Les Pulsions De Nina

Je suis en couple avec Nina depuis la fac où nous nous sommes rencontrés à Montpellier. Cela fait déjà 10 ans.
Que le temps passe si vite, c'est dingue !
Nous avons le même âge avec Nina, c'est à dire 33 ans.
Moi, je suis Rudy. Originaire des Bahamas du coté de mon père et de la Guadeloupe de coté de ma maman.
Je sais que je plais assez facilement aux femmes de par mon physique de sportif et mes 1m85cm.
Nina est une très belle femme sans me vanter. Dès que je l'ai vu, sa beauté m'avait subjugué. Et je suis toujours autant dingue d'elle.
Nous étions en STAPS, Fac de sport tous les deux lorsque nous nous rencontrés.
Nina est grande, du haut de ses 1m76cm. Elle pratique le hand-ball, qu'elle eu pratiqué à haut-niveau étant plus jeune.
Elle vient d’Espagne. Elle a de longs cheveux ondulés couleur ébène. Les yeux verts et un corps d'athlète qui fait retourner tout hommes et femmes à son passage.
Mais ce qui m'a le plus séduit chez elle malgré son physique indécemment sexy, c'est sa voix.
Une voix cassée, rauque qui rajouté à cela un regard perçant, un sourire plus que séducteur et vous avez le cocktail parfait pour tomber amoureux à la première minute !

Nous étions dans un TGV tous les deux. Il était vendredi fin d'après-midi nous partîmes pour un week-end du coté de Carcassonne dans le Languedoc.
Visiter le frère de Nina qui venait tout juste d'être papa quelques jours auparavant.
C’était le genre de TGV spacieux en première classe. Les sièges sont plus larges et espacés.
Etant assez grands tous les deux, lorsque les billets de train en première classe ne sont pas trop élevés, nous préférons. C'est bien plus confortable.
Nous gagnons assez bien nos vies ensemble et vivons simplement alors nous pouvons nous le permettre.
Tous les deux assis côte à côte. Nina lit un magazine sur le cinéma, un autre sur le bien être du corps et moi le journal l'Equipe.


elle était fatiguée de sa semaine de boulot. Nina est traductrice du secteur audiovisuel depuis 4 ans.
Elle était arrivée en France à l'âge de 16 ans. Quittant Saragosse en Espagne pour venir s'installer avec sa famille à Montpellier.
Fatiguée mais très heureuse de pouvoir aller rencontrer sa nièce, tout nouvellement née !
La saison printanière nous permettait d'être relax. Les températures commençaient à permettre les habits plus décontractes.
Mon T-shirt marinière façon Jean Paul Gaultier, un jean léger et une paire de converse.
Nina portait une belle robe-chemise qui arrivait à mi-cuisse. De couleur blanche, ce qui faisait ressortir sa peau mate.
Légèrement cintrée avec un col mao. Nina était magnifique. Je validait à 100% de mes yeux et pas que de mes yeux...

Le voyage se déroulait tranquillement. Le contrôleur était passé il y a quelques minutes déjà.
Nina s'endormait à moitié en lisant son magazine people jusqu'à ce qu'elle tombe sur cet article "j'ai fait l'amour dans le train".
Ça l'avait fait sourire en lisant le titre et malgré la fatigue elle resta intriguée par le titre et commença donc la lecture de cet article en question.
J'étais à ses cotés, lisant un sujet quelconque sur les statistiques de joueurs.
Nina me regardait avec un air espiègle et les yeux qui brillaient. Les yeux verts avec le regard coquin.
J'aime tellement lorsqu'elle a ses yeux là.
C'est à ce moment précis qu'elle se sentit envahir par une sorte de bouffée de chaleur. Le type de sensation qui ne te laissait pas le choix.
Sensation qui la traversa de la tête au pied et qui remonta... pour s'arrêter au niveau... de son entre jambes.
Cette surprenante et soudaine hausse du mercure corporel prit le contrôle de ses envies et lui donna des envies peu avouables, peu catholique mais tellement tentantes.
Rien que d'y penser et d'imaginer ça lui donnait des sueurs qu'elle ne pu contrôler ni cacher.

Elle observa la salle, le wagon où l'on se situait et se rendit compte que nous étions plutôt bien isolés où nous étions assis.
Peu de vas et viens et pas de vis à vis. Elle posa sa main sur ma cuisse.
Moi prenant cela comme un geste d'affection je ne remarquait pas ses intentions... salaces.
Sa main sur ma cuisse qui maintenant prenait ma main gauche. Elle caressait ma main. La ramena vers sa bouche et l'embrassa.
Des bisous sur cette main qui bientôt lui caressait la joue.
Je n'avais toujours pas compris ni ne m'étais rendu compte de son envie piquante.
Je n'allais pas tarder à comprendre et m'apercevoir de l'envie qui se cachait en elle!

Elle prit ma main avec ses deux mains, la referma ne me laissant que deux doigts ouverts. L'index et le majeur.
Nina les approchèrent de son visage et les mit dans sa bouche. Elle simula une fellation qui aura comme effet de très vite me faire prendre conscience de son appétit de la chose.
Je regarda vite tout autour pour m'assurer que nous ne risquions pas d'être vus.
J'avais mes deux doigts dans sa bouche. Bouche Chaude et humide. J’étais surpris car elle semblait fatiguée de sa journée mais je n'étais pas étonné.
Car Nina avait toujours eu une libido très active et quelques fois de grosses pulsions. Sur ce point nous nous étions très bien trouvés. J'étais opérationnel 24/24 et Nina également.
je ne compte plus les moments des sexes improvisés : cinéma,un parc, une fête foraine, une ruelle, un hall d'immeuble, sous les gradins pendant un spectacle, un avion... La liste serait longue.
Cette sensation de mes doigts se faisant sucer par ma coquine Nina commence à m'exciter bien comme il faut.
Mais à peine le temps de vérifier encore un peu que personne ne venait dans notre direction que mes deux doigts sortirent de sa bouche et très rapidement étaient dirigés sous sa robe.
Oh wow !!! C'est à ce moment que je me rendis compte qu'elle ne portait rien en dessous de cette robe.

À ma grande et agréable surprise. Elle était bel et bien nue sous cette robe qui commençait à être bien mouillée.
Je lui laissa le contrôle de ma main et de mes doigts. Ce qu'elle voudrait je ferai.
Je sens son excitation sous cette humide robe. C'est chaud là dessous. Très chaud. Je la regarda mais elle était déjà bien loin. Ses yeux fermés.
Ses lèvres aussi humides que celles qu'elle était en train de me faire caresser.
Je la regardait mais en vain car elle n’était plus là. Esclave de son désir.
La seule chose qu'elle voulait à ce moment là c’était de jouir. De jouir maintenant et tout de suite !
Ce n'était pas une envie mais un besoin. Quelque chose d'animal. elle avait chaud. Transpirait. Nina se moquait du risque d'être prise sur le fait accompli.
Qu'un voyageur puisse venir pour aller aux toilettes. Non. Plus rien ne compta. Je l'observais et observais si la voie était toujours libre.
Cette robe si propre et classe devint le costume de ses fantasmes et de sa pulsion.
Elle avait le contrôle de ma main sous la robe. Mes deux doigts se baladaient inlassablement tout autour de ton clitoris.
Ça ne faisait qu'augmenter son humidité. Mais ça ne lui suffisait pas. Ces deux doigts caressant son intimité mouillée, noyée par tant d'excitation.
Ce sont ces deux doigts qu'elle dirigeait avec assurance et autorité dans son intérieur.
Je la pénétrais. Elle rentrait maintenant trois de mes doigts dedans et sentit comme un soulagement. Comme un vide en elle qu'il fallait combler.
Elle se les rentraient lentement mais en profondeur. Un va et vient qui lui donnait et lui redonnait encore et encore sans cesse.
Un plaisir qu'elle prenait sans rien laisser, sans rien attendre. Sans aucune inquiétude ou peur des regards qui pourraient en profiter.
Je sentais que plus elle les mettaient, les inséraient et plus elle se dilatait.

Les bruits de pénétrations de mes doigts lui servant de gode dans son antre commençaient à être bien présent.
Tout comme sa respiration et ses gémissements.
Elle aimait, elle adorait et bien plus que ça. Ce qu'elle se donnait et ressentait.
j'aimais, j'adorais ce qu'elle se faisait. La voir s'oublier.
Je ne perdais pas une miette de la vue de sa fleur fraîchement épilée, complètement trempée ainsi que de son clito qui avait rarement été autant volumineux.
Ses yeux s'ouvraient quelques fois, mais Nina était bien dans un autre monde.
Mais les yeux de celui qui nous observait dans le reflet d'une vitre qui donne directement sur nos places...
Lui, il était bien dans le monde réel. Il ne ratait rien du spectacle. Il observait discrètement et ne pouvait contenir l'excitation dans son pantalon...

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