De Collègue De Travail À Sex-Friends (Partie 1)

On est un samedi matin, il est encore très tôt, le soleil se levant à peine. Je viens de me réveiller et j’ai du mal à réaliser ce qu’il m’arrive. Ma collègue de travail est à mes côtés, elle dort encore. Nous sommes tous deux entièrement nues et nous avons fait l'amour comme des bêtes toute la nuit ! Et dire qu'au départ, je mettais juré de ne rien faire avec elle. Alors pourquoi suis-je dans son lit en ce samedi matin ? Pour déterminer cela, il faut revenir plusieurs semaines en arrière.

Après avoir (enfin) terminé mes études, j'ai enchaîné les contrats à courte durée dans ma branche avant de finir par trouver un poste qui devait me conduire vers un CDI. J'aimais tout dans mon travail, mon bureau, les diverses missions dont j'avais la charge, et mes collègues de travail. Ces derniers étaient tous sympathiques et bienveillants avec moi.

J'avais pris l'habitude de juste prendre une pause cigarette ou café qui me voyait sortir des bureaux quelques minutes avec un ou deux collègues en fin de matinée généralement. Et lors d'une de ces pauses, on me fit une révélation.

- Alors, Annabelle ne sait pas encore jeté sur toi ? Me demanda une collègue.

Annabelle est une femme ayant bientôt la quarantaine, elle est brune, mesure dans les 1m60. Elle travail dans cette boite depuis une dizaine d'année et je ne savais pas trop pourquoi, mais peu de gens l'apprécié dans la boite.

- Quoi ? Répondis-je fort surpris.

- Elle fait du rentre dedans à chaque nouveau mec de la boite. Alors pour une fois que le mec en question est jeune, tu peux t'attendre à ce qu'elle te saute dessus un jour.

Après cette discussion, je fis plus attention à certains détails concernant Annabelle. Il était vrai qu'elle avait toujours un large sourire lorsqu'elle me parlait et avait tendance à se pencher un peu devant moi me laissant voir une bonne partie de sa poitrine à travers son décolleté. Mais à part cela, rien ne me laissait penser qu'elle avait du désir pour moi et de toute façon, je ne voulais pas avoir une quelconque relation avec une collègue de travail.

Je voulais que rien ne vienne compromettre mon avenir dans cette entreprise.

Les jours passèrent, et curieusement, Annabelle venait de plus en plus dans la salle de repos en même temps que moi pour se faire un café. Et pourtant, selon les jours, j'y allais soit le matin, soit l'après-midi justement pour voir si elle me suivait ou si c'était un heureux hasard. Parfois, on discutait boulot, parfois la discussion dérivée un peu comme ce matin là :

- Tu sais, j'ai rêvé de toi cette nuit. Me dit avec un sourire en coin Annabelle.

- Tient donc ? Et je faisais quoi dans ton rêve ?

- Eh bien, j'étais désespéré car il n'y avait plus d'électricité chez moi, après t'avoir appelé, tu es venu et tu as tout réparé.

- Pourtant, je ne suis pas très bricoleur. Lui dis-je en rigolant.

- Je suis sur que tu as plein d'autres qualités. Me répondit Annabelle tout en s'éloignant et sans avoir caressé délicatement mon épaule au passage.

Je pris mon café et sorti de la pièce quasiment en même temps qu'elle, j'étais donc juste derrière ma collègue.

- Alors, elles sont jolies mes fesses ?

- Quoi ?

- Ben voyons, fait semblant de ne pas comprendre ! Me dit-elle en riant.

Un autre jour et alors qu'elle était en vacance à Cuba, elle m'envoya une photo d'elle sur une plage en bikini, puis elle prétexta s'être trompé de contact. Erreur ou pas, je ne pouvais pas nier qu'elle a un corps très agréable à regarder. Et même si je n'avais pas changé d'avis concernant le sexe entre collègue de travail, j'aimais bien ce petit jeu de séduction. D'ailleurs, nous commençâmes à échanger par SMS à cette occasion.

« Bonjour Annabelle, je te remercie pour cette jolie erreur ! »

« Je suis rassurée, j'avais peur de te choquer. »

« Oh tu sais, il m'en faut bien plus pour me choquer. »

« Tu me mets au défis ? J'espérais justement que tu me dises un truc dans le genre ! »

« Tu comptes m'envoyer d'autres photos ? »

« Non vu que les photos de moi en bikini ne te choque pas, je suis obliger d'aller bien plus loin mais tu verras bien à mon retour au boulot petit coquin »

Je devais m'avouer à moi même que cacher cette relation à tout le monde dans l'entreprise me plaisait et en plus Annabelle m'excitait de plus en plus sans oublier que cela allait pimenter mes journées de boulot.
D'ailleurs, dès son retours, elle fut obligé d'aller ranger certains dossiers dans la salle des archives. Une fois cette tache terminée, elle vint me voir dans mon bureau.

- Tu sais ce que j'ai fait dans la salle des archives ?

- J'ai l'impression que tu n'as pas juste rangé des dossiers.

- Effectivement, je me suis caressée en pensant à toi !

- Euh... Intéressant !

- Je fermais les yeux afin d'imaginer que c'était ta main qui me prodiguait autant de bien ! Mais le plus dingue, c'est que j'ai encore pas mal de dossier à ranger dans cette salle.

Je dois avouer que j'étais plus qu'excitais par ses propos, et je suis sur qu'elle voyait la bosse qui commençait à se dessiner dans mon pantalon.

- Et tu comptes le faire tout de suite ?

- Plutôt demain, à la même heure sans doute.

C'était clairement une invitation et je comptais bien m'y rendre et l'aider à ranger ses dossiers. Je n'ai pensé qu'à ça pour le reste de la journée. Une fois chez moi, la première chose que je fis, fut d'aller prendre une douche tout en me faisant du bien. Une fois sorti de la douche, je vis qu'Annabelle m'avait envoyé un SMS.

« Je suis certaine que tu n'as pas pu t'empêcher de te masturber ». M'envoya t-elle.

« Effectivement, je suis démasqué ».

« Dommage que je ne suis pas présente, j'aurai adoré pouvoir goûter ton sperme... Et maintenant, je te choque ? »

« Toujours pas ».

« Ça me donne encore plus envie d'être dans cette salle des archives demain ! »

« Moi de même ».

Le lendemain, on fit tout deux comme si de rien n'était, aucune allusion ni de sa part, ni de la mienne. Les rares fois où on dû se parler, c'était pour le boulot. Puis, vînt enfin LE moment que j'attendais tant ! Je me dirigeais vers cette fameuse salle des archives où je vis Annabelle entrain de faire du rangement.

- Tu as besoin d'aide ? Lui demandais-je.


- Oui, c'est très gentil, peux-tu t'occuper de cette boite ?

Je pris cette boite afin de la ranger. J'étais quelque peu déçu et je commençais à me demander s'il allait se passer quelque chose entre elle et moi. Heureusement, Annabelle mis rapidement fin à mes doutes. Alors que je me trouvais dos à elle, je sentis tout à coup sa main contre mon entrejambe.

- Depuis le premier jour de ton arrivé, je n'ai qu'une hâte...

Me dit-elle tout en continuant de masser mon entrejambe.

- Laquelle ?

- Celle de te montrer ma vraie nature, j'adore le sexe et les hommes... Oh, on dirait que je te fais de l'effet !

Effectivement, mon pénis devenait de plus en plus dur. Elle avait totalement gagné, envolé mon idée de ne pas coucher avec une collègue.
Annabelle glissa ensuite sa main dans mon pantalon pour me caresser avant de le déboutonner. Elle m'enleva mon caleçon avant de prendre mon sexe dans sa main et commencer quelques va-et-viens pour le faire durcir un peu plus.

- Hum... Je suis déjà amoureuse de cette bite !

Elle me dit cela en ayant une main sur mon pénis et l'autre sur mes testicules avant de se baisser pour me prendre en bouche avec de délicats va-et-viens puis passant juste la pointe de sa langue le long de mon sexe et s'attardant sur mon gland. Mon pénis était à présent entre ses lèvres et Annabelle commença à tourner autour de mon gland avec sa langue.
Ce moment était d’autant plus excitant que l’on pouvait se faire attr d’un moment à l’autre si on faisait trop de bruit. Après s’être bien occupé de mon gland, elle lécha mon sexe sur toute sa longueur avant de le rentrer de nouveau dans sa bouche.

Je dois avouer que je ne regrettais pas d'avoir cédé à la tentation tant elle me faisait du bien.
Sa bouche se faisait plus rapide sur mon sexe avant de s'arrêter soudainement, elle remonta alors vers mon visage pour m'embrasser tout en me masturbant de nouveau.
Je finis bien entendu par éjaculer dans sa main. Après avoir porté quelques goûtes de mon sperme à sa bouche, elle enleva son string et afin de me nettoyer mon pénis. Puis, elle mis son string dans l'une de ses poches.

- Je le garde comme désert pour ce soir ! Par contre, ne fais rien de ton côté, je te veux en pleine forme demain mon coquin !

J'avais hâte de savoir ce qu'elle allait me réserver !

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