Collection Échangisme. Divorce Par Consentement Mutuel (3/5)

- J’étais sous ma douche .
Qu’est-ce que tu veux ?

Divorcés depuis quelques semaines, c’est chacun dans un corps de la ferme que nous avions acheté que nous jouons à qui choquera l’autre.
Elle en faisant venir chez elle un arabe et une gouine.
Une gouine, comment aurais-je pu avoir l’idée que lorsque notre couple battait de l’air qu’elle rêvait de sucer la chatte d’une autre femme ?
Pourtant, aucun doute, quand les deux femmes sont allées directement dans ce qui avait été notre chambre après avoir quitté Paris 12e pour cette ville dans l’ouest de Paris.
La vie à la campagne, elle en rêvait et je lui ai offert avant qu’elle m’apprenne que nous s’était terminé.

- Christian a oublié son carnet de correspondance.
Je te le rapporte, tu regarderas, tu dois le signer comme je l’ai fait.
- Ok, pose-le là, je vais le regarder et toi comment ça va ?
- Des hauts et des bas, surtout quand je te vois dans ton peignoir rose, je suis sûr que tu es nue en dessous.
Ton corps me manque.

En lui disant cela, je m’avance la semblant troublée et je l’enlace.
Aucun refus, serait-il possible que j’arrive à recoller les morceaux ?
Ces deux expériences sexuelles avec son bicot et sa gouine ont-elles été pire que, lorsque je lui faisais l’amour, j’aime à le penser quand nos bouches se retrouvent.
Si c’est ça qui la fait bander, pourquoi pas.
Je lui ôte son peignoir retrouvant ses seins même s’ils sont moins gros que ceux de la pute que je me suis offert l’autre jour.
Je sens qu’ils aiment quand leurs pointes sortes alors qu’en temps normal ils sont recroquevillés à l’intérieur des mamelons.
Toujours aucun refus, attention aucun imper si je veux rétablir la liaison dans notre couple.
Je me plaque à elle lui montant que ma verge est déjà tendue à son maximum.
Il est vrai que dans les derniers temps avant la rupture, quand nous étions dans notre chambre, elle avait pris l’habitude de rester en berne.


Je la prends sous les cuisses et je la pose sur la table de la cuisine.
Je m’agenouille et j’avance ma bouche vers le fruit que j’espère cueillir et retrouver définitivement, cette séparation nous ayons montré que nous étions irrémédiablement faits l’un pour l’autre.
Sa cyprine coule dans ma bouche, une femme qui coule comme elle le fait est une femme amoureuse sinon son corps resterait sec.
Je sens que je gagne la partie quand elle se met à gémir et que ses mains viennent sur ma tête pour rythmer le cunnilingus.
Je me redresse quand je la sens prête à être prise.
De tous nos jeux amoureux, si jeu il y avait, c’est les sensations les plus fortes jamais ressenties dans notre couple.
Je sors ma bite de mon short et sans plus attendre, je la plante.
Je glisse au fond de son fourreau jusqu’à mes couilles tellement elle est mouillée.
Ses mains viennent dans mon dos, ses ongles que je sais impeccables, me labour le dos me dégageant des frissons qui me font décharger.
Elle se dégage, reprend son peignoir.

- Excuse, c’était une erreur.
- Isabelle, j’avais tellement envie de toi qu’il m’a été impossible de me retenir.
- Et avec ta pute l’autre jour, tu as su te retenir !
De toute façon une pute, ça jouit avec son mac, pas son client.
- Une pute, de quoi parles-tu ?
- Tatiana escorte que tu as payé 2 000 € pour qu’elle vienne s’exhiber avec sa voiture et ses nichons sous mon nez.
- Tatiana.
- Arrête de mentir, ça sentait tellement le coup foireux que j’ai voulu en avoir le cœur net.
Moi aussi j’ai Internet et j’ai interrogé les réseaux de putes.
C’est sur le troisième que je l’ai trouvé et aussi son numéro de téléphone.
Je l’ai appelé, j’ai même appris que tu avais loué la Porche qu’elle était passée chercher.
Tu es pathétique Gilles, on dirait, un s’étant fait prendre avec les doigts dans un pot de confiture.
- Et toi, espèce de salope qui te fait baiser par tout ce qui bouge, sans être raciste, un bougnoule, tu as baisé avec un bougnoule.

C’est sans parler de la gouine, si nos s savaient que leur mère est une putain de suceuse de chatte, j’ignore qui est pathétique, mais toi, tu tiens le pompon !

En prononçant ces mots, immédiatement je sais que les derniers liens nous unissant viennent de se rompre et qu’à moins que l’un ou l’autre déménage nous devrons vivre avec notre rancoeur.
Je quitte sa maison retournant chez moi.
Au matin, c’est mon mal de tête que je retrouve, doublé d’un mal de dos.
J’ai passé le reste de ma nuit sur une chaise de cuisine à vider la bouteille de whisky acheté il y a quelques jours.
Je prends deux paracétamol et je vais le coucher.

Les quelques jours qui nous séparent des grandes vacances arrivent, vite.
Bonjour, bonsoir.
Tu regarderas le cahier de correspondance de Victoria.
Tu iras acheter des tennis à ton fils, les siennes sont fichues.
Ce sont les quelques phrases que nous prononçons quand nous nous croisons les dimanches soir.
Certainement fois, les s traversent seuls et entrent dans la maison de mon ex.

Et à quelques jours des grandes vacances, les choses évoluent de l’autre côté.
Un homme de nos âges avec une jeune fille d’une quinzaine d’années semble avoir emménagé chez Isabelle pendant la semaine où je garde nos s.
Je suis dans mon jardin quand il se présente à moi.
Le jardin, c’est nouveau, si on est à la campagne, c’est pour être écolo et je souhaite le devenir.
Surtout que ça plait à Victoria qui m’annonce que comme sa maman elle est végétarienne.

- Bonjour voisin, je me présente, Alex, je suis le petit ami de votre ex, nous avons décidé de vivre ensemble.
C’est beau ce que vous avez réussi à faire avec Isabelle pour l’amour de vos s.
Vivre côte à côte en parfaite harmonie, ça fait voir votre grand cœur.
Si quand j’étais jeune, j’avais trouvé la même compréhension, ma vie aurait été tout autre.

Qu’est-ce qu’il vient me gonfler, ce pleurnichard, mais je décide de faire bonne figure ?

- C’est votre fille qui est avec vous, vous êtes bien jeune pour avoir une de cet âge.

- C’est tout ce qu’il me reste d’une période de ma vie, vous avez peut-être entendu parlé il y a quelques années du procès médiatique qui a eu lieu.
- Peut-être !
Lorsque mes parents ont appris ma liaison avec Jenna, ma prof d’anglais, elle avait trente-huit ans et moi juste quinze.
Ils ont porté plainte et Jenna a dû retourner chez elle en toute urgence craignant la prison.
Ce que tous ignoraient c’est que j’avais semé ma graine et que ma fille Alexis est née neuf mois plus tard.
Jenna ayant refait sa vie avec un Texan très con sur les bords, Alexis m’a demandé de la prendre avec moi et nous voilà.
Pour les vacances, elle retourne chez sa mère, je la conduis à l’aéroport à Paris dans quelques jours.
Tiens, j’y pense que fais-tu ce soir, j’appelle ma chérie qui fait les courses avec tes s, elle va prendre des petits fours et je t’offre l’apéro Gilles.

Bien sûr, il connaît mon nom.
J’avais envie de lui sauter à la gorge, mais il est sympa et son histoire est si pathétique que je l’interroge.

- Ou as-tu rencontré Isabelle.
- Dans ma classe à la réunion des parents d’élèves.

Les parents d’élèves, quel con, j’ai toujours laissé ça à Isabelle sous couvert qu’elle est professeur des écoles.

- Je suis le maître remplaçant de ta fille Victoria, après la réunion, je l’ai invité à prendre un verre, elle est tellement belle et les choses se sont faites naturellement.
- Pour l’apéro, c’est d’accord, prévient Isabelle.

Il me quitte, je continue à éclaircir mes radis, ils vont bientôt être bons à arracher.

- Ou étais-tu BB, je t’attendais.
- Chez mon ex.
- Attention je suis jalouse.
- Pourquoi tu sais bien qu’entre nous, tout restera sur Internet par visio ?
- Mais je t’aime BB.
- Tu as 18 ans et moi 30, tout réside dans cet écart.
- Mais je m’en fiche, je m’en contrefiche.
- Suzy arrête de faire l’, à quoi cela nous conduirait-il ?
- À nous aimer, je t’ai déjà dit BB que j’ai déjà connu le loup et je veux connaître ton loup à toi.

- Je vais te donner une fessée si tu continues.
- Chiche, donne-moi ton adresse.

Je repense à Alex, qui a loupé l’amour de sa vie, bien qu’il semble l’avoir trouvé à ce que j’ai vu ce soir dans les bras de mon ex.
Quand j’ai commencé d’aller sur les sites de rencontres il y a quelques jours, je me draguais des vieilles de 50 ans voulant se faire un jeunot.

- Note, mon adresse, mais en tout bien tout honneur Suzy.
- Il en va de soi BB…

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