Belle-Mère (Épisode 2)

Résumé :
La mère de ma chérie était dans son bain. Je la regardai se doucher en toute discrétion par l’entrouverture de la porte. Je me surprenais à fantasmer sur elle et je me refugiai dans les toilettes de sa maison.

Suite du récit :
Ma chérie n’avait pas encore fini d’étendre le linge. Elle ne savait pas que sa mère était en réalité dans la maison et encore moins, que je m’en aperçus. Je l’entendis soudainement remonter les escaliers. Sans être lourd, son pas fit craquer le vieil escalier en bois sur lequel ma chérie et moi avions déjà fait pas mal de chose (sourire !). La mère entendit le bruit de sa fille :
- C’est toi Virginie ?
- Oui, c’est moi !

Virginie était surprise :
- Tu viens de rentrer ? demanda-t-elle, à sa mère.
- Non, je suis dans la salle de bain. Ne rentre pas, je ne suis pas encore habillée !
- Tu n’as vu Bobby ? (C’est comme cela que ma chérie m’appelait le plus souvent).
- Non ! Pourquoi il est là ? disait la voix, de l’autre côté de la porte.
- Bah oui, il était là ! Je ne le vois plus. Je ne sais pas où il est passé !

Virginie appela Bob dans la maison :
- Bob ? Bob, où es-tu ?

Autant dire que la situation me gênait à plus d’un titre : N., la mère de ma chérie, était nue dans sa salle de bain… Je venais de la mâter par l’entrouverture de la porte… Ma copine me cherchait, et moi qui était à faire ma petite affaire dans les toilettes en pensant à N. !

Je sentis soudain que j’allais venir. Mon excitation était si puissante que je vis le visage et le corps de ma N. devant moi, à hauteur de mon sexe. Je la prenais dans toutes les positions inimaginables : 69, levrette, etc. éclaboussant ses seins d’un millier de jets surpuissants. Pau après, je suis sorti des toilettes faisant mine de rien.

- Ah, tu étais là ! fit Virginie. Tu te cachais ou quoi ?

Sa mère sortit de la salle de bain, tout en peignoir, les cheveux mouillés, et une serviette roulée en chignon sur la tête.



- Bonjour Madame ! dis-je, moi qui appelle N. habituellement par son prénom.
- Bonjour Bob ! fit-elle, avec une certaine surprise.

Elle était encore plus belle et plus sexy en peignoir. Je venais de me soulager en pensant à elle. L’envie d’ouvrir son peignoir et de l’arracher sur-le-champ me traversa l’esprit.

« Bon, ce n’est pas tout, mais je dois y aller. On m’attend pour le repas. A bientôt, ! » ajoutai-je.

- Bah, tu pars déjà ? répondit Virginie, persuadée que j’allais rester avec encore une heure ou deux avec elle.
- Non, non, je dois vraiment y aller ! On se voit demain ?
- Ok, répondit Virginie, étonnée.

Il était 17 heures 30 et je venais d’inventer un mensonge bidon. Comment ma chérie ou sa jolie maman pouvaient-elles croire qu’à cette heure, on m’attendait pour diner !

Cette histoire, basée sur des faits réels, reste l’une des plus belles histoires de ma vie.

FIN

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