Voyage Train De Légende 2

Voyage train de Légende (2)

(Petit résumé du chapitre 1).

J'effectue un magnifique voyage dans un train de légende, mais suis obligé de partager mon luxueux compartiment.
Mon co-voyageur après avoir bien éjaculé, m'effectue une extraordinaire fellation qui me fait pousser un involontaire hurlement.
Le steward arrive immédiatement en ouvrant avec son passe croyant à un accident. Il est interloqué en me voyant allongé et mon co-voyageur George entièrement nu sa bouche au dessus de ma verge qui vient d'exploser
Je suis complètement tétanisé et cramoisi de honte. Le steward fait un demi pas pour entrer dans le compartiment et ferme la porte derrière lui.
Sans rien dire et ni demander il tend sa main pour atteindre la queue surdimensionnée de George. Il la secoue un peu et commence comme une masturbation. George se laisse faire.
George : Elle vous plaît
Le steward qui doit avoir une bonne vingtaine d'année, svelte, blond, strict dans un impeccable uniforme bleu nuit, lui sourit et fait signe de la tête que oui.
Steward : Je suis de faction, et vu le cri que beaucoup de voyageurs ont entendu, je me suis précipité. Maintenant, je vais dire qu'il y a un problème compartiment 4 à mon collègue de surveiller les deux wagons, et si vous le permettez j'aimerai bien revenir.
George se tourne vers moi pour savoir si je suis d'accord pour cette demande impromptue. Je lui fais signe que je veux bien
Steward : Je reviens dans un petit moment, le temps de prévenir et j'arrive. J'aurai une trousse à pharmacie pour que cela semble plus plausible. A tout à l'heure !
Puis il sort.
George : Ca ne vous fait vraiment rien
Moi : Oh non, il est beau et très sympathique. Si cela ne vous choque pas je serai probablement plus voyeur que participant.
George : Pas de souci, vous faites comme vous le sentez, je pense que nous passerons un bon moment.
Pendant que George faisait cette mini conversation, il m'avertit qu'il prenait le cabinet de toilette pour se nettoyer de tout à l'heure et se vêtir du peignoir blanc immaculé de la compagnie, chose que je ferai à sa suite en attendant notre jeune et sculptural steward.

Pendant que George est dans la mini salle-de-bains en moi-même je me dis qu'après avoir tant attendu ce magnifique rêve de voyage en train de légende, je suis heureux et comblé et je ne pouvais pas imaginer qu'en plus il y aurait du plaisir. En rêvant et en réfléchissant à cette situation nous échangions avec George en lui confiant le plaisir que j'ai eu de l'avoir comme co-voyageur avec tout ce qu'il m'avait procuré
George : pour moi c'est pareil, et dès que je suis arrivé dans le compartiment, je me suis senti en confiance avec Vous et c'est pour cela que je vous ai un peu provoqué et je suis heureux que tout cela se soit bien passé et vous a plu. Je suis veuf depuis dix ans
j'avais quarante deux ans et à ce moment là, je suis devenu moi-même. Marié-bi c'est compliqué à vivre et maintenant je vis pleinement mes envies et fantasmes d'homo Dans l'année, je suis assez sage, mais en vacances, je me fais plaisir.
Je lui confie que c'est rare que je fasse des rencontres, bien que soit célibataire et attiré par la gente masculine de son style et de son âge, mais activités professionnelles me laissent peu de temps et je ne suis pas du genre dragueur ou sauna ou lieux de rencontre et que suis aussi plutôt voyeur.
George : C'est bien ce que je pensais, car lorsque je me suis mis à me toucher, j'avais observé votre regard en coin.

Nous étions assis face à face en peignoir sur nos banquettes respectives en bavardant pour attendre la venue du beau steward, sur un fond musical classique que George avait branché. Une bonne demi-heure plus tard, quelqu'un frappe à la porte de notre compartiment. A cette heure très avancée, il est presque une heure, ce ne peut-être que otre stewardJe me lève pour ouvrir. Avec sa belle prestance impeccable il est droit dans l'embrasure de la porte. Je le fais entrer, comme il nous en avait informé il a sa trousse de secours mais aussi un sceau à champagne avec la bouteille à l'intérieur. Il dépose ces deux objets sur la petite crédence en acajou.
D'un geste précis et habile débouche la bouteille de Veuve Clicquot et d'un mouvement professionnel sort trois coupes cachées dans l'encoignure à côté de la fenêtre et sert ce bon breuvage en nous les présentant. Son prénom est Edouard. Il vient s'asseoir à côté de moi. Ensuite nous trinquons. En buvant quelques gorgées, Edouard, regarde George qui lui fait face. George pendant cette discussion a légèrement écarté ses jambes, ce qui a fait entrouvrir le peignoir qui cachait son beau membre sexuel. J'observe Edouard qui entre deux gorgées fixe l'entre-jambe de mon co-voyageur. George me regarde les yeux pleins de malice et me fait un petit sourire. Ce petit cinéma m'amuse et m'excite, car George sans l'air de rien émoustille et chauffe Edouard par ses positions Oui, il écarte très lentement ses jambes, le peignoir maintenant s'est dénoué et on peut entrevoir et voir une queue en position demi-molle qui bouge par des contractions volontaires de George
Là, le steward reste très digne et professionnel, mais ses joues rougissent de plus en plus. Malgré son culot avec sa demande de revenir, maintenant ce jeune semble mal à l'aise. Je souris à George et je me lance en m'adressant à Edouard.
Moi : C'est la verge de George que tu regardes ? Tu la trouves belle et impressionnante par ses dimensions
.

A mes paroles Edouard est assez déstabilisé. Il hésite avant de prendre la parole pour répondre complètement cramoisi et ses mains se manipulent l'une dans l'autre. Puis en balbutiant
Edouard : Oui je suis fasciné en la regardant. Elle est énorme, j'en ai rarement touchée d'aussi importante; c'est pour cela que je revenu vous voir. Monsieur, Je peux m'avancer pour vous la toucher ?
Tout cela commence sérieusement à m'exciter et mon sexe commence à bouger et changer de volume sous mon peignoir.
George : Pas de problème ; tu peux la prendre en main et lui faire plaisir
Comme tu veux, mais avant je souhaiterai et je suis sûr que monsieur Eudes également, voir ton corps de si joli jeune homme sculptural de steward au service de la clientèle Enlève ton bell uniforme que l'on puisse t'admirer.

Il semblerait qu'il voulait seulement admirer, eet surtout toucher et palper ce sexe digne des grands films pornographiques par ses mensurations absolument peu communes. Mais s'il aime admirer et toucher les queues, il doit bien aimer d'autres phases des relations masculines.
Edouard, commence timidement à enlever la veste de son uniforme et la pose méticuleusement aux pieds du lit, puis dénoue sa crarate et ouvrir les boutons de sa chemise ce qui dévoile son torse très légèrement hâlé George le dévore de ses yeux pétillants Edouard s'assoit sur le lit pour ôter ses souliers et ses chaussettes. Il se relève pour manipuler la boucle de sa ceinture et ouvre avec une certaine hésitation les deux boutons de son pantalon avant de faire descendre la fermeture éclair de sa braguette. Il baisse et fait glisser son pantalon qu'il enlève et qu'il met sur les plis et le pose sur la veste. Il se cambre involontairement ce qui met en valeur son fessier bien moulé par son slip blanc très près du corps. Il n'a aucun poil sur le torse, les aisselles de ses dessous de bras sont entièrement glabres. Il a l'air de prendre très soin de lui en se rasant certaines parties de son corps. Le devant de son slip est bien gonflé, c'est probablement par l'ambiance excitante, il doit commencer à bander.

George : Vous avez un très beau corps Edouard. Légèrement musclé et de ce fait tout est bien dessiné. Mais il va falloir nous dévoiler le reste de votre anatomie et splendide corps.
Edouard : je n'ose pas. je voulais simplement revoir le sexe de Monsieur, et le toucher tellement il est impressionnant
Moi : Mais cela se mérite, tu sais. Fais-nous voir;
Très hésitant et presque honteux il prend la ceinture de son slip et le fait descendre. Edouard nous dévoile son intimité. Il est entièrement glabre
Moi : C'est bien, tu es rasé de très prêt.
Edouard : Cette partie je me la fait à la cire chaude, c'est plus net et cet aspect dure plus longtemps.

Je lui passe la main sur son pubis pour constater la douceur de cette zone. Effectivement nous ne sentons rien. Il est tout penaud et un peu hébété, mais son sexe change de forme. Il a des proportions du normal avec des testicules bien haut et serrés.
George toujours autant encourageant
George : Edouard, tu es magnifique. Tout est bien proportionné. Tout est parfait Souris, détends-toi Tu devrais être fier de toi. Tu dois avoir beaucoup de succès avec les garçons et même avec les hommes de notre âge tellement tu est parfait avec ce corps si lisse et doux.
Edouard : Je plais aussi aux filles, et j'ai une copine qui travaille sur ce convoi.
Moi : Mais, alors pourquoi as-tu voulu revenir après ton étonnement sur le bruit ?
Edouard : Au club de tennis, je n'avais vu un copain ou un homme avec un sexe aussi long, important et gros. Je voulais seulement le revoir et le toucher tellement monsieur m'a impressionné.
George :Je voudrais bien te croire, mais tout de m^me oser demander de toucher le sexe d'un client est tout de même du à des pulsions gay
Edouard : Non, je vous assure, je ne pensais pas à plus
George : Au point où nous en sommes, ressers-nous une coupe, cela te fera du bien. C'est pour les filles que tu te rases tout, non t'épiles à la cire ? Tu vas tout nous montrer. Mets tes mains sur la couchette et penche toi.
Notre jeune steward, obéit et se penche. George passe derrière lui et lui fait écarter les jambes. George écarte les deux fesses et regarde sa petite rondelle rose et bien fermée
Edouard : Mais que me faites-vous monsieur George ?
George : Ne t'inquiète pas j'admire ce beau travail d'épilation.
Edouard : Je vais dans un institut toujours le même en Grande-Bretagne, c'est moins cher qu'en Ecosse
George : Et c'est un esthéticien qui te rend aussi désirable?
Edouard : (en bredouillant, d'une voix étouffée) non, c'est Jeanne une esthéticienne qui s'occupe de mes soins.
En écoutant cela et constatant toute la gêne du jeune homme, George continue son inspection méticuleuse et avance doucement sa tête entre les fesses du steward, puis tend sa langue pour lécher le petit trou d'Edouard.
Edouard : Non, non, monsieur mais que faites vous, pas ça.
Je suis aux anges en voyant cette scène. Je suis assis sur ma couchette et observe le comportement de chacun. Je recroise mon peignoir car ma verge commence à s'agiter et grossir. Je ne veux pas me toucher tout de suite, je risquerai de me soulager de ma semence. George pendant ce temps continue de lécher le petit cul de notre steward. Ce dernier émet encore quelques mini-phrases de protestation. George maintient un peu fermement les jambes du jeune pour continuer de le lécher afin de lui donner du plaisir.
Moi : Mais laisse-toi faire. Ta copine et les autres filles ne t'ont jamais léché ta petite rosette. Attend un peu, tu vas découvrir un plaisir qu'elles ne t'ont pas encore procuré.
Je n'avais pas terminé ma phrase qu'un petit gémissement se fait entendre.. Il me semble que George accélère ses mouvement de langue et de de sa tête dans les fesses d'Edouard.. Cela me donne une idée. Je change de banquette, pour venir m'assoir juste à côté d'une main appuyée sur le couchage. J'observe l'érection complète de la teub du steward et il bande bien dure. Le gland dépasse du on prépuce d'où une goutte de liquide pré séminal perle. Je me mets à genoux entre ses jambes et prend son sexe dur en bouche remplie de salive, et fais glisser mes lèvres
George : Ah, c'est bien Eudes, cela va le détendre davantage.
Pendant ma lente fellation avec mes lèvres qui serrent et desserrent son membre afin de bien le faire coulisser, Edouard lance des OH ! OH, Humm
Humm. D'une main doucement je lui malaxe ses couilles lisses comme un œuf, mon regard se dirige vers celui de Georges qui me fait un clin d'œil et un oui de la tête et me fait signe avec celle- ci en direction de l'oreiller qui est posé sur la couchette. Il réitère ce mouvement et je passe ma main sous l'oreiller et découvre deux petits sachets que je tend à George. Avec ses dents il déchire l'emballage et appuie ; de ce qui sort il en enduit sa lance rigide et avec ce qui lui reste sur les doigts caresse le petit trou. George me fait un sourire, saisit sa queue pour la diriger vers la rosette fermée d'Edouard. Je continue contentieusement ma fellation en faisant buter son gland contre le fond de ma gorge en serrant mes lèvres. Edouard gémit et lâche à un moment : C'est bon, oui ! oui ! Et pendant une de ses onomatopées George force l'entrée du trou vierge.
George : Tu vois Edouard, tu voulais voir ma queue surdimensionnée, tout à l'heure tu l'as touchée, tu l'as palpée, tu l'as fait grossir entre tes doigts et tu l'as regardée avec une grande envie, maintenant tu vas la sentir en toi. Respire tranquillement et laisse-toi faire.
Cette phrase terminée, George essaie de pousser son sexe de vingt trois centimètres et de plus de six de diamètre. Edouard fait des grimaces et n'ose rien dire. Il pousse quelques
Edouard :Aïe, aîe, non, non elle ne pourra pas entrer.
George sort les quelques centimètres introduits et masse le trou avec ses deux doigts pour l'assouplir et l'élargir. Je continue ma fellation pour qu'il se concentre sur ce plaisir pendant que George va en profiter pour lui introduire complètement. George repositionne son gourdin et pousse régulièrement et lentement malgré les plaintes de souffrance qui deviendront plaisir dans un petit moment. Vu la longueur de ce manche, il va tout de suite toucher la prostate du steward qui va sûrement décoller par ce plaisir inconnu. Je suis content de voir cette belle scène d'initiation. George donne un dernier coup de reins pour bien lui enfoncer et commence des va et vient sur toute la longeur ce aui fait monter enfon le plaisir..La flûte d'Edouard se raidit encore et devient du béton. Avec le lent pilonnage la prostate doit être maintenant massée et excitée car maintenant se sont des Oui, oui oui continue continue c'est bonnnnn. George tient les hanche du jeune pour légèrement accélérer le bourrage j'en profite également pour accélérer mes mouvements de fellation avec de fortes aspirations et en malaxant et pressant ses couilles qui sont devenues plus volumineuses. Sa respiration s'accélère. Son front luit un petit peu avec la sueur qui vient d'apparaître. Son joli minois se redresse d'un coup et s'ouvre pour lâcher violemment je jouis, je jouiiiiis. Tout son corps se raidit au moment où il me crache deux énormes jets de son sperme chaud dans la bouche que je retire de son membre qui continue à lancer encore trois énormes giclées de cette substance épaisse, et lors de la dernière vague de sa jute, tout son corps se met trembler de violente convulsions avec encore quelque Ah ! Ah ! pour s'affaler sur la couchette complètement épuisé. Pendant ce profond orgasme, sans me toucher, j'ai éjaculé dan mon peignoir et je sens mon sperme couler le long de ma cuisse. George est encore assez raide avec un épais filet de sa jouissance. qui pend de son méat.
Il s'assoit sur la m^me couchette. Edouard est entre nous deux. Je lui caresse tendrement la tête et George lui caresse doucement la poitrine. Edouard a les yeux clos. Il est complètement , vidé et épuisé. Il reviendra à lui une demi-heure après.
Edouard : Vous m'avez eu, vous m'avez violé.
Moi : pas tout à fait. Tu l'as un peu voulu.
George : Lorsque tu as pénétré dans notre compartiment quand tu as vu notre tenue et nos positions tu savais bien ce que nous avions fait monsieur Eudes et moi-même. Non seulement tu as regard persant sur mon sexe, tu le prends en main et tu demandes à revenir. Que croyais-tu que nous allions faire ?
Edouard : J'étais métamorphosé par votre sexe monsieur George.
Moi : Je crois tout de m^me que tu as bien pris et que tu n'avais Jamais connu d'aussi intense avec ta copine
Edouard : Vous avez raison
Edouard s'est a remis son uniforme pour être un impeccable steward et Sort en nous souhaitant bonne nuit.
C'est seulement dans la matinée que nous l'avons croisé dans un couloir d'un wagon, et là il nous a chaleureusement salués et sur notre plateau apéritif du midi, un petit mot avec encore quelques mots de remerciements en demandant s'il pouvait revenir pour profiter d'un orgasme complet. Nous l'avons revu deux fois dans notre compartiment et nous l'avons fait encore jouir abondamment avec de grands moments d'extase. Dommage il ne fut notre steward que deux jours.


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