Ma Collègue De Travail

Cela faisait déjà plusieurs mois que je draguais gentiment ma copine Marie à tel point qu'elle avait accepté de partager une chambre à deux lits lors d'un weekend au ski organisé par le comité d'entreprise. Mais il ne s'était rien passé. Ce n'était pourtant pas l'envie qui me manquait, et la voir marcher dans la chambre en petite tenue de nuit me fit un effet que j'avais bien du mal à cacher. J'avais bien tenté m'approcher d'elle mais lorsque je tentais de la prendre dans mes bras, elle me dit juste :

- Non ! Non ! Pas touche ! Au lit.

Je n'ai donc pas insisté, mais la nuit a été longue.

Un vendredi soir, à la sortie du travail, alors qu’il pleuvait des cordes, je lui proposais de la raccompagner en voiture chez elle. En route, je la provoquais en la branchant doucement sur le sexe. Elle était un peu gênée sans être choquée, j'avais pourtant un peu les mains baladeuses.

Nous arrivons chez ma chère collègue. Marie a 25 ans, petite un peu ronde, de jolies formes une forte poitrine. Arrivée aux portes de l’immeuble, j’insiste pour monter voir son appartement. Elle vient juste de déménager il y a trois mois dans un trois pièces qu’elle partage avec une copine. Je la suis, elle ouvre les rideaux pour donner de la lumière. Lorsqu'elle entre dans sa chambre, elle me tourne le dos pour ouvrir les rideaux. Je l’att par les hanches et l’embrasse dans le coup. Elle se rebiffe un peu alors sans lâcher prise, je lui dis qu’en me faisant monter, elle devait bien se douter que j’allais tenter des choses.

Mes mains montent doucement le long de son corps pour atteindre sa splendide poitrine. elle essaye de m’enlever les mains mais je sens bien qu’il n’y a pas vraiment de résistance. Visiblement sensible de la poitrine, elle lâche prise et se laisse faire.

Très vite nous nous sommes trouvés nus sans équivoque. Elle se lâche et m’embrasse sur tout le corps pour arriver à mon sexe qu’elle lèche à merveille avant de l’engloutir tout entier dans sa bouche.

Je lui prends la tête et pousse des petits râles en sentant ma queue totalement dans sa bouche et sa langue titiller le gland. Une vraie merveille.

A mon tour de m’occuper de son corps. Je lui prends les seins en mordillant les tétons, elle est vraiment sensible. Pendant Ce temps je caresse tout son corps sans jamais toucher son sexe. Je la sens très excitée alors je descends vers son sexe en l’embrassant tout au long.

Je la suce en la titillant, un puis deux doigts s’engouffrent dans son intimité. Elle apprécie en râlant et en bougeant les hanches. Sentant arriver l’orgasme, je lui mets un doigt dans son petit trou. Il entre sans difficulté. N’en pouvant plus, je la pénètre doucement.

Mes vas et vient se font plus rapides et plus profonds puis je sors et l’excite en laissant mon sexe à l’entrée du sien. Je la pénètre à nouveau puis je la retourne pour la prendre en levrette. Je lui prend les fesses que j’écarte au maximum et je m’enfonce au fond d’elle.

Elle se tord, pousse des cris. Elle aime mon sexe. Bien au fond, je ne bouge plus et d’une main je prend sa mouille pour lubrifier son petit trou.

Je lui dis que j’ai envie de prendre son petit cul. Pas de réponse négative, juste une respiration rapide. Qui ne dit mots consent, alors je sors et je me présente devant son cul que j’écarte d’une main, de l’autre je prends mon sexe pour lui prendre son petit trou délicatement.

Ca y est, je suis dedans. Comme ça ne lui fait pas mal, je commence mes vas et viens. Son petit trou du cul, c’est un vrai bonheur et je ne tarde pas à jouir. C'est à ce moment que sa co-locataire tape à la porte et demande à sa copine si tout va bien. On était aux anges.

Je sors ma queue encore raide me dirige vers la salle de bain pour me laver. Je ne pensais pas la croiser, et sans se dégonfler, elle me regarde et particulièrement mon bas ventre et se présente :

- Bonjour, je m’appelle Beatrice, Je partage l'appartement avec Marie.


- Moi c’est Paul, enchanté.

Je pars vers la salle de bain, Beatrice quitte vite sa veste me suit et me dit :

- Non tu ne vas pas utiliser de l’eau pour laver ce bel engin, je vais le faire me dit elle. Je partage tout avec Marie.

Sa bouche prête à me faire une gâterie, ma rigidité reprend un instant mais m’abandonna lâchement. La honte ! Beatrice est restée sur sa faim.

J’ai donc pris une douche, me suis rhabillé après un long baiser à chacune d’entre elle, je promis à Béatrice qu’un jour viendra son tour. Et pourquoi pas avec sa copine en même temps.

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