Le Libertinage Attise Le Désir

Je suis en couple libertin. Mais ce choix s'est présenté et imposé dans nos vies assez récemment.
Je raconte ici une soirée dans les début de cette nouvelle façon de vivre notre couple.

Après une longue discussion sur notre couple, l’intensité de notre amour l’un pour l’autre, et le sentiment de jalousie, plus ou moins fort, que l’on ressent quand l’autre sort…
Après que je t’ai raconté que ma date de la veille était plutôt décevante, car la partie baise que j’attendais si ardemment s’est conclue en 5min...
Tu me murmures que tu n’aimes pas que ta reine n’ait pas été honorée dignement.
Tu m’embrasses, intensément, pour indiquer que tu t’engages, toi, à faire le travail que les autres n’arrivent pas à fournir.
Tu me caresses le corps. Avec tendresse, mais avec fermeté. Tu me fais savoir clairement où tu t’en vas. Et ça m’excite énormément.
Tu aimes sentir mes cuisses dans tes mains. Mes fesses, mes hanches. Toute ma peau t’attends.
Tu embrasses mes seins. Tu sais que ça me fait fondre. Toujours.
Ton corps est à côté du mien.
Allongés l’un contre l’autre. Je commence à te caresser aussi. Je ne suis pas la seule dont les tétons sont sensibles.
Quand je t’entends gémir doucement, je désire t’entendre pour de vrai. Je t’écarte de ma poitrine et m’approche de ton torse. Je lèche tendrement ces tétons qui n’attendent que cela.
Tendrement et goulûment. Tu frémis. Tu gémis. Tu adores ça.
Ma main vient alors se poser sur ton short, caressant ta queue qui durcit un peu plus à chaque passage. Cette queue que j’aime tant avoir en bouche.
Et justement, plus je te sens dur, plus mon envie de te lécher monte.
Je descends ton short d’une main. Tu m’aides. Car je ne cesse de sucer tes tétons.
Une fois accessible, ta queue tombe dans ma main, qui commence à te branler. Doucement. J’aime entendre tes gémissements qui augmentent, une fois que j’ai trouvé le va et vient qui te fait le plus d’effet.


Ma bouche descend le long de ton torse. Ponctuant sa descente de baisers. Jusqu’à se poser sur ton pénis, dur, appétissant. Je l’embrasse aussi. Je le lèche du bout de la langue.
Tu mets un main sur ma tête. Tu atts une poignée de cheveux. Je sais que tu en veux plus.
Moi aussi.
Je te prends entièrement en bouche. Je joue avec ma langue, je presse ma bouche entière contre cette verge pleine de désir. Ma bouche monte et descend. Tourne, retourne, s’ouvre, se ferme. Je joue avec la partie la plus sensible de ton corps, et ta main sur ma tête, qui me demande d’aller plus vite, m’indique que tu aimes ça.
Et tes gémissements.
Ils me font mouiller.
Sentir le plaisir que je te donne me met toujours dans cet état.
Je veux te sentir.
Je me redresse. Passe une jambe par dessus toi, et m’enfile sur ta queue, dure, grosse, qui n’attend que de me sentir.
Je savoure chaque fois la surprise dans tes yeux quand ton pénis rencontre ma chaleur, et la moiteur de ma mouille abondante. Chaque fois, tu te régales de sentir que tu entres dans ma chatte comme chez toi, et que je t’accueille avec tous les honneurs.
Je mouille, je te sens t’enfoncer en moi, et je gémis de plaisir.
J’active mon bassin, je cherche l’angle qui me fait le plus d’effet. Les mains sur mes mollets, je bouge énergiquement. Tes mains sur mes tétons font monter le plaisir.
J’ai envie de me toucher, pour profiter de toutes ces sensations.
Je me caresse d’une main.
Tu aimes ça. Tu me caresses la poitrine encore plus fougueusement, car tu as compris ce que je veux.
Je sens le plaisir monter à chaque seconde qui passe. Je sens ces brefs éclairs de plaisir qui m’envahissent le corps. Tu durcis ton bassin pour que je te sente mieux en moi. Tu synchronises tes mouvements aux miens, pour décupler mon plaisir.
J’aime tellement ces sensations. C’est irrésistible. Je viens. Je gémis, je crie, je frissonne de l’intérieur. Tu adores ce que tu vois.
Malgré que mon orgasme passe, tu continues tes mouvements de bassin pour prolonger mon plaisir, et profiter du tien.
Lorsque tu sens que je faiblis, tu proposes de travailler.
Je continue de jouer avec ton corps un instant, puis je laisse l’animal réveillé en toi prendre le dessus.
Tu as l’air d’avoir faim.
Tu passes sur moi. Tu me suces les seins et t’insères en moi sans aide, sans guide. Ta verge connaît le chemin par cœur. La sensation que nous ressentons est délicieuse.
Je ne sais pas rester inerte quand tu me domines. Mes jambes remontent, petit à petit. Chaque fois que tu accélères le rythme, je remonte mes jambes pour te sentir le plus profondément possible en moi. Je gémis de plaisir. Tu me donnes, encore et encore. De plus en plus fort, de plus en plus vite.
Quand je pense que tu vas venir, tu t’arrêtes.
Tu ris. Tu ne veux pas t’arrêter là. Tu reprends juste ton souffle.
Tu te lèves du lit et me dis de me placer au bord. Tu me tires vers toi.
Si tu ne me retiens pas, je tombe. Mais tu me tiens. Tu agrippes ce corps que tu désires.
Ton appétit m’excite. J’aime cette sensation que tu me mangerais au complet si j’étais un repas.
Tu vas et viens en moi, toujours avec autant d’ardeur, et je gémis de ces sensations. J’ai le souffle court, j’adore te sentir aussi vif, aussi excité.
Mes jambes repliées, tu es au plus profond de moi. Je te sens, de plus en plus dur, de plus en plus fort.
Je sais que tu es proche de jouir. Je sais que tu te retiens autant que possible.
Je remue mon bassin autant que je le peux. Je contracte mon vagin au rythme de tes allers-retours.
Je te sens. Encore plus. Je sais que tu ne pourras pas te retenir encore longtemps si tu continues. Et je veux que tu continues.
Je te sens. Si bien. Si intensément.
Je gémis de plaisir. Toi aussi.
Ton corps se tend. Le mien s’excite. Je veux sentir ta jouissance. J’accompagne tes mouvements pour augmenter nos sensations.

Nous crions de plaisir ensemble.
Tu exploses. Ton sperme se répand, douce chaleur, à l’intérieur de moi.
Wow.
Tu donnes encore quelques coups de bassin, pour prolonger le plaisir. Tu frissonnes à chaque contraction de mon vagin.
Enfin, tu t’allonges sur moi. Tu récupères ton souffle.
Je te caresse, t’embrasse. Tu me rends mes baisers.
Tu glisses à côté de moi, t’allonge.
Nous sommes là, nous touchant seulement la main, mourants de chaleur. Satisfaits.
Si bien.
Et je sais que, si je te touche, juste un peu, juste où il faut… tu pourrais recommencer depuis le début…

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