphanie et moi la partageons, mais parfois, c'est juste un de nous deux qui utilise la salope sous le regard de l'autre.
Je suis toujours heureux d'aider de quelque manière que ce soit, après tout, à quoi servent les amis?

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!