Vacances Sans Frontières - 14 Instant De Pause

Au réveil, Jean sentit la délicieuse sensation des baisers légers sur son épaule. Sabrina le regardait, attendant ses réactions avec tendresse, promenant ses doigts sur la peau de son torse. Il fut à nouveau envahi par cette sensation merveilleuse de paix, de bonheur qu'il ressentait chaque jour depuis qu'il l'avait rencontrée. Il referma son bras autour de ses épaules, et la serra contre lui, fermant les yeux pour mieux ressentir sa peau, sentir sa si douce et délicieuse odeur.
• Tu as bien dormi mon cœur, l'entendit-il murmurer à son oreille.
• Oui, mon cœur, lui répondit-il sur le même ton.
• Tu vas bien, lui-demanda-t-elle après quelques instants ?
• Tout va bien ma chérie. Ne t'en fais pas, lui murmura-t-il.
• Tu es sûr ? Je ne veux pas que tu te sentes mal à cause d'hier.
• Non, ne t'en fais pas …. Je…. Je vais bien. Je crois que cette nuit m'a aidé à y voir plus clair. Je te demande pardon pour ma réaction.
• Tu n'as pas à t'excuser. Je me doute que ça a été difficile pour toi.
• Tu sais, hier, j'ai …. J'ai eu peur mais c'est parce qu'en fait …. Je crois que j'en avais envie. Vraiment envie. Et ça me faisait peur. J'avais peur que tu ne me regarde plus de la même manière. J'avais envie de le sucer lorsque tu l'as fait devant moi. D'une certaine manière j'attendais de pouvoir le faire aussi mais c'est quelque chose que j'avais du mal à accepter. C'est ridicule, je sais mais ……. J'avais du mal à admettre que j'en avais envie. J'ai aimé le sentir dans ma bouche, comme j'ai adoré le sentir en moi. Mais c'était ….. pour moi ce n'était pas acceptable. J'avais l'impression de ne plus être ton homme, d'être comme devenu une femme pour lui, Eve et aussi pour toi. Ça m'a terrifié. Mais je me rends compte que c'est stupide. J'espère que tu ne m'en veux pas, et surtout que tu m'aimes encore comme avant.
• T'es bête. Je croyais t'avoir montré à quel point tu resterais mon homme juste avant qu'on s'endorme.

Tu sais ce n'est pas parce que tu aimes sucer un mec et te faire prendre que tu n'es plus un homme. Tu es juste un mec qui sais apprécier le plaisir là où il est. Et puis ….. comme ça tu peux comprendre le plaisir que j'ai quand je fais une pipe à un homme, toi ou un autre. Et tu peux comprendre comme c'est bon de sentir une queue en soi. Pour moi ça fait juste que nous sommes encore plus proches l'un de l'autre car toi tu me comprends parfaitement. En fait je suis presque jalouse.
• Pourquoi ?
• Ben …. Mon cœur toi tu sais ce que c'est que de te faire prendre, que d'adopter la posture un peu féminine. Moi je ne pourrais pas te comprendre car je n'ai pas vraiment ce qu'il faut pour pénétrer vraiment une femme…… ou un homme.
• Ça, ça peut toujours s'arranger, dit Eve. Tous deux se tournèrent vers le couple qui les écoutait depuis leur réveil.
• Oh, pardon, dirent-ils tous deux de concert. On ne voulait pas vous réveiller.
• En fait on était réveillés avant vous, dit Pascal. On vous a entendu dans vos murmures.
• Pour revenir à ce que je voulais dire ma belle, c'est largement possible pour toi si tu veux de te sentir dans une posture, disons plus masculine.
• Je crois que je sais ce que tu vas me proposer, dit Sabrina en souriant.
• Te proposer, c'est un bien grand mot. Disons que je sais ce qui se fait. En fait il suffit d'un godemichet et d'une ceinture adaptée et tu pourrais facilement t'amuser avec les fesses de ton chéri. Je le fais régulièrement avec Pascal. J'adore!! Et lui aussi !! J'en ai quelques-uns ici. On essaiera si tu veux.
• Alors là Jean, on est mal. Quand Eve est lancée avec ça on n'est pas prêts de finir. Elle est inépuisable.
• On verra bien Eve, dit Jean. Pour le moment j'aimerais surtout prendre le petit déj. J'ai un peu hâte de voir où on va aujourd'hui.
• Ah, c'est la surprise mais je peux vous jurer que ça va vous plaire.
Tous se levèrent et reprirent donc la route une fois le petit-déjeuner et les toilettes des uns et des autres faites.
La route fut assez calme mais également assez longue. Fort heureusement, et contrairement à la veille, la circulation était assez fluide et Pascal avait bon espoir d'arriver à destination pour le début d'après-midi. Ils y parvinrent en effet à Nice vers 13 heure. Jean reconnut tout de suite la ville, la promenade en bord de mer et se surprit à penser qu'il ferait bon profiter de cet endroit avec Sabrina, laquelle eut vraisemblablement la même idée car elle plongea le regard vers lui avec un sourire complice. Ils passèrent néanmoins la promenade, roulèrent encore quelques minutes avant de prendre la direction d'une pointe où se tenaient plusieurs villas. Le camping-car s'arrêta devant le portail de l'une d'elles qui s'ouvrit sous la commande d'Eve. Ils pénétrèrent un parc arboré qui entourait une grande maison de style assez classique sur le bord de laquelle se tenait une large piscine qui était pour le moment recouverte d'une grande bâche.
• Allez, tout le monde descend !! fit Pascal.
Ils sortirent du véhicule et Jean et Sabrina contemplèrent le parc tout en sortant leurs sacs. Eve les interpella et ils la rejoignirent à l'intérieur.
Ils entrèrent dans une maison grande, spacieuse, meublée dans un style assez cossu et sans doute très confortable. Le couple leur fit visiter la maison, leur expliquant qu'ils avaient choisi d'investir dans cette maison qu'il leur arrivait de louer. Leurs habitudes libertines faisaient qu'ils s'y rendaient plusieurs fois par an pour des escapades coquines. En réalité, ils se partageaient entre cette luxueuse maison et celle de Strasbourg. Ils se demandaient d'ailleurs s'ils ne déménageraient pas tout simplement pour cette maison un jour mais leurs emplois respectifs ne leur en laissaient pas le loisir pour le moment. Les deux jeunes gens ne pouvaient que constater la beauté du lieu et la taille de l'espace mais ne le firent pas remarquer.
Aussitôt leurs sacs débarqués, tous prirent un repas puis commencèrent à se poser dans le grand parc, afin d'y profiter d'une sieste digestive.
Sabrina fit remarquer à Jean la présence de plusieurs hamacs, installés près de la piscine et y courut, rejointe par Jean.
Tous deux s'installèrent dans un même hamac et s'endormirent, pelotonnés l'un contre l'autre. Ils furent tirés du sommeil moins d'une heure plus tard par des éclats de voix. Intrigués par cette agitation, Sabrina et Jean se levèrent et virent Eve faire les cents pas devant la piscine.
• Que se passe-t-il ? Demanda Sabrina en s'approchant d'Eve visiblement inquiète.
• Oh ….. Vous êtes réveillés. On a juste un souci. En fait on voulait vous emmener ce soir chez un couple d'ami qui organise des soirées très sympathiques sur un bateau. Généralement c'est sur deux jours. Mais malheureusement il y a un souci : la présence de Jean était déjà prévue mais pas la tienne Saby. Pascal essaie de négocier en disant que ta présence ne peut pas être si gênante. Mais malheureusement ce n'est pas celui qu'on connait mais son frère. Ils sont deux couples à gérer ces soirées. Le premier d'entre eux est cool, mais dans le second le mari est très, très intransigeant et carré. Pascal essaie de lui faire comprendre que tu ne peux pas rester toute seule mais……
• Bon. Impossible de lui faire entendre raison. Je suis désolé mais il y a peu de chance que tu puisses venir Saby. J'ai demandé à parler à Marc mais il n'y a pas moyen. Il sait pourtant qu'on doit venir deux jours mais, rien à faire. Je vais quand même essayer d'appeler Antoine. Avec un peu de chance il pourra faire quelque chose. Sur ces mots il regagna le salon, le téléphone sur l'oreille tandis que les trois autres s'assirent sur les transats de la piscine.
• Oui, mais s'il ne répond pas, qu'est-ce qu'on va faire ? On ne va pas laisser Sabrina toute seule, s'inquiéta Eve.
• De toute façon elle ne serait pas restée seule, dit Jean. Si elle ne peut pas venir il est hors de question que je parte sans elle. Je me doute que les devraient être agitées pas vrai ?
• Oui, et tu aurais été à l'honneur Jean puisque tu aurais été nouveau.
En fait si ça avait été son frère il n'y aurait pas eu de soucis : il aurait été ravi d'accueillir deux novices pour le prix d'un. Mais là….
• Euh …. Deux novices dans quel domaine ? Là ça m'intrigue un peu …… et ça m'inquiète aussi, ajouta Jean en souriant.
• On te dira si jamais ça se fait, dit Eve. Pour le moment, mieux vaut attendre le retour de Pascal.
• Oui, mais bon s'il arrive à voir pour toi, dit Sabrina en s'adressant à Jean, tu pourras y aller si tu v….
• Non, la coupa son compagnon. Il est hors de question que je te laisse toute seule. Tu n'es pas une personne de plus pour moi. Tu es avec moi. C'est tous les deux ou rien.
• Tu sais ….. je ne serai pas jalouse. J'ai confiance en toi.
• Ça n'a rien à voir. Je ne veux pas m'amuser si tu n'es pas avec moi. Si c'est une soirée libertine de plus je ne ferai rien sans toi, pas si tu n'es pas présente. Je préfère passer deux jours avec toi et de loin.
Sabrina ne répliqua pas. Elle savait bien que son compagnon ne changerait pas d'avis mais se sentait tout de même coupable de contredire les efforts de Pascal et d'Eve par sa simple présence. Jean, qui la regardait, vint se placer derrière elle et la saisit par la taille, l'encourageant à s'appuyer sur lui.
Pascal revint quelques minutes plus tard manifestement ennuyé.
• Bon. On a réussi à négocier avec Antoine mais ça va un peu chambouler leur programme. Donc pour ce soir, je suis désolé mais c'est pas possible pour Sabrina. Marc ne veut rien savoir.
• Alors je reste avec elle, dit Jean. Je ne vais pas la laisser toute seule.
• Oui, je le sais bien. C'est ce que j'ai expliqué à Antoine. Donc vous pourrez venir demain tous les deux sur le bateau et les deux jours de croisière sont décalés. Par contre ils veulent qu'on vienne moi et Eve ce soir à leur villa avec les invités qui seront aussi là demain.
• Attends. Et ils vont faire quoi pendant qu'on sera partis ? S'inquiéta Eve.
• Ben désolé les tourtereaux mais vous allez devoir rester seuls le reste de l'après-midi et jusqu'à demain. On viendra vous chercher en fin d'après-midi. J'ai pas réussi à négocier autre chose chérie, je suis désolé.
• Bon, c'est un mal pour un bien en même temps. Je suis sûre que nos tourtereaux ne seront pas mécontents de profiter d'un peu d'intimité, pas vrai Jean ? Fit Eve en lui adressant un clin d'œil.
Les deux jeunes se regardèrent en souriant d'un air convenu.
• Ça devrait aller je pense. Par contre on ne pourra pas trop bouger, je veux dire si on veut aller manger quelque part ou autre chose, dit Sabrina.
• Ah, mais pas de souci. Je vais vous emmener dans le garage : il y a deux scooters et des vélos si vous voulez. Malheureusement je ne peux pas trop vous laisser la voiture, même si vous avez le permis tous les deux. Mais de toute façon il vaut mieux parce que si vous allez jusque Nice, pour se garer c'est une horreur. Et au fait vous avez le permis tous les deux ?
Tous deux acquiescèrent. Eve et Pascal préparèrent un bagage avec quelques vêtements pour le lendemain avant de sortir leur voiture du garage. Après que le jeune couple se fut installé et ait pris connaissance du fonctionnement de la maison, Eve et Pascal leur souhaitèrent bonne soirée et partirent.
Jean et Sabrina, désormais seuls, se regardèrent. Tous deux étaient dévorés de l'envie de profiter de ces premiers véritables moments d'intimité, de solitude. Ils firent ensemble quelques pas dans le parc de la maison, main dans la main, dégustant chaque seconde. Sabrina s'allongea un instant dans l'herbe à l'ombre d'un des arbres du parc, attirant Jean près d'elle. Il la regarda, allongée, ses beaux yeux si brillants le fixant, ses longs cheveux déposés sur l'herbe telle une nappe d'or d'un jaune pâle, son beau visage aux teintes dorées à peine nuancées par de légères rougeurs que le soleil et le bonheur d'être avec lui y avaient déposé. Elle lui sourit, des fines lèvres délicieusement dessinées s'étirant, appelant ses baisers. Un appel auquel Jean répondit pour le plus grand plaisir de son aimée.
• Tu te rends compte, lui dit-elle. On est seuls pour la première fois. Juste toi et moi, mon cœur. Il faut en profiter, tu n'es pas d'accord ?
• Mais j'y compte bien mon cœur. Par contre tu ne voudrais pas qu'on aille quelque part ? Genre un restaurant, une promenade….
• Ou une piste de danse pour trouver une Alex numéro 2, c'est ça ? Tiens au fait elle m'a envoyé un message pour dire qu'elle est partie du camping. Elle nous préviendra quand elle sera arrivée. Elle te fait un bisou ta jolie conquête.
• Ben on lui enverra une photo de ce soir si tu veux, si on est à la plage ou au restaurant. D'ailleurs tu serais partante pour une promenade ce soir. On a qu'à prendre le scoot et aller sur Nice. On regardera si on peut manger pas loin.
• Une promenade sur la plage au clair de lune. T'es vraiment un romantique, mon chéri.
Sur ces mots, ils se changèrent et prirent la route pour Nice. Une fois arrivés, ils se promenèrent et en profitèrent pour essayer de repèrer quelques endroits pour dîner mais renoncèrent. Sabrina proposa de prendre plusieurs plats à emporter pour en profiter le soir, une fois de retour à la villa. Ils descendirent sur le bord de mer et se promenèrent longuement, main dans la main, marchant dans les vagues, parlant avec impatience, mêlée d'une légère appréhension pour Sabrina, de son emménagement futur.
Jean n'avait tout simplement plus envie de trop penser. Il était simplement heureux de profiter d'instants avec elle. Il avait l'impression de la trouver de plus en plus belle chaque fois qu'il la regardait. Il était même surpris de ne pas ressentir de fierté. Ce n'était même pas une question d'égo, même pour lui qui manquait tant d'assurance. Ce n'était que du bonheur, simplement un sentiment de paix. Il avait conscience que sa belle attirait les regards des nombreux et parfois musculeux hommes qui peuplaient la plage. Mais pour la première fois il n'en ressentait aucune menace, aucune peur. Il ne ressentait que de la confiance, que l'amour qu'il éprouvait pour elle, que le plaisir de la voir sourire. Il resta ainsi un certain moment à ne faire que la regarder, sans parler. Sabrina ne parlait pas davantage. Comme son ami elle n'avait cure des regards sur elle ni des belles naïades aux maillots parfois si minimalistes qu'elles auraient aussi bien pu être simplement dénudées. Elle était simplement heureuse de l'avoir rencontré, de le savoir près d'elle, de sentir sa main dans la sienne. Son homme, son Jean.
Lentement ils continuèrent leur marche, puis regagnèrent la promenade des anglais qu'ils suivirent, cette fois en revenant vers leur véhicule. Ils repérèrent un restaurant et y prirent, à la demande de Jean, un large repas à emporter. Puis Jean décida de prendre un dessert chez un traiteur croisé sur le chemin avec le projet d'en profiter cette fois sur le bord de mer sur lequel donnait l'arrière de la villa. Sabrina fut à nouveau enthousiaste à l'idée de retourner danser avec son ami cette fois lorsqu'ils virent qu'une soirée était organisée dans une discothèque non loin de la villa. Lorsqu'ils furent rentrés, ils commencèrent à s'installer près de la piscine et commencèrent à manger. Ils partageaient leurs sushis en discutant, plaisantant, parlant de la nuit, leur nuit qui s'annonçait. Jean et Sabrina s'amusaient à se raconter quelques-unes des petites aventures qui lui était arrivé autrefois, le plus souvent des évènements banaux mais qui, dans le cas de Jean finissait toujours immanquablement par des grands moments de solitude. Tout à leurs plaisanteries, Jean fit malencontreusement couler une goutte de sauce sur le haut du torse de son amie en voulant lui donner un maki à manger.
• Ah non !! pardon mon cœur, s'excusa-t-il en cherchant à essuyer la goutte qui commençait à descendre.
• Pas de problème, essuie là vite.
• Attend, j'ai plus de serviette.
• Pourquoi faire mon cœur ? Lui répondit-elle le regard malicieux. Jean la fixa quelques secondes avant de comprendre, puis lui rendit son sourire tandis qu'elle s'allongea pour freiner la chute de la goutte traitresse. Dépêche-toi ça va tâcher mon haut.
Jean vint poser ses lèvres, aspirant au passage le goutte de sauce, puis remonta doucement, embrassant le cou de son amie qui posa ses mains sur ses épaules pour encourager sa progression. Elle savoura en riant les baisers si tendres sur son cou si sensible de son ami si doux. Lorsqu'il leva la tête, elle le regarda, ses yeux ne reflétant non uniquement le désir de ses caresses qui s'éveillait dans tout son corps mais bel et bien le bonheur fabuleux de l'avoir dans ses bras, son visage à quelques centimètres du sien, ses lèvres de plus en plus proches. Elle prit le visage de Jean dans ses mains et déposa sur ses lèvres un premier baiser, léger, tendre qu'elle interrompit. Elle resta ainsi, le visage à quelques millimètres du sien, caressant son ami, sentant le nez de Jean frotter contre le sien tandis qu'elle chercha à nouveau ses lèvres pour un baiser bref, presque furtif. Ils avaient tout leur temps et comptaient bien en profiter. Cette fois pas de jeu entre eux. Il la prit dans ses bras mais perdit l'équilibre et tomba, roulant de la rangée de dalle entourant la piscine jusque sur l'herbe fraîche. Sabrina eut envie de rire mais se contenta de rejoindre son ami, s'allongea près de lui et vint à nouveau l'embrasser. Ses lèvres dansèrent sur celles de son compagnon, qui la prit dans ses bras. Désormais à califourchon sur Jean, Sabrina sentait le désir de ce dernier s'appuyer contre son entrejambe. Elle sourit.
• Cette fois c'est moi qui vais prendre soin de toi mon chéri.
Elle se pencha et défit les boutons du pantalon de Jean dont elle saisit le membre durci, lui prodiguant une douce caresse. Elle promena sa main le long de son pénis, mesurant la pression de sa caresse, la faisant varier, se faisant parfois légère comme une plume, parfois d'une fermeté trahissant son impatience. Elle vint embrasser son amant avant que ses lèvres ne viennent remplacer l'action de sa main. Elle embrassait cet arbre de chair qui bientôt serait en elle. Cet arbre aimé dont la sève perlait même au travers du boxer de Jean. Elle libéra sa verge de son entrave et l'embrassa avec le même amour qu'elle embrassait habituellement ses lèvres, avant de saisir sa queue et de l'enfouir dans sa bouche, la suçant, la caressant de sa langue, ressentant ses frémissements lorsqu'elle enserrait son gland. Jean gémit sous le plaisir de ces caresses, saisissant la main de sa chère amante lorsqu'elle vint caresser son torse. Il la regardait, passait ses doigts dans sa chevelure qui reflétait les rayons que le soleil parvenait encore à leur envoyer avant de laisser place au crépuscule. Il la dévorait des yeux. Il éprouvait presque autant de plaisir à la regarder œuvrer qu'à ressentir ces si douces caresses qu'elle lui offrait. Ses caresses étaient magnifiées par les sentiments qu'il ressentait pour elle et par l'amour qui transpirait des baisers de sa belle. Il caressa son visage, relevant une mèche de ses cheveux, qui brilla d'un bref reflet roux que reflétèrent ses grands yeux clairs, enflammant son regard de braise. Sabrina comprit l'appel de son amant et vint se placer sur lui, écartant le bord de sa culotte blanche pour laisser libre l'accès à son intimité trempée de désir. Elle s'appuya doucement, sentant la douceur du membre de son ami entrer en elle. Ainsi empalée sur Jean, elle entama de long et profonds mouvement de son bassin, ondulant lascivement sur son partenaire, sentant son membre coulisser dans son vagin. Elle fit l'amour à son cher compagnon qui la prit par les hanches, caressant sa peau, remontant jusque sa poitrine. Il ne chercha pas à la dévêtir mais continuait de caresser le corps de sa compagne, laissant glisser ses mains le long de ses flancs, remontant jusqu'à se poser sur ses épaules, que son haut ample laissait partiellement dénudées. Il fit glisser ses mains le long de ses bras puis vint à la rencontre de ses mains. Ils s'étreignirent ainsi, lui planté en elle, elle s'ouvrant pour lui. Elle se coucha sur son compagnon, lui faisant l'amour avec une tendresse qui se muait petit à petit en passion. Sabrina gémit lorsque Jean embrassa son cou, le sentant accompagner ses mouvements de bassin de ses coups de reins. Elle le chevaucha de plus en plus fort, de plus en plus vite tandis que Jean s'accordait à son rythme. Sabrina lui fit l'amour ainsi, longuement, profitant de son homme qu'elle envoya vers le plaisir, l'y rejoignant dans le même coup dans un long soupir. Elle demeura quelques instants, sans bouger, gardant Jean en elle, la tête appuyée sur son épaule tandis qu'il lui déposa de tendres baisers sur le front. Enfin elle releva la tête.
• On ferait bien de se dépêcher ma chérie, si tu veux qu'on puisse aller danser.
• Pas la peine, je n'ai pas envie d'aller danser. Je veux profiter de toi ce soir, si tu veux bien. Tu ne veux pas qu'on reste là ?
• C'est comme tu veux ma puce mais, je ne veux pas te priver.
• Moi c'est de toi que je ne veux pas me priver. Si tu veux on peut regarder un film tous les deux. Tu m'as dit que tu en avais toute une collection.
• C'est vrai. On débarrasse et on va dans le salon ?
• C'est parti.
Ils se relevèrent, débarrassèrent les emballages de leurs repas et s'installèrent dans le large canapé d'angle du salon. Jean installa un film puis commença à rassembler quelques coussins de façon à pouvoir s'allonger tout en permettant à sa belle de venir contre lui. Après quelques instants, il eut la surprise de voir Sabrina revenir avec un gros pot de glace, une serviette et deux cuillères. Tous deux s'installèrent puis profitèrent du spectacle tout en se partageant le délice glacé. Jean se sentait véritablement heureux de cette douce complicité et s'émerveillait intérieurement de ce bonheur simple. Ces instants luis semblaient renforcer leur relation aussi surement que les instants où son sexe envahissait celui de Sabrina. Il goutait le plaisir de sentir la main de son amie étreindre la sienne lorsque les scènes la surprenaient ou l'effrayaient, de la voir parfois rediriger sa propre cuillère vers sa bouche, de sentir sa main caresser négligemment sa jambe. Il étouffa un léger rire.
• Comment tu arrives à rire en voyant un type se faire larguer ?
• Ce n'est pas le film. Je suis juste en train de réaliser combien je suis bien avec toi, et encore plus dans ces moments-là. Des moments qui n'appartiennent qu'à nous deux. Et …… c'est vrai que c'est unique. Sabrina lui sourit, déposant un baiser sur sa main. Par contre ça m'embête un peu que tu te sois privée d'aller danser. Ça me donne l'impression que tu t'es un peu sacrifiée.
• Ne sois pas bête. Si j'ai voulu rester c'est parce que comme ça on profite de chaque moment. Et puis si tu veux qu'on danse, dit-elle en se levant, tu n'as qu'à m'inviter tout de suite.
Jean la regarda un instant, sa jolie jupe noire asymétrique épousant ses formes au moindre de ses mouvements, son haut gris ample sous lequel il aimait à deviner ses courbes qu'il connaissait pourtant si bien. Son sourire, ses yeux pourtant foncés mais qui semblaient s'illuminer, mis en valeur par un maquillage discret mais parvenant tout de même à accen chacun des traits de son visage si harmonieux. Sa Sabrina, si belle, si tendre, si tout. Il se leva, lui prit la main, la fit tourner sur elle-même avant de l'enlacer. Ils dansèrent ensemble, blottis l'un contre l'autre, sans autre musique que les dialogues du film qu'il regardaient quelques instants auparavant. Tout à leur lancinante rotation, ils se regardaient, se souriaient, balayant parfois du regard le vaste salon, la table basse qui semblait taillée sur une souche de bois sur laquelle avait été apposée une paroi de verre sur laquelle reposait désormais un plateau qui soutenait le pot de glace à moitié vide et les deux cuillères du jeune couple, le large tapis duveteux qui caressait leurs pieds à chaque pas, les appliques qui diffusaient dans la pièce une lumière chaleureuse. Puis ils enfouirent chacun leur visage au creux de l'épaule de leur partenaire. Sabrina sentit monter en elle une telle bouffée de bonheur qu'une larme vint perler au coin de son œil. Elle tourna doucement la tête et vint déposer sur le cou de son compagnon de tendres baisers qui firent frissonner Jean. Elle sourit en sentant la chair de poule sur sa peau puis laissa glisser ses lèvres le long du cou de son amoureux qui pencha la tête pour lui faciliter l'accès. Elle appuya soudain son baiser en une forte aspiration, suçant la peau du cou de Jean qui la laissa faire. Lorsqu'elle s'interrompit et décolla ses lèvres, une petite marque rouge ornait désormais le coup de Jean qui ne s'était aperçu de rien.
• Oups, je crois que je me suis laissée emporter.
• Hein ? Comment ça ? Lui demanda Jean.
• J'ai un peu mon bisou, dit Sabrina en essayant de réprimer un fou-rire. J'ai laissé une marque.
• Une marque ? Quoi ? De rouge à lèvres ? C'est ça qui te fait rire, lui demanda-t-il en souriant devant Sabrina que l'incompréhension de Jean plongeait de plus en plus irrémédiablement dans un fou-rire.
• Non mon cœur. Je t'ai fait un suçon, dit-elle enfin avant d'éclater de rire.
• Tu déconnes ? Attends …. Ah la traitresse, dit Jean, simulant le mécontentement. Et elle est toute fière en plus !! Ajouta-t-il devant une Sabrina de plus en plus hilare. Toi si je t'att tu vas me le payer.
Sabrina se mit à courir, pieds nus dans le salon et ils entamèrent tous deux une course poursuite dans toute la maison, se cachant et tournant autour de l'îlot central de la cuisine, Sabrina parvint à prendre Jean de vitesse et se rua dans l'escalier, se cachant dans l'une des chambres qui devait être celle de leurs hôtes. Jean la suivit mais se trompa en entrant dans la leur. Sabrina profita de ce laps de temps pour redescendre en trombe et traverser le salon en courant tandis que Jean redescendait en courant mais se prit les pieds en sautant les dernières marches et s'étala de tout son long sur le carrelage noir. Il se releva mais une douleur aigue au genou le ralentit. Il décida néanmoins de ne pas s'en préoccuper pour le moment et vit Sabrina s'enfoncer dans le parc après avoir passé la baie vitrée et la piscine. Il la suivit mais la nuit désormais tombée ne lui permettait pas de repèrer sa belle. Il observa un instant le par cet choisit de ne pas allumer les spots extérieurs pour ne pas être ébloui par leur lumière et ainsi ne pas manquer Sabrina. Cette dernière se fit silencieuse, dissimulée derrière l'un des grands arbres à quelques dizaines de mètres de la piscine, là où ils s'étaient allongés au début de l'après-midi. Elle pouffait toujours et osa un regard vers l'entrée. Elle vit Jean contourner les arbres dans l'espoir de la repèrer et se faufila discrètement dans le sens opposé au sien pour entrer dans la maison afin de le prendre à revers. Jean la repéra facilement et elle se mit à courir tandis qu'il fit de même pour la rattr jusqu'à ce que son genou émette un curieux craquement au moment où Sabrina rentrait dans la maison. Jean gémit sous la douleur et s'étala cette fois sur les dalles entourant la piscine. Sabrina se retourna et vit son ami recroquevillé sur le sol, essayant avec difficulté de se relever. Elle revint vers lui tandis qu'il se dirigeait vers le transat en boitant.
• Jean !! Tu vas bien ? Qu'est ce qui t'es arrivé ? Tu as glissé ? Tu n'as rien ?
• Ça va mon cœur. C'est juste que mon genou a encore fait des siennes. Mais ce n'est pas grave, je ne me suis même pas écorché. Rassure-toi. Tu veux bien m'aider à me relever s'il te plait ? J'aimerais quand même me remettre dans le canapé.
• Oui, appuie-toi sur moi, lui dit-elle tandis qu'elle l'aidait à se mettre debout. Une fois qu'il fut redressé, elle lui prit la main mais sentit soudain les bras de Jean passer derrière ses genoux et son autre bras la retenir par les épaules.
• Et voilààà. Tu es à moi maintenant ma princesse.
• C'est pas du jeu. Tu as fait semblant, je me suis inquiété.
• Ah non, je n'ai pas fait semblant, J'ai vraiment mal. Mais c'est une petite revanche, lui dit-il en se dirigeant vers la piscine.
• Ah, non. Jean s'il te plait. Arrête. Nooon!!!
Tenant sa belle dans ses bras, il sauta dans la piscine. Elle le regarda faisant mine d'être mécontente alors qu'il la pressait toujours contre lui.
• Tu exagères.
• C'est vrai. Mais là au moins je peux te garder dans mes bras sans que ça me fasse trop mal.
• Alors ne me lâche surtout pas, lui répondit-elle en l'entourant de ses longues jambes.
Elle l'embrassa tendrement, se collant à lui, caressant sa nuque. Ce fut cette fois le tour de Jean de venir embrasser son cou, ce qui la fit frémir. Elle poussa un profond soupir de contentement en sentant les mains de son ami la débarrasser de ses vêtements. Elle lui offrit sa poitrine aux pointes déjà dardées par le désir, brûlante de l'envie de sentir sa langue sur ses seins, tremblante d'excitation à l'idée de sentir ses doigts qui déjà se faufilaient entre ses fesses, cherchant sa grotte intime comme un pirate venu chercher les délices qui lui étaient déjà acquis. Elle sentit le sexe de son Jean en train de durcir contre son bas-ventre qu'elle pressait contre le sien. Toujours accrochée aux hanches de son partenaire, elle lui ôta son tee-shirt et entreprit de le débarrasser de son pantalon trempé, tandis que Jean faisait de même avec le reste des vêtements de sa belle. Enfin nus tous les deux, elle s'accrocha à son cou, enroula à nouveau ses jambes contre lui et s'empala sur lui. Elle le laissa les diriger tous deux vers le bord de la piscine où elle s'accrocha tandis que Jean s'appuya contre le bord. Ayant pied, il saisit les fesses de son amie et accompagna ses ondulations de bassin. Il sentait Sabrina qui s'appliquait à avaler son membre à chacun de ses mouvements, son sexe frottant contre les parois de son vagin. La jeune femme gémissait sous les sensations de ce sexe qu'elle faisait entrer et sortir de son ventre. Elle faisait des mouvements si ample qu'elle sentait le gland parfois à la limite de ses lèvres intimes avant qu'il ne s'y engouffre à nouveau, lui arrachant des soupirs de bonheur. Jean s'appliquait à s'enfoncer de plus en plus profondément dans le sexe de sa belle, frottant son pubis contre celui de Sabrina, dont le clitoris, ainsi stimulé gonflait de plus en plus. La belle finit par s'enflammer littéralement et se mit à onduler avec fougue, courant après le plaisir d'avoir en elle la queue de son homme. Leur rythme devint frénétique et Sabrina et son amant jouirent ensemble à nouveau, la belle sentant Jean éjaculer au fond de son ventre, en s'y enfonçant profondément tandis qu'elle fut secouée de spasmes, poussant des gémissements de plaisir avant de retomber, le visage enfoui dans le cou de son ami, embrassant à nouveau la peau de son cou.
Après quelques minutes, Sabrina caressa à nouveau la nuque de son partenaire et l'embrassa tendrement.
• On ferait mieux de rentrer se sécher mon cœur. Ça ira pour ton genou ?
• Je crois que oui. Ne t'en fais pas. Comment on va faire pour nos vêtements au fait ?
• Ah, Môsieur se rappelle qu'il va falloir s'occuper de nos habits après avoir pris bien soin de les tremper. Ne t'inquiète pas pour ça, ajouta-t-elle en voyant Jean afficher un air coupable, Eve m'a montré la buanderie : il y a tout ce qu'il faut. Allez, viens, on rentre.
Ils rentrèrent en vitesse tous les deux, veillant à fermer la maison puis firent le nécessaire pour leurs vêtements, la douce chaleur de la nuit d'été les ayant rapidement séchés malgré leur nudité. Une fois ce détail réglé, Sabrina, voyant Jean continuer à boiter depuis sa chute, décida de prendre les devants.
• Tu devrais venir t'asseoir. Je vais regarder ton genou. Tu as l'air d'avoir toujours mal.
• Ne t'en fais pas. C'est loin d'être la première fois.
• Ne discute pas mon cœur. Tu fais ce que je te dis et je m'occupe de toi. Je m'habille et je reviens.
Quelques minutes plus tard, Sabrina fut de retour, vêtue d'un pyjama short rose et bleu outremer et tenant un pyjama composé d'un débardeur gris et d'un short assorti à son ami.
• J'ai un peu fouillé pour trouver ton pyjama mon chéri. Tu ne m'en veux pas ?
• Oh, que non.
• Allez mon cœur, laisse- moi voir ton genou, tu veux bien ?
• Comme tu veux mais il n'y a rien de grave. C'est juste rare qu'il me lâche quand je suis en train de courir mais sinon je n'ai même pas eu une égratignure. Tout va bien.
• Il est un peu enflé quand même. Tu devrais faire attention. Sinon je vais devoir t'attacher pour que tu restes raisonnable.
• C'est une menace ou une proposition ?
• T'es bête. Non sérieusement fais attention mon cœur. Je n'ai pas envie de devoir me priver de tes câlins.
• Oui, oui, c'est ce qu'on dit. Tu ne crois pas que j'en ai fini avec toi quand même ? On a toute la nuit devant nous.
Sur ces mots, il prit Sabrina dans ses bras et la couvrit de nouveau de baisers pour le plus grand plaisir de cette dernière, qui rit de se trouver ainsi prise de court par la fougue de son amant. Rapidement, ces baisers eurent l'effet escompté, Jean sentant sous ses doigts les pointes de ses seins durcir d'excitation. Il les prit dans ses mains, les caressa avant de les embrasser longuement au travers du tissu. Il descendit progressivement vers le ventre de sa belle, et embrassa langoureusement chaque centimètre carré de sa peau si douce. Sabrina sentit que son compagnon cherchait à lui butiner le sexe et chercha à lui en faciliter l'accès en ôtant son short mais Jean s'interposa et gouta son minou trempé en écartant simplement le tissu. Il se mit à lécher sa belle fente humide, la caressant et l'embrassant amoureusement, y faisait pénétrer sa langue, y insérant les doigts ce qui la fit gémir de plus belle.
• Oooh, Vas-y fais-moi du bien mon cœur. ……… tu es formidable. Je …. Je vais venir ….. Continue mon ange…….. Ça vient ….
Joignant l'orgasme à la parole, Sabrina poussa un long gémissement, son bassin venant à la rencontre des si délicieuses caresses de son amant qu'elle attira vers elle dans un long baiser où leurs langues se mélangèrent.
Elle sentit le sexe durci de son amant déposer ses gouttes d'excitation contre sa fente, humide, réclamant de nouvelle caresses, une nouvelle intrusion en elle. Sabrina prit le sexe de Jean dans sa main et le guida immédiatement en elle. Il lui fit l'amour à nouveau, lentement puis de plus en plus vite avant de ralentir à nouveau, désirant faire durer ce plaisir de la tenir dans ses bras, de lui donner tout l'amour dont il se sentait empli. Il l'embrassa de nouveau, s'appuyant sur elle, collant sa peau à la sienne. Sentir le contact si doux, si chaud du corps de Jean contre le sien fit jouir une nouvelle fois la belle blonde qui cette fois gémit, haletante sous la violence de son plaisir. Elle étreignit les cheveux de Jean afin qu'il mêle une nouvelle fois sa langue à la sienne dans un profond baiser. Sabrina sentait qu'il se retenait pour elle, qu'il voulait lui donner tout ce qu'il pourrait dans cette étreinte. Cette simple pensée la submergeait totalement, l'excitait infiniment. Elle voulait être à lui, qu'il sente qu'elle ne serait jamais qu'à lui. Elle voulait le voir lui aussi submergé par cette indescriptible sensation de bonheur, celui de savoir à quel point elle était heureuse près de lui. Elle se fit lascive, fougueuse, débordante de l'envie de sentir une nouvelle fois son compagnon se répandre dans son ventre.
Tout à son plaisir, elle le regarda, si doux, si tendre. Elle sentait ce désir de n'être qu'à elle. Sabrina étreignit son amant de toute ses forces, gémissant de plus belle. Il la serra contre lui tandis qu'elle haletait son plaisir entre ses bras, s'enivrant de son parfum, goutant la sueur sur sa peau. Il sentait la jouissance arriver. Il n'allait bientôt plus pouvoir tenir et la prévint.
• Je vais venir mon ange, souffla-t-il.
• Vas-y mon cœur. Viens. Remplis-moi encore. Je t'aime, répondit-elle, le souffle court.
Dans un nouvel effort, Jean éjacula en elle, s'enfonçant profondément dans son vagin, arrosant une nouvelle fois le sexe de sa joie blanche et liquide tandis que Sabrina gémit encore une fois, le corps animé de soubresauts de plaisir.
Leur orgasme passé, ils restèrent à nouveau soudés l'un à l'autre avant de se lever et de se diriger vers leur chambre.
Couchés l'un dans les bras de l'autre, ils se couvrirent de baisers à nouveau avant de faire l'amour une nouvelle fois, lentement, tendrement laissant le temps au plaisir de les emporter jusqu'à glisser ensuite tous deux dans le sommeil, repus de tendresse.

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