Belle-Mère 2

Lorsque j’ai revu Paulette, quelques mois après notre première expérience, j’étais des plus excité. Je n’étais pas certain que mes demandes allaient être respectées. Ma belle-mère avait décidé d’être ma soumise, mais elle avait pris cette décision dans l’action. Il y a quelques mois, j’avais trompé ma femme pour la première fois, et c’était avec ma belle-mère sur laquelle je fantasmais depuis longtemps.
Je me suis rendu chez ma belle-mère à la demande ma femme, pour l’aider à descendre un petit meuble de son grenier. Ce samedi il faisait encore chaud et beau. Lorsque je sonnais à la porte, Paulette est venue m’ouvrir. Je la trouvais resplendissante, habillée comme d’habitude avec une blouse. Elle était à contrejour et je voyais les formes de son corps, ce qui me fît bander immédiatement. Avait-elle mis une culotte ? Avait-elle épilé son sexe comme je lui avais ordonné ?
- Bonjour,
- Bonjour Paulette, comment allez-vous ?
- Bien et toi, pas trop chaud aujourd’hui ?
- Si un peu, vous savez que je n’aime pas la chaleur.
- Moi non plus je n’aime pas quand le thermomètre dépasse les 30°.
J’entre et lui fais la bise. J’essaie d’embrasser le coin de ses lèvres, mais comme elle tourne un peu la tête, mes lèvres se posent sur sa joue. Je suis déçu et un peu surpris.
- Le meuble est au grenier, suis moi, je te montre.
- OK.
Elle prend les escaliers et commence à monter les marches. Je suis derrière elle et j’aperçois déjà le haut de ses cuisses sous sa blouse. Je suis comme un ado qui mate les femmes dans les escaliers. Mon regard ne peut pas se détacher de sa blouse et je me penche pour voir. Cette situation m’excite doublement, mais je ne vois rien que le haut de ses cuisses … dommage !
Arrivés au grenier, il nous faut quelques secondes pour s’habi à la pénombre. Je crois deviner des chaises bien empilées, une table ronde, un buffet, quelques malles et un vieux canapé recouvert d’un tissu.


- Voilà, c’est le petit chevet qui est derrière le buffet qu’il faut descendre. Je vais quand même faire le tour pour voir s’il n’y a rien d’autres que je pourrais récupérer ou donner.
Pendant que je m’approche du meuble pour le préparer, Paulette fait le tour du grenier. Je bande, la situation est tellement excitante que je bande plus fort que d’habitude. Elle est proche du canapé, elle enlève le tissu qui le recouvre.
- Que penses-tu de ce canapé, il pourrait encore servir ?
- Je pense que oui, il n’est pas en si mauvais état.
- Il n’est pas abîmé, mais il est vieux et démodé.
- Il y aura toujours quelqu’un pour s’en servir.
- Tu crois ?
- J’en suis certain.
Paulette se penche au-dessus du canapé et appuie avec ses mains pour voir si l’assise est encore un peu ferme. Je suis derrière elle, je m’approche, pose mes mains sur ses hanches et me colle à elle.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Vous le voyez bien.
- Il ne faut pas. Nous avons fait une erreur la dernière fois, mais il ne faut pas recommencer.
- Tu as peut-être fait une erreur, mais pas moi.
- Mais …
- Ne dis plus rien, tu es à moi, c’est ce que tu m’as dit l’autre jour.
- Je n’avais pas toute ma tête.
- OK, alors je te laisse tranquille.
En disant cela, j’enlève mes mains de ses hanches en me reculant.
- Non, reviens.
- Comment ça reviens ?
- Ma tête ne veut pas mais mon corps te réclame.
Elle prend mes mains pour qu’elles restent sur ses hanches et recule pour mieux se frotter contre moi. Je me colle à elle et déplace mes mains pour les poser sur ses seins. Je sens sa respiration qui change. Je déboutonne le haut de sa blouse et découvre avec mes doigts son soutien-gorge dentelle. Ses seins sont gonflés de désir, sa respiration est forte. Je dégrafe son soutien-gorge, lui enlève et fais tomber sa blouse sur ses hanches. Le haut de son corps est nu et mes mains caressent, massent, malaxent sa poitrine.
Je devine ses tétons durcis sous mes doigts. J’aime ses seins lourds encore ferme.
- Je vais vérifier si tu as obéi.
Je fais tomber sa blouse à ses pieds et mes mains cherchent ses fesses. Elle n’a pas mis de culotte. Ma main droite passe devant et caresse son sexe, il est épilé et doux. Je sens ses lèvres déjà gonflées et ouvertes.
- C’est bien, tu as fait ce que je voulais. Est-ce que tu sens comme je suis excité ?
- Oui, je sens ton sexe et j’en ai envie.
- Ne t’en fais pas, tu vas l’avoir.
Mes doigts s’insinuent dans son sexe, il est trempé, il coule pendant que de mon autre main je lui masse un sein. Je lui embrasse le cou. Puis elle se retourne et commence à me déshabiller. De mon côté je déboutonne sa blouse. Nous sommes nus dans le grenier. Son sexe est entièrement épilé.
Elle se met à genoux et commence à me sucer divinement bien.
- Tu aimes sucer ma bite ?
- Ouiii j’aime, j’ai envie de l’avaler.
Alors je lui prends la tête à deux mains et commence à lui baiser la bouche. Je vais et je viens entre ses lèvres, j’aperçois les pointes de ses seins érigées et toutes dures. Puis je m’arrête.
- Mets-toi à genoux sur le canapé, ton cul bien écarté.
Paulette s’exécute et met les mains sur le dossier du canapé. Je m’approche d’elle et je commence à lui caresser la chatte par derrière. Mes doigts passent dans la raie de ses fesses et vont de son sexe à son petit trou. Elle gémit et ondule du bassin.
- Tu es une vraie cochonne, tu aimes qu’on te tripote le cul.
- Oui, j’aime quand tu me touches.
Ma belle-mère était tellement excitée que son sexe dégoulinait. Je me suis approché et j’ai posé ma langue sur sa petite rosette. Elle poussa un petit cri.
- Non, je ne l’ai jamais offert.
- Tu n’as pas le choix, je te rappelle que tu as dit que tu ferais tout ce que je voudrais.
Joignant le geste à la parole, j’ai remis ma langue et j’ai léché ce petit trou qui me faisait envie depuis trop longtemps.
Ma langue tournait autour, puis je l’ai mis à l’entrée et j’ai poussé. Je la sodomisais avec ma langue tandis que je lui caressais le clitoris. Paulette poussait des petits cris de plaisir. Plus je poussais ma langue, plus elle criait. Alors je me suis reculé et j’ai présenté mon sexe à l’entrée de son cul et j’ai poussé doucement.
Paulette gémit plus fort et se recula instinctivement pour faire rentrer mon sexe dans son petit trou.
- Oui, vas-y, encule moi j’aime.
- Je sais que tu aimes ça, u es une cochonne et une salope.
- Ouiiiii je suis ta salopeee.
Je commence à aller et venir dans son cul serré qui se détend un peu. Une main lui malaxe un sein, l’autre lui caresse le sexe. Elle crie.
- Hummmm je vais jouir.
Son corps fût pris de soubresauts et elle se mit à crier fort. Paulette venait d’avoir un orgasme puissant. Je continuais quelques instants puis je me suis dégagé et je lui ai demandé de se retourner.
- Branle-moi, je veux gicler sur ton visage de salope.
Elle se mit à me masturber en me massant et glissant sa main sous mes fesses. Il ne fallut que quelques allers et retours pour que j’éjacule. Mon sperme giclait sur son visage, elle se léchait les lèvres et gémissait de plus belle.
- C’est bien ma cochonne, tu as été sage. La prochaine fois je te veux nue sous ta blouse, ni culotte, ni soutien-gorge. Et bien sûr, ton sexe toujours épilé. C’est compris.
- Il va falloir que j’explique à …
- C’est ton problème, tu n’as pas le choix, tu as dit que tu ferais tout ce que je voudrais. Tu veux arrêter ?
- Non, mais …
- Alors il n’y a pas de mais. Fais ce que je te demande. Je reviendrais dans 3 jours, que ton mari soit là ou pas.
Je me suis rhabillé, la laissant là en proie avec ses doutes et ses envies …

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