Jour De Course (Suite Et Fin)

« Pourrais-je avoir un paquet de kleenex et une petite bouteille d’eau minérale ? » Demandai-je au boutiquier.
Il me servi ma commande que je payais. Sur place j’ouvris la bouteille et aspergeai un pan de ma robe avec un peu de son contenu, puis je me mis à nettoyer le sperme qui commençait à sécher.
Comme je me tortillais (volontairement) dans tout les sens pour arriver à enlever les traces qui semblaient hors de ma vue, le boutiquier me regarda faire puis demanda :
-- Vous semblez embêtée mademoiselle, je peux vous aider ?
« S’il vous plait ! » Répondis-je
Il se baissa et frotta les taches avec un tissu mouillé avant de me demander ce qui m’avait sali.
« Je ne comprend vraiment pas...je viens de descendre d’un bus vraiment bourré et je ne sais pas ce qui à pu bien coller à ma robe ainsi. »
-- Un bus bourré vous avez dis ?
« Oui, mais j’ai du m’asseoir dans quelque chose avant de monter »
Il se leva quand il fini et me dit que le vent sècherait l’eau qu’on avait utilisé.
Après l’avoir remercié, je commandai une bouteille de sucrerie à boire sur place.
Je savais que ma robe était assez courte et qu’elle monterait jusqu’au raz de mes fesses quand je lèverais mon coude pour boire.
Je lui tournai le dos et commençais mon spectacle comme si je ne me doutais de rien. Il se rinça les yeux certainement car au bout de quelques minutes il s’approcha de moi et murmura :
-- Vous habitez le quartier ?
« Non, je me promène un peu »
-- Vous avez une très belle peau ! Fini t-il par dire puis il se présenta avant de m’inviter à déjeuner

J’acceptai et on se retrouva dans un restaurant non loin après qu’un jeune homme l’ai remplacé à la boutique.
Après la bouffe il m’invita sans détour à l’hôtel mais je refusai puis pris congé de lui en notant son numéro de cellulaire. « Je vous appellerai, c’est promis » Lui dis-je en passant ma main sur sa joue.


En route je décidai de passer chez une amie qui était très souvent absente.
Pourtant cet après midi là, je la trouvai sur place.
Elle vint ouvrir le portail avec un grand drap qui lui couvrait tout le corps.
« Tu es souffrante ? Je comprends pourquoi tu es à la maison aujourd’hui ! » Dis-je en entrant chez elle.
-- Non, en fait je suis toute nue la dessous, répondit elle.
« Tu es avec quelqu’un ? Je dérange ? »
-- Pas du tout, on espérait avoir quelqu’un pour nous mater, et c’est bien que tu sois passée. Ça fait longtemps qu’on ne s'est pas vues !
J’étais surprise et excitée de l’entendre dire cela. Je la suivi jusque dans son salon où un homme se branlait sur la moquette pendant qu’un film porno passait à l’écran.
-- Fais comme chez toi Linda ! Me lança t-elle avant de se mettre à califourchon sur le mec.
Ils firent l’amour dans cette position pendant une dizaine de minutes avant de s’affaler tous les deux, l’air épuisés.
On sonna à la porte.
« Tu as encore de la visite, Valérie ! » dis-je en riant.
Elle me demanda d’aller ouvrir et de ne laisser entrer que si c’est un homme, avant de remonter sur son mec.
J’étais toute excitée à l’idée que ça pouvait être un homme mais une femme ferait tout aussi l’affaire.
C’est un homme que je vis quand j’ouvris. Ce que je remarquai tout de suite fut son pantalon.
Il était en skaï ultra plaqué sur lui et un sexe aux mesures appréciables se dessinait.
Je fixai sans m’en cacher la forme sous son pantalon en lui demandant ce qu’il désirait.
« Pourrai-je voir Valérie je vous prie ? ».
Je l’invitai à entrer puis fermai le portail. L’homme attendait que je le conduise (enfin…je crois).
Quoi qu’il en soit, je me plaquai contre lui en passant ma main sur la forme qui se dessinait sous son pantalon.
Il n’y resta pas indifférent, le sexe gonfla. Je libérai le pénis en regardant son propriétaire dans les yeux, puis je m’accroupie et pris le membre dans la bouche.

Valérie était sûrement encore entrain de chevaucher l’autre mec. Mon partenaire ne mit pas longtemps à éjaculer.
Il m’inonda la bouche et aspergea mon visage puis me releva pendant que je m’essuyais.
« Mais qui diable êtes-vous donc ? »
Je lui répondis par un sourire angélique en l’attira par la main vers le salon où j’avais laissé Valérie.
Elle devait encore entrain de chevaucher son partenaire et une fois à l’entrée du salon, des gémissements nous accueillirent.
A califourchon sur le mec, Valérie s’était cambrée et rejetait sa tête en arrière pendant que son partenaire lui pressait les hanches en poussant un cri rauque.
Valérie s’affala sur le torse en sueur l’air vidée.
Une orgie qui ne dit pas son nom se déroula par la suite jusqu’aux environs de 17 heures. Je pris congé de mes partenaires et rentrai à la maison prendre une douche.

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