Les 20 Ans De Nina

Nina allait avoir 20 ans à la fin du mois de septembre. Nadège, avec qui elle vivait depuis plusieurs mois, avait décidé de fêter dignement cet anniversaire. Elle nous invita Émilie et moi, non sans nous avoir averties que ce ne serait pas une fête ordinaire. Le projet qu’elle avait était particulier, mais nous étions certains que Nina l’apprécierait.

Nous arrivâmes dans ce qui de l’extérieur ressemblait à un simple hangar, mais une fois passées les lourdes portes, était un écrin douillet, paré de tentures lourdes, des larges canapés, de poufs et coussins profonds, des chandeliers et lustres complétaient ce décor parfait pour ce qu’avait prévu Nadège.

Elle nous accueillit et nous conduisit vers un vestiaire. Émilie et moi ôtâmes nos vêtements pour enfiler ce qu’avait préparé Nadège. Pour moi un simple caleçon noir et un loup de la même couleur. Pour Émilie un corset, porte jarretelle et un masque de dentelle. Elle aurait fait bander un mort dans cet ensemble de soie et dentelle noires, que Nadège l’autorisa à garder une fois la soirée terminée.

Dans ce vestiaire privatif, Nadège avait disposé champagne et petits canapés salés et sucrés. Émilie me versa une coupe et nous attendîmes d’être appelés.

Quand Nadège nous invita à la rejoindre, la grande salle était désormais occupée par 18 autres personnes, toutes vêtues de la même façon que moi pour les hommes, et qu’Émilie pour les femmes. 20 personnes, 10 hommes et 10 femmes.

Nina arriva conduite par Nadège, elle avait les yeux bandés. Nadège la fit assoir sur l’un des canapés. Elle portait une robe noire toute simple, mais qui la mettait parfaitement en valeur.

— Tu as 20 ans, et je voulais t’offrir un cadeau parfait pour cette occasion, un cadeau qui te conviendrait, et qui serait à ton image.

Puis ôtant le bandeau, elle dévoila à Nina son cadeau.

— Vingt personnes pour ton plaisir, 10 hommes et 10 femmes parce que tu aimes autant les uns que les autres.

Tous pour toi, à ta guise, à ton envie. Suce, lèche, fais toi prendre, branle, baise, fais ce que tu veux, ils sont tous à tes ordres, jusqu’au matin, jusqu’à ce que tu en aies marre, que tu tombes repue de sexe et de plaisir, que tu demandes grâce, que tu pleures de joie.

Nadège embrassa Nina, et quitta la salle.

Nina se leva, s’approcha de nous. Elle passa devant son cadeau, sa main glissant sur les torses des hommes, les fesses des femmes. Elle fit s’aligner les mecs, et demanda aux femmes d’aller s’assoir.

— En attendant la suite, dit-elle.

Un à un elle baissa les caleçons et prit les bites dans ses mains, et dans sa bouche. Elle suça ainsi les dix queues. Certaines déjà bien dures, d’autres ne demandant qu’à le devenir. Elle passait de l’une à l’autre, n’en négligeant aucune, branlant celles qui se trouvaient à sa portée. Des soupirs, des gémissements se faisaient entendre. Nina souriait, heureuse de cette situation, et du magnifique cadeau pour ses 20 ans.

— Aux filles maintenant, dit elle en se relevant, les mecs vous pouvez regarder, vous caresser, mais interdiction de jouir.

Nina alla rejoindre les femmes, et leur fit retirer leur culotte. Comme elle l’avait fait avec nous, elle s’occupa des chattes ainsi mises à jour. Elle lécha chacune, doigta, bouffa ces sexes féminins offerts par sa compagne. D’autres râles de plaisir montèrent dans ce lieu improbable. Un mélange de bordel et de décor de film porno. Je me touchais doucement pour garder la forme, bien que le spectacle que j’avais sous les yeux suffise pour me faire bander longtemps.

Je regardais mes compagnons, et tentait de deviner qui ils étaient, si j’en connaissais, l’un d’eux s’approcha de moi, et sans rien dire, car Nadège nous avait interdit de parler pour entretenir le mystère, il prit ma bite en main et me masturba, j’en fis de même en veillant bien à ne pas le faire jouir.

Nina riait en passant d’une femme à l’autre, les embrassant toutes, leur suçant les seins.
Elle se tourna vers nous et nous dit de venir.

— Venez, elles sont toutes bien chaudes, bien humides, baisez-les, baisez-moi, tous mes trous sont ouverts, offert.

Alors nous allâmes rejoindre ces 11 femmes et l’orgie commença.

Difficile de décrire la suite. Nina, centre de la soirée, fut prise par toutes les bites et dans toutes les positions. Elle profita pleinement de son cadeau. Ses cris de jouissance retentirent souvent et se mêlèrent aux autres de nombreuses fois.

Sur le tapis, les coussins, les canapés, les corps se mêlaient, s’embrassant, s’emboitant. Après Nina, je crois que tous les femmes présentes me sucèrent à un moment ou à un autre, mais je ne peux en être certain, un instant je perdis le fil, le compte. Je voulais à la fois profiter du spectacle et en être l’acteur. Tant de main me frôlèrent, dans de bouches s’offrirent à la mienne , tant de sexe, tant de cul. Tant de jouissance.

Nina criait alors qu’elle était prise par la chatte et par le cul. Deux bites se balançaient aussi devant sa bouche et entre deux hurlements elle les suçait alternativement. De mon côté je me faisais sucer par deux femmes masquées qui s’embrassaient au dessus de mon gland, le léchant de leur langues gourmandes.

J’eus le plaisir aussi de sucer un mec, celui qui était venu me branler au tout début, et qui n’était pas contre un peu de sexe entre homme. Il me laissa l’enculer pendant qu’il bouffait une chatte dégoulinante.

Cri, râles, hurlement. Pas besoin de musique pour nous accompagner, nous étions les instruments de ce concerto pour corps en extase.

Des capotes souillés s’accumulaient dans les poubelles. Les corps en sueur et couverts de foutre aussi se déplaçaient dans cet espace hors du temps et de la réalité.

Certains fatigués s’éloignaient un peu, et soufflaient sur un canapé en buvant un verre et mangeant un morceau. Je m’installais dans un coin, et regardais Nina entourée de trois femmes gémissant sous leurs baisers.
Je fus rejoint par une femme, toujours masquée mais ayant ôté toute sa lingerie. Elle était en sueur, et bu d’un grand verre de jus de fruit avant de s’effondrer à mes côtés. Notre moment de repos, de répit fut de courte durée, dans cette ambiance de sexe, luxure, débauche, je me remis vite à bander, et s’en apercevant , l’inconnue ne pu résister à l’envie de me prendre en bouche . Je la laissais faire, mon corps ne semblant plus m’appartenir, guidé, dirigé par mes pulsions, je la pris en levrette sur le sol.

Combien de temps dura la nuit, combien d’heures dura cette orgie? Nina semblait ne pas vouloir en finir, toujours réclamant une bite, une chatte, un nouvel orgasme. Combien de fois se donna-t-elle à moi, et aux autre?

Il faisait jour quand elle rendit les armes et alla se coucher sur un canapé, son corps rouge de plaisir, couvert de transpiration et de foutre séché, la chatte et le cul béants, et un sourire d’extase lui barrant le visage.

Nous partîmes Émilie et moi sans avoir pris la peine de nous doucher, enfilant nos vêtements sur nos peaux souillées. Fatigués, épuisés, fourbus nous nous couchâmes et nous endormîmes comme des masses. Dormant tout le jour.

Quelques semaines plus tard, nous recevions un DVD. Nadège avait dissimulé plusieurs caméra dans le hangar, et notre nuit avait été filmée. Souvenir de cette orgie ce DVd, qu’elle nous garantissait à un usage purement privé.

Émilie le glissa dans le lecteur et nous le regardâmes d’un regard incrédule. Témoignage de cette nuit de folie le DVD nous offrait une vision parfaite de ce qui s’était passé, et nous excita tous les deux. Émilie alla chercher l’ensemble de lingerie qu’elle avait porté ce soir là et devant les images de l’anniversaire de Nina, nous fîmes l’amour...

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