Collection Échangisme. Divorce Par Consentement Mutuel (2/5)

Voilà, la roue tourne, je viens de divorcer par consentement mutuel et j’habite à 30 mètres de chez ma femme et de mes s.
Ce divorce m’est tombé dessus alors que je me croyais aimé pour la vie comme nous l’avions dit devant monsieur le maire, il y a presque dix ans de cela.
Nous avons deux s, Victoria 7 ans et Christian 6, le choix du roi.
En un mot avec nos emplois, notre ferme que nous rénovions afin d’en louer une moitié, nous étions un couple heureux, du moins je le croyais.
La semaine dernière, j’étais de garde et je l’ai vu sortir et revenir chez nous.
Pardon chez elle, une fois avec un homme typé et la seconde une femme.
Les deux fois, j’ai vu la lumière dans la chambre s’allumer à travers les volets fermés me prouvant chaque fois qu’ils et qu’elles étaient loin d’enfiler des perles.
Savoir qu’une verge ou que des doigts, voir une langue, étaient dans son sexe que j’avis ouvert à la vie, des envies de me sont venues au cerveau.
Œil pour œil, dent pour dent.
Le dimanche, je vais à Saint Germain pour essayer de lui rendre la monnaie de sa pièce, mais à part un vieil homo, je rentre seul.
Mais ayant monté que moi aussi je savais me servir de ma liberté.
C’est le lendemain qu’une idée me vient.

- Mardi soir 20 heures, je vous donne mon adresse, vous passez le portail de pierre et c’est le corps de ferme à droite.
Voilà ce que j’attends de vous.

Le lendemain à l’heure prévue, une Porche entre dans la cour et viens se garer devant la porte d’entrée.
Une magnifique rousse, cheveux coiffés avec un chignon, en sort, fidèle à sa photo, comment dire canon.
Je me précipite vers elle, voyant que ma femme venant de coucher les s vient de venir sur sa terrasse finir le café servi.
Depuis que nous sommes ensemble, voilà un point de discordance, le café pour moi, c’est bouillant et elle, il doit être froid.
Mais laissons là le café, Tatiana me saute au cou et nous nous embrassons dans un baiser passionné.


De loin, Isabelle doit voir un baiser passionné, moi c’est le coin de ses lèvres que j’embrasse.
Un vrai baiser de cinéma, mais qui fait plus vrai que les plus vrais.
Nous entrons reprenons des positions plus conformes entre deux personnes se voyant pour la première fois.

- Mon arrivée a été conforme à ce que nous avions mis au point.
Je me suis demandé pourquoi vouliez-vous que je fasse une entrée remarquée au volant de la voiture que vous avez louée et que j’ai récupérée chez le loueur à Paris.
Pourquoi nous devions faire semblant d’être de vieux amis ?
Quand je suis descendue, que j’ai vu les maisons identiques comme vous me l’aviez dit au téléphone et cette jolie brune en face, j’ai compris que vous veniez de divorcer.
Vous vouliez lui montrer que vous pouviez encore séduire une femme qui plus est mignonne afin d’essayer de lui faire voir ce qu’elle perd.
- Vous êtes perspicace, vous avez tout compris, voilà votre enveloppe.
- Merci, je vois que ce que nous avions convenu est là.
Pour la perspicacité, je suis une escorte, mais aussi prof de psycho dans un grand lycée parisien.
J’aime plusieurs choses dans ma vie.
Le sexe, c’est primordial dans mon activité parallèle.
L’argent, l’enveloppe que je range dans mon sac le prouve et enfin les rapports humains que je trouve dans mes cours avec mes élèves.
- C’est parfait, venez, je vais vous montrer votre chambre.

Je suis con, je me paye une magnifique pute et je la laisse dans sa chambre à dormir jusqu’à demain ou je veux mettre en pratique la deuxième partie de mon plan.
C’est bientôt les vacances scolaires pour les s et pour Isabelle, la faire baver de jalousie fait partie de mon plan, même si ça me coûte.

- Je vous ai dit que dans ma vie parallèle, je le fais parce que j’aime le sexe, je sais mon rôle pour demain matin, mais qui verra que vous m’avez baisé.
Soyez sans crainte, j’ai seulement allumé dans la salle de bains pour me préparer, votre femme verra seulement la fenêtre de votre chambre allumée.


Mon Dieu, quelle belle femme, ses cheveux dénoués tombant sur ses épaules.
Isabelle se rase, la toison en faisant un petit triangle soulignant son mont de venus très bombé surtout avec sa maigreur, grâce à la course à pied, aucun gramme de graisse superflue.
Tatiana, du moins c’était son nom sur le site internet où j’ai remarqué sa beauté, a sa toison entière aussi rousse que ses cheveux.
J’ai la lumière toujours allumée me permettant de voir ses magnifiques seins.
Je suis inculte dans les tailles de bonnets, mais comparer ceux de mon ex, petit et fripon, il me faudrait au moins mes deux mains pour les prendre en entier.

- Pose cet ordi, inutile de chercher une autre fille, je suis là.

Que puis-je répondre quand elle monte sur le lit ?
L'ordinateur posé à mon côté, sa bouche venant directement me sucer la bite !
C’était loin d’être dans mon plan, mais…
Elle lève la tête me regardant avec ses magnifiques yeux vert émeraude.

- Laisse toi aller, ce qui va suivre était compris dans l’enveloppe, fais-moi plaisir, donne-moi du plaisir.

Quand j’étais jeune, j’ai été aux putes une fois, elle refusait que je l’embrasse, et surtout m’a viré après avoir tiré un coup en quelques minutes sans prendre le moindre plaisir et pour elle et pour moi.
Pour elle s’est sûre, pour moi il a été fugace.
Dans mon repenti, j’ai dit être loin d’une bête de sexe.
Avec Tatiana et sur ses conseils quand je la prends en levrette par exemple.
Elle me fait passer ma main sous elle afin de rejoindre sa propre main sur son clito sensiblement le même que celui d’Isabelle, lui déclenchant ce que je pense être un orgasme.
Plusieurs fois quand nous baisions, pardons, que nous faisions l’amour, j’ai surpris sans le lui dire Isabelle faisant semblant.
Si Tatiana simule, c’est bien fait, impossible de vérifier et comme je sais au prix ou elle fait payer ses prestations que ce sera la seule fois que je pourrais me l’offrir avec en plus la voiture.


Au matin, c’est mercredi, je veux me venger des deux fois ou elle m’a fait cocu.
Rien qui bouge en face alors, je vais récupérer deux des chaises longues qui sont sur la terrasse d’Isabelle.
Tatiana arrive sûre de hauts talons recouverte d’un déshabillé en voile léger montant son string de bain et ses magnifiques aréoles.
Cette nuit, j’ai eu le plaisir de les caresser, malaxer et sucer à deux reprises.
Je me suis vidé les couilles dans sa toison rousse qui m’a reçu sans aucune difficulté.

- Allonge-toi, profite du soleil, je vais te chercher un café.
- Plus tard, tu m’as épuisé, je vais profiter du soleil.

Elle fait glisser son voile me montrant ce que j’ai déjà admiré cette nuit.
Elle s’allonge de façon très gracieuse.
Qui a ce tarif se paye une telle femme, des émirs, des vedettes de cinéma et aussi moi, Gilles le petit informaticien gérant des sites Internet.

- Isabelle, bonjour, je me suis permis de t’emprunter deux transats, Tatiana voulait profiter du soleil pour se faire bronzer.
- Tu as eu raison, tu en as le droit à la moitié, tu pourras les garder.

À sa voix, la connaissant bien, je sais qu’elle est verte de rage.
Ça me coûte, mais j’ai marqué un point, je suis capable de draguer des femmes canons la rendant jalouse.
Il est treize heures quand nous rentrons dans la maison.
Tatiana récupère ses affaires, ce qui me fait bander, c’est la réaction de ma femme, je sais, mon ex-femme.
Alors qu’en temps normal, ils jouent dans la cour au milieu des deux maisons, aucun de leurs minois à l’horizon.
Elle qui leur interdit tout le temps de regarder la télé doit les avoirs assis devant à regarder des dessins animés.
Quand nous ressortons et allons vers la voiture prête à rugir, je sais qu’elle nous observe alors quand Tatiana ouvre la capote, je me penche et le baiser que nous nous donnons est tout autre qu’un baiser de cinéma.

J’ai même réussi à séduire une pute, du moins j’ai l’outrecuidance de vouloir le croire.
Un dernier geste d’adieu et elle franchit la porte de la ferme retournant rendre la voiture.

Tout se passe plus calmement dans les jours qui suivent jusqu’à un dimanche soir où Christian oublie son cahier de correspondance chez moi.
Je quitte mon logement pour frapper à la porte de celui d’Isabelle.
J’attends.
Elle finit par ouvrir dans son peignoir rose comme ses petits slips.

- J’étais sous ma douche .
Qu’est-ce que tu veux ?…

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