La Collègue De Travail

Cela fait trois mois que je suis engagée dans cette société comme responsable comptabilité et ressources humaines.
Ce soir c'est la soirée de fin d'année au bureau, nous sommes une cinquantaine au restaurant. Apéro, repas, puis changement de salle pour un dernier verre dans une salle au sous-sol avec musique live et danse.
Tout se passe bien, une bonne ambiance. Même l'assistante de vente, jeune femme brune de vingt-cinq ans semble s'amuser.

J'ai bien vu qu'il y avait une certaine tension avec elle dès le début sans savoir le pourquoi, j'ai appris par la suite qu'elle avait voulu plus de responsabilités mais le directeur avait refusé, trop jeune, et elle en veut à tous les cadres.

Je la vois arriver avec deux verres, m'en tend un, nous trinquons, elle parle de tout et rien, amicalement.
Le temps passe, j'ai dansé au début, puis Lisa, l'assistante commerciale, est revenue discuter avec deux verres. Ce doit être minuit, je commence à fatiguer, je lui dis que je vais rentrer tout en me levant. J'ai les jambes qui tremblent, je m'appuie sur le dossier de la chaise.
- Ca va pas me dit-elle ?
- Si ça va Lisa, je pense que j'ai un peu trop bu
- Vous êtes en voiture ?
- Oui, je..
- Vous n'allez pas rentrer ainsi, vous habitez rive gauche ?
- Euh.. oui
- Je vous ramène et je prendrai un taxi
- Mais..
- Ne dites rien, cela vaut mieux
- Bien... je.. bon d'accord

C'est bizarre car je ne crois pas avoir abusé de l'alcool, mais je me dis que ce doit être certains mélanges ajoutés à la fatigue qui a dû faire que je sois ainsi.
Je lui tends les clefs, elle demande à un collègue de l'aider, ils me soutiennent et m'installent sur le siège passager. Puis la voiture roule...

J'ai un petit blanc, j'ai dû m'assoupir, et je me retrouve devant ma porte d'entrée.
Lisa me dit :
- ça ira ?
- oui merci bien bonne nuit Lisa

Je rentre doucement, un petit tour à la salle de bain, et au lit.

Mon mari se retourne et me dit :
- eh bien, 4h du matin, sacrée soirée
- tu dis n'importe quoi
Nous nous endormons. Le weekend se passe, la semaine reprend, rien de spécial. Mercredi, Lisa me dit qu'elle veut me voir, je lui dis pas de souci, je la fais entrer dans le bureau. Elle me regarde de façon hautaine, elle me tend un dvd, me demande de le mettre dans l'ordinateur et de regarder. Je le mets, et regarde. Je ne comprends pas tout au début, puis je deviens blême plus la vidéo avance. Je vois un canapé, je vois Lisa couchée, nue, main attachée au-dessus de la tête. Je suis assise sur son visage, les mains sur ses seins, un homme est entre ses jambes et la pénètre. Elle crie, se débat, on l'entend malgré que j'étouffe ses cris assise sur elle. Puis on me voit me coucher en avant, tête entre ses jambes. Peu après on entend l'homme jouir, et Lisa gémissant, pleurant. On me voit me relever, malaxant ses seins sans ménagement. J'ai reconnu l'homme aussi, c'est Patrick, le collègue qui avait aidé Lisa à m'installer dans ma voiture.
Je suis complètement abasourdie. Lisa a un petit sourire et me dit :
- voilà un petit bout du film, miss bcbg. Je vais aller droit au but, soit je donne une copie au directeur, à ton mari, soit je le donne à la police et je t'accuse de viol, soit demain tu te retrouves à 18h au parking, tu te libères pour la soirée, et tu viens habillée comme d'habitude, en jupe. Je te laisse choisir Sylvie, bonne soirée...
Elle reprend son dvd et sort. Je suis abattue, je cherche à comprendre, les quelques images de la soirée me reviennent, le verre, mon état de fatigue comme si j'étais saoule, elle se propose de m'accompagner, on m'aide à m'installer. Puis devant chez moi, mon mari qui me dit que j'étais rentrée à 4h alors qu'on a dû quitté le bar à minuit... un grand vide, puisque j'habite à quinze minutes du restaurant.

Et ce film, on dirait vraiment que je dirige la scène, comment est-ce possible ? J'apprendrai plusieurs semaines plus tard qu'il y avait encore une autre personne qui me tenait, et un peu de trucage pour les scènes ou je Lisa.
Mais cela je ne le sais pas encore, et le choix de demain, en fait y a-t-il vraiment un choix, je serais grillée si ce dvd arrive chez le directeur, mon mari ne le supporterait pas, et je ne pourrais pas faire grand chose contre une accusation de viol.

Je n'ai pas mangé ni dormi de la nuit, ces images revenaient sans cesse. Inutile de dire que mon travail ne fût pas très productif. Vers 18h je descends au parking, m'installe dans la voiture. J'étais habillée en tailleur beige, jupe mi-cuisse, chemisier blanc, soutien-gorge et string blanc, chaussures à talons beiges. Je ne déparaille pas des autres jours.
Après dix minutes, la porte passager s'ouvre, Lisa s'installe. Elle est un peu plus grande que moi, brune cheveux longs, mince également, toujours assez maquillée, dommage pour son âge. Elle est assez provocatrice, elle sait qu'elle est jolie et elle le montre.

- Bien tu es là, démarres !

Elle me guide, sans me dire autre chose. Moi je ne suis pas fière et je n'ose pas poser de question. On arrive devant un immeuble après trente minutes, sur France. Elle me fait me parquer et on sort. On monte et on arrive chez elle.
- installes-toi dans le canapé
je m'assieds, elle part à la cuisine, revient avec une bouteille de gin de la glace et des schweppes. Elle sert deux gin tonic, s'asseoit dans le fauteuil en face de moi, et boit. Je bois la moitié de mon verre d'un coup.

- Bon, Sylvie. Tu pouvais appartenir à l'état, mais tu n'as pas voulu de la prison, tu aurais pu te retrouver seule, mais visiblement le fait que le patron et ton mari reçoivent la vidéo ne t'a pas emballée. Bon tu aurais été grillée sur la place par notre patron pour un nouveau travail, et je ne sais pas si ton mari aurait voulu te garder, perspective pas terrible. Tu as choisi de m'appartenir, je ne sais pas ce que j'aurai fait à ta place, sûrement la même chose. Cela dit je ne pense pas que tu saches ce qui t'attend.
- Mais Lisa, pourquoi faites-vous cela, que vous ai-je fait ?
- Pas grand chose, lorsque j'ai commencé et que je t'ai vue, j'ai été un peu jalouse.
Toi à ton âge, toujours bien foutue, les hommes te matent, qu'ils soient jeunes ou vieux, je suis sûre que tu ne l'as même pas remarqué.. Et tu corresponds tout à fait à ce que je recherchais, femme d'âge mûr, jolie, l'air un peu coincée.
- Mais vous êtes également très jolie.. je
- Merci, je sais que je suis pas mal, mais voilà. En plus tu es la confidente du patron, tout cela m'a énervée, et je me suis dit qu'il fallait que je casse tout cela. Et je me suis arrangée pour séduire Patrick puis le convaincre de m'aider à concrétiser mon plan. Le séduire, pas trop difficile, comme tu dis je suis jolie et je sais séduire, et le convaincre, pas trop dur non plus, car il fantasme sur toi et de lui dire que tu nous appartiendrais l'a fait vite se décider.
- Quoi, appartenir à vous et à Patrick
- Eh oui ma chère. Alors, contente de devoir assouvir les envies de deux jeunes ?

Je suis un peu désemparée, oui en plus comme elle dit deux jeunes, Patrick à peine plus que la trentaine, et elle qui pourrait presque être ma fille. C'est humiliant. En plus de la même société.
- Lisa, on peut trouver une autre solution, je peux vous donner de l'argent, essayer de vous promouvoir dans la société
- Hihi, il n'y a pas d'autre solution. Si j'avais voulu de l'argent, je te l'aurais demandé tout de suite. De toute façon tu nous en offrira plus tard, sans puiser dans tes économies. Et oublies pour la promotion, ce serait louche, et je n'en ai pas besoin. Précisions, au travail on continue comme tous les jours, et après le travail, lorsque je te le demanderai, tu te débrouilleras pour te libérer, comme ce soir.
- Mais.... je veux..
- Bien c'est tout, tu te tais.

Elle se lève, va chercher une caméra, l'installe sur un pied derrière le fauteuil, objectif devant le fauteuil. Je panique. Je bois le reste du gin tonic d'une traite.
- Lèves-toi et viens devant moi !
J'hésites quelques instants, puis je viens debout devant elle.

- Je veux mieux voir ce que j'ai hérité, l'autre soir c'était sympa, mais pas eu vraiment le temps. Soulèves ta jupe.
Quelle honte d'être ainsi devant elle, assise dans son fauteuil, et de devoir lui obéir. J'ai beau pensé à trouver une manière d'éviter tout cela, je ne vois pas. Lentement je soulève ma jupe, jusqu'au dessus de la taille. Mon string est totalement dégagé. J'ai les jambes serrées, un peu tremblantes.
- Descends ton string.
Je le descends, il tombe à terre.
- Ecartes les jambes, montre moi ton jardin. Plus haut la jupe. Hmm, je me souviens, épilée. Ah oui le petit rectangle, je verrais si on le laisse. Ecartes tes lèvres, oui ok... pas gros le clito... tournes-toi, écartes les jambes, et tes fesses. Oui, même pas de cellulite, dis-donc tu t'entretiens bien. Par contre sûrement pas eu beaucoup de sodomies, on va remédier à ça ces prochaines fois.
- Mais je ne..
- C'est moi qui parle. Retournes toi, ouvre ton chemisier, détache ton soutien-gorge. Bien, pas très grands, mais fermes. Pas de ventre, c'est bien, toutes les jeunes nanas ont du ventre de nos jours. Tu as un corps fait pour le plaisir, et je pense que pour l'instant tu as été très soft en amour.
- Approches-toi !
Elle passe ses mains sur mes mollets, mes cuisses, mes intimités, mon ventre, mes seins, mon dos, mes fesses. Je frissonne, et malgré la situation je ressens des petits picottements dans mon ventre.
- Oui, très bien, toute douce, tu prends soin de toi, jambes lisses, chatte lisse, pas grand chose à retoucher, prête à l'emploi... hihi. On va tester ta bouche. A genoux !

Elle glisse ses fesses au bord du fauteuil, écarte les jambes. Je vois qu'elle n'a pas de dessous. Sans un mot elle pousse ma tête vers son sexe, épilé également. En temps normal, j'aurais été excitée de cette situation, car j'ai déjà fait l'amour avec des femmes, elle est jolie, sûrement bi-sexuelle, féminine. Mais la honte, l'humiliation sont des sentiments inconnus pour moi, et je fais les choses mécaniquement, sans sentiment, sans passion. Je lui écarte ses lèvres et commence à glisser ma langue dans sa fente, de haut en bas, pour m'arrêter sur son petit bouton, qui est plus grand que le mien c'est vrai. Elle est humide, je sens sa cyprine sur ma langue, très bon gout je l'avoue. Je ferme les yeux, mes mains caressent ses cuisses, ses lèvres intimes, tandis que ma langue recherche ses endroits sensibles. Elle tremble un peu lorsque je suce ses grandes lèvres, elle gémit lorsque je lèche son clitoris. J'ai envie qu'elle jouisse rapidement, donc je m'attarde sur ces endroits. Sa respiration est rapide, je continue. Des gémissements sortent plus régulièrement de sa bouche, je pince, mordille son petit bouton, ma langue descendant et remontant le long de sa fente, mes doigts jouant avec ses grandes lèvres.
Elle mouille plus abondamment. Quelques tremblements font maintenant bouger son corps, la jouissance est proche. Ma langue joue rapidement avec son petit bouton. Soudain ses doigts se plantent dans ma tête, son corps se raidit, puis un cri s'échappe de sa bouche et son corps est secoué de spasmes, elle jouit. Je dois avouer que plus cela allait, et plus la chaleur dans mon ventre grandissait. Je lèche sa chatte pour récupérer sa mouille et faire prolonger son orgasme. Puis elle repousse ma tête, me fait me mettre à genoux et m'embrasse.
- Bien, Sylvie, bouche et langue habiles.... en tous les cas avec les filles. Je vois que tu as déjà eu des expériences bi. Bon, va te réajuster, te rhabiller, tu n'as pas besoin de tes dessous. On va au resto retrouver Patrick, allez on est en retard.
Je me relève, vais vite à la salle de bain pour me réajuster, je me rhabille correctement. Je dois avouer que c'était quand même agréable comme moment. Lisa est déjà près de la porte, on part. Après dix minutes on arrive au restaurant. Mon stress reprend, surtout de rencontrer Patrick...

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