Force De Conviction (Suite Et Fin)

Alors que Sylvie partit se nettoyer le visage, je restai quelques instants pour reprendre mes esprits. Sa bouche était définitivement divine et elle savait s'en servir.
Mes yeux s'égarèrent sur l'écran du PC. Elle triait et répondait à ses mails avant que je ne la dérange. Des clients pour la plupart, une assurance, sa banque, ses parents.
Sa mère. Je l'avais vu une fois au détour d'une photo sur le téléphone de Sylvie. La beauté était génétique dans cette famille. Bien qu'elle devait avoir la quarantaine passée, elle n'avait rien à envier à sa fille. Sur la photo elle était vêtue d'un jean qui rendait grâce aux formes magnifiques de ses fesses. Bombées et certainement fermes à souhaits.
Je repensai au cul de Sylvie se dandinant quand elle s'était éloignée.
L'excitation revint.
Je tombai nez à nez avec elle alors qu'elle sortait de la salle de bain.
-Toute propre ? demandai-je.
Elle grimaça un sourire :
-Oui, je commence à avoir l'habitude avec toi.
-Tu ne me laisserais pas faire si tu n'aimais pas ça.
La jolie brune me tira la langue telle une gamine.
Elle voulut passer mais je lui barrai le passage avec mon bras.
-Tu sais, j'ai une autre habitude que nous devrions respecter.
-Ah oui, laquelle ?
-Ne jamais laisser une belle femme insatisfaite.
D'autorité, je la poussai doucement dans la pièce jusqu'à la bloquer contre le meuble-vasque.
-Et si je n'en ai pas envie ?
Je commençai à l'embrasser dans le cou. Une main caressant son visage, l'autre sur ses hanches.
-Je pourrai te convaincre, soufflai-je.
Déplaçant mes baisers, mes lèvres parcoururent le lobe de son oreille, sa joue, pour finir par caresser sa bouche avec ma langue.
Mes mains n'étaient pas en reste. Je fourrageai tendrement dans ses cheveux tandis que je massai son sein à travers son top.
Ses yeux fermés m'indiquaient qu'elle tentait de résister. Elle se mordit les lèvres.


Je décidai de les embrasser à pleine bouche. Elles restèrent fermées.
Ma main descendit le long de son corps jusqu'à son shorty. Je le caressai de mon majeur, sentant son sexe moite sous le tissus. J'appuyai un peu, fis quelques mouvements circulaire.
Puis je m'arrêtai et reculai d'un pas.
Sylvie ouvrit les yeux et me regarda, surprise.
-Quoi ? fit-elle.
-Il semblerait que je ne puisse pas te convaincre, répondis-je en haussant les épaules.
Ses yeux onyx me foudroyèrent. Je vis dans ce regard la frustration face à ce soudain arrêt de plaisir.
-Oh non...
Elle m'attira à elle et m'embrassa avec fougue. Sa main agrippa la mienne et la glissa sous son shorty. Je sentis son sexe parfaitement épilé sous mes doigts.
-Tu finis ce que tu as commencé, ordonna-t-elle.
Je souris et entamai de lente caresse, écartant les lèvres de sa chatte. Elle soupira de désir. Je profitai de sa bouche entrouverte pour y fourrer ma langue. Je bataillai quelques instants avec la sienne lorsqu'elle rompit ce baiser pour couiner. Je venais d'enfoncer mon majeur dans sa grotte de plaisir. Son corps réagit au rythme des petits va et vient que j'intimai. Du pouce, je titillai son clitoris.
Sylvie tentait de retenir ses gémissements. Insérant un deuxième doigt, j'accélérai un peu. Ses yeux roulèrent, elle soupirait de plus en plus fort. J'entrepris de rapides mouvements tout en agaçant un peu plus son clitoris. Son corps tremblait et ses couinements s'intensifiaient.
Alors que je l'embrassais passionnément, elle fit tomber son shorty d'une main habile. Elle posa sa main sur ma nuque.
-Va embrasser d'autres lèvres, me dit-elle, fiévreuse.
Je ne me fis pas prier et me mis à genoux. Je passais sa jambe gauche sur mon épaule pour avoir accès à son mont de Venus. Ouvert depuis les assauts de mes doigts et le clitoris gonflé, c'était un spectacle des plus ravissant.
Connaissant l'impatience d'une Sylvie excitée, je ne tardai pas à m'occuper d'elle.
J'embrassai ses lèvres comme j'aurai embrasser sa bouche, profitant du goût agréable de sa mouille. Je m'occupai de son clitoris d'une main, le faisant rouler entre mes doigts. J'enfonçai alors ma langue dans sa chatte. C'est là qu'elle posa une main sur ma tête et poussa un profond gémissement.
Je décidai de changer. Mes lèvres remontèrent sur son clitoris qu'elles happèrent dans un bruit de succion. Mes doigts redescendirent et s'engouffrèrent à nouveau en elle. Tantôt je suçais son bouton d'amour, tantôt je le triturais du bout de ma langue. Plusieurs minutes de ce traitement ponctué du clapotis de la chatte de Sylvie de plus en plus humide et elle était au bord de la jouissance.
Elle appuya alors ma tête contre sa chatte et ondula du bassin. Je sentis ses muscles se contracter et c'est dans un ultime gémissement que l'apothéose de son plaisir arriva.
Je reposai sa jambe au sol et me redressai. Elle était pantelante et essoufflée. A demi présente, elle me dit :
-Je suce comme une reine, mais toi, tu lèches comme un dieu.
Je souris du compliment et déposai un baiser sur ses lèvres. Elle se les lécha instinctivement. Elle aimait le goût de sa chatte.
-Qui a dit que j'avais fini ? murmurai-je.
La jolie brune me jeta un regard incrédule.
Je ne lui laissai pas le temps de réagir. Je la retournai et la fis se pencher sur le meuble, ses seins écrasés. Je remontai sa jambe droite que je posai dessus.
-Erwan ? s'inquiéta-t-elle.
Mon sexe tendu d'excitation se présenta à l'entrée de sa grotte. Son gémissement dura tout le long de la lente pénétration jusqu'à buter au fond de sa chatte. Ses lèvres serrées épousaient parfaitement la forme de ma bite.
-Oui, Sylvie ?
Elle redressa la tête et me regarda à travers le miroir au dessus du meuble. Le désir se voyait dans ses yeux.
-Non... continue.
Je l'attrapai par les hanches et me retirai presque. Seul mon gland resta à l'orée de son sexe. Je la pénétrai à nouveau avec la même lenteur, accompagné encore une fois d'un long gémissement de sa part.

Je continuai ainsi en accélérant de plus en plus. Bientôt ses longues plaintes se transformèrent en petits couinements aigus.
Toujours au fond d'elle, je la remis sur ses deux jambes, face au miroir. Elle était magnifique ainsi, les cheveux ébouriffés, le regard fiévreux, la bouche entrouverte. Sa cambrure mettait en valeur son cul déjà parfait. Deux globes qui attirait l’œil et les mains. Ne manquait qu'un détail.
-Laisse-moi voir ses beautés, ordonnai-je.
Je fis basculer les bretelles de son top le long de ses épaules et de ses bras puis, je le descendis sur ses hanches. Son magnifique 95C ainsi libéré, j'en avais une vue imprenable à travers le miroir.
-Parfaite, souris-je.
Elle me sourit à son tour avant que son visage ne sois déformé par le plaisir. J'avais repris mes assauts avec plus d'intensités. Sur la pointe des pieds, les mains agrippées au meuble, elle subissait mes coups de butoirs incessants. Sa poitrine rebondissait en rythme, offrant un spectacle des plus hypnotisant. J'en saisis un afin de le masser, de le maltraiter, de triturer son téton.
Les couinements de Sylvie se transformèrent en cris.
J'attrapai alors ses fesses à pleines mains et les agrippai pour intimer d'ultimes pénétrations, rapides et violentes. Ses cris timides furent remplacer par de véritable odes au plaisir. Ses yeux se révulsèrent et je sentis les muscles de sa chatte se contracter sur ma verge. Il ne m'en fallut pas plus pour décharger de grand jet en elle, inondant son vagin.
Épuisée, elle s'effondra sur le meuble, les jambes flageolantes. Tout aussi à bout, je m'assis en m'adossant au mur. Sylvie me rejoignit. Elle s'assit à califourchon sur moi. Je pouvais voir mon sperme coulait le long de ses cuisses.
Elle prit mon visage entre ses mains et m'embrassa tendrement. Elle se lova ensuite dans mon cou.
-Une part de moi en a marre de céder à tes envies, murmura-t-elle, et une autre adore ça.
Je l'enlaçai et caressai ses cheveux.

-N'écoute ni l'une ni l'autre, répondis-je. Ne cède qu'à tes propres envies.

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