Mes Professeurs De Plaisirs - Chapitre 3

La trêve de Noël est derrière moi. Je débute l’année par une semaine de cours. Le retour au cabinet reste rempli de question. Martine me laisse un SMS le dimanche soir, n’oublie pas de souhaiter une bonne année à ton tuteur, comme toi je reprends demain. je passe te prendre à 8h00.
Lundi matin Martine, m’attend devant chez moi. Tout de cuir vêtu, bas et escarpin a très hauts talons, elle m’embrasse.
- Alors Maggy, pas trop stressée de reprendre ? Tu semblais perturbée avec tous tes SMS ?
Je lui rappelle que je n’ai jamais eu de relations sexuelles outre 2-3 branlettes et quelques caresses d’autosatisfactions. M. Bruno est le premier homme à entrer son sexe en moi. Je lui avoue avoir peur d’être dépuceler avant mes 18a.
Nous arrivons devant l’institut de beauté, Martine avait pris RDV pour nous deux. Je souris. Elle me dit :
- Toujours être prête, surtout si tu as décidé de poursuivre. M. Bruno est très intransigeant sur Ce point-là.
Isabelle nous fait entrer, sans trop perdre de temps nous installe, je passe la première et me voilà rapidement débarrasser de ma pilosité renaissante, et toujours la vérification très attentionnée d’Isabelle. J’assiste au travail sur Martine. Martine me demande d’approcher.
- Vas-y contrôle le travail d’Isabelle.
J’esquisse un mouvement de recule mais Isabelle me tien déjà le poignet et dirige ma main vers son sexe, doux et lisse. Isabelle me guide puis guide ma bouche sur se sexe dont je ne connais rien.
Isabelle me dit :
- Tu te caresses ? et bien imagine que ta langue c’est ton doigt, et tu te promène sur sa fente et regarde son clito il est déjà bien gonflé pas de difficulté à le trouver.
J’applique ces précieux conseils et je remarque que l’effet sur Martine est très positif. Isabelle en profite pour l’embrasser à plein bouche. Comme électrisée, Martine lâche un jet de son jus qui me surprend et qui coule sur mes seins.
Une toilette rapide, remise à niveau du maquillage, long baiser de Martine pour me remercier.

Nous arrivons au cabinet. Passons au vestiaire. Martine me tend son Rosebud :
- Vas-y enfile moi son cadeau, il va rentrer assez facilement.
Je m’exécute et je constate que son petit trou bien fripé accepte cet objet en s’ouvrant et épousant la forme.
- Merci ma chérie, retire ta culotte. Je pense qu’il va vouloir nous inspecter.
Martine toque au bureau.
- Entrez !!!
- Bonjour et bonne année M., meilleurs vœux.
- Merci, alors les filles comment se sont passe les congés ?
- Bien pour moi repos et un peu sexe.
- Parfait, Et toi Maggy…
- J’ai passé du temps sur vos lectures M., je me suis interrogée, j’ai embêté Martine pour dissiper mes doutes. Je peux vous dire que je suis prête à poursuivre avec vous mes éducations.
- C’est parfait, je vous vois a la pause de midi. Je file j’ai un RDV à la tour.
La matinée se passe, M. reviens vers 11H30 nous entamons la nouvelle année au calme. Midi les collaborateurs partent pour leur pause, Martine ferme le cabinet à clé. Nous entrons.
- Alors Martine vient me voir, tu es très sexe en cuir, viens que je contrôle ta disposition.
Martine se pose devant M. Bruno relevé sa jupe, et laisse l’accès à l’inspection.
- Parfait, et en plus tu as orné ton cul de mon cadeau, je suis très fière de toi ; Avance Maggy, montre-moi.
J’avance je relève ma jupe et sans pudeur lui montre mon sexe imberbe.
- Je vois que tu prends tu formation au sérieux. Tourne-toi.
M. Bruno caresse mes fesses.
- M’autorise tu as passé mes doigts entre tes fesses Maggy ?
Sans réfléchir mais après avoir regarder Martine, qui me fait signe oui, j’accepte.
- Oh je suis déçu Maggy. As-tu une explication pour ne pas honorer ton derrière du cadeau ?
Je m’en excuse, je lui annonce que je ne n’ai pas encore été pénétrée. Qu’il a été le premier à me donner son sexe en bouche. Que mon sexe et mon anus n’ont pas encore connu de pénétration d’aucune sorte.
S’il le permettait j’aimerais ne pas perdre ma virginité avant ma majorité.
- Bien, bien. Maggy tu es une collaboratrice très participative. Tu as déjà montré que j’ai eu raison de suivre mon instinct. Nous allons élaborer des limites, et surtout tu vas me dire lesquels tu ne veux pas dépasser. Nous mettrons cela par écrit. Martine sera ta médiatrice. Vous mettrez cela au point à vous deux pour vendredi.
J’accepte et Martine devient ma complice. Les jours défilent, Martine et moi petit à petit arrivons à lister mes envies, mes fantasmes, mes interdits ou mes peut-être, et mes plus tard.
Vendredi arrive, la fin de journée sonne. Nous avons RDV dans le bureau de M. Bruno. Martine entre je lui emboite le pas. M. Bruno est installée dans le fauteuil. Sans se faire prier, Martine retire sa veste son chemiser, sa jupe et quitte son soutien-gorge. Elle avance vers M. Bruno, se met à genou entre ces jambes, elle dézippe son pantalon et englouti son sexe, experte elle donne se plaisir qu’il affectionne. En parfaite apprentie j’observe, et l’excitation commence à faire vibrer mon ventre. Martine s’applique et donne ce plaisir que M. Bruno apprécie au plus haut point. Il jouit, Martine ne gâche rien avale ce jus que j’ai découvert il y a peu de temps. Martine reste aux pieds de M. Bruno. J’en suis à lui envier d’avoir tout gardé tout le sperme pour elle. M. Bruno passe ne revue le long document.
Nous discutons, et nous élaborons un échéancier d’éducation. J’ai accepté les lignes se ce premier échéancier. J’ai pour objectif d’être d’accepter le cadeau de noël de M. Bruno et de m’ouvrir au plaisir anal. Il accepte de me laisser vierge jusqu’à mes 18 ans, mais veux que je sois éduquée à donner du plaisir à une femme. De subir des punitions si je comment une faute professionnelle qui sera remarqué. La contrepartie du dernier point c’est la transparence dans mon dossier scolaire. Pour m’obliger à travailler correctement la partie scolaire, une attention particulière me sera apportée, le cas contraire je serais ignorée.

- Comme nous sommes en accord avec nos envies, nous allons profiter de ce WE. Martine tu vas te faire jouir. Tu peux choisir des accessoires.
Martine prend dans l’armoire à malice. Elle se prépare un gode assez massif, couleur chair qui représente très bien le sexe d’un homme. Elle s’allonge sur la table basse face a M. Bruno, se caresse, commence a se pénétrer par ce gode. Le rosebud toujours en place bouge au rythme de ces pénétration. Les gémissements se font de plus en fort. Elle décide de retire le rosebud et le remplace par le gode. Une main sur le clito et l’autre sur le mouvement dans anus, l’a fait jouir.
Un peu de remise en ordre et nous quittons le bureau. Pour mieux se retrouver lundi.
La semaine qui se déroule reste assez tranquille, Martine m’invite à passer le WE chez elle. Tout excitée j’accepte cette invitation. Le temps de faire un sac simple mais utile, je la rejoins très vite et nous partons. Le WE côté météo n’est pas top. Le froid et la pluie nous ont guidé pour un WE à l’intérieur, mais fort en enseignement. Nous voilà chez elle, elle me dis :
- Voilà, je peux te proposer la chambre d’ami où…
Dans un sourire entendu je dépose mon sac dans sa chambre. Et elle s’approche de moi pour me poser un baiser sur mes lèvres. La soirée débute bien. Nous prenons une douche ensemble. La délicatesse et son savoir-faire me provoque du plaisir. Sans m’en rendre compte j’éprouve du plaisir à cette sensation. A peine 16 ans et demi et déjà j’ai balayé quelques barrières. Bien qu’en avoir vu sur des sites spécialisés. Et le WE ne faisait que débuter.
Martine me propose après la douche de mette à l’aise, et me propose de regarder dans son armoire. L’armoire recèle d’une panoplie incroyable de tenue plus sexy les unes que les autres voir même très ciblée.
Je pose devant moi une tenue de lanière de cuir et me regarde dans le miroir. Comme une prise la main dans le sac, Martine me surprend, je la regarde rouge de honte.

- Tu peux l’essayer. Dans ton éducation tu porteras cela aussi, c’est un cadeau de la femme de M. Bruno.
Je suis sur les fesses en entendant ces mots.
- Ne panique pas, tu as le temps, et je suis là pour veiller sur toi et te donner envie de progresser. Vient, je vais t’aider à l’essayer.
Je me laisser guider, la tenue est en place, j’enfile des bas résilles noirs que j’accommode avec une paire talon aiguille presque a ma taille. Martine me prend en photo. Je me sens très salope et excitée.
- Superbe, il te manque quelques accessoires et tu ferais fortes sensations dans les endroits branchés.
- Ah bon ? Quels accessoires ?
Martine ne se fait pas prier pour me les montrer, et venir me poser un collier de chienne, des bracelets au poignets et aux chevilles. Puis elle immortalise le moment.
- Cela te plait ?
Sans me contrôler je m’approche et en guise de oui je l’embrasse. Elle saisit mon collier et me dirige vers la table basse su salon, m’y allonge, et me fixe sur celle-ci. Je suis immobilisée. Martine disparait. Le temps semble long. Elle revient dans une robe qui laisse apparaitre ces seins, ces fesses et le coté est ajouré qui laisse deviner l’absence de dessous. Elle s’approche et me pose une boule dans la bouche. Je suis inquiète. J’ai même un peu peur. Elle près de moi me caresse. Cela m’excite. Elle passe sur moi une sorte de plumeau qui me chatouille. Cette douce punition ne me laisse pas insensible. Elle me détache, me retire ma boule. Mes tétons sont tendus, elle les caresse, les sucent. Elle me bascule dans le canapé, elle écarte mes cuisses et commence à me lécher. Elle commence par mon bouton, puis ma fente pour glisser vers mon petit trou. Je ne refuse pas ces délicieuses attentions. La sensation est forte, et très agréable. J’ai éprouvé cela en solo, mais jamais sous les caresses savantes d’une femme.
Nous retrouvons nos esprits je revêts une tenue plus soft, bien que très légère. Martine et moi sommes en paréo nue dessous. Nous commandons pizza. Le livreur a dû être ravi quant Martine lui a ouvert en paréo et hauts talons qu’elle avait chaussé exprès.
Nous mangeons et passons une soirée assez tranquille, une peu de vin blanc, pour agrémenter le repas et la soirée devant la télé, des caresses, des baisers. L’alcool a raison de moi, petite toilette et je file au lit. Au matin, Martine m’offre un réveil de rêve remplit de sensualité. Je me laisse envahir par les frissons, et les caresses sur mes seins et mon sexe. Sa langue agile et expert me fait partir. Et je jouis dans un concert râles libérateurs.
Je ne veux pas rester en reste et je m’exerce a cette pratique qui ne semble pas aussi convainquant que les caresses de Martine. Samedi simple et sympa, petit tour en ville entre fille. Boutiques, resto dommage le temps n’est pas favorable à trainer dehors. Nous rentrons. Une fin d’après-midi en toute décontraction. La soirée il était convenu de faire une soirée dans un pub.
Nous sortons comme mère et fille, dans le pub, un ou deux « gentlemen » sympathise avec nous, il ne reste pas moins qu’il y réside une somme impressionnante de crevard. Nous jouons le jeu tantôt « mère-fille » tantôt complice de jeu. Nous rigolons bien. Mais ne concrétisons aucune prise de contact. Bien décontractée nous rentrons. La nuit es douce et reposant et le matin à l’image de la veille.
Il est temps de rentrer, demain le bureau appelle Martine et moi les bancs du centre de formation. Un WE riche en enseignement. Un apprentissage des plaisirs saphiques. Un délice, malgré la différence significative d’âge entre nous. Voila donc encore une belle étape de franchit

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