Vacances Sans Frontières - 06 Un Changement De Trajectoire

Eve, Pascal, Jean et Sabrina sortirent du club et prirent la direction du camping-car. Jean ne savait pas vraiment ce qu'il devait faire. Pascal et Eve avançaient quelques mètres devant lui, ce dernier prenant son épouse par l'épaule tandis qu'elle-même semblait se blottir contre lui, comme pour se réchauffer en dépit de la douceur de la nuit. Il regarda Sabrina qui marchait près de lui et qui lui rendit son regard. Le cœur battant, il lui tendit une main qu'elle saisit. Ils marchèrent ainsi quelques mètres avant que Jean ne l'attire à lui, la prenant par les épaules tandis qu'il sentit la main de cette jeune femme, celle qui avait été il y a quelques dizaines de minutes encore, son amante, se frayer un chemin sous sa veste pour enserrer sa taille. Il la regarda, puis déposa sur ses lèvres un bref baiser. Un bref baiser qui fut prolongé par un second. Puis un troisième, chacun étant plus long que le précédent. Jean la prit dans ses bras tandis que Sabrina se serra contre lui, tout en caressant la nuque de son amant pendant ces quelques secondes.
Ils furent interrompus par Pascal qui les appelait.
• Dépêchez-vous les amoureux. On vous attend.
Le jeune couple interrompit leur baiser. Sabrina sourit à Jean, le regard brillant toujours de mille feux.
• Viens. Il ne faut pas que tes amis nous attendent.
Cette phrase fit sourire Jean. Ils rejoignirent le camping-car main dans la main.
Quand ils entrèrent, Pascal et Eve étaient déjà tous deux attablés et avaient déjà disposés des verres.
• Hé bien les amoureux, on traine ?
• Arrête chéri, laisse-les un peu. Mais bon, dis donc Jean, tu n'exagères pas un peu ?
• Euh…. Ben …. Pourquoi ?
• Tu nous dis que tu es timide, et en une soirée tu fais l'amour avec deux femmes et avec la jolie serveuse d'un club libertin que tu invites chez nous, poursuivit Eve.
• Euh …. Oui. C'est ….
• Mais non, je plaisante. Au contraire c'est ce que je voulais rappelle toi.

Je suis ravie de voir que tu te libère un peu de ta timidité. Pardon Sabrina, mais j'adore le taquiner. Il s'embarrasse en moins de deux.
• Oui …. Il est encore un peu coincé quand même, répondit la jeune serveuse en souriant. Mais bon, c'est pour ça aussi qu'il est adorable.
Tous les trois rirent, même Jean qui se sentait tout de même assez mal à l'aise pour une raison qu'il ne parvenait pas à déterminer.
Ils continuèrent à discuter tout en vidant leurs verres. Très vite la discussion tourna autour de l'invitation dont Jean profitait avec Pascal et Eve puis s'orienta vers Sabrina. La jeune fille révéla qu'elle avait connu quelques périodes difficiles, ne voyant plus ses parents qui ne l'avaient en fait jamais aidée, elle s'était tourné vers une amie avant de s'émanciper et de devenir financièrement autonome grâce à de petits emplois. Elle avait quitté la région parisienne avait avoir rencontré un jeune homme dont elle était tombée amoureuse et avec lequel elle était partie s'installer non loin de Clermont-Ferrand où un cousin lui mettait un appartement à disposition et qui les faisait travailler tous les deux le temps de trouver quelque chose de plus stable. C'est ce dernier qui, après lui avoir fait découvrir le monde du libertinage, l'avait abandonnée un soir où la jeune femme avait refusé de s'offrir à plusieurs hommes. Il était parti subitement, ne la laissant rentrer à l'appartement que pour récupérer quelques affaires.
Le patron du club qui s'était pris d'affection pour Sabrina lui proposa de travailler pour lui et lui loua un studio qui lui appartenait afin qu'elle ne soit pas à la rue.
En entendant les malheurs de la jeune serveuse, Jean se sentit soudain pris de peur. Ce qui n'échappa pas à Sabrina qui était restée près de lui, la main dans la sienne.
• Ne t'en fais pas. Tu sais ce sont des choses qui arrivent, lui dit-elle. Dans mon malheur j'ai pu rencontrer des gens bien qui m'ont aidé.
• Ce n'est pas ça. ….
. Je ne sais pas vraiment comment te dire. ….
• Qu'est ce qui se passe Jean, Demanda Eve.
• Je ne sais pas ….. Enfin si. Je crois qu'il se passe vraiment quelque chose de fort entre toi et moi. Je l'ai ressenti tout à l'heure. Et je sens aussi qu'il suffirait d'un rien pour que toi et moi …… Mais je ne mérite pas d'être avec quelqu'un comme toi. Ou plutôt tu ne mérites pas d'être avec moi. Je ne peux rien t'apporter. Tu as besoin de quelqu'un qui puisse être fiable. Moi je ne suis qu'un étudiant, je vis chez mes parents, très loin d'ici. Je ….. Je voudrais tellement mais…
• Stop !! l'interrompit Sabrina. Arrête tout de suite. Tu as raison sur une seule chose. Moi aussi j'ai ressenti quelque chose dans tes bras, tout à l'heure. Quelque chose de très fort. Et je le ressens encore en ce moment. Mais qu'est-ce que le mérite vient faire là-dedans ? Ce qu'il m'arrive je n'en ai aucune idée mais je sais que si je n'essaie pas je m'en voudrai toute ma vie. Je ne sais même pas si je te reverrai après que vous soyez repartis demain. Mais je m'en fiche. Pour l'instant c'est avec toi que je suis et c'est avec toi que je veux rester. Aussi longtemps que ce sera possible. Je ne te demande pas de tout me faire quitter pour toi. Ça ne serait pas très difficile d'ailleurs parce qu'ici je n'ai rien à part un patron adorable qui m'a tendu la main quand j'en ai eu besoin et qui serait ravi que je parte vivre ma vie. Je ne sais pas ce qui m'arrive mais …. Si je ne dois rester avec toi qu'une seule nuit, s'il te plait ne la gâche pas.
• Jean, intervint Pascal, Sabrina a raison. Tu ne dois pas te monter la tête. Personnellement je crois que vous vivez quelque chose de très rare en ce moment. C'est tellement évident. Ce n'est pas un hasard si on a invité avec nous ta petite chérie. Tu dois profiter, sans te poser de question. N'oublie pas que tu dois faire ce qu'on te demande moi et Eve. Tu te rappelles ? Hé bien là, tout de suite on te demande de lâcher prise. Ne pense plus.
Vis ce que tu as à vivre.
• Ça ne me gêne pas de vivre ce que j'ai à vivre ……….. mais pas si ça doit faire mal à quelqu'un, répliqua Jean.
• Pas si ça doit te faire mal tu veux dire ? Demanda tendrement Eve.
• Non. Si j'ai mal à cause d'une erreur que je fais, tan pis pour moi. Mais elle ……. elle a déjà assez souffert. Elle ne doit pas souffrir à cause de moi, ce serait injuste. Je préfère avoir mal à me demander si j'ai tout gâché, qu'avoir mal en sachant qu'elle va pleurer à cause de moi.
• ………….. Est-ce que tu réalises ce que tu dis ? Demanda Eve. Est-ce que tu comprends à quel point il faut être quelqu'un de bien pour dire un truc pareil ? Et tu voudrais priver Sabrina de passer quelques heures dans les bras d'un homme capable de dire ça sincèrement ? Toi qu'est-ce que tu en penses Sabrina ?
• Moi ? répondit-elle, son regard brillant tourné vers Jean. J'en pense que si je peux ne plus le quitter même si ce n'est que pour quelques heures, je refuse de partir. Tu ne pourras pas m'empêcher de rester avec toi ce soir.
• Jean, c'est vraiment noble de ta part ce que tu es en train d'essayer de faire, lui dit calmement Pascal, mais ne fais pas l'idiot. Ne gâche pas votre seule nuit ensemble. C'est ça aussi être un homme tu sais.
Jean sourit, les regardant tour à tour.
• Tu sais que tu me parles comme j'aurais aimé que mon père me parle. Puis Jean regarda intensément Sabrina dans les yeux, ces si beaux yeux brillants. Je veux rester auprès de toi le plus possible, même si ce n'est pas beaucoup. J'ai juste peur du moment où ces instants qu'on va vivre seront devenus des souvenirs.
• Moi aussi. Mais je préfère des souvenirs à des fantasmes.

Ils rirent tous cette fois de bon cœur.
• Tu sais tu n'es pas le seul à vouloir que Sabrina reste. Crois-tu que tu es le seul à avoir succombé à ses charmes ? Pas vrai chéri ? Surenchérit Eve.
• Tu ne crois pas si bien dire mon cœur, ajouta Pascal.
Eve se leva pis se pencha vers Sabrina qu'elle embrassa du bout des lèvres.

• N'oublie pas que nous sommes venus pour nous amuser. Et la nuit n'est pas encore finie, dit Eve en regardant Jean.
Elle embrassa à nouveau la jeune serveuse, la fit se lever. Et la suivre vers le grand lit. Les deux femmes restèrent debout et s'embrassèrent longuement, les mains d'Eve se promenant sur le corps de Sabrina, sur ses seins, ses hanches, son cou qu'elle embrassa avec tendresse. La jeune fille ne resta pas inactive et caressa la douce nuque de sa partenaire, la regardant tandis qu'elle la débarrassait de son haut et de son soutien-gorge pour embrasser ses seins dont les pointes étaient déjà dressées, appelant aux baisers. Les yeux de Sabrina brillaient d'excitation, comme de véritables phares de désirs, appelant de nouvelles douceurs, de nouveaux gestes, de nouveaux plaisirs à se poser sur son corps. Eve savait manifestement s'y prendre aussi bien avec une femme qu'avec un homme. Elle embrassait partout sa jeune partenaire, se délectant de sa peau, souriant entre deux baisers de voir sa partenaire réagir à ses coups de langue.
Elle fit asseoir Sabrina sur le lit et continua à l'embrasser avant de la coucher, relevant sa jupe pour faciliter l'accès à son entrejambe qu'elle caressa doucement, ce qui fit tressaillir Sabrina qui rejeta sa tête en arrière, fermant les yeux pour gouter au plaisir de ces caresses. Eve se retourna vers Pascal et Jean qui regardaient tous deux la scène, leur sourit puis grimpa sur le lit tout en continuant de caresser la jeune serveuse. Cette dernière attira Eve à elle pour l'embrasser à nouveau, d'un baiser passionné, fougueux. Jean compris qu'elle prenait beaucoup de plaisir et admira cette jeune femme qu'il avait serré dans ses bras quelques instants plus tôt. Qu'elle est belle, pensa-t-il.
Elle gémit de plaisir lorsque Eve passa sa main sous la dentelle de sa culotte noire et sa respiration s'accéléra au fur et à mesure que les doigts s'y agitaient tandis qu'Eve continuait lentement à embrasser, sucer et lécher la poitrine de sa jeune amante. Elle retira la culotte de la jeune femme, puis entama un long baiser sur ses cuisses tandis que ses mains lui caressaient le ventre. En de lents mouvement, la belle blonde s'approcha du sexe humide et ouvert de Sabrina, s'approcha pour le humer avant d'y déposer un baiser. Sabrina était si excitée que ce simple contact la fit se cambrer. Eve entreprise alors de la lécher, parcourant tout son sexe de sa langue, goutant sa chaude liqueur, titillant ses lèvres intimes, puis se mit à butiner son clitoris, arrachant des gémissements puis des cris de plaisir à sa partenaire.
Pascal se massait désormais le sexe au travers son pantalon et Jean constata qu'il était désormais dans une belle forme. Lui-même était très excité par la situation. Tous deux sentaient que la jeune femme était sur le point de jouir. Pascal se pencha vers Jean.
• Jean, je vais me lever et prendre la relève d'Eve lorsqu'elle aura fait jouir ton amie. Je vais ensuite la prendre. Tu t'occuperas d'Eve. D'accord ?
Jean ne répondit pas, ce qui pour Pascal avait valeur d'approbation. En réalité il s'y attendait mais ne savait pas s'il arriverait à la voir avec un autre. Il ne voulait pas tout gâcher. Il voulait attendre la réaction de Sabrina.
Cette dernière poussa un long gémissement, la langue d'Eve l'ayant mené à son orgasme. Eve l'embrassa à nouveau et se dévêtit à son tour. Sabrina se débarrassa de sa jupe qu'elle avait remontée puis se laissa attirer par Eve qui l'invitait désormais à s'occuper d'elle. Sabrina embrassa passionnément le corps de sa belle amante qui se laissait désormais caresser. Jean put constater l'expérience de Sabrina dans sa manière de caresser, de lécher et de sucer les tétons durcis d'Eve. Elle se mit à descendre doucement vers la fine toison d'Eve, la caressa doucement, glissa un doigt entre ses lèvres trempées d'excitation avant de la masturber. Rapidement, elle descendit à son tour lécher le sexe de sa partenaire, à genou sur le lit.
Eve jeta alors un regard à son mari qui se leva et s'approcha du lit tout en ôtant sa chemise.
Jean sentit un frisson parcourir son corps tandis que l'homme se débarrassa de son pantalon, révélant un sexe en très bonne disposition, et passa près de Sabrina dont il caressa le dos. Cette dernière le regarda tandis qu'il passa ses mains sur ses fesses, puis sur sa fente encore humide. Sabrina tendit sa croupe vers cette main si douce tandis qu'elle pénétrait de sa langue le sexe d'une Eve qui gémissait sans retenue, haletant sous l'imminence de son orgasme. Eve amena son mari près d'elle et prit son sexe tendu et l'enfouit dans sa bouche tandis qu'elle jouit en un long gémissement, sans lâcher le sexe de son mari.
Elle se redressa ensuite, sourit à Sabrina qu'elle attira à elle dans un long baiser. Elle échangea avec sa jeune amante un sourire complice et lui tendit le sexe de son mari. Sabrina y déposa un baiser avant de le prendre à son tour dans sa bouche.
Eve jeta un regard à Jean qui sentit ses entrailles bruler, un horrible pincement lui déchirant le ventre en voyant la jeune serveuse faire désormais une fellation à Pascal qui gémissait de plaisir. Jean avait l'impression qu'une tornade se déchainait dans son ventre, tordant, entremêlant et lacérant chaque organe dans son abdomen.
Pascal lui jeta à son tour un regard, puis caressa le visage de sa femme avec laquelle il échangea un regard. Cette dernière se leva et vint rejoindre Jean tandis que Pascal s'avançait davantage pour être plus à l'aise sur le matelas sans que Sabrina ne cesse de le sucer.
• Viens Jean. Viens avec moi. Ne reste pas seul.
Jean n'entendait presque pas Eve, torturé par un horrible mélange de sentiment où se bousculaient la colère, la jalousie et une peur terrible mêlée de tristesse. Eve renonça à lui parler, s'approcha de lui et posa sa main sur son visage avant de l'embrasser. Petit à petit, ce contact chaleureux occulta la vision de son amie et Jean se détendit, lui rendant son baiser.
Eve, satisfaite, se recula, le regarda en souriant, lui prit les mains avec douceur et le fit se lever. Elle sourit à nouveau lorsqu'elle vit une larme perler au coin de l'œil du jeune homme. Elle l'embrassa cette fois plus passionnément, toujours très excitée qu'elle était de voir son mari qui avait désormais renversé Sabrina pour lui aussi pouvoir gouter son sexe.
Eve et Jean se rendirent près du lit où elle le déshabilla avant de saisir son sexe qu'elle caressa quelques instants avant de le prendre à son tour dans sa bouche.
Elle fit allonger Jean sur le lit pour mieux pouvoir le sucer tandis que Jean sentit une énorme érection le gagner alors qu'il observait Sabrina gémir de plaisir sous les coups de langue de Pascal qui lui dévorait le sexe.
Comme chaque fois qu'elle faisait l'amour à une femme, Eve avait désormais très envie de sentir une queue en elle. Elle s'appliqua donc à faire durcir le sexe de Jean qui désormais gémissait sous ses caresses. Pascal se releva vers Sabrina, déchira l'emballage d'un préservatif qu'il enfila avait de se coucher sur elle. Sabrina se tordait de désir et l'accueillit. Elle gémit lorsqu'il la pénétra.
Voir la jeune fille accepter en elle un autre partenaire fit une seconde perdre ses moyens à Jean dont le sexe perdit un instant sa fermeté. Mais Eve mettait tant d'enthousiasme à ses caresses que cela ne dura que quelques secondes. Elle se coucha sur le corps de Jean avant de s'empaler sur lui avec un soupir de satisfaction. Elle se mit à se soulever et se baisser en rythme, faisant coulisser la queue de Jean en elle. Elle était si excitée qu'elle eut sur le champ un premier orgasme tandis que Sabrina gémissait sous les coups de rein de Pascal qui la prenait avec vigueur.
Voir Eve jouir et Sabrina gémir ainsi près de lui redonna à Jean le désir de partager ce plaisir. Il se mit à caresser Eve, la prenant cette fois activement. Les deux couples haletèrent ensemble, gémissant leurs plaisirs partagés.
Pascal fit se mettre Sabrina à quatre patte avant de la pénétrer de nouveau. Eve la regarda et souriait tout en gémissant sous les coups de rein soutenus de son partenaire. Sabrina gémissait de plus en plus, sentant le sexe de plus en plus dur de Pascal qui se déchainait en elle.
Elle sentit les doigts de ce dernier caresser doucement sa fente qu'il pénétrait avant de remonter lentement ses doigts vers le petit orifice serré de ses fesses. Elle comprit où il voulait en venir lorsque ces doigts se firent humide et essayèrent une première fois de s'insinuer vers cet endroit qu'elle n'avait jamais encore offert à aucun homme. Elle se retourna vers son partenaire.
• Non s'il te plait. Pas là. Je n'ai encore jamais fait par là.
• Ne t'inquiète pas, lui répondit Pascal, je serai très doux.
• Je le sais, mais je ne veux pas s'il te plait. Pas par là. Continue de t'occuper de moi mais pas par là.
Pascal, légèrement déçu, continua de la pénétrer et se mit à la prendre avec force, lui arrachant des gémissements de plus en plus soutenus.
Eve sourit et s'allongea sur Jean, de plus en plus excitée, sur le point de jouir. Ce dernier la prenait avec vigueur et était désormais lui aussi proche de l'orgasme, bien qu'il fit le maximum pour se retenir.
• Je m'en doutais, susurra-t-elle à l'oreille de Jean. Fais-moi jouir Jean, prend moi devant elle et jouis avec moi.
Jean se doutait qu'Eve avait compris quelque chose. Il avait le sentiment que la suivre rendrait tout plus limpide, quel que soit la façon dont cela se produirait. Il prit alors Eve par les hanche et la baisa de toute ses forces pour lui donner ce qu'elle désirait. Ils furent tous deux foudroyés par un orgasme commun, synchrone, comme lors de la première fois que Jean l'avait prise dans ses bras.
Cette vision enflamma Sabrina qui se rapprocha de Jean, prenant appui sur son épaule avant de jouir bruyamment à son tour tandis que Pascal éjacula, s'enfonçant profondément dans le sexe de la jeune femme. Eve chuchota à nouveau à l'oreille de Jean.
• Ne t'en fais pas, Jean. Regarde-la. Je sais que tu la trouves belle dans son plaisir, même si ce n'est pas avec toi. Admire la dans son plaisir. Et n'oublie pas le plus important.
• Qu'est-ce que c'est, le plus important ?
• C'est vers toi qu'elle va revenir. C'est dans tes bras qu'elle veut rester.
Sabrina releva la tête quelques secondes plus tard, se redressa et vint se blottir contre Jean qu'elle embrassa alors qu'Eve avait toujours la tête enfouie dans le creux de son cou. Elle le regarda, les yeux plus brillants que jamais.
• Merci d'être là. Merci d'être venu près de moi. Je t'aime.
Jean lui rendit son baiser, heureux de la sentir contre lui, si submergé qu'il ne put cette fois empêcher ses larmes de couler.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!