Un Dévouement Récompensé (2) Ou L'Arbre De L'Amour

Nous étions restés dans le précédent épisode sur la résignation de David à ne plus baiser Corinne, sa collègue plus âgée mais au physique toujours attrayant, qui l'avait fait fantasmer depuis des mois avant qu'il ne puisse enfin réaliser son rêve. Elle lui avait fait comprendre que les relations sexuelles au travail devaient connaitre un jour ou l'autre une fin. Elle le remerciait à sa manière de l'avoir aidée à nettoyer sa maison suite à l'inondation due à l'orage, mais son désir de ne pas compliquer sa vie l'avait incitée à rompre.
Il devait désormais se dévouer à son autre collègue Agnès, insatisfaite dans sa vie de couple. Après une expérience mutuelle très réussie, elle ne demandait qu'à poursuivre avec lui son rapport adultère. Frustré de sa grande blonde, David se recentrerait donc sur sa petite brune aux gros seins. Il y avait pire recentrage car celle-ci s'était révélée volcanique au lit après des mois, voire des années de disette sexuelle.

Mais quand on trompe son conjoint, il faut prendre des précautions, a fortiori s'il est jaloux. Après avoir espacé leurs rendez-vous, Agnès était revenue vers David, sous l'influence de Corinne, son amie, qui voulait à la fois son bonheur et celui de son bref amant. Mais au fil des jours, Agnès était devenue complètement accro à David. Ou plutôt à sa queue qui la rendait folle de bonheur féminin. Elle n'aurait jamais imaginé que cette colonne de chair rigide et brûlante pût lui procurer de telles extases dès lors qu'elle la fouillait dans ses profondeurs. Elle lui accordait tout : sa chatte, sa bouche et son anus. Plus il lui en donnait, plus elle en voulait. Au bureau, il la surprenait parfois en train de le regarder d'un oeil luisant. Elle le frôlait dans le couloir, laissant parfois trainer sa main sur sa braguette, d'un geste furtif. Lorsqu'elle partait aux archives, elle lui envoyait un SMS pour lui demander de la rejoindre. Dans ce local tranquille situé au sous-sol, il la prenait à la hussarde sur un coin de table, le nez dans ses gros nibards libérés et la baillonnant d'une main pour ses cris de plaisir.

Sa garde-robe s'était modifiée. Elle s'habillait court et échancré, dévoilant sans barguigner ses cuisses et ses seins autant que le permettait son cadre de travail. Elle devenait vraiment sexy et d'autres que David s'étaient mis sur les rangs pour essayer de la sauter. Mais c'était David qu'elle voulait. Elle en oubliait toute prudence, et un incident allait malheureusement mettre fin à cette relation torride.

Alerté par un comportement qu'il trouvait de plus en plus provocant, son mari avait commencé à l'espionner. Il ne pouvait guère intervenir sur son lieu de travail, mais un samedi, alors qu'Agnès avait excipé d'un rendez-vous chez le coiffeur, il la suivit à distance. Elle s'était bien fait faire un petit rafraichissement de coiffure, mais au lieu de rentrer, elle mit le cap sur un appartement où elle pénétra sans hésitation. Elle en sortit une bonne heure plus tard, accompagnée d'un jeune homme qui était David, pour aller boire un verre. Sur la terrasse, leur attitude commune ne laissait pas place au doute : ils étaient amants. Elle l'embrassa plusieurs fois sur la bouche et le mari surprit la main de David s'attarder sur la cuisse pulpeuse de son épouse. Edifié, il rentra chez lui, attendit Agnès, la piégea, la traqua, la menaça et devant l'évidence, elle craqua.

La suite fut assez sordide. Pour se venger, le mari dénonça la liaison adultère au chef de service, espérant ainsi faire sanctionner l'amant. Mais l'entreprise, vu la différence d'âge dans le couple illégitime, crut à un détournement de jeune majeur par une femme mûre et sanctionna Agnès en la mutant dans une filiale, un blâme en prime, peine dont fut aussi affublé David, lui aussi sur un siège éjectable mais en sursis.
C'est alors qu'intervint Corinne, leur collègue mutuelle. Elle se manifesta auprès du directeur adjoint pour lui demander de maintenir le jeune homme à son poste, arguant que deux expulsés sur trois menaçaient l'efficacité du service et qu'elle n'aurait pas le temps de former des successeurs en même temps que d'assurer sa tâche.
C'était à la fois vrai et faux, mais la conviction de Corinne l'emporta sur la volonté de sanctionner. Et David resta à son poste en sa compagnie. Il est vrai que la grande blonde n'était pas étrangère à l'union du couple adultérin et se sentait en quelque sorte, et si l'on peut dire, une obligation morale envers son jeune collègue. Elle agit de même avec le mari d'Agnès, qu'elle connaissait de longue date, afin de leur permettre de renouer un semblant de relation avec son épouse infidèle, mais c'est une autre histoire.

Cet épisode marqua pour David et Corinne une sorte de retour d'affection. Il lui était très reconnaissant de lui avoir évité l'exclusion et au fond d'elle-même, Corinne n'était pas mécontente de voir la fin d'une relation sexuelle entre son amie et son ancien amant. Ils recommencèrent à se fréquenter mais en tout bien tout honneur. Ils prirent l'habitude de partir ensemble en footing sur un parcours qu'elle suivait régulièrement. Ramenant ses cheveux en queue de cheval, moulant son corps parfait dans une tenue respirante, elle cavalait devant lui, ce qui lui permettait d'admirer encore et toujours ce cul qu'il n'avait pas eu le temps, hélas, d'honorer comme il l'aurait voulu. Son mari, ou plutôt son amant (car il était sûr désormais qu'elle en avait un) avaient bien de la chance d'en profiter, eux, de ce cul.

Un matin, il oublia de se lever pour le footing et s'excusa par téléphone auprès de Corinne. Celle-ci lui répondit que ce n'était pas grave, qu'elle irait courir seule et qu'elle était d'ailleurs déjà sur le départ. Néanmoins, David décida sans la prévenir d'aller la rejoindre sur leur parcours habituel, en prenant juste un raccourci. Il ne tarda pas à l'apercevoir, mais constata, à sa surprise, qu'elle n'était pas seule. Un homme grisonnant trottinait à côté d'elle. Intrigué, David ralentit sa foulée et les suivit à distance. Dans le bois qu'ils avaient l'habitude de traverser, Corinne et son compagnon prirent subitement une autre direction et s'enfoncèrent dans les taillis.
De plus en plus intrigué, David prit le même chemin, multipliant les précautions pour ne pas se faire repérer.

Ce qu'il découvrit ensuite le sidéra. Adossée à un arbre, Corinne embrassait goulûment l'homme grisonnant que David identifia assez vite comme le directeur adjoint de l'entreprise. Oui, celui-là même qui lui avait sauvé la mise. Tout s'expliquait. L'amant, c'était lui. Corinne avait eu sur lui un poids décisif sur son destin de futur viré. Soudain, il la vit se mettre accroupie, défaire le bermuda de l'homme et en sortir une queue rigide qu'elle emboucha illico. Elle lui taillait une pipe, à ce salaud ! Mais le pire pour David était encore à venir. Elle se releva, posa ses mains sur l'arbre et laissa l'homme la déculotter, dévoilant son fessier charnu. Après lui avoir relevé une jambe d'une main, il l'enfila recta par derrière, le bermuda aux chevilles. En appui, Corinne lui renvoyait la balle à grands coups de cul en se mordant lèvres. Le type prenait son temps, la soulevait de sa queue comme un levier tandis qu'elle étreignait l'arbre. Il l'entendit clairement jouir et l'homme gicla sur ses fesses. Ils se rajustèrent ensuite en s'embrassant et repartirent en petites foulées comme si de rien n'était. David eut juste le temps de s'aplatir dans les feuilles mortes avant de se déplacer en sens inverse de leur course, dépité par ce qu'il avait vu. Le directeur adjoint baisait Corinne ! Il n'avait pas fini de ressasser cette triste constatation pour lui.

Il la retrouva le lundi suivant au travail, comme si de rien n'était. Ah, la coquine, elle cachait bien son jeu ! Mais David décida d'entrer dans le sien. Il lui devait trop. Faute de pouvoir retrouver Agnès, désormais cloitrée pour sauver son ménage, il se résigna à la chasteté, attendant une bonne fortune aléatoire. Il se branlait de temps à autre en pensant à ses ex maitresses qui lui avaient donné tant de plaisir.
Mais le destin, une fois de plus, allait modifier le cours des événements.
Une crise sociale survint dans l'entreprise, soumise à une grève longue et douloureuse. Des mesures diverses furent prises et le patron désigna un bouc émissaire : son adjoint. Oui, l'amant de Corinne. Viré avec indemnités conséquentes, il dut quitter la ville, son emploi et sa maîtresse. Corinne accusa le coup et David était bien le seul à savoir pourquoi elle affichait cette mine défaite au travail. Elle perdait gros.

David s'ingénia alors à lui remonter le moral, sans dévoiler ce qu'il savait. Leurs déjeuners reprirent. Il courait régulièrement avec elle et passait dans le petit bois où il avait surpris les ébats de sa collègue avec son ex patron. Le temps passant, il eut un jour l'idée de l'entrainer vers le petit chemin où il avait surpris le couple :
- Mais où vas-tu ? Pourquoi tu ne vas pas tout droit ? lui dit-elle.
- Je connais une variante, suis-moi.
Arrivé devant le lieu du stupre, il s'arrêta comme pour souffler. Corinne était visiblement troublée. Il posa ses mains sur l'arbre comme pour s'étirer les mollets et... embrassa l'écorce.
- Il parait que les arbres apprécient les câlins, j'ai lu ça dans un livre, glissa-t-il, mutin.
Corinne le regarda d'un air pensif. Se doutait-il de quelque chose ? Mais elle était trop émue pour s'exprimer. Alors, David joua son va-tout :
- Corinne, j'ai très envie de toi. Je n'arrête pas de penser à toi. Je n'ai jamais oublié notre nuit chez moi. S'il te plait, laisse-toi faire. Ici.

Il s'avança vers elle, l'enlaça et l'embrassa. Elle frissonna. Elle sentait la sueur de la coureuse. En érection, il se colla à elle et lui mit les mains aux fesses. Le contact de la raideur de David eut sur Corinne un effet automatique. Elle pressa son bassin sur le sien et mima l'accouplement. Elle avait clairement envie de baiser, là où elle avait connu l'extase. Elle s'accroupit, libéra la tige et l'emboucha comme elle embouchait son amant en regardant vers le haut et le visage de David. Etait-ce lui qu'elle voyait ou son ancien amant ? Peu importe, le jeune homme était bien décidé à développer son avantage.

Il la poussa vers l'arbre et d'instinct, elle posa ses mains sur l'écorce en se laissant déculotter. Les deux globes charnus apparurent et à son tour, David s'accroupit pour leur rendre hommage de sa langue. Il s'attarda sur son anus et de la chair de poule apparut sur les deux hémisphères qu'il avait écartés. Il ne pouvait voir son visage mais il l'imaginait se mordre les lèvres comme avec le directeur adjoint. Puis il prit une initiative qu'il n'avait pas vue en voyeur. Assis par terre, en position inversée, il glissa son visage entre les cuisses de Corinne et colla ses lèvres à sa vulve dont l'humidité attestait de son désir. Il adhérait au sexe comme une ventouse qui aurait comporté à l'intérieur un élément mobile, en l'occurrence sa langue. Il l'entendit clairement gémir. Elle ondula sous sa bouche. Du jus intime dégoulina sur le visage de David. Il lui tenait fermement les hanches en la dégustant et il le sentit vibrer. Puis elle cria. Elle avait joui.

Il se releva et sans lui faire changer de position, la pénétra sans coup férir. Comme il l'avait vu, elle enlaça l'arbre et lui renvoya la balle avec ardeur. Il clapotait allègrement tandis qu'elle manifestait son contentement par des "ah", des "oh" et des "oui". A nouveau, il baisait Corinne mais baisait-elle vraiment avec lui, tournée vers l'arbre ?
Pris d'une inspiration, il se détacha d'elle, lui prit la main et l'attira vers lui tandis qu'il s'allongeait sur les feuilles mortes. Il voulait la voir vraiment, observer son visage. Elle fit mieux encore puisqu'en un tournemain, elle fit passer son top par-dessus sa tête, dégrafa son soutien-gorge de marcheuse et, plus surprenant, ôta chaussures et chaussettes :
- J'aime être complètement à poil quand je fais l'amour en pleine nature pour faire corps avec elle, expliqua-t-elle.

L'amant avait-il eu ce privilège ? Sans doute mais il n'allait pas le lui demander. Positionnée sur ses pieds, elle s'empala lentement en fixant son regard sur le sien et savoura sa longueur en faisant danser sa croupe. David passait de ses yeux émeraude à ses seins ronds et de ceux-ci à son ventre légèrement rebondi où son nombril suivait le mouvement des hanches. Puis elle bascula en arrière, genoux et mains au sol, yeux au ciel, cheveux dénoués, offrant à son vagin le rabotage de la bite qui déclencha dans sa bouche une nouvelle série de "oh", de "ah" et de "oui". C'est elle qui menait la danse, qui lui dictait son plaisir.

Il ressentit alors une furieuse envie de reprendre les choses en mains et de la défoncer. Mais il ne voulait pas infliger à son corps nu le contact désagréable des feuilles mortes et autres aspérités, faute de drap ou de couverture. Il attendit qu'elle eut fini de savourer sa position pour lui proposer de la prendre en levrette, ce qu'elle accepta sans barguigner, glissant juste ses vêtements sous ses genoux et ses mains. Il la pénétra avec vigueur, déclenchant de nouvelles exclamations car Corinne n'avait pas la baise discrète. Tout en la tenant par les hanches, il promenait alternativement son regard sur ses cheveux blonds balançant sur sa nuque, sur son dos, sur ses reins et bien sûr ses fesses sur lesquelles son propre bas-ventre claquait à chaque coup de bite. Elle trouva le moyen de glisser une main entre ses jambes pour atteindre ses couilles, comme s'il avait besoin de ça pour doper son énergie. Et pour bien signifier qu'elle attendait de lui de la virilité sans concession, elle tourna vers lui son visage autant que son cou le permettait dans cette position pour l'encourager :
- Vas-y, continue, t'arrête pas, j'aime ça, oh j'aime ça !

Devant ces bonnes dispositions, David eut l'intuition qu'il pouvait aller encore plus loin, faire ce qu'il n'avait pu réussir lors de leurs premiers ébats chez lui. Il se retira et oubliant les protestations de sa blonde partenaire, écarta ses fesses et lui mit la langue dans l'anus tout en lui frottant le clitoris histoire de maintenir son excitation. Puis il positionna son gland à l'entrée de l'orifice qui restait fermé. Devant son insistance, Corinne finit par murmurer, d'une voix à peine audible :
- Fais-le.
- Tu veux vraiment ?
- Fais-le je te dis.
Et comme par miracle, l'anus s'ouvrit et il la pénétra à petits coups avant de s'engager totalement. La croupe fut prise alors d'un ample mouvement si bien que les fesses ne tardèrent pas à cogner contre son pubis. Enfin, son désir se manifestait : il enculait Corinne ! L'avait-elle été ici par son amant ? En tout cas, là ou ailleurs, il avait dû la sodomiser car la pratique, à l'évidence, la ravissait. Elle monta d'un cran dans les décibels et David pria in petto pour que ses cris n'atteignent pas le sentier de randonnée. Positionné sur ses pieds qui, eux, étaient chaussés, il lui délivra une série de coups de queue qui firent vibrer son corps cambré et agiter ses seins. Les oiseaux devaient sacrément se rincer l'oeil. Ou se boucher les oreilles car Corinne ne s'appartenait plus :
- Oui, encore, c'est ça, tu le fais, tu le fais bien, allez, à fond, ne me ménage pas, tu es gros, tu me remplis, allez allez, oui, maintenant, gicle, gicle dans mon cul...
Et David gicla. Il bascula sur le dos dans les feuilles mortes, vidé au sens propre et figuré tandis que Corinne, toujours à quatre pattes, savourait encore son orgasme. Elle lui jeta un regard énamouré et souffla :
- Tu es vraiment un amant hors pair. Tu es vraiment fait pour l'amour. Merci, j'en avais vraiment besoin.
Puis elle se releva, se rhabilla, l'aida à se relever et lui dit :
- On va avoir du mal à courir maintenant. Allez, on va rentrer en marchant en prenant le chemin inverse. Tu m'as tuée.

*******
Sur le chemin du retour, ils se mirent à parler. Dégrisée, Corinne reprit le discours qu'elle avait déjà tenu à David. Sa différence d'âge avec lui, sa situation de femme mariée et son injonction envers lui à trouver "une fille de ton âge". David répliqua à nouveau qu'il préférait les femmes mûres et, malicieusement, que coucher avec un collègue de travail n'était pas vraiment un problème si on savait rester discret. A cette flèche du Parthe, Corinne ne dit mot. Prudemment, David préféra rester discret sur sa liaison passée. Mais il n'en pensait pas moins. Il était sûr qu'elle allait devenir accro à sa queue, elle aimait trop ça, elle avait un besoin physique d'un amant viril. Et il la rajeunissait. En se quittant, il lui lança :
- On se revoit bientôt pour courir ?
- Bien sûr, quand tu voudras.
Il savait déjà qu'arrivé en courant dans le petit bois, si le temps le permettait, il se dirigerait vers le taillis et l'entrainerait vers l'arbre de l'amour. Et qu'elle ne résisterait pas.

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