Mes Professeurs De Plaisirs - Chapitre 2

Le lendemain matin je m’apprête. Ma mère s’enquière de ma journée d’hier car a son retour du boulot j’avais déjà fermé les yeux. Je lui passe les détails qui m’auraient valu soit un coup de sang de sa part ou plus encore contre M. Bruno et Martine. Mais je confirme que l’ambiance est très agréable.

J’arrive au bureau, la matinée se déroule normalement. Martine et moi nous sommes conviés au café. La discussion tourne autour de la journée d’hier. Et la grande question est qu’elles ont été mes impressions après cette première leçon. Je ne leur ai pas caché mon plaisir d’avoir été initiée à la fellation. M. Bruno intervient sur cet avenir particulier.
- Maggy, je vais être claire avec toi, Martine va t’amener chez son amie, car comme tu as pu le voir, elle aussi est épilée intégralement. Je pense que tu saisis mes pratiques avec ma chère Martine.
Martine s’expose devant moi et je constate qu’elle est vierge de toute pilosité.
- Donc à partir de cet après-midi tu seras prête à me porter toutes les attentions dû à mon statut de maître de stage ou peut être de Maître tout court.
Les mots ont claqué dans ma tête comme des coups de fusil. Mais j’en suis excitée, drôle de sensation.
Midi arrive Astrid, Gilles et Marc, prennent congé car ils sont en clientèle cette après-midi. Martine et moi partons chez son amie. Une superbe blonde, nous ouvre. Sans attendre nous nous dirigeons vers les alvéoles de soin. Encore une première pour moi… Martine lui explique :
- Tu fais comme pour moi…
- TOUT ? puis lui chuchote un truc à l’oreille.
- Oui pareil…
- Maggy c’est ça, mets-toi à l’aise, et allonge toi.
Martine reste la en ange gardien. Je me retrouve sans pudeur, nue. Isabelle commence par dégrossir ma toison rousse, puis m’enduit d’une pommade. Puis arrive l’épreuve de la cire. Le premier essai me fait maudire ma décision. Martine se rapproche et m’embrasse à pleine bouche, je ne peux pas retenir mes larmes.

Mon supplice a durée que quelque minute qui m’ont semblé des heures. JE dois me retourner pour rendre mes fesses et ma raie aussi lisse que devant. Le supplice recommence et ensuite la pince à épiler achève mon parcours du combattant. Les poils récalcitrants sont éliminés. C’est à ce moment que je sens couler un liquide tiède et les mains me masser. Le geste est savant, sensuel, et devient érotisant quand ces doigts effleurent mon intimité interdite. Je ne réagis pas plus quand Isabelle pose des baisers et glisse sa langue entre mes fesses. Je me retourne. Posé sur le dos, Isabelle fait couler son huile douce sur mon pubis et sur la fente totalement imberbe. Les caresses sont apaisantes mais l’érotisme fait place à de l’excitation qui humidifie ma chatte de jeunette. Comme pour ma face cachée, les lèvres d’Isabelle remplacent ses mains. Sa langue arrive sur mon bouton, je ne maitrise pas mon corps qui part dans des frémissements et je débute une vocalise que sa langue orchestre. La jouissance me fait passer les moments désagréables de l’épilation. Je remercie timidement Isabelle.
Martine l’embrasse et lui dis à bientôt.
- Alors, comment as-tu passé ce premier cap ?
- J’ai jonglé, merci pour ton baiser. Votre amie est une sacré pro…
- T’inquiète, je te guiderais pour tout. L’avenir nous réserve de grands moments si tu restes dans cette orientation. Le boulot est une chose, mais les à-côtés sont très plaisant.
14 h 30, nous arrivons en retard, que je pensais être pour la bonne cause. M. Bruno ne l’entend pas de la même façon. Martine et moi, nous sommes appelées dans son bureau.
- Mesdames, certes je vous accorde le privilège de vous absenter pour vous pomponner. Mais il ne s’agit pas d’exagérer. Faites-moi voir ce qui vous mets autant en retard.
Martine me demande de montrer, je retrousse la jupe sur le devant et offre la vue mon sexe nue aux regards de mon patron.
- Approche… plus vite….
Je m’exécute, je me plante devant lui.

- Ecarte les cuisses, et toi Martine prépare toi, tu connais la punition.
Je suis figée, refroidie lorsque Martine ouvre la porte du meuble. Elle en sort une sorte de tréteau (j’apprendrais que cela s’appelle un chevalet à fessée). Elle retire sa jupe prépare une pièce de cuir (paddle des mots nouveaux pour moi), un martinet, une règle et elle pose aux chevilles et poignet des bracelets et vient de plier sur le chevalet en ayant pris soin de fixer ces chevilles et ces poignets au chevalet…
M. Bruno pendant ma stupeur, a passer longuement sa main sur mon sexe, mes fesses et entre celle-ci.
- Parfait Maggy, tu vas vers les pots blancs et tu tires un papier dans chaque.
Je tire le 6 et le paddle.
- Elle a la main légère ta copine Martine. Donc 6 coups de paddle. Pense-tu avoir besoin du bâillon ?
- Non Monsieur.
- Maggy mets-toi à genou, et regarde je vais punir Martine par ta faute…
Aussitôt des larmes montent, je n’ose pas protester, comme délivrée que ce soit Martine qui soit punie et pas moi. Les coups s’abattent sur les fesses en alternance. A chaque coup Martine remercie son tortionnaire. Je suis honteuse. M. Bruno libère Martine. Elle range les outils de les fesses à l’air et rouges.
- Maggy je ne pensais pas que j’allais profiter de ta bouche de sitôt. Tu as le droit de faire marche arrière. Plus jamais tu n’auras à affronter cela. Mais surtout tu devras garder ta langue. Même à ta mère tu ne dois rien dire. Alors Prête…
Alors que Martine, elle aussi se met à genou, M. Bruno se pose devant moi, je suis gauche, mais je dézippe son pantalon et fait jaillir le sexe de Monsieur. Je lèche son pieux sans oublier ces bourses, puis j’entame la pipe méthodique comme la veille. Je ne me rends pas compte de son excitation et de l’arrivée brutal de la première giclée. Martine remarque, avec son expérience, l’arrivée du précieux nectar et me maintien la tête pour que je réception dans ma bouche son sperme.
La quantité me semble énorme, je le sens remonté dans mon nez, et couler et ainsi salir de sperme son sexe.
- Salope, tu vas me nettoyer maintenant et vite fait.
Ces mots ont claqué comme une gifle. Je m’applique a bien faire mon office et réparer ma maladresse. Martine m’assiste, elle écarte les fesses de M. Bruno car cela a coulé jusque-là, Martine prend le relais pour cette partie après mon moment d’hésitation.
- As-tu une idée plus claire de la relation qui lie Martine à moi maintenant ? Je vais te faire lire quelques documents, tu me diras après leur lecture ou tu te situes. Allez, retournez au boulot. Tu seras entre de bonnes mains avec Martine, tant sur le plan professionnel que sur le coté ludique de ton futur statut si tu l’accepte.
Martine et moi passons vite fait aux toilettes et reprenons le boulot pour clôturer l’année. Martine me rassure sur ma prestation de ce matin.
- Tu vas t’habi si tu désir poursuivre. J’aime être sa soumise comme a pu le constater, j’ai eu de la chance je n’ai pas eu trop de coups de paddle. Mais il y a un ticket de 50 coups et un ticket « badine ». J’espère ne jamais tomber dessus.
Je lui confie que, malgré la surprise et le moment d’effrayamment, j’ai éprouvé un sentiment de plaisir, et je me disais que c’est ma faute qu’elle ait reçu cette correction.
- Mettons-nous au boulot, si nous voulons finir avant ce soir.
M. Bruno s’absente, et nous nous affairons pour finir et pour ne pas laisser de dossiers pour l’année prochaine. M. Bruno revient. Nous sommes fières de lui annoncer que tout est en ordre pour bine débuter l’année prochaine et qu’il restera 2 gros dossiers à clôturer dès que les documents manquants nous seront fournis.
Martine et moi papotons, de tout et de rien. Il est 17h, le téléphone sonne. M. Bruno nous convoque. Nous voilà tous les 5 dans le bureau, et pour finir l’année nous avons droit a une boite de chocolats. Puis nous donne congé car nous sommes tous à attendre la rotation de l’horloge.
Astrid Gilles et Marc ne demande pas leur restent. Martine et moi passons vers le vestiaire et au retour M. Bruno nous interpelle.
- Oh les filles, j’ai encore un petit cadeau pour vous. Et il nous tend deux boites. Ouvrez.
Martine ouvre la sienne, je fais de même je découvre un petit objet métallique, et dans le paquet de Martine le même mais aux dimensions décuplées. Martine arbore un immense sourire, je suis un peu moi joyeux ne sachant pas l’utilité.
- Martine a toi l’honneur de la démonstration.
Sans se faire prier elle retire sa culotte, suce l’objet comme si c’était un sexe. Elle se pose accroupi sur le canapé qui a pour effet de fendre son cul et laisser apparaitre sa rondelle, d’une main elle ouvre con anus et de l’autre introduit l’objet. Doucement son anus s’ouvre et avale l’objet. Une fois en place et elle parcourt le bureau et embrasse M. Bruno.
- Alors Maggy, conserve bien ce rose Bud, Martine est une habituée. Chaque chose en son temps. Dans ta boite mail ce soir tu recevras quelques articles et documents. Tu me les remplieras pendant tes congés et a ton retour nous aurons l’occasion d’en reparler. Bonne fête de fins d’année.
Nous prenons congés, Martine reste avec son jouet planté dans son postérieur. Elle me propose de passer chez elle. Je préviens ma mère. Et je pars à l’aventure chez Martine.
Sur le trajet, la savoir avec cet objet dans l’anus me laisser interrogative. Je lui demande si cela fait mal, bien que le mien soit plus petit. Je n’ai jamais été pénétrée. Martine me rassure, mais me conseil de l’avoir toujours a porté de main à la rentrée. Nous parlons de son parcours, son arrivée au cabinet, elle a remplacé la femme de M. Bruno (dans tous les rôles, du moins complétée). Elle venait de divorcée, a été licenciée, a vécu des moments difficiles. Et un moment elle a vrillé, et a tenté le tout pour le tout lors de son entretien d’embauche. Le cabinet avait déjà été mandaté par son ancien job. Connaissait sensiblement la réputation de M. Bruno, donc elle a mis tous ces atouts en avant. Et ils sont de tailles. Nous portons la même taille de soutien-gorge, 95 E, elle est blonde plus fine, moi plus rousse et quelques kilos superflus. Nous discutons sur les attitudes que je trouve pervers de M. Bruno mais qui ne me laisse pas de glace bien au contraire. Elle me raconte les conditions de son entretien, très court sur le plan professionnel, il avait déjà mes références de mon ancien poste. Mais le plus surprenant fut le moment où il a invité sa femme et assistante à le rejoindre. Comme si j’étais absente du bureau, M. Bruno, demande à sa femme crois tu qu’elle sera te remplacer, en caressant les fesses de sa femme. J’ai omis quelques détails qui dan le fil de votre lecture je n’étais moi non plus pas au courant. M. Bruno est la mi-cinquantaine, tandis que sa femme dépassait la soixantaine. Donc Martine devait la remplacer.
- Chéri, dit-elle, elle semble correspondre notre standing, il nous reste deux candidates, laissons-leur une chance.
Martine m’explique qu’en sortant en effet il y avait deux autres candidates. Mais au premier coup d’œil le standing ne pouvait pas correspondre. Béatrice, me fait remplir une fiche de renseignements, qu’elle n’a pas eu fini de remplir que l’une des candidates rejoignait déjà la porte. Le lendemain en fin d’après-midi elle rejoint le cabinet pour le second entretien.
Martine me dit ne pas en être revenu de cette seconde rencontre. Il ne restait plus que Béatrice et M. Bruno. L’entretien n’a pas été celui de ces compétences professionnelles. Mais sur sa manière d’aborder le monde et surtout le monde que le qualifierais X. La discussion va bon train me dit-elle jusqu’au moment ou M. Bruno propose un verre, une coupe plus précisément. J’accepte. Béatrice est partie cherche ce qu’il convenait. A ma grande surprise, Béatrice revient avec un plateau, 3 coupes, une bouteille dans son seau mais également dans son plus simple appareil. Elle ne portait plus que ces bas et des talons aiguille. Martine m’explique sa surprise. Elle me dit que les mots résonne encore comme si c’était hier.
- Martine, que pensez-vous de Béatrice ? Seriez-vous disposée à vous montrer sous les mêmes atours.
Martine m’explique, que son sang n’a fait qu’un tour. Vêtue, Béatrice conservait une plastique sublime pour son âge, et mais dévêtue, son corps en paraissait largement moins, accentué par une mammoplastie très réussie. Martine me dit qu’elle ne s’est pas démontée, et s’est dévêtue, veste chemisier, jupe, soutien-gorge et culotte on très vite trouvé leur place sur le porte manteau.
- Parfait, Martine, venez signer votre contrat pour votre période d’essai de 2 mois, mais je compte sur vous pour me faciliter la tâche et que le CDI qui suit ne soit qu’une formalité.
Voilà que depuis près de 3 ans elle est chez au cabinet.
C’est ainsi que j’apprends que le couple est libertin, que Astrid voit Mme de temps en temps, que Gilles et Marc sont ensemble… Que Martine a découvert ce même soir le plaisir saphique. Qu’ils ont célébré la signature en club. Que Martine a fini dans le lit de Madame et de Monsieur.
Où suis-je arrivée ? Sans excès je prends congé. Je rentre chez moi mais les congés ont été une mentale. Des sms échangés avec Martine. Toujours rassurante dans ces réponses.

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