Voyage Train De Légende

Voyage train de légende (1)

Cette histoire remonte déjà il y a quelques années. Pour mon quarantième anniversaire j'organise une petite fête réunissant famille, amis et quelques collègues de travail. Comme cadeau je reçois une belle enveloppe.
Avec cette somme je me suis payé un voyage un peu original. J'ai toujours rêvé de faire un voyage en train de légende (et de luxe). Je m'étais deux ans au paravent renseigné mais je ne m'attendais pas à un tel tarif pour seulement quatre jours. Donc avec cette enveloppe je peux me payer ce voyage de légende. Celui-ci était le moins cher mais quand même dépasse les cinq mille euros. C'est le Belmont Royal Scotsman qui circule quatre jours dans la belle campagne écossaise.
Au moment de la réservation, l'agent de la compagnie m'annonce qu'à ce prix c'est un compartiment double, j'hésite un peu car je ne peux vraiment pas m'offrir un compartiment single. J'ai donc accepté..
Le grand jour arrive après un vol Paris–Edimbourg, où je suis attendu à l'aéroport par un personnel de l'agence qui me véhicule jusqu'à la gare d'Edimbourg-Waverley. Dès que nous arrivons un steward me prend en charge pour me mener jusqu'à ce train, monte mes bagages et m'indique le compartiment. Celui--ci est très vaste luxueusement agencé avec deux lits-couchettes et toutes les commodités (mini salle de bains avec douche et toilettes privées. La décoration somptueuse de style Victorien avec marqueterie de ois précieux, cristaux Daum et Baccarat et splendides étoffes Nobilis des double-rideaux et coussins moelleux. J'observe les couchages qui ne sont pas numérotés. Je suis assez surpris de cela. Je vois un des grooms passer dans le couloir et l'interroge sur ce détail. Il m'explique que je dois m'arranger à mon co-voyageur de cabine. Je vais donc l'attendre, il reste encore une heure avant le départ qui est prévu à vingt-deux heures.
Un petit moment après, on frappe à la porte vitrée dépolie du compartiment c'est un autre groom qui est suivi d'un monsieur très distingué d'une cinquantaine d'année.

Ce dernier me salue très courtoisement dans la langue de Shakespeare. Instinctivement je lui rends la politesse en français. Et avec son très fort accent me rétorque "je parle moi aussi la langue de Molière".
Ce monsieur est très beau pour son âge, très gentleman d'à peu près un mètre quatre-vingt-dix assez svelte, les cheveux à peine courts légèrement ondulés et d'un poivre et sel gravure de modr. Des mains qui ont dû passer chez la manucure.
Lui : Je me nomme George,
Moi : Eudes,
Lui : Enchanté, nous allons donc faire voyage ensemble jusqu'à Lochalsh
Moi : Oui l'agence m'a informé de votre contretemps. Mais quel lit voulez
vous occuper ?
Lui : Peu importe celui-ci (à droite)
Moi : D'accord
J'ouvre ma valise et range quelques affaires puis je sors dans le couloir pour lui permettre de faire de même.
Le train s'ébranle pour ce voyage tant attendu. Une demi-heure après le personnel de la compagnie passe pour prépare notre couchage et nous souhaiter bonne nuit. Nous regardons par la fenêtre du couloir les lumières s'estomper. Je rentre le premier dans le compartiment et passe dans la mini salle de bain pour me mettre en tenue pour la nuit. Un ensemble en coton : large shorty et longue chemisette. Je me glisse sous la couette assez légère. Lui, s'éclipse dans ce coin toilette en marbre et en sort avec seulement un slip assez moulant mettant très en valeur tout son appareil génital avec une importe protubérance. Nous échangeons quelques mots d'une conversation banale et nous souhaitons réciproquement une agréable nuit..
Nous n'entendons plus aucun bruit hormis le cadencement des roues du train sur les rails, ce qui peut éventuellement ressembler à une berceuse.
J'essaie de dormir en m'assoupissant par moments, mais suis tout de même obligé de me retourner à plusieurs reprises pour éventuellement essayer de m'endormir.
Un bon moment plus tard, George se lève pour aller probablement aux toilettes, c'est sûrement normal à son âge.
Il revient et se (re)couche en se mettant cette fois-ci sur sa couette. Là il est bien allongé. Une petite lueur inonde l'intérieur de notre compartiment. Moi, je suis couché sur le côté, mon regard faisant face à la couchette de George. Après quelques minutes il dépose sa main droite sur son slip. J'ai l'impression que son déjà gros paquet se déforme encore plus. Avec la main opposée (gauche) il soulève la ceinture élastiquée de son slip et saisit de la main droite son sexe. Il est tout raide. Puis il passe la ceinture de son slip sous ses bourses, ce qui met en valeur son imposant membre que je peux évaluer à au moins vingt-trois centimètre et d'une belle épaisseur de pas moins six centimètres. C'est très impressionnant. Et voilà qu'il empoigne son chibre de sa main droite pour commencer une masturbation assez lente au début. Progressivement il accélère ce geste tout comme sa respiration, et inconsciemment il pousse un gémissement. Je le sens vibrer et son bassin vient de se soulever en poussant un Ah ! !
Non, il n'a pas joui mais sûrement un moment de grand plaisir. Involontairement, je suis obligé de me racler la gorge. Ce qui fait du bruit et il tourne sa tête vers moi et s'aperçoit que j'ai les yeux ouverts admirant cette situation et il me lance
George : "Excuse me, excuse me, i thought you were speeping," (excusez moi, excusez moi, je croyais que vous dormiez) puis il continue en français,
George : "elle est belle ?"
Je n'ose pas répondre, tellement je suis sidéré et aussi honteux. Mais depuis que je l'ai vu se donner du plaisir, ma verge a énormément grossie. J'ai mis ma main sous la couette pour me caresser.
George : Tu n'as jamais fait cela certains jours? C'est bon tu sais.
Je suis très gêné et si je ne lui réponds pas cela semblerait hypocrite
Moi : Oui, je le fais de temps en temps. Là je suis impressionné par votre appareil génital.
George : Beaucoup de femmes me l'ont déjà dit, je suis veuf et j'ai de très grosses quantités à évacuer chaque jour.
Avant je faisais tous les jours l'amour à ma femme et elle en recevait tant à l'intérieur que sur son corps, mais depuis il faut que j'évacue pour être paisible Alors ne vous privez pas pour moi, vous pouvez vous masturber et éjaculer sans vous cacher, cela ne me gène pas.
Je suis littéralement interloqué et sans mots avec une telle réplique. Ne voulant pas jouer les bêcheurs. Sous ma couette je fais descendre le pantalon de mon ensemble de nuit et repousse ma couette. Ma verge est nettement moins provocatrice que la sienne malgré mon importante érection de cheval. Avec l'excitation qu'il m'avait donnée, je commence des mouvements de va et vient tout au long de mon membre.
Je repositionne ma tête légèrement sur le côté me sentant enveloppé par le plaisir. Georges a repris sa masturbation et au moment d'un cri d'extase un jet de sperme épais s'échappe de son braquemard, puis un second un troisième et enfin un quatrième accompagné d'un râle profond. Il en a de partout vu la quantité éjaculée. Je continue ma branlette. Après ce bel orgasme, il a vite récupéré et se lève de sa couchette et s'approche de la mienne et en une fraction de seconde engloutit ma colonne de chair dans sa bouche. Et là commence une fellation. D'être sucé de la sorte ne m'était jamais arrivé. Il savait y faire. A l'intérieur de sa bouche, sa langue tournait autour de ma couronne et de mon frein. Parfois il aspire si fort, que ma queue va taper contre son aluette. Je fermais les yeux, je me laissais réellement aller. Quand j'ouvrais les yeux, j'avais sa verge près de mes yeux d'où coulait un très fin filet de sperme visceux. En même temps que sa merveilleuse pipe, il me malaxait les bourses qui me fait bander à l'extrême. A un moment j'ai n'ai pas pu me retenir de pousser un petit gémissement de plaisir. Quelques minutes après il prend sa respiration et sortant ma bite de sa bouche. Cela faisait tout drôle après cette manière d'être pompé. Je lui souris en le félicitant sur sa technique.

George : C'est ce que l'on me dit à chaque fois que je suce.
Puis il me caresse le visage et me pose un léger baiser sur mes lèvres et vient reprendre ma queue en bouche. Avec beaucoup de salive il descend très très doucement tout le long de mon chibre jusqu'à sa racine. Instinctivement ma main prend sa queue pendante avec le gland mouillé de sa jute. J'ouvre et ferme ma main autour de sa belle verge qui se met à se redresser. Il continue sa savante fellation qui me met dans tous mes états. J'ondule un peu sur le matelas de ma couchette-lit. Bien évidemment il s'en aperçoit et redouble de technique savante avec sa longue langue et forte aspiration. C'est terrible, j'ai des frissons partout. Il met sa main sur mes couilles. Mes reins de nouveau se soulèvent pour retomber d'un coup tellement ce plaisir est intense Je sens la semence monter. Il a dû s'en rendre compte, car il sert de façon différente ses lèvres autour de ma verge qui semble éclater tellement elle a grossi et durci. Je ne me suis jamais senti aussi emporté lors d'une fellation.je suis complètement envahi d'un plaisir presque irréel. Je lâche sa verge qui s'est bien développée pour agripper le matelas de mes mains. Je n'en peux plus. Cà monte, çà monte, tout mon corps se raidit en se cambrant et au moment où ma semence sort de mon méat je pousse un grand cri, suivi involontairement d'un hurlement de plaisir. George n'a pas eu le temps de mettre sa main devant ma bouche pour éviter cette expression vocale. Il me vide complètement en continuant d'aspirer ma verge en tirant doucement avec lèvres, pour tout extraire de ce qui est encore dans la tuyauterie.
Il a tout dans sa bouche et déglutit pour avaler mon jus personnel.Avec le son que j'ai émis, la porte du compartiment s'ouvre d'un coup sec. C'est le steward avec son passe. Il a comme un mouvement de recul, en nous voyant. Moi allongé sur le lit le pyjama baissé aux pieds et Georges complètement nu, sa bouche au-dessus de ma queue, lui sa verge aux trois-quarts bandée et le filet de sperme au bout de son méat.
Steward : Que se passe-t-il ? Rien de grave ?
George : (dans sa langue) Non - Tout va bien. Nous chahutions un peu
et monsieur n'a pas su se retenir – Excusez-le
Steward : Je vois plutôt que vous vous amusez bien.
George : Oui, et en plus c'est bon!
Je suis complètement vidé de ma semence, et mon corps est exténué.
Ce voyage exceptionnel tant attendu semble bien commencer, tant sur le plan luxe et confort mais aussi avec de grands moments de plaisir.
Comment allait réagir ce steward, vu l'éclat de ses yeux ?
Je vous le dirai tout prochainement

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