Mes Professeurs De Plaisirs - Chapitre 5

Petite info : Les évènements liés au virus dont j'ai été épargné, mais qui pouvait facilement toucher ma famille, m'ont un peu freinée dans le récit de mon histoire.
Voila que je poste je cinquième chapitre....

Voilà une année qui a filé, juillet est là. Mon entrainement c’est poursuivi, je ne suis pas encore une adepte invétérée de la sodomie, les fois où je pratique cela me meurtrie encore. Les vacances approchent et la fermeture du cabinet pour 15 jours va faire du bien.
Mais ce début juillet est marqué pour un coup de tonnerre pour moi. Ma mère est prévue pour une mutation suite à une promotion. Déménagement, changement de lycée professionnel, et surtout fini le cabinet… Je m’empresse de le dire à Martine puis à mon boss. L’espace d’un instant j’ai cru que tout allait s’écrouler. Comment faire, que vais-je faire ? C’est la panique à bord.
En pleine semaine, je vois arriver ma mère. Belle tenue, soignée, je l’annonce à M. Bruno.
- Ne fais pas attendre ta maman, fait la rentrer.
Je reste à l’écart des discussions. De longues minutes plus tard je suis invitée à venir dans le bureau. J’ai assez vite compris que des négociations importantes ont abouti par un accord sur mon avenir dans le cabinet. Je confirme mes impressions en observant quelques traces significatives sur le divan en cuir qu’affectionne m. Bruno pour nos ébats.
Ma mère ira sans moi dans sa nouvelle affectation et je vais m’installer chez Martine pour quelque temps en attendant que M. Bruno libère un appartement non loin du cabinet. Je me sens soulagé, mais un peu inquiète sur le comment vais-je subvenir à mes besoins.
Je me réjouis de passer le plus clair de mon temps chez Martine. Apprendre mon boulot au cabinet, et élève du plaisir de la chair dans son antre.
Mais des milliards de questions reste en suspend dans ma tête et j’ai du mal à me concentrer le restant de l’après-midi.
Aidé de ma mère et de Martine, je m’installe dans la chambre qui m’est désigné par Martine.

Chambre que je connais mais qui est resté inoccupée lors de mes WE chez Martine. Martine se propose de nous aider pour le déménagement de ma mère qui a déjà bien avancé dans ces cartons.
Cela me fait bizarre je vais passer mes premiers instant à temps plein chez Martine. Une fois installée ma mère prend congé et rentre chez elle. Martine, en femme libérée, se denude et se dirige vers la salle de bain. Quant à moi, fatiguée, je profite d’un moment de calme pour m’allonger sur le lit de ma nouvelle chambre et je m’endors. Je sens près de moi une présence, et des caresses qui me réveillent. Martine, nue, fraîche, m’invite à me dévêtir et de prendre un bain. Voila chose faite, je plonge mon corps dans la baignoire, Martine fait son entrée. Elle pose ses mains sur mes épaules et me caresse avec une éponge. Elle parcours les moindres détails de mon anatomie. Je frissonne, mon ventre papillonne, mon entre-cuisse semble en ébullition, mes tétons sont érigés. Je me sens bien sous les attentions charnelles de Martine. Elle délaisse l’éponge et ses doigts se montre plus explorateurs au point de me faire jouir une première fois, puis encore deux autres fois… Je suis vidée.
A ma sortie de la baignoire, je m’enroule dans une serviette. Martine m’attends. Elle a revêtu une robe en simili cuir zippée sur le devant de toute sa hauteur, deux zips au niveau des seins, et je remarquerais très vite un zip qui trace la raie des fesses.
- Retire ta serviette, et approche.
Stupéfaite j’obéis. J’approche elle me pose un collier assez fin sur lequel est serti un anneau.
- Voilà ton cadeau de bienvenu. Ce soir je t’emmène manger chez des amis pour fêter notre cohabitation. J’ai sorti quelques robes qui pourraient te convenir, essaye les et montre-moi.
Je passe aux essayages, ma forte poitrine, avantage sexy mais inconvénient pour la loger dans la garde-robe choisie. Martine me conseil une robe au généreux décolleté, et un dos nu assez prononcé a la naissance de mes fesses.
Je me laisse séduire, et je chausse mes talons hauts pour accessoiriser l’ensemble.
Des questions sur la nature du repas me traverse l’esprit, du haut de mes 17 ans, me voici déguisée en jeune fille de peu de vertu.
- Ne t’inquiète pas c’est un déguisement que tu n’aurais pour obligation de quitter. Mais les amis que je vais te présenter vont apprécier ta présence.
En effet le RDV est donné dans un appartement, 7-8 personnes sont déjà présentes. La gente masculine est très représenté, et les femmes présentent toutes dans des tenues plus que légères. Nous ne passons pas inaperçue. Embrassade, des caresses bien ciblées au passage, je fais la connaissance de tout le monde, des invités arrivent encore je pense qu’une bonne vingtaine de personne forme l’assemblée. Martine me tien par la main, et me présente comme sa nouvelle amie, ma jeunesse ne semble pas étonner. Martine n’hésite pas à m’embrasser. Une invitée lance à Martine :
- Fait moi signe quand tu lui rendra sa liberté.
- Fait moi confiance pour cela, lui répondit-elle.
Je questionne Martine sur cette femme. Elle me dit que c’est une femme très directive, je te la présenterais avec l’accord de Bruno…
La soirée se passe, Martine me présente a un ami, nous discutons longuement. Martine semble vouloir se rapprocher de cet ami, qui réponds par des caresses très explicité. La maitresse de maison, Mélanie, semble avoir repérer le manège. Elle chuchote quelques mots à l’oreille de Martine. Elle prend son ami par la main et la mienne aussi. Nous arrivons dans une pièces à l’éclairage tamisé. Martine se colle a son ami, glisse une main sur le pantalon dézippe sa braguette, elle prend mon collier et me montre le chemin a suivre. Le sexe de l’homme est tendu, connaissant la bien séance du moment j’englouti le sexe de l’homme. Martine dézippe l’arrière de sa robe, se pose en levrette sur le matelas a même le sol. L’homme se retire et embroche Martine dans un mouvement brutal qui fait émettre à Martine un râle qui est une sorte de composé de douleur et de soulagement, car en effet l’homme sans ménagement vient de l’enculer.

Martine m’attire et échange un baiser pour limiter les gémissements bruyants que les assauts virils de l’ami lui font s’exprimer. Il se déverse dans le cul de Martine, se rhabille et quitte la pièce. Je suis soufflée, je ne commente pas cette épisode. Je quitte la pièce. Martine, au cul plein de semence, va se refaire une beauté.
Seule je ne sais pas quoi faire car des invités m’observent comme s’ils désirait leur part du gâteau. Mélanie intervient auprès de ces invités. Ils me laissent. Martine revient, mais je la sens au bout de sa soirée. Elle ME demande si cela me gênait d’abréger la soirée. J’accepte volontiers de partir car la fatigue se fait sentir.
Arrivé chez elle, chez nous, elle s’excuse d’avoir écourté la soirée et de m’y avoir entrainé. Je ne lui en tient nullement rigueur. Et je lui dis que nous en partagerons certainement d’autre.
Une douche bienfaisante, un long baiser, et nous nous endormons l’une contre l’autre.

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