Force De Conviction

Je me réveillai doucement en maudissant les rayons du soleil entrant dans la pièce par
l'interstice des rideaux. Ils m'avaient privé de la fin d'un merveilleux rêve érotique.
Celui-ci impliqué les lèvres de Sylvie et j'avais astucieusement trouvé de quoi les
occuper...
Grommelant, je m'étendis sur le lit, m'attendant à l'y trouver. À ma grande surprise, ce
ne fut pas le cas. J'ouvris un œil pour constater son absence. Voilà qu'elle était bien
matinale aujourd'hui.
J'essayai de me rendormir et de retourner à ce doux rêve mais rien n'y fit. La chaleur de
cette matinée d'été m'empêcha cette prouesse. C'est à contrecœur que je décidai de me
lever.
Je me dirigeai vers la cuisine en quête d'un café quand j'entendis les touches d'un
clavier. Bifurquant vers le bruit, je franchis le seuil du salon. Sylvie était au bureau,
sans doute en train de répondre à des mails.
Dos à moi, elle ne me vit pas venir. Je m'approchai doucement. Assise en tailleur sur la
chaise, elle ne portait qu'un top rouge et un shorty blanc. Sa longue chevelure noire
descendait en cascade dans son dos. Sur le bureau traînait une tasse de café chaude à
peine bue. Elle ne devait pas être debout depuis bien longtemps.
Je me penchai pour l'enlacer.
Elle sursauta légèrement tandis que je passai mes bras autour de son corps.
-Erwan ! Tu m'as fait peur, dit-elle en caressant ma main.
Je déposai un bisou sur sa joue avant de répondre :
-Désolé, l'habitude d'être discret.
J'avais maintenant une vue imprenable sur le décolleté qu'offrait son top. Celui-ci
peinait à retenir son magnifique 95C. Je pouvais voir la naissance de ses mamelons bruns,
ceux que j'aimais tant titiller.
J'embrassai une nouvelle fois sa joue, j'écartai ses cheveux pour poursuivre dans son
cou, puis remontai vers son oreille.
-Au fait, bonjour Sylvie, susurrai-je.


Je la vis sourire tandis qu'elle tournait la tête. Elle plongea son regard de cendre dans
le mien avant de déposai un baiser sur mes lèvres.
-Bonjour, sourit-elle.
Sylvie retourna ensuite sur son ordinateur.
D'humeur joueuse, mes mains se firent baladeuses. L'enserrant un peu plus, je caressai
son ventre. Bientôt, je remontai sur sa poitrine. Je pris chacun de ses seins en main
pour les masser doucement. Je l'entendis souffler. J'intensifiai alors la pression sur
ses beaux attributs.
-Arrête, soupira-t-elle en se tortillant légèrement. Je dois répondre à ces mails.
-Un dimanche matin ? râlai-je. Je connais des activités plus amusantes.
Elle prit mes mains et les enleva de son corps.
-S'il te plait.
J'étais quelque peu déçu. Mais il en fallait plus pour abattre mon assistant érectile
qui, lui, arborait une forme des plus tenaces. Était-ce dû au rêve de ce matin ou à
l'opulente poitrine de madame, quoi qu'il en soit, mon sexe se dressait, prêt au combat.
Je le posai alors nonchalamment sur l'épaule de Sylvie.
-J'en connais un qui a envie.
Elle ricana.
Je le bougeai alors pour venir caresser son cou. Mon gland glissant sur sa peau claire, y
déposant de temps en temps une petite goutte de méat. Je fis quelques aller-retours entre
son épaule et son cou. Elle restait impassible et continuer de tapoter sur son clavier.
Je décidai alors de passer au niveau supérieur.
Je passai mon autre main dans ses cheveux et vins la posai de l'autre côté de son cou.
Puis, avec malice, je montai mon gland sur sa joue. Je caressai sa pommette un moment
avant de redescendre vers son menton.
Du coin de l’œil, je voyais qu'elle écrivait de moins en moins.
Je poussai le vis jusqu'à tapoter légèrement son visage du bout de mon sexe, imitant de
petites bifles.
Elle geignit :
-Tu sais que je n'aime pas ça, en plus.

-Je ne vois pas de quoi tu parles, fis-je, le plus innocemment du monde.
Elle grogna avant de se concentrer à nouveau sur l'écran.
Je bougeai légèrement sur le côté, une main toujours sur son cou. Ainsi, je la forçai à
tourner et pencher légèrement la tête. Mon gland toucha alors sa bouche et je sentis son
souffle chaud. Excité par cette agréable sensation, mon sexe glissa sur ses lèvres, je
crus même sentir le bout de sa langue pendant un instant.
Agacée par cette situation, elle se dégagea et me fusilla du regard.
-T'as finis, oui ! J'aimerais me concentrer.
-Dis moi que ça ne te plais pas, souris-je.
-Ce n'est pas la question, je dois finir ça.
Au comble du culot, je me déplaçai pour me mettre entre elle et le bureau. Mon sexe
dressé devant son visage.
-Tu en as envie autant que moi.
La belle brune me regardait dans les yeux avec insistance.
-Tu luttes pour ne pas la regarder.
Je m’avançai.
-Parce que tu sais que tu ne pourras pas résister.
-N'importe quoi, couina-t-elle.
J’avançai encore, mon gland juste devant sa bouche.
-Fais pas l'innocente Sylvie, c'est bien ta langue que j'ai sentis à l'instant.
Elle me lança à nouveau un regard noir.
-Dis le que tu veux me sucer.
Elle soupira, provoquant à nouveau une vague de plaisir le long de ma verge.
Je repris mon sexe en main et fis de petits mouvements de haut en bas, frôlant ses lèvres
et le bout de son nez. Elle soutint mon regard encore un petit moment avant d'abdiquer.
-Tu fais chier, Erwan, dit-elle en posant les yeux sur l'objet de son désir.
Elle entrouvrit sensuellement sa bouche.
-Tu sais exactement quoi faire pour me provoquer. Et là, maintenant, je n'ai qu'une
envie...
Elle sortit sa langue et lécha lentement le bout de mon gland. Elle ferma les yeux.
-C'est de te sucer la bite.
Alors, elle pencha sa tête et engloutit ma verge.

Je poussai un soupir de plaisir tandis que Sylvie entamer des va et vient sur mon sexe.
Je me laissai aller et profitai de ses caresses buccales. Je pus sentir toute son envie à
travers sa bouche. Son excitation, jusque là retenue, se ressentait dans les mouvements
de ses lèvres pulpeuses.
Elle y ajouta bientôt la langue, et ce n'était plus seulement la pointe. Je pouvais la
sentir lécher ma bite à l'intérieur de sa bouche. Ses gémissements se faisaient
maintenant bien audible. Elle prenait du plaisir à s'occuper de mon membre.
Sylvie sortit ma verge de sa bouche pour la prendre en main. Là, elle commença à me
branler tandis qu'elle se penchait un peu plus. Elle lécha mes couilles un instant avant
de complètement les embrasser. J'avais la vision de cette sublime brune, le visage collé
à mes burnes, faisant monter le plaisir en moi.
Elle continua de me branler tout en me reprenant entre ses lèvres. De temps en temps,
elle s'arrêtait pour faire glisser mon gland sur son visage, se bliflant doucement par
moment. Elle qui n'aimait pas ça d'habitude. Puis elle arrêta et me lécha de bas en haut.
Elle alterna entre branlette et fellation encore un moment avant de s'arrêter. Elle avait
un filet de bave entre son menton et mon gland.
Me regardant dans les yeux, j'y lus un profond désir.
-Tu en veux plus, découvris-je.
Elle opina tout en portant sa main qui me branlait à sa bouche. Elle introduisit trois
doigts entre ses lèvres et les suça avec envie.
Les retirant, elle gémit :
-Baise-moi...
Je jetai alors un œil plus bas.
-Non, dit-elle, pas là.
Elle porta à nouveau un doigt à ses lèvres et le mordilla.
-Là...
Alors que je ne pensais pas ça possible, ma bite devint encore plus dure sous
l'excitation. Je posai une main derrière sa tête et enfournai sans ménagement mon membre
dans la bouche de Sylvie.
Je restai là un instant, profitant de cette chaleur. Puis je
commençai de légers mouvements d'avant en arrière.
Mon sexe glissait entre ses lèvres serrées. Je sentais sa langue caresser mon gland à
chaque passage. Elle gémissait doucement, sachant que ça m'excitait encore plus.
J'augmentai alors la cadence.
M'avançant au maximum, mes jambes de chaque côté de la chaise, je pris le visage de
Sylvie à deux mains. Elle gémit encore plus fort, sachant ce qui l'attendait.
J'entamai alors de grands mouvements de bassin, mon gland pénétrant sa gorge à chaque
passage. Je me retirai pour la laisser respirer. De la bave coulait sur son menton et
venait goutter sur ses seins. Puis, je pénétrai à nouveau sa bouche. Restant parfois au
fond, je contemplais la vue de cette femme, le visage collé sur mon bas-ventre, ma bite
au plus profond de sa gorge. Je continuai de lui baiser la bouche ainsi quand, au comble
de l'excitation, je sentis monter l'ultime plaisir.
Je sortis ma queue, plus dure que jamais, de sa bouche charnue. Sylvie avait senti les
tressauts révélateurs de ma jouissance imminente et elle me regardait à nouveau pleine
d'envie. Il ne m'en fallut pas plus pour jouir.
Je me répandis sur ses lèvres, ses joues, son front. J'éjaculai plusieurs fois sur son
beau visage, souillant ainsi sa peau de ma semence.
Je m'appuyai sur le bureau tandis qu'elle récoltait mon sperme avec ses doigts. Elle
contempla mon jus avant de me lancer :
-T'es fier de toi, j'espère.
-Ce serait plutôt à toi d'être fière, soufflai-je. Tu suces comme une reine.
Elle ricana.
-Merci ! Mais maintenant, je dois aller me nettoyer. Comme d'habitude, tu en as mis
partout.
Elle se leva pour se diriger vers la salle de bain. Son petit cul, à peine couvert par
son shorty se dandinant devant mes yeux.

À suivre...

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