Train De Nuit (2)

Je sentais ce pied qui remontait et jouait le jeu de celui qui ne sent rien. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres et elle me fixa droit dans les yeux. Je sentais mon sexe gonfler quand elle approcha de mon entrejambe qui était en ébullition. Ce petit jeu dura jusqu’à la fin du repas sans qu’elle fit une quelconque allusion. Elle semblait se délecter de la situation et toujours ce maudit sourire …
Elle quitta la table pour se rendre aux toilettes. A son retour, je vis que le soutien-gorge s’était envolé et qu’un bouton supplémentaire de son fin chemisier était défait. On voyait des boutons pointer sous le tissu, donc la belle devait commencer à être excitée.
Apres le café, chacun regagne sa cabine de wagon lit. Je me déshabille comme tous les soirs et m’étend nu sur le lit ! J’entends du bruit dans le couloir de la voiture : A cette heure les gens pourraient être discrets.
10 minutes plus tard, on frappe à ma porte. Caroline, debout devant mon compartiment, dans un déshabillé qui en montrait plus qu’il n’en cachait et dans les mains une bouteille de champagne !
Bien entendu, j’avais pris soin d’enfiler une robe de chambre avant d’ouvrir.
- Peut-être ne vous laisserez vous pas dans le couloir : Puis je entrer ?
- Mais bien sur Caroline ! Quelle idée d’avoir pensé au champagne.
Très sexy dans sa tenue ultra vaporeuse, je lui offris de s’installer dans le fauteuil dans le coin du compartiment et je m’assis sur le lit face à elle.
- De quoi diable une belle jeune femme comme vous veut elle parler à son patron à cette heure-ci ?
- Eh bien voyez-vous Didier, je peux vous appeler Didier n’est-ce pas, j’aimerais dans un premier temps boire une coupe de champagne en votre compagnie et ensuite, nous pourrions reprendre nos investigations du wagon restaurant.
- Eh bien dites-moi Caroline, vous êtes toujours aussi directe ?
- Pourquoi être hypocrite dans la vie ? Nous savons tous les deux que nous sommes tous les deux libres de toute attache et majeur et vacciné !
- Bien, je vous propose pour l’instant de trinquer à ce moment et je vais donc ouvrir ce nectar.


Ma phrase me permit au moins de retrouver une contenance et pendant que je nous servais à chacun une coupe, je vis bien son sourire équivoque.
Nous avons trinqué (je ne savais pas à quoi) et un silence s’installa … C’est encore elle qui rompit rapidement la glace :
- Vous avez une fort jolie robe de chambre et il serait dommage de la gâcher avec l’érection que l’on devine en dessous. Je vais d’ailleurs m’empresser de vérifier cela !
Et de la pointe du pied gainé de blanc, elle écarta délicatement les pans de la pièce de tissu. Ce qui devait arriva et son pied se trouva en contact direct avec mon membre qui ne savait plus où se mettre. De la plante de son pied elle massa très délicatement la hampe pendant quelques minutes où je crus bien que j’allais exploser tant la caresse était sensuelle et ensuite elle entreprit alors avec le dessus du pied de venir caresser en douceur mes boules qui gonflaient à vue d’œil.
Pendant tout le temps de ces caresses, elle me fixait et je ne me dérobais pas à son regard.
- A propos, bel étalon, mes seins sont-ils à votre gout ?
- Que voulez-vous dire par là ?
- Je veux dire que vous avez eu le temps de les étudier durant le repas, surtout après que je sois allé aux toilettes retirer mon soutien-gorge !
- Pour être complètement honnête avec vous, Caroline, oui et ils sont fort beaux mais je me voyais mal vous le dire la bas !
- Alors, je pense que je ne vais pas avoir besoin de vous fournir le mode d’emploi. Soyez mignon et venez-vous mettre debout devant moi.
Je m’exécute donc et avec toujours ce même sourire diabolique, elle écarte les pans de son déshabillé et l’enlève. Heureusement les wagons-lits sont bien chauffés car à part ses bas elle est nue et la merveilleuse vision que j’ai à cet instant devant moi ne fait rien pour calmer ce qui me fait homme.
Mais la coquine pendant ce temps s’est emparée de la ceinture de ma robe de chambre pour l’ouvrir entièrement et me l’enlever.

- Ne sommes-nous pas plus à l’aise comme ça ? Mais je crois que …
Elle ne termina pas sa phrase et se saisit de mon engin d’une main et de mes couilles de l’autre. Elle entame un lent mouvement de masturbation qui me fait craindre le pire tant je suis excité. Mais voilà maintenant qu’elle avance son visage pour déposer un baiser délicat sur le gland qu’elle a décalotté. Et elle continua son entreprise et m’engloutit dans sa magnifique bouche tout en continuant à me branler.
Bien entendu, excité comme je l’étais, le résultat ne se fit pas attendre et quelques minutes plus tard, j’éjaculais dans sa bouche sans qu’elle en perde une goutte. Elle se leva alors et je l’embrassais furieusement sur les lèvres et très vite nos langues jouèrent ensemble.
- Bien, maintenant mon beau patron que j’ai calmé cette érection qui te dérangeait, nous allons avoir tout le temps pour nous aimer !
Bientôt la suite …

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